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Caleb&Thaïs + you gotta be joking !

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Son oncle Sam avait été invité à rejoindre le corps professoral de Harvard… MAIS TROP BIEN ! Thaïs avait passé une excellente journée avec lui, à découvrir son nouveau bureau, à rattraper tout ce qu’ils avaient mutuellement manqué dans la vie de l’autre et c’est donc apaisée comme jamais qu’elle rentra à l’appartement qu’elle partageait depuis peu avec Caleb. Son sourire était si franc et radieux que personne n’aurait pu le manquer, et elle espérait que sa soirée en compagnie de son cher et tendre serait aussi fun car elle n’avait aucunement envie que la plus petite ombre se dresse sur le tableau. « Poussin ?! » osa-t-elle demander afin de s’assurer qu’il était bien présent, mais un bruit de guitare lui assura rapidement que c’était le cas. Aussitôt, elle fronça légèrement les sourcils, triplement surprise qu’il joue à cette heure là alors qu’elle lui avait promis de rentrer dans ces eaux là justement. Thaïs déposa son sac sur un petit meuble près de l’entrée, gardant sa canne d’aveugle en main pour mieux hausser un sourcil, l’air dubitative. « Tu es malade que tu continues à jouer alors que je suis rentrée ? » Pas de réponse. Aouch, c’était mauvais signe et pour un peu, la jolie irlandaise se retint de pousser un soupir car cela avait la mauvaise manie d’attaquer son humeur resplendissante. « Je peux savoir pourquoi tu ne me réponds même pas ? Qu’est-ce qui se passe, j’ai loupé un épisode et fais une connerie sans m’en rendre compte ? »
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Journée de merde. Cela avait commencé au plus mal : pas de café et lorsque je n’avais pas de café pour me réveiller, c’était assurément une journée de merde. Ce n’était pas la faute de Thaïs –du moins pour cette partie de ma journée ; Il fallait tout simplement que je reprenne le réflexe de faire des courses, chose que j’exécrais au plus haut point étant donné qu’il fallait aller dans un endroit avec plein de monde. Enfin, si seulement, il n’y avait eu que cela ! Mon genou me faisait mal, vieille blessure qui avait toujours un peu de mal à me foutre la paix à chaque début d’hiver mais en prime, j’avais vu ma petite-amie se faire bécoter par un vieux pervers. Dans le genre : vas-y que je te prends dans les bras, que je te bave dessus, que je te fais rigoler bref, journée de merde. Alors, pour la seconde fois de cette année universitaire, j’avais séché les cours pour venir directement afin de faire la seule chose qui me calmait les nerfs : gratter ma guitare dans le plus simple appareil. Je ne sais pas pourquoi j’aimais bien être nu dans ce genre de moment mais qu’importe, je m’en foutais et ce n’est sûrement pas le surnom poussin qui allait arranger mon humeur de chien ou d’ours mal luné. « Ce qui m’arrive ? Je ne sais pas, tu l’as foutu à la maison de retraite ton vieux pervers qui prenait ta joue pour une essoreuse à bave ? Parce que le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il y allait de bon cœur dans les embrassades ! Je savais pas que tu tripais sur les vieux séducteurs sur le retour » répliquais-je froidement tout en jouant des cordes pour émettre un son vif et brutal qui s’accordait à merveille avec la rudesse de mes propos.


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Une chance que Thaïs soit d’une humeur radieuse sinon elle l’aurait purement et simplement giflé. A la place, elle se contenta d’écarquiller grand les yeux avant de s’indigner sur une chose : « Mais il est pas vieux ! » s’était-elle exclamée en accompagnant sa phrase d’une petite moue, ne faisant pour une fois pas le jeu de Caleb en partant au quart de tour comme à chaque fois qu’il avait le malheur de lui faire une crise de jalousie. Au contraire, elle conserva un moment sa moue avant de n’éclater purement et simplement de rire face au bruit on ne peut plus sonore de sa corde de guitare qui semblait crier purement et simplement au secours. Il devait très certainement la fusiller du regard à cet instant précis mais tant que ses yeux n’étaient pas remplacés par des mitrailles, Thaïs n’avait pas grand-chose à craindre à priori. « Pour info, je ne « tripe » pas sur tout ce qui n’est pas toi et celui dont tu es jaloux n’est autre que mon oncle… qui te dirait qu’il t’emmerde s’il t’entendait le traiter de vieux ! » s’amusa-t-elle tout en secouant négativement la tête de gauche à droite. Décidément, Caleb était pire qu’elle, il n’avait aucune leçon à lui donner. « Tu veux une preuve ? Si tu as à peu près retenu son visage, bouge pas… » Thaïs se dirigea à nouveau à l’entrée pour extirper son portefeuille de son sac à main, le lui tendant pour qu’il y trouve une photographie de Samuel et d’elle, il y a deux ans. La photo ne la quittait jamais, elle la gardait comme un porte bonheur. « C’est bon tu as fini de ruminer ou tu veux encore exploser ? Que je sache si j’ai le droit à un bonjour ou pas… » lâcha-t-elle avec ironie.
