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Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Je ne te rendrais pas plus fort.

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Tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Je ne te rendrais pas plus fort.  5cmBN35


Ces derniers jours ont été éprouvants. Ces dernières semaines devrais-je dire. Et c’est dans le but de laisser tout cela de côté l’espace de quelques instants que j’ai enfilé un somptueux bikini blanc. Quelques longueurs m’apporteront sans nul doute un peu d’apaisement. Je m’enroule dans un peignoir blanc avant de descendre les marches de l’immense résidence des Eliot. La maison est presque vide à cette heure-ci. Peu de chance de croiser quiconque et c’est d’ailleurs dans ces moments-là que j’apprécie d’avantage les lieux. Je fais un détour par la cuisine afin de me verser un verre de vin blanc sucré et je l’emporte avec moi jusque dans l’immense pièce couverte de baie vitrée où se trouve la piscine intérieure. Je dépose mon verre de vin sur une petite table non loin du jacuzzi avant de retirer gracieusement mon peignoir. Perdue dans mes pensées, je porte le verre à mes lèvres et savoure une gorgée du liquide doré. Le soleil se couche dans le ciel, l’hiver est sur le point de s’imposer définitivement et la buée sur la vitre est révélatrice de la différence de température entre l’extérieur et l’intérieur. J’abandonne de nouveau le verre sur le coin de la table avant de me diriger vers l’échelle qui mène à la piscine. Je me penche afin de toucher l’eau, et d’évaluer sa température. Ma main s’immerge dans l’eau tandis qu’un bruit me fait sursauter. Je me relève, machinalement et fais face à la porte. Mon cœur se serre lorsque je reconnais la silhouette qui vient d’apparaître. Que fait-il encore là ? C’est impossible. J’inspire profondément, mes traits se durcissent. Cela me rappelle que je ne lui ai pas encore jetée sa bague au visage. Ou du moins, je ne la lui ai pas rendue. J’avais prévu de le faire une fois au parloir. Pourtant, il est là, face à moi, aussi libre que l’air. « Tu n’as plus rien à faire ici il me semble ! » L’assenais-je.  
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 Ces derniers avaient été tout simplement parfaits. Ces quelques jours de joie et de reconnaissance, avait rattrapé tous ces longs mois de doutes, d'hypocrisie d'insouciance. J'avais été totalement acquitté des accusations que Ariane avait proféré contre moi, toutes les rumeurs avait cessés et j'avais regagné le respect et l'estime d'un bon nombre de Eliots, y compris Anya & Andy. Il fallait néanmoins dire je n'aurais jamais abouti à tout cela, si je n'avais pas eut l'excellente idées de me débarrasser quelques jours avant mon anniversaire, de ma petite entreprise à produits illicites. Je n'étais ainsi plus du tout responsable de ces productions de cocaines au Brésil, et Alicia, en était désormais responsable. J'avais aussi bien évidemment pensé à lui faire signer un certificat de confidentialité, afin qu'elle sois obligé de ne révéler cette transaction à personne. J'étais donc aux yeux du monde entier, un jeune homme innocent. Je vivais une magnifique renaissance, je me sentais libre comme l'air, quoi donc de mieux que de profiter de la nouvelle piscine couverte et chauffée de la maison Eliot, en ces temps hivernaux et décourageants ! J'étais vêtu d'un peignoir, sous lequel j'avais enfilé un simple slip de bain bleu, ainsi qu'un magazine boursier. Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque je vis Ariane, en train elle aussi de profiter de la piscine ! Je ne fus cependant pas surpris de constater à quel point elle était si heureuse de me voir. « Ari ! Ravi de voir que je t'ai manqué » lui répondis-je avant d'aller poser mon magazine sur un transat « Anya et Andy ne t'ont rien dit ? Et bien je suis confus, toute la maison Eliot est au courant maintenant. » je prenais un malin plaisir à jouer avec son humeur « J'ai été acquitté de toutes les accusations contre moi. De toutes tes accusations contre moi devrais-je dire. Elle ce sont évidemment, révélé être fausses et infondées. Moi Draco Junior Conwell dealer ? Si tu savais à quel point tu m'as vexé...chérie » renchéris-je en simulant une fausse peine.

