Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityPRIAPE & EMRYS ❥ Greece, i love you (10.12.13 au 12.12.13)
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


PRIAPE & EMRYS ❥ Greece, i love you (10.12.13 au 12.12.13)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
For love of our brothers (aa)

Le cœur était là. On voulait en finir, on voulait cesser de souffrir, on voulait vivre ce retour à deux, meme si l'envie était de le vivre à trois ; les rejoindre, elle et lui. Thalya, Artémis ... Il manquait encore Denys mais seul dieu savait où il était. Le voyage à la neige nous avait détendu mais notre objectif n'avait pas été abandonné malgré tout ; deux jours après, nous repartions déjà pour la Grèce, cette fois, parce que nous nous rendions au cimetière de chez nous, à Athènes pour voir notre frère qui était décédé récemment et ainsi, faire le deuil, réussir à passer à autre chose, à vivre pour lui, pour elle aussi. Le voyage en avion avait été aussi silencieux que vivant par moment, discuter de tout et de rien, se sentir gênè de ma situation par rapport à Charlie et Eliah, de mes conneries puis de la vie trépidante de mon frère. Parfois, on pensait à la raison de la visite en Grèce et un grand silence arrivait d'un coup ; quel voyage original ! On n'irait meme pas voir nos parents retournaient habité là-bas, Priape leur en voulait trop et je refusais que mon père sache que je lui avais révélé tout. Bref, rien de compliqué. Quand on descendait de l'avion, j' humais avec plaisir l'air de la Grèce ; un souvenir qui me tira presque une larme. On s’installa à l’hôtel et après quelques instants dans la ville, un bon diner, on s'endormait paisiblement avant de se retrouver au lendemain pour la visite à notre frère qui se trouvait en compagnie de la petite Thalya. Dans le hall de l'hotel, alors qu'on s'était précédemment quitté après le repas du matin, je retrouvais mon frère : Tu te sens comment ? Je tirais un peu la tronche car j’appréhendais de craquer complètement, de crier ma peine, mes souvenirs.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
PRIAPE & EMRYS ❥ Greece, i love you (10.12.13 au 12.12.13) 6pDP9ZG

Emrys & Priape


Le vol avait été exténuant et pourtant, aucun de nous n’avait réussi à vraiment fermer l’œil et se reposer. Depuis que nous avions fait ce choix, depuis que nous avions pris notre décision de nous rendre à Athènes pour leur rendre hommage, pour faire un ultime au revoir à notre frère récemment décédé, j’avais senti cette espèce de tension en moi. J’avais compris que c’était surement ce qui me bloquait, ce qui me manquait. Je n’aurais jamais l’occasion de lui dire toutes ces choses que j’aurais voulu qu’il sache : combien je l’aimais, combien j’étais fier de lui, combien il avait été un pilier pour moi… Mais j’avais l’occasion de lui dire au revoir, j’en avais besoin, c’était ce qu’il me fallait. Emrys et moi avions donc discuté de tout et de rien durant ce vol, parfois ponctué de silences gênés lorsque l’émotion nous submergeait. Le lendemain de notre arrivée, après avoir dormi dans l’hôtel que nous avions choisi pour rendre hommage à Arté, on se retrouva dans le hall pour le départ. « Je flippe un peu. » répondis-je à mon aîné quand il me demanda comment je me sentais. Je baissai la tête. La vérité c’était que jusqu’à présent, le décès d’Arté ne reposait que sur des mots, des paroles, un coup de fil de notre mère pour Emrys, l’annonce qu’il m’avait ensuite faite, les discussions que nous avions eues… Aujourd’hui, nous allions nous confronter à une réalité : sa tombe, les fleurs qui la décoraient, son nom gravé dans le marbre… J’étais pas du tout sur d’être assez fort pour endurer cela. « Et toi ? » demandai-je alors à mon frère.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
For love of our brothers (aa)

Ouais, j’appréhendais mais qui n'appréhenderais pas ? Aller sur la tombe de son frère récemment décidé qu'on a pas eu le temps de voir, a qui on a pas dit au revoir, c'était trop d émotion mais je tentais de garder un peu d'honneur. Oui, je savais que je le perdrais bien vite vu la tristesse éprouvait et j'allais surement verser les quelques larmes restaient encore coincé pour me guérir complètement de tout ça. Mais on en guéri jamais des décès, je le vois avec celui de Thalya. Priape n'avait pas l'air mieux et à ma question, il me répondait tout de suite : « Je flippe un peu. » Il me l'avouait et ça me fit sourire mais on voyait que ce n'était guère déplacé juste que je montrais que ce n'était pas du tout étonnant. Je souriais ensuite plus tristement tandis qu'il semblait tomber dans une reflexion avant de me retourner la question. J'avançais vers lui et donna une tape dans son dos pour donner le coup d'envoi. On se mit donc à marcher dans les rues d'Athènes, le cimetière n'étant pas loin. Je le regardais et lui dit : je n'en mène pas large non plus ... Je tirais une gueule attristée. Je ne savais pas exactement comment je réagirais mais je pensais assez mal tout de meme. Je repris : J'suis heureux qu'on fasse ça ... ensemble !

