An aspirin like no other ∞ Matthew

Matthew & Amy

C'était le dernier soir au chalet et je me sentais vraiment mal à cause de cette foutue jambe. Faut dire que mon traitement n'est pas super facile à digérer, c'est pour cette raison qu'un jeune homme qui semblait s'y connaître en médecine m'a donné un cachet plutôt étrange pour me calmer, mais bizarrement après quelques minutes je ne me sentais vraiment pas bien, encore moins bien qu'auparavant. C'est quoi son médicament sérieusement ? J'aurais peut-être dû être plus attentive à ce qu'il m'avait donné, car je ne me sentais vraiment pas bien, la tête qui tourne, bref ce n'était pas la grande forme. Visiblement Jax avait laissé Peter avec Saty quelques heures pour que je me repose, je voulais savoir ce que ce jeune homme m'avait donné. J'attrapais donc mes béquilles pour m'avancer jusqu'à sa chambre, après quelques difficultés je suis tout de même parvenue à atteindre sa chambre, je frappais à l'aide de ma béquille le visage totalement fatigué.. J'attendais quelques instants qu'il ouvre la porte avant de prendre la parole, parlant avec beaucoup de difficultés.. Je.. C'est à moi que tu as donné une aspirine tout à l'heure.. Je suis vraiment pas bien, c'est normal? Je n'ai jamais eu la tête qui tourne autant, c'est hallucinant et je n'aime pas du tout cette sensation.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Honnêtement, j'avais bien hâte de rentrer chez moi. Je n'ai pas pu faire ce que je voulais pendant cette sortie au Québec. Je dirais même que j'ai pris beaucoup de retard dans ma vente, mais surtout dans ma production. J'allais devoir mettre les bouchés double afin de pouvoir répondre au besoin. Alors que j'étais dans le chalet, j'avais remarqué une jeune femme dans son lit qui semblait s'être blessé à la jambe. De plus, elle semblait avoir mal. C'est alors qu'elle me demanda si j'avais des aspirines. Dans ma tête, il était clair qu'elle voulait de la drogue pour se changer les idées. Je lui avais alors donner une petite pilule pour qu'elle puisse planer et se sentir bien. Je retournais ensuite à ma chambre et je repris la lecture pour examen de médecine. Je suis vraiment à fond la-dedans. Je veux absolument réussir. Je veux prouver à tout ceux qui ont douter de moi que je pouvais réussir. C'est alors que j'entendis cogner à ma porte, ce qui me fâcha un peu, car je voulais être tranquille pour étudier. J'ouvris alors la porte, vit la jeune femme à qui j'avais donné de la drogue. « Bah j'imagine que tu en as jamais pris de ta vie, donc oui c'est normal. Tu devrais resté étendu et tu vas te sentir drôlement bien. » Lui dis-je alors avant d'aller reprendre place dans mon lit. Je trouvais ça drôle qu'elle appelle ça de l'aspirine, mais ça doit être sa façon d'appeler ça j'imagine.

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Matthew & Amy

C'est la première fois qu'un médicament me fait cet effet-là. D'habitude ça apaise la douleur, mais cette fois-ci j'ai l'impression que ça me procure tout l'inverse. Des palpitations, des maux de tête, c'est vraiment une sensation étrange. Alors même si ce n'est pas mon genre de déranger les gens, j'étais bien obligée de me rendre à la chambre du jeune homme qui m'avait donné ce médicament. Il termina par ouvrir la porte, m'avouant que c'est tout à fait normal que ça finira par me faire du bien.. Qu'est-ce qu'il raconte ? J'en ai déjà pris des aspirines, mais ça ne m'a jamais fait cet effet-là. Si si j'ai déjà pris ce genre de médicaments dans ma vie, des aspirines et même des dolipranes, mais je sais pas le tien me rend.. Bizarre. J'ai la tête qui tourne c'est pas normal ça.. Non ce n'était pas normal du tout, j'ai l'impression que ma tête va exploser, j'entrais alors dans sa chambre pour le suivre un peu dans l'espoir qu'il m'aide à savoir ce qui cloche avec son aspirine. Puis en m'avançant doucement au centre de sa chambre mais tête tourna de nouveau et mes jambes flanchèrent. Je terminais pas tomber au sol, mes béquilles s'éparpillant dans chaque opposé. Je me sentais idiote, d'autant plus que ma tête tournait toujours et que ma jambe me faisait de nouveau mal suite à cette chute. Oh non .. soupirais-je doucement, n'arrivant pas à me relever.

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