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Alexander & Prue ❥ Fin d’après-midi. Assi dans un amphithéâtre, je décidais d’envoyer un sms à un ami à moi. Voilà bien une heure que je m’ennuyais ferme. D’ailleurs, je commençais à avoir mal aux fesses à force de rester assise comme ça. J’avais donc envoyé un message à mon amie d’enfance Alexander. Je l’avais connu à New-york étant enfant. Il m’avait appris pas mal de chose sur la vie et il m’avait permis de voir au-delà de Manhattan. En venant, à Harvard, j’avais la chance renoué contact avec lui. Il ‘avait vraiment manqué. Maintenant, je pourrais le voir aussi souvent que je le voudrais. Alors, que je venais de recevoir un autre sms, il m’apprenait une nouvelle qui me laissait sur cul. Il était papa ! Alexander papa ! Y avait un problème. J’avais dû mal à l’imaginer père à cette âge-là. La nouvelle avait eu le don de me laisser sans voix. Je du relire son sms une dizaine de fois avant de réaliser ce que cela impliquait. Ni une ni deux, je prenais mes affaires et sortais de l’amphithéâtre. Il fallait que je le voie et qu’il m’explique. Il ne pouvait pas me laisser comme ça. Puis, franchement, il m’annonçait sa par sms. Cool raoul. Nos souceiii ! Je sortais mon téléphone de ma poche et appelait un taxi. Quinze minutes plus tard, j’étais dans la voiture en direction de l’hôpital. Il me fallut plusieurs minutes avant de trouver la maternité. Oui, moi et les hôpitaux ça faisaient trente. Je me perdais toujours dans ce dédale de couloir. Une fois arrivé au bon endroit, je me rendais compte que je n’avais pas le nom de la jeune femme. Aussi, j’envoyais un message à Alexander. Il y avait tellement de couloir ici. Il me répondait que son nom de famille était Lubienski. Fallait qu’il mette enceinte une fille de l’est en plus ! Je regardais sur le panneau. Bien, il me suffisait de tourner à gauche. Alors, que je marchais dans un long couloir, j’apercevais mon ami au bout de ce dernier. « Strudwick ! » Je parlais suffisamment fort pour qu’il m’entende. Je n’avais pas besoin d’hurler. Je le prenais dans mes bras avant de lui demander de tout m’expliquer. « Préviens la mère de ton enfant, que je vais te monopoliser pendant un très très long moment. »
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