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Le voir là, fier de son petit tour, fier d’avoir berné la moitié d’Harvard fait monter une rage certaine en moi. Il se pavane tel un vainqueur mais ne se doute absolument pas de ce dont je suis capable, c’est certain. Je déglutis lorsqu’il entame chaque phrase. Son retour à l’Eliot House semble avoir été validé par tous et je ne doute nullement du fait que je dois très certainement passer pour une folle de l’avoir ainsi accusée. Mais si aux yeux de tous il est innocent, lui et moi savons ce qu’il en est réellement. « Cela ne sert à rien de jouer à ton petit numéro avec moi Draco. Je sais qui tu es, si tu parviens à manipuler tout le monde c’est très bien pour toi, mais sache que je ne suis pas aussi naïve qu’eux. » Répondis-je tout en m’emparant à la volée de mon peignoir pour l’enfiler de nouveau, couvrant ainsi ma silhouette si peu vêtue. Je refuse que ses yeux se posent sur moi, que son air arrogant me détaille de haut en bas. J’ai envie de lui sauter au cou, de l’étrangler, mais je ne suis pas de cette trempe-là, je suis de celle qui se vengent dignement. « Je suis curieuse de savoir comment tu as réussi à te blanchir de cette histoire… C’est bien la seule chose pour laquelle je te félicite. » Ironisais-je tout en attrapant mon verre de vin blanc. « C’est ton père qui doit être fier de te savoir si débrouillard, la prochaine fois que je l’appellerai je lui demanderai ce qu’il en pense… Ah oui, j’ai peut-être omis de te dire que nous nous appelons régulièrement, d’ailleurs il semble s’être très bien remis de son infarctus. » J’appuie volontairement sur le dernier mot pour rappeler à Draco l’un de ses mensonges. Après la découverte des substances illicites chez lui, j’avais contacté son géniteur afin d’en savoir plus, et de savoir jusqu’à quel point Draco avait pu se servir de mes sentiments pour sa cause. Et comme je me l’étais imaginé, il était allé jusqu’à inventer des problèmes de santé à son père. Je porte mon verre à mes lèvres tout en observant chacune de ses réactions. J’ai hâte de savoir s’il appréciera que je me sois si rapidement rapproché de sa famille. J’espère qu’il prend conscience actuellement, qu’à présent, tous les coups sont permis…
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 Dans toute cette histoire, j'avais été blanchi, comme jamais je ne l'avais imaginé, et au final Ariane, était celle qui passait pour l'idiote de l'histoire mais que voulait-elle ? Dans chaque histoire il y avait toujours un gagnant et un perdant, et bien dans celle-ci Ariane ne gagnait pas, quel dommage. « Pauvre petite Ari, n'en as-tu pas marre de passer pour une menteuse ? Tu veux passer pour une folle atteinte de paranoïa compulsive à présent ? » lui demandai-je en lui laissant admirer le rictus sur mon visage, je l'a regardai alors de haut en bas « Ne te fatigue pas à cacher ton corps, je sais déjà ce qu'il y sous ce peignoir et ce maillot de bain. Et si j'en par juge les rumeurs...on est plusieurs garçons à le savoir apparemment. C'est bien de t'offrir à l'Amérique tout entière, mademoiselle Kennedy. » l'assenais-je en me dévêtant de mon peignoir. Je prenais un malin plaisir à jouer à mon rôle d'innocent «Je ne vois absolument pas de quoi tu parles, vraiment ». Si j'avais bien tiré une leçon de cette histoire, ce n'était non pas de l'erreur que j'avais commis en vendant de la drogue, mais bel et bien d'avoir sous-estimé Ariane. Elle s'était montré particulièrement fougueuse, manipulatrice et culottée, un peu comme moi au fait. C'est d'ailleurs pourquoi je n'avais pas vraiment pas été étonné lorsque mon père m’appela pour me signaler que la jolie petite fille de l'ancien président l'avait contacté, me concernant. Je fis alors une mine désolé, je prenais un malin plaisir à montrer à Ariane que partout ou elle allait, que dans tout ce qu'elle faisait, j'avais une longueur d'avance sur elle. Elle commençait les hostilités, je les terminais. Point à la ligne. « Sérieusement Ariane, crois-tu vraiment que mon père ne m'avais pas mis au courant de tes appels ? Celle qui a tenté tant bien que mal d'envoyer son fils en prison ? C'est moi qui lui ai dis de te dire toute la vérité, qu'il te dise que je n'ai fait que de te mentir, de t'utiliser sans aucune gêne. Car à mes yeux, telle est ta juste valeur. Le choc a du être de taille n'est-ce pas ? Car oui Ariane, la seule et unique raison pour laquelle je suis sorti avec toi, était de redorer la douce image des Conwell, d'ailleurs tu serais bien surprise de découvrir qui m'a donné cette idée. » Je m'avançais alors d'elle « Draco Senior, lui même. Tel père, tel fils n'est-ce pas ? J'ai hérité tout ça de lui...mais attention, il paraît qu'il est pire que moi... » Ariane voulait jouer avec le feu ? Et bien elle risquait de s'y brûler, et même ses longueurs dans la pisicne couverte des Eliots, ne parviendraient pas à la protéger.
