plan machiavelique ¤ Gabriel

plan machiavélique
Gabriel & Rosalia
fiche par ©century sex

Mais quel plan foireux, Rosa se retrouvait à vouloir étrangler une jeune femme qui semblait adorable, parce qu'elle était la copine de son amant, rien de bien réjouissant selon elle. Elle n'avait aucun levier, elle se sentait désemparée, elle se sentait a la merci et sans contrôle, ce qu'elle détestait. Rosa ce cherchait une idée pour rendre Val aussi dingue qu'elle le rendait dingue, il voulait jouer sur l'image non autant jouer elle aussi, non mais fallait pas la prendre pour une cruche. Elle avait enfiler un jeans noir, un top blanc avec quelque paillette, mais rien de trop, des petites botte talon haut, manteau de cuire et elle partie direction lord Hobo, la bière lui donnerait une idée de génie. La jeune femme entra dans le bar et balaya la salle avant de trouver une place au bar près d'un jeune qu'elle avait l'impression d'avoir deja vu. Elle s'assit à coté de lui sans lui demander si elle le pouvait et commanda une bière au barman. Elle soupira bruyamment et se tourna vers le jeune homme. « Gabriel non ? » Elle croyait l'avoir deja vu dans une soirée où elle l'avait entendu parler Italien et étant Italienne elle-même ça l'avait attiré, la jeune femme croyant beaucoup en l'Italie et tout ce truc. Elle lui souriait doucement.

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Rosalia & Gabriel

Jamais Gabriel n’avait autant pensé à son père que depuis qu’il était loin de lui. A chaque fois qu’il faisait quelque chose, il avait l’impression d’aller à l’encontre de ses recommandations, de trahir sa confiance. Mais en même temps, s’il avait quitté New York et le domicile familial, c’était bien pour se libérer de l’autorité d’Andrea, non ? Le jeune italien avait beau adorer son père, et le placer sur un piédestal immense, les règles que le patriarche imposait à ceux qui vivaient sous son toit étaient parfois trop restrictives pour un jeune homme tel que Gabriel.
Tout ça pour dire qu’assis au bar du Lord Hobo, bistro réputé parmi les étudiants d’Harvard, l’italien se régalait de sa transgression, tout en se demandant néanmoins ce qu’il fichait là. Le patron l’avait regardé de façon bizarre lorsqu’il avait demandé un thé, il était seul et les rires et conversations lui agressaient les tympans. : il commençait à regretter de s’être lancé dans cette escapade. Il allait finir son sa tasse d’une traite avant de partir, quand une fille s’installa à ses côtés. Elle était seule aussi, et son choix de s’installer aux côtés du jeune italien n’était pas anodin : seules quelques couples étaient accoudés au zinc, les places étaient nombreuses, et les femmes qui d’autorité se plaçaient près de « l’ennemi mâle » dans les bars ne couraient pas les rues.
Intrigué, Gabriel se tourna vers elle, et fut surpris de croiser le regard d’une Eliot. Il était toujours étonné quand les gens de la haute s’intéressaient à lui, ainsi que légèrement inquiet. « Gabriel non ? »

– Euh, oui, en effet.

A première vue, le jeune homme n’avait aucune idée de qui était cette fille, puis lorsque le barman tendit la bière à cette dernière, tout se fit plus clair dans son esprit. Elle était en effet à Eliot, et elle avait un nom de fleur, ou presque. Ils s’étaient croisés dans une fête à laquelle Gabriel avait juste fait une apparition pour ne pas passer pour un ermite. Il était venu, avait jeté un oeil, bu un verre de coca et avait fait demi tour.

– Tu es Rosa… Rosalia, c’est ça ? Qu’est ce que je peux faire pour toi ?