CREDIT TO KAIJI FROM ILH


HRP; a la fin, on dira un des deux qu'ils y retournent le lendemain comme ça c'est là qu'ils croisent la cousine dans celui pas joué :p
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Emrys & Priape


On commença à avancer dans les rues d’Athènes alors que mon frère me confiait qu’il n’était pas beaucoup plus à l’aise que moi. « J’aurais pas pu le faire sans toi.» avouai-je à mon aîné. Oui car cela me faisait vraiment étrange de fouler le bitume de ces trottoirs familiers à nouveau, de marcher dans ces ruelles que nous avions connus lorsque nous étions mômes, de passer devant le magasin de sucreries préféré de Denys, de descendre les marches en pierre sur lesquelles Arté s’était fracturé le poignet en faisant le singe avec son petit vélo… Un petit sourire nostalgique étira mes lèvres à ce moment là et je relevai les yeux vers Emrys pour briser le silence qui s’était instauré entre nous : « Tu te rappelles de cet escalier ? » demandai-je simplement. On ralentit instinctivement, comme pour imprimer cet endroit dans nos têtes, ce souvenir de notre frère, ce morceau de notre passé, nos rires devant ses pitreries, et la peur qui nous avait gagné lorsqu’il était tombé et qu’on avait réalisé qu’il s’était véritablement blessé et qu’il avait mal… Puis l’on poursuivit notre chemin, et lorsque l’on arriva au détour d’une ruelle sombre, mon cœur s’emballa. C’était ici. Exactement là. A cet endroit précis, que j’avais acheté ma première barrette de coke… Ma réaction fut complètement différente alors. « Restons pas là… » fis-je à Emrys en accélérant le pas pour arriver plus rapidement devant l’entrée du cimetière.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH


HRP : ok ça marche ^^
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
For love of our brothers (aa)

C'était totalement irréaliste ! Oui, de se retrouver là, lui et moi, les deux frères ennemis pendant un long moment à cause de cet histoire avec notre con de père mais qu'est-ce que c'était bon. Il me confirma ce que je pensais que comme moi il n'aurait pas pu faire ce voyage sans moi, son deuil sans moi et j'eus un sourire donnant une petite tape dans son dos avant de me recueillir en silence, respirant l'air d'Athènes, l'air de nos souvenirs. Oui, on se rappelait de tout, je le voyais en tournant la tete vers lui quand il clignait des yeux en fixant cette boutique de bonbon puis ces petites ruelles. On se retrouvait à descendre de beaux escaliers, escaliers sur lesquels Artémis avait fait sa première chute avec son vélo où on avait bien ri aussi. Il me le fit remarquer et je me contentais acquiescer, ne voulant pas parler car l'émotion montait déjà trop vite à la vue de tous ça. On continuait donc à avancer dans un silence d'enterrement ou de receillement à croire qu'on était doué pour se foutre dans le thème et puis, on se trouva à un endroit que Priape semblait ne pas aimer et je pensais savoir à peu près pourquoi on n'en avait déjà parlé et je connaissais ce coin pour ça aussi alors je préférais effacer ça de ma tête et Priape semblait aussi le vouloir car il me dit :  « Restons pas là… » J'accelérais le pas en meme temps que lui, on descendait encore des marches avant de traverser une grande ruelle. Je repris le sourire en croisant un autre souvenir celui des vols de bonbons dans la boulangerie du Père Victorio ; j'eus juste à regarder mon frère et je me mis à rire pour qu'il comprenne avant de lui dire : Mon dieu, j'adorais faire ça ... j'ai honte ! Je courrais ensuite, imitant nos petites frimousses petits puis malheureusement, plus bas, on arrivait devant le cimetière. Je reculais un instant, incertain, regardant mon frère apeuré. Je ne savais pas si j'étais prêt au final ?
CREDIT TO KAIJI FROM ILH