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« Pas vieux ? C’est toi qui le dit, il doit avoir au moins quarante balais » rétorquais-je grognon à l’idée qu’un autre homme puisse poser ses paluches de vieux pervers qui voulait se donner un genre dandy après trois mois de beuverie –bon je n’étais pas supposé que le type en question venait de débarquer et qu’il était aussi frais que ma paire de chaussettes dans la panière à linge sale mais je m’en foutais. Je fus toutefois pas mal vexé quand je l’entendis éclater de rire comme si je venais de sortir la plus grosse connerie de l’univers et le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était le cas. Son oncle ? « Je croyais qu’il vivait pas dans cet Etat » me défendis-je comme je pouvais même si elle me ramena une photo qui prouvait par A+B que je m’étais encore monté un films digne des oscars. « Mouais… ok… Bon ça va ! Je m’excusedem’avoirfaitdesfilmsetdet’avoirfaitunescenemaisjel’emmerdeaussicarilestvieux » baragouinais-je des excuses assez rapidement car nous le savions tous les deux, ce n’était pas mon fort et puis merde, elle aurait pété un câble pareil que le miens si elle m’avait vu aussi proche d’une femme –du moins si on le lui avait dit puisqu’elle ne pouvait pas le voir de ses propres yeux. « Je peux avoir mon bonjour ? Quand même, tu m’as appelé poussin ! » râlais-je pour la forme et surtout pour avoir une raison de garder toute ma dignité intacte après cette connerie de jalousie. Quand j’avais dit que c’était une journée de merde !


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« Il en a trente-huit, NUANCE ! » défendit-elle aussitôt son oncle, car le connaissant, pour sûr qu’il tiendrait à ces foutues deux années l’éloignant encore de la quarantaine. Thaïs, de son côté, s’en moquait bien : à ses yeux, il restait le plus beau du monde et elle n’avait aucune espèce de réticence à le bisouiller en plein couloir de Harvard tant il lui avait manqué. Merde, cela faisait des mois qu’ils ne s’étaient pas vus, la dernière fois étant pour l’anniversaire de la demoiselle, en août. « Il vivait dans le Connecticut mais il vient d’avoir un poste à Harvard… il m’a fait la surprise, ça a ensoleillé ma journée, c’est bon tu as fini de faire ton boudin ? » soupira-t-elle avant d’émettre une légère moue face à ses excuses approximatives mais quelque chose lui disait qu’il faudrait faire avec : Caleb n’était pas pro ès excuses, contrairement à elle qui ne prenait absolument pas cela pour une marque de faiblesse. « Tu es au courant que tu ne m’as pas dit bonjour non plus et qu’en prime, tu m’as agressée alors que j’avais à peine posé mes petons dans l’appart’ ? Tu mériterais que je te prive de bisou pour deux heures au moins ! » râla-t-elle avant de ne lui ôter précautionneusement sa guitare, qu’elle déposa contre la table basse non moins précautionneusement avant de ne monter à califourchon sur lui. « Bah quoi, poussin c’est mignon… t’es jamais content en fait !! Vais plus te donner de surnoms, na !! Mais… pourquoi t’es à poil ?! »
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« Trente huit, quarante, c'est du pareil au même, il est bien plus proche de la quarantaine que de la trentaine » râlais-je en retour juste pour dire que quoiqu'il arrive, j'aurais le dernier mot concernant ce type qui m'était déjà d'emblée, antipathique.Il ne m'avait rien fait en soi si ce n'est d'avoir attisé pour rien ma jalousie et encore, il avait eu de la chance que je préfère rentrer à la maison plutôt que d'aller directement lui casser la gueule à croire qu'il y avait finalement un diplomate en moi. Enfin, il était quand même caché très profondément. « Je boude pas ! » m'exclamais-je en étant de toute mauvaise foi « C'est simplement que je me serais tout simplement pas douté que cela pouvait être ton oncle alors merde » marmonnais-je sans agressivité d'aucune sorte mais uniquement dans le but de montrer que je râlais. Encore une fois, j'agissais comme un parfait gamin immature mais qu'importe, c'était tellement bon pour le moral et dieu seul savait qu'aujourd'hui, il était en berne, comme ma libido -signe que je broyais du noir dans toute ma splendeur. Toutefois, je me laissais faire quand elle m'enleva des mains ma guitare, la regardant tout simplement faire avant de soupirer de bien être quand elle vint se mettre à califourchon sur moi. « Je réfléchis toujours mieux nu ! » haussais-je les épaules d'un air de dire que je comprenais franchement pas son étonnement. « Et un poussin, c'est petit, jaune et pas du tout viril... je préfère mon ours, mon loup, un animal qui fait peur quoi ! » souriais-je avant de me redresser légèrement pour prendre ses lèvres dans un baiser alliant à merveille la tendresse et la passion. « Bonjour vous » murmurais-je contre ses lèvres.

