Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPRIAPE & EMRYS ❥ Greece, i love you (10.12.13 au 12.12.13) - Page 2
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PRIAPE & EMRYS ❥ Greece, i love you (10.12.13 au 12.12.13)

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For love of our brothers (aa)

Assis sur le coin de la pierre tombale de mon frère et de ma sœur, j'étais en larme. Écorché à vif de me retrouver là, ça faisait pourtant du bien car je me sentais comme en plein entrain de décharger toute la pression. Je caressais la pierre dont j'étais incapable de savoir comment mes parents avaient fait pour payer avec émotion. Le cœur lourd de souvenir qui me revenaient en pleine gueule pour mon plaisir mais aussi un déplaisir certains car plus jamais, je ne pourrais leur en parler. Je me sentais tomber peu à peu de mon pied d'estale, de ce que je m'étais forgé en jouant les rocs. Je regardais Priape avancé vers le haut de la tombe et effleurer les dates, les noms écrits sentant l'once de remords et de regrets que j'apercevais dans le coin des ses petits yeux attristés. Je ne savais plus quoi faire de mon corps, de moi simplement et je me contentais de regarder un point fixe tandis que des millions d'images perçaient mon cœur. Je les revoyais là devant moi à nos cotés vivant toutes ses choses qu'on avait pas pu faire ensemble au final, celle que j'imaginais vivre avec eux et qui était maintenant meme incertaine d’être vécu comme mon mariage. Je me foutais mes mains sur le visage pour violemment essuyer les larmes qui coulaient encore puis je pleurais plus encore comme si c'était impossible et impensable que je me stoppe. Je devais me lacher et j'attrapais la main de mon frère dans un instant de désespoir, le regardant seulement comme avec cette leueur de dernier espoir car oui, il était l'unique qui me restait réellement et j'avais peur. J'espère que je ne te ferais pas fuir Priape parce que je t'aime mon frère ... J'vous aime Dis-je en pleurant encore et en tombant sur la pierre tombale, posant ma tête contre elle comme pour avoir un dernier contact avec eux.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Emrys & Priape


J’avais la gorge nouée par la tristesse, incapable de prononcer un mot. Les pensées et les souvenirs se bousculaient dans ma tête. Je réalisais l’éternité qu’il me restait à parcourir sans eux. Toute une vie sans Arté. Sans Thalya. Qu’est-ce que notre famille avait fait pour mériter un tel sort ? Mes doigts lâchèrent le marbre froid et mes yeux se baissèrent alors vers mon frère, effondré contre la pierre tombale. Voir mon aîné, habituellement le roc des Zacharias, craquer ainsi me faisait encore plus prendre conscience de la réalité de notre situation. Je sentis sa main se glisser dans la mienne et mon regard plongea dans le sien avec intensité. Je devais parler, je ne pouvais pas le laisser ainsi. Je me fis violence pour sortir de mon mutisme choqué. « Je suis là Emrys et je n’irai nul part. » assurai-je. J’essuyai ma joue du revers de la main et réalisais soudain que mon visage était inondé de larmes… C’était si dur d’être ici, de voir Emrys ainsi. J’essayais de rester fort et solide mais en fait, j’avais l’impression que le monde autour de moi s’effondrait, que rien ne serait jamais plus comme avant. Je soufflai, essayant de retrouver un peu mon calme, de ne pas perdre toute ma contenance même si je sentais mon armure se fissurer peu à peu, puis je fis quelques pas vers la tombe de Thalya. Je me penchai et déposai d’une main tremblante le bouquet de violettes sur sa tombe. « Ils sont ensemble à présent. Ils veillent l’un sur l’autre. »
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« Je suis là Emrys et je n’irai nul part. » Je ne le regardais pas et soupirais de chagrin, de lassitude et de désespoir. Incapable de survivre à cela; c'était mon impression. je ne savais que dire, que penser, que croire pour cette vie qui devait continuer. J'avais espoir que cette étape, ces retrouvailles avec les esprits enfermés de mon frère, de ma sœur m'aide à avancer mais ça m'attristait beaucoup trop aussi alors je ne savais plus, je ne savais pas. Je restais allongé sur la pierre qui abritait mes deux anges sans pouvoir bouger mais seulement l’inonder de mes larmes alors que lui, mon frère vivant et encore prêt de moi semblait traumatisé vu son souffle que je sentais parsemé de coupures. Quand je tournais ma tete comme pour coller mon oreille sur la pierre et les entendre me répondre, je vis sa main tremblante poser le bouquet et je caressais au passage cet main tandis qu'il me parlait de nouveau et que je restais silencieux : « Ils sont ensemble à présent. Ils veillent l’un sur l’autre. » Je me relevais doucement, essuyais promptement mes larmes puis je serais fort sa main et en commençant à méloigner, je tournais mes épaules, ma tete vers lui en disant : nous reviendrons demain, là, je ne suis plus assez fort mais je pense avoir passé la plus grande étape ... nous l'avons passé ... Un sourire, fièr et heureux de la chose accomplie.
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Emrys & Priape


Les paroles d’Emrys raisonnèrent un instant dans ma tête alors que mon ainé s’éloignait déjà. Une étape. L’étape de l’au revoir, de l’adieu. Tous les bouquins de psycho traitant du deuil vous parleront de ces phases : choc, colère, questionnements, dépression, acceptation… Oui, en théorie cela a l’air très simple. Mais vivre en pratique la perte d’un proche ouvrait en soit une cicatrice qui ne se refermait jamais. Voilà la vérité. Aucun processus, aucun stade du deuil ne nous rendrait notre frère et notre sœur. Nous resterons endeuillé à vie. Tout ce que l’on pouvait faire, c’était continuer d’avancer… Je jetai un dernier regard vers les pierres tombales ornées du nom et du prénom de ces deux êtres qui avaient tant comptés pour moi, puis je suivis mon aîné reprenant le chemin de la sortie, ressentant moi aussi cet espèce de soulagement étrange au fond de moi. Nous l’avions fait. Nous avions réussi à passer le portail du cimetière et à nous rendre sur leurs tombes. « Merci d’avoir été là… » soufflai-je à Emrys en quittant l’endroit pour reprendre la direction de notre hôtel.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH


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