(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Emrys & Priape


On s’éloigna rapidement et le malaise qui m’avait gagné dans la ruelle de mon premier achat de drogue passa bien vite, grâce à lui, à Emrys, présent à mes côtés. Nos pas nous menèrent alors devant la vitrine d’une boulangerie, celle du vieux Victorio. Notre jeu favori : y dérober quelques bonbons, s’échapper en courant et se partager un peu plus loin notre butin. Le regard de mon frère croisa le mien et l’hilarité me gagna bien vite aussi : « T’étais doué à ça… » le taquinai-je avant de me rappeler : « Et maman qui nous incendiait toujours lorsqu’on rentrait en nous demandant comment ça se faisait que nos poches soient pleines de sucre… » Je suivis mon frère, sourire aux lèvres, mais le portail en fer forgé qui se dessinait devant nous l’effaça bien vite : nous y voilà, devant l’entrée du cimetière. Emrys fit un pas en arrière. Je tournai la tête vers lui, pas beaucoup plus sûr de moi. J’avalai difficilement ma salive, essayant de faire abstraction de la boule qui me nouait l’estomac et pris difficilement la parole : « Est-ce qu’on devrait pas… » Je cherchais mes mots. C’était difficile pour moi de parler, je savais que nous allions devoir nous confronter à une réalité qu’aucun de nous n’était prêt à accepter. Mais pourtant il le fallait, pour qu’on puisse continuer d’avancer. « On devrait acheter quelque chose là bas, non ? » repris-je en désignant un vendeur de fleur qui avait installé son stand devant les grilles du cimetière. « Pour eux… » Ma voix sembla s’étouffer. Habitant aux états unis, loin de la tombe de ma petite sœur, je n’étais donc pas coutumier des visites de ce genre… Mais j’imaginais que c’était ce que l’on attendait de nous, qu’on fleurisse un peu le marbre froid de leurs tombes.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
For love of our brothers (aa)

Je pleurais presque déjà de peur et de désespoir, regardant la grande grille ouverte du cimetière principal d'Athènes. J'eus un instant de trouble avant de pouvoir tourner ma tête vers mon frère, silencieux. Je ne disais aucun mot, aucun, je ne pouvais pas. Il tenta de prendre la parole mais il semblait incapable de cela. Il eut un instant de recule puis prenant sa respiration, il réussit à me dire calmement mais attristé : « On devrait acheter quelque chose là bas, non ? » Je me contentais de hocher la tete en regardant l'homme qui avait son stand de fleurs, de si jolies bouquets. J'eus un sourire joviale à l'image du stand ; ma puce aurait adoré cela. Je commençais à m'y avancer quand dans une voix émotionnée, mon frère continua dans un simple murmure : « Pour eux… » Sans honte et sans me dire que je devais jouer le macho, le fier, j'attrapais calmement la main de mon frère sachant qu'on en avait besoin peu importe les pensées des gens; l'unique chose était que nous on faisait ce qu'on voulait pour notre famille, qu'on savait aussi ce qu'on était l'un pour l'autre et je me dirigeais vers le vieux fleuriste, lui souriant. Je me tournais vers mon frère : Je propose une composition avec de belles violettes pour notre puce, frèrot et pour Artémis ... ce n'est pas le pays mais des roses ... il les a toujours adoré ... ce n'est pas commun pour une tombe mais c'est lui ! J'eus un sourire et déjà quelques larmes coulèrent sur ma joue. Je l'essuyais déjà, rougissant quelque peu et fier comme tout et couillon comme j'étais, je ne pus m'empecher de dire : Poussière dans l'oeil. Je rigolais ensuite de ma connerie me rappelant que Artémis aussi faisait toujours ça.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Emrys & Priape