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« Oh que si tu boudes, et même que ça ne te vas pas du tout ! T'es pas beau quand tu fais du boudin » rétorqua-t-elle instantanément dans l’espoir vain que Caleb ne finisse par voir de lui-même sa propre mauvaise foi. Bah, c’était manifestement peine perdue puisqu’il continuait à râler, encore et toujours, arrachant une nouvelle moue à Thaïs tandis qu’elle soupirait de plus belle. Allait-il passer à autre chose maintenant qu’il savait que c’était son oncle ou allait-il continuer à bougonner inutilement dans son coin sous le fallacieux prétexte d’avoir passé une mauvaise journée ? Il en subirait sûrement bien d’autres… « Et tu ne pouvais pas juste essayer de venir me voir ou de m’appeler plutôt que de passer des heures à ruminer ? » demanda-t-elle pour la beauté de la chose tout en sachant qu’elle prêchait actuellement une cause perdue : il ne passerait pas si facilement outre. « Mouais… t’en as ils mettent juste de la musique toi tu fais péter tes fringues, genre c’est normal ! Mais je ne vois pas ce que tu reproches à mon surnom, moi je trouve ça adorable poussin, hein mon p’tit poussin que j’aime et que j’adore et que je bichonne de mes petites mimines ! A moins que tu préfères mon p’tit grizzli ? Ou mon poussin grizzli ? » s’amusa-t-elle à ses dépends avant de n’éclater de rire, lui rendant son baiser avec un poil plus de passion comme pour lui faire oublier toute cette journée placée sous un bien mauvais signe. Thaïs espérait juste qu’il viendrait un moment où il privilégierait le dialogue entre eux plutôt que de rester dans son coin à grogner sur l’injustice passagère de son existence… « Je ne sais pas si tu mérites que j’te dise bonjour, t’arrête pas de râler ! Pourtant j’ai rien fait de mal mon grizzli, hein… t’es vilain avec moi… »
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Je levais les yeux au ciel sentant que Thaïs voulait me faire concurrence et jouer à celui qui serait le plus gamin de nous deux mais dans le fond, cela m’amusait plus qu’autre chose aussi, la laissais-je s’exprimer comme elle le voulait. Je préférais de loin cette ambiance à celle d’il y a quelques minutes même si j’étais le principal fautif avec ma connerie congénitale. « J’aurais pu ouais…mais comme avoir un comportement cohérent et intelligent ne fait pas partie de mon code génétique, je crains que tu me demandes la lune » répliquais-je à sa remarque suivante d’un ton un peu trop monocorde comme toujours quand on me faisait remarquer que j’avais fait une erreur. C’était plus fort que moi, ma fierté en prenait un coup et dans ces cas-là, je me refermais comme une huitre bien que le sourire ne me quittait pas d’une semelle à cause de ses différentes petites remarques parsemées ici et là dans notre conversation. « Ouais ben je ne suis pas normal que veux-tu et je réfléchis bien mieux sans la barrière des fringues. Estime-toi heureuse, quand j’étais gosse, je faisais faire des crises cardiaques à notre personnel de maison si bien que mon père a essayé de me faire psychanalyser pour voir où ça clochait chez moi. Ils me pensaient tous exhibitionniste » râlais-je en me souvenant de cette époque où Stefen n’arrêtait pas de me faire chier. Depuis, j’avais pris l’habitude de le faire à l’abri des regards indiscrets. « Et puis je préfère nettement mieux grizzli. C’est largement mieux que poussin » bougonnais-je avant de perdre toute idée de mauvaise humeur alors que ma petite-amie m’embrassait. « Tu veux que je me fasse pardonner d’avoir été vilain ? » murmurais-je à son oreille avant de picorer son cou de baisers papillon.