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Lun 6 Jan 2014 - 5:07

plan machiavélique
Gabriel & Rosalia
fiche par ©century sex

Rosalia avait tendance à surtout boire du vin, sauf quand elle allait super mal, quand elle allait pas bien, elle buvait de la bière comme aujourd'hui, là, maintenant, elle avait besoin d'une bonne grande bière et d'une idée de géni pour rendre Val jaloux. Parce que lui il se gênait pas avec cette fille, Amy, alors elle avait besoin elle aussi de la frustrer et d'avoir une autre personne dans sa vie, peut-être voir ailleur ca lui ferait du bien ou pas du tout en fait, qui sait. Enfin, elle avait prit place à coté d'un jeune homme, il était mignon, mais rosa avait la tête complètement ailleurs, en plus elle devait retrouner en Italie pour Noel, toute seule d'ailleurs, rien de bien plaisant, enfin, lle finit par le reconnaitre et comme elle était dans la merde, elle décida de se changer les idées en lui parlant. Elle aurait peut-être son éclair de géni, enfin. Il la reconnu aussi, tant mieux, elle se sentirait un peu idiote autrement et elle lui sourit doucement. Ses yeux se mirent à briller quand il lui demanda ce qu'il pouvait faire pour elle. « A vrai dire, tu me demande ca comme ça et j'ai peut-être une idée... enfin, si tu as l'esprit tordu et que tu me trouve pas trop moche. » Elle lui fit un clin d'oeil et prit une gorgé de sa bière en remarquant qu'il buvait du thé. « T'es célibataire ? » Ouais, c'était assez cash d'accord, mais bon, c'était mieux pour elle, pas tourner au tour du pot et il était mignon oui, elle voulait bien tenter la chose et peut-être qu'il était super sympa. [color=indianred] « Désolé c'est assez direct, tu bois du thé ? »[/colr] C'est pas tout le monde qui aimait sa franchise, mais elle était surtout étonné par le thé, du thé dans un bar. Enfin, elle lui souriait doucement, les yeux brillants.

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Rosalia & Gabriel

"A vrai dire, tu me demande ça comme ça et j'ai peut-être une idée... Enfin, si tu as l'esprit tordu et que tu me trouve pas trop moche."
Gabriel connaissait ce regard, ce ton, il en avait l'habitude et les avait même presque trop croisés dans la maison familiale. Les retrouver sur le visage et dans la voix de cette jolie fille d'Eliot était à la fois dépaysant et délicieux : après un rapide sourire, il adopta le même air conspirateur. Ils allaient bien s'amuser, tous les deux.
Le jeune italien hocha la tête quand elle s'enquit de sa situation amoureuse : oui il était seul, et parfaitement heureux de l'être. Sa vie était déjà assez compliquée comme ça, pas besoin de sentiments débiles en plus : trop dangereux. Il comprenait en outre que Rosalia ne lui demandait pas ça parce qu'elle était réellement intéressée par lui. Elle avait besoin de quelqu'un pour un boulot, un service, comme on disait chez les Lupinelli, ça se voyait dans ses yeux, sa façon de parler, de bouger ses mains autour de sa bière.

– Ouais, du thé. Je ne bois jamais d'alcool, trop de secrets qui risqueraient d'être révélés si je me laissais aller. Mais ça ne m'empêche pas de savoir m'amuser, pas de souci. Mon esprit tordu serait ravi de t'être utile.

Il désigna d'un coup de tête, en souriant, la boisson ambrée :

– Bois une gorgée pour moi, va. Ça me fera plaisir par procuration.

Il ne prit pas la peine de la rassurer sur le fait qu'il la trouvait tout à fait à son goût, elle devait s'en douter. Elle avait la classe des Eliot, cette noblesse qui éclipsait la simple beauté. Gaby n'avait jamais croisé d'Eliot qui soit laid, selon aucun critère. La beauté, classique ou plus subtile, touchait tous les bleus, et Rosalia, avec ses cheveux bruns, avec son regard clair, était une parfaite représentante de la maison. Gabriel était ravi de plaire à une fille comme ça, de lui plaire assez pour pouvoir lui être utile.

– Que puis-je faire pour toi ? Entre italiens...

Il ne crains pas un instant qu'elle connaisse la vérité à son propos. Personne ne pouvait savoir pour sa famille, et encore moins pour lui. Certes ça pouvait paraître étrange, ce coup du destin qui menait cette barbie, cela pensé sans méchanceté, vers lui juste au moment où il s'ennuyait... Non. Elle ne pouvait pas savoir, pas encore. D'autant plus qu'en seulement deux phrases elle avait déjà prouvé soit son manque total de tact, soit sa grande franchise. Or, si elle avait su, eh bien... Pour commencer elle ne se serait pas approchée de lui, préférant, avec raison d'ailleurs, envoyer les flics. Elle ne l'avait pas fait : elle ne savait pas.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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