Heureusement qu’Emrys était là, ça ferait bien longtemps que j’aurais fait demi tour pour aller me planquer dans la chambre d’hôtel sinon…  Je sentis la main de mon frère dans la mienne, ferme et décidé. C’était le coup de pouce qui me manquait pour continuer. On avança donc jusqu’au stand de fleurs. Ce fut Emrys qui alla au devant du fleuriste, je me sentais pas de sourire et de parler au vendeur, je me sentais vraiment mal. Mon frère tourna la tête vers moi pour me faire part de son idée : des violettes pour Thalya. Un faible sourire nostalgique éclaira un court instant mon visage. Oui les violettes c’était ses préférées. C’était une excellente idée et elle aurait adoré cela. J’hochai la tête. Et lorsqu’Em proposa des roses pour Arté, je fis de même, incapable de parler, la gorge nouée par l’émotion, me concentrant pour ne pas laisser les larmes qui me broullaient la vue couler. Des roses c’était parfait, parce qu’un pot de chrysanthèmes c’était bien trop conventionnel et trop morbide pour lui, les roses lui correspondaient tellement plus. Une larme échappa au contrôle de mon aîné et roula sur sa joue. Il l’essuya très rapidement. Son excuse de poussière dans l’œil m’arracha un petit rire, malgré la gravité du moment. Je lui donnais une petite tape sur l’épaule « T’es con… » C’était un truc bien à nous, une expression qu’Arté avait souvent l’habitude de nous sortir. On avait tous été élevé de la même façon et chez les Zacharias, une règle était de rigueur : on ne pleure pas. C’était peut être pour ça qu’on se protégeait derrière cette carapace, qu’on s’ouvrait si peu et qu’on ne se laissait que rarement aller à notre chagrin. Le vendeur me tendit le bouquet de violettes, et remit celui de roses à Emrys. L’heure était venue. Toute trace de sourire s’effaça alors que je passais d’un pas lent, les jambes un peu flageollantes, le portail d’entrée du cimetière pour m’avancer dans l’allée sablée qui menait jusqu’aux tombes de nos proches.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
For love of our brothers (aa)

Quand j'avais fait mine d'avoir une poussière dans l’œil, je pus voir mon frère sourire grandement puis presque rire malgré tout ce qui se déroulait dans nos cœurs si fragiles à l'instant. Je souriais très timidement à mon tour comme pour l'accompagner et je souriais au vendeur qui semblait navré pour nous lorsqu'il tendait les deux bouquets à chacun d'entre nous. J'eus le droit à une mini insulte pour l'excuse donné et je ne releva pas, n'étant plus décidé à parler car du coin des yeux, je voyais le portail qu'on s’apprêtait à traverser. J’empoignais comme une bouée de secours le bouquet de rose et j'avançais avec mon frère, franchissant le portail avec émotion. Je ne savais pas si j'étais assez fort, ni comment j'allais réussir à me tenir bien. Nous avançions donc dans la grande allée jusqu'au fond sans bruit puis nous prenions l'allée dans laquelle était la tombe de mon frère et de ma sœur. Je ne savais plus si je devais me taire, rester en silence dans ce lieu ou parler doucement avec mon frère pour partager ce moment. Quand nous arrivions tout près de la tombe de Thalya et Artémis, je soupirais avant de faire face à cette pierre. Je m'asseyais tout prés caressant la pierre en laissant couler une larme sans honte avant de lever les yeux vers mon frère ; Ils me manquent tellement ... j'avais dit ça avec tant de pureté et de sincérité que je crois que Priape en était tout ému que je laisse ma carapace s'effriter.
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Emrys & Priape


Je ne sais pas comment mes jambes réussirent à me porter jusqu’à l’emplacement de leurs tombes. L’allée me sembla sans fin mais je ne faiblis pas. Je marchais jusqu’à eux, serrant dans ma main le bouquet de violettes. Je ralentis un peu en approchant de leurs pierres tombales. Mon cœur battait la chamade, affolé, j’avais l’impression qu’il allait s’échapper de ma cage thoracique. Un pas. Deux pas. Trois pas. Et j’y étais. Je déglutis avec difficulté, écarquillant légèrement les yeux devant le marbre gravé du nom de nom frère. Artémis Zacharias. Alors, ça y est. C’était vrai… Soudain je ne pouvais plus nier, plus espérer, je ne pouvais qu’ouvrir les yeux : mon frère était décédé et je me tenais devant sa tombe. C’était juste horrible. Les mots d’Emrys m’arrachèrent à ma contemplation horrifiée. Je tournai la tête vers lui comme un zombie. Et je vis alors qu’il pleurait. Emrys ne pleurait jamais, voilà une autre chose qui ne pouvait qu’imprimer en moi la réalité de la mort d’Arté : si son nom était là, gravé dans le marbre devant moi, si même Emrys pleurait, c’est que c’était vrai : il ne reviendrait jamais. J’avais la gorge nouée, j’étais incapable de prononcer un seul mot. Je me contentais d’hocher la tête en silence. Je fis un pas pour m’approcher un peu plus de la tombe. Je tendis ma main libre, l’autre tenant toujours le bouquet pour Thalya, et j’effleurais du bout des doigts les dates gravées dans la pierre « 1990-2013 » Pourquoi nous l’avait-on arraché si jeune ? Thalya et à présent lui… Oui moi aussi ils me manquaient terriblement. J’en avais le souffle coupé, sans voix, les yeux inondés des larmes que je retenais depuis si longtemps… Comment allait-on pouvoir continuer sans eux ?
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)