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« Vrai, demander à un homme de faire deux choses en même temps, ça relève du suicide, hum ? » Thaïs arqua un sourcil, complètement moqueuse mais en l’occurrence, il l’avait bien cherché. Il ne fallait cependant pas voir la moindre trace de méchanceté dans ses propos : il n’y en avait aucune. La jolie irlandaise possédait sans nul doute un tempérament de chien MAIS elle se trouvait toujours d’excellente humeur et rien ni personne n’aurait su entacher cela, pas même la crise de jalousie plus ou moins passée de Caleb. « Ça ne t’es pas juste venu à l’esprit que tu étais un brin exhibitionniste ? Non parce qu’en répétition, direct tu tombes la chemise je te ferais remarquer… pas que ça me gêne, je trouve ça juste fun que tu fasses genre chanteur romantique prêt à surprendre sa petite amie en espérant obtenir sa première fois en lui chantant une zoulie sérénade… » Pour la beauté de la chose, non seulement elle lui offrit un sourire des plus évidents, mais en prime elle battit sciemment des cils de façon exagérée tout en sachant que Caleb avait beaucoup de qualité mais pas celle d’être un romantique indécrottable. A moins qu’elle n’ait clairement loupé un épisode, mais elle ne pensait pas. A la place, elle se recula de quelques millimètres, croisant les bras contre son corps élancé et fin tout en lui offrant un air des plus défiants. « Possible… t’es qu’un méchant grizzli de toute façon donc je suis curieuse de savoir comment tu vas te faire pardonner et si tu comptes jouer de ta nudité exclusivement, pas sûr que ça marche ! »
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« Il est vrai que vous les femmes, vous êtes le sexe fort et que vous nous faites une fleur en nous accordant un tant soit peu d’attention ? Féministe en herbe tsss » répondis-je en défendant la cause masculine car il fallait bien que quelqu’un se porte volontaire pour cette tâche perdue d’avance car quand une femme avait quelque chose en tête –spécialement Thaïs ici présente ; c’était la croix et la bannière pour les faire en démordre. Ma foi, j’étais en passe d’unir ma vie avec une chieuse, il fallait bien que je commence à apprendre la notion de fatalité et pour un cynique tel que moi, cela ne devrait sûrement poser aucune problème. Je soupirais néanmoins avant de pousser un léger grognement concernant sa remarque à la fois sur mes tendances exhibitionniste ainsi que sur mon romantisme. « De un, je me répète, je ne suis pas exhibitionniste car je me fous bien que quelqu’un me voit nu comme un ver. Je n’aime pas les fringues, c’est différent. De deux, je sais être romantique quand je veux espèce de chieuse va… mais pour sûr que je te chanterai pas de sérénade » grommelais-je dans ma barbe de deux jours tandis que la conversation déviait très légèrement pour embringuer sur l’autoroute de la séduction –oui autoroute car comme j’étais un chauffeur de poids lourds côté séduction, le terme me semblait adéquate. « Si je pars perdant avec toi à quoi ça sert de jouer ? Je voulais simplement te proposer un bon bain relaxant suivi d’un massage et pourquoi d’une folle soirée à s’aimer mais bon… Je ne suis pas sûr que tu trouves ça follement romantique ni même que ça provoque un quelconque intérêt chez toi » plaisantais-je.


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