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Son air arrogant m’exaspère. Si seulement il avait assumé sa vraie personnalité pour me séduire, nous n’en serions jamais arrivés là. Ce genre d’homme me rebute. « Sauf qu’il y a une grande différence entre toi et moi Draco, moi, je me fiche de ce que les gens qui n’ont aucune importance dans ma vie pensent de moi. » Répondis-je d’un ton neutre mais glacial. Cette mascarade a assez duré, et je n’ai nullement envie de perdre un peu plus de temps pour lui. A présent, ma vie est bien assez compliqué sans que Monsieur Conwell n’ait à y mettre son grain de sel. J’enfile mon peignoir, prête à partir d’un instant à l’autre lorsqu’il rétorque qu’il ne sert à rien de me couvrir puisqu’il m’a déjà vu nue. J’aurai préféré qu’il n’apparaisse pas dans la liste de mes conquêtes c’est certain. Cependant, je ne relève pas ou du moins je ne comptais pas le faire, mais il renchérit avec mes sois disant conquêtes. Je lui fais face, le regard noir. Je peux sentir mon sang battre dans mes tempes. « Être sortie avec toi est en soi une erreur. Mais me rendre compte aujourd’hui que tu es de ceux qui croient toutes les rumeurs amplifie réellement ce sentiment. Mais puisque tu as l’air d’être Monsieur Potins, tu pourras faire tourner la rumeur que j’ai été l’une des seules à repousser le grand Alekseï. Et en passant aussi, tu peux faire savoir à tout le monde qu’autant Avery que Walter te batte à plate couture quand il s’agit de sexe. » Je ris faussement et bois en une seule gorgée le reste de mon verre. Il y a encore quelques semaines, je l’appréciais réellement. J’aimais passer mes soirées à ses côtés, et peut-être même que je l’ai désiré. Pourtant, mes sentiments n’ont jamais été à la hauteur de cette haine qui me submerge. Je suis énervée, exaspérée. Et lorsqu’il dévoile la vérité sur son père, je ne suis même pas surprise. La pomme pourrie ne tombe jamais bien loin de l’arbre. Je souris, cachant toutes les émotions qui pourraient se lire sur mon visage. Je recule cependant, lorsqu’il s’approche pour lâcher une dernière bombe près de mon oreille. Il est une copie conforme de son père, moi qui le croyais capable de penser par lui-même. « J’aurai du me douter qu’un garçon si jeune écoutait encore papa. » Répondis-je en un haussement d’épaules. « Puisque je suis la cible de choix, méfiez-vous tous les deux. Un coup de téléphone et votre vie est ruinée, vos deux carrières resteront toute votre vie au point mort, j’espère que vous avez suffisamment économisé avec ton trafic de drogue. » Je tourne les talons, avance vers la sortie et finalement, pivote sur moi-même pour le regarder une dernière fois. « Tout cela n’était qu’un jeu ? »
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 J'en étais arrivé à un point avec Ariane ou je ne machais clairement plus mes mots, je lui disais tout ce que je pensais, sans vraiment me réserver. Que cela fasse mal, ou pas ce n'était nullement mon problème, Ariane s'était rangée du coté de mes ennemies, elle devait donc en subir les conséquences. « Cesse de mentir Ariane, si tu te fichais de moi, si je n'avais aucune importance dans ta vie, tu ne persisterais pas à essayer de me salir auprès de tout le monde ! La vérité c'est que tu n'es qu'une femme égocentrique, tu aimes que tout tourne autour de toi, que tout aille dans ton sens, mais quel dommage, ça ne l'a pas été avec moi. » lui déclarai-je en feuilletant mon magazine, sans même la regarder. Ses confessions suivantes concernant les rumeurs à son égard, ainsi que la comparaison avec Walter me firent rire « Encore heureux que tu ne sois pas passée dans son lit, car là tu aurais touché vraiment le fond. Avery & Walter me battent en sexe ? Ravi de voir que tu es si portée sur la matière, que tu en arrives à même faire des classements. Je te rassure aussi, tu es loin d'être mon meilleur coup. » Je l'a regardais alors rire faussement, je soupirai, ce n'est pas comme si son avis était d'une grande importance. Mon visage forma un rictus lorsqu'elle finit par réaliser que mon père faisait aussi parti du plan, il en était même le créateur. Entendre ses mots me fit réaliser à quel point j'étais fier d'être un Conwell, il avait eut une idée vraiment superbe. « Que veux tu, je porte le même prénom que mon père, nous ne sommes que pareil. Notre vie ruinée ? » Je me mis alors à rire élégamment, elle ne méritait même pas mon attention sur ce sujet, mais je finis par lui répondre « Ton grand-père doit bien se retourner dans sa tombe en voyant à quel point sa petite-fille est regrettablement pathétique. Cesse de profaner des menaces en carton, et passe plutôt à l'action. » Je me levai ensuite, et allait la rejoindre afin de lui faire face « Mais tu vois, j'ai des doutes que tu fasses vraiment partie de cette lignée, j'ai plus l'impression que tu sois en fait une vulgaire petite bâtarde ».
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