(+ maxilia) it was you, and me; and maybe one day, it will be us

it was you, and me, and maybe one day, it will be us (+ maximilian)

La semaine de Thanksgiving arriva à grand pas. Mais trop lentement à mon goût. Les cours m'ennuyaient et surtout, j'essayais de rester dans ma chambre un maximum. Et la raison avait été un homme. Ainsi, j'accueillais ces vacances les bras grands ouverts. J'avais prévu de retourner à New York pour l'occasion. Mes parents m'avaient un peu poussé à rentrer en fait. Et retourner chez moi me ferait le plus grand bien. Ainsi, je pris l'avion le mercredi. Mon père vint me chercher, pour la première fois depuis longtemps. Je ne m'y attendais vraiment pas, mais j'étais contente qu'il l'ait fait. Je ne me souvenais même plus de la dernière fois où je l'avais vu. Il m'annonça tout de suite qu'une soirée serait organisée le lendemain dans notre penthouse. J'acquiesçais alors, me préparant déjà psychologiquement. Je savais que j'allais devoir être toute souriante, me montrer comme la fille parfaite, encore une fois. Répondre aux questions des autres. Faire semblant d'apprécier la soirée. J'en soupirais d'avance. Et le temps passa trop vite. Avant même que je ne puisse m'en rendre compte, j'étais dans ma chambre, à me préparer. Le repas allait bientôt débuter, les invités commençaient déjà à affluer dans le salon. Je jetais un dernier regard au miroir. J'avais choisi une robe verte pour l'occasion, et mon maquillage allait avec. Je souris alors. Je savais que mon père n'allait pas trop aimer. Parce que le rapport avec la mather house était bien visible, et il n'avait vraiment pas accepté le fait que j'ai changé de maison sans même le consulter. Mais tant pis s'il ne l''apprécierait pas trop, moi je l'aimais, et c'est ce qui m'importait. Je fignolais ma tenue avec des derniers accessoires argentés et descendis rejoindre les quelques membres du gratin new-yorkais. Je remarquais plusieurs visages connus, jusqu'à ce que mes yeux se posent sur lui. Je m'arrêtais alors, en plein milieu des escaliers. Mes yeux s'agrandirent. Qu… Qu'est-ce qu'il faisait là?! « Ah, te voilà ma chérie. » Je n'osais pas rompre le contact qui s'était établi. Ma mère venait de me rejoindre. Elle me prit d'ailleurs par le bras et ensemble, nous descendions les derniers marches. « Je vois que tu as remarqué la présence de Maximilian. Tu te souviens de lui, n'est-ce pas? » Je ne pus rien faire d'autre qu'acquiescer à ses propos. Je n'osais pas ouvrir la bouche, de peur de crier. Et je n'avais qu'une envie, c'était prendre mes jambes à mon cou et m'enfermer dans ma chambre pour le reste de la soirée.

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New York, la ville que j'avais quitté pour Cambridge, la ville que j'avais partagé avec Mily, cette ville.. Je sais que c'est mal de fuir pour aller s'enfoncer dans le passé, mais c'était plus facile pour moi actuellement. Du coup j'étais venu ici pour fêter Thanksgiving, et j'avais décidé d'accepter l'invitation des parents de Mily, et d'Elysia, décidant qu'il était temps de leur reparler, d'accepter de tourner la page de mon ancienne meilleure amie, qui fut pour moi comme un ange, une partie de moi. J'avais perdu un morceau de moi quand elle est morte.. Mais cette fois, j'étais bien décidé à ne plus me laisser submerger pas le passé, et c'est souriant et en costume que j'arrivais dans le penthouse des Ravenswood. Je trouvais le père d'Elysia, m'excusant auprès de lui de ces longues années sans nouvelles, m'excusant platement, et contrairement à ce que je pensais il ne s'énerva pas.

Ravi de renouer avec la grosse pomme, ville de mon cœur, je m'approchais des gens avec facilité, oubliant presque la cause ma fuite d'Harvard, mais c'eût été trop beau qu'elle ne vienne pas, il fallait que je souffre de son ignorance envers moi. Elsyia, magnifique dans une robe verte à couper le souffle, se tenait en plein milieu des escaliers, plantant son regard dans le miens, et j'étais carrément incapable de bouger. Elle descendit l'escalier avec sa mère, et elles arrivèrent toutes les deux devant moi, et mon costume me parut soudain très épais tant j'avais chaud. Je me tournais vers Madame Ravenswood, embrassant sa main, fuyant le regard de la jeune fille. " Vous êtes magnifique Madame.. " Puis je pris la main d'Elysia, mais pas pour l'embrasser, pour la tenir tout simplement, la caressant du pouce, fixant le visage de cette dernière. Allait-elle jouer l'indiférence même devant sa propre mère? Faire comme si on ne se connaissait pas..?

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Je ne comprenais pas ce qu'il faisait là. Je veux dire… Il avait coupé les ponds avec ma famille à la mort de Mylena. Il n'était plus jamais venu les revoir! Et là, il apparaissait comme par magie, le soir de Thanksgiving! Qu'est-ce qu'il cherchait hein? Qu'on allait le remercier de sa présence peut-être?! C'était en effet le cas, ma mère avait l'air tellement heureuse de le revoir. Suffi de voir ce sourire jusqu'aux oreilles qu'elle affichait. Bien sûr qu'elle était contente, elle était venue à l'aimer comme son propre fils. Et j'étais certaine qu'ils auraient tout donné pour qu'il épouse Mily. N'importe quoi. De mon côté, je n'étais vraiment pas contente de le voir. Ou peut-être que si au fond. J'étais contente, mais perturbée. Pourquoi est-ce qu'ils ne m'avaient pas prévenu plus tôt?! J'aurais trouvé une excuse pour me porter absente… « Vous êtes magnifique Madame.. » Je ne le lâchais pas du regard tandis qu'il léchait les bottes de ma mère. « Toujours aussi charmant très cher. Mais je te l'ai déjà dit, tu peux m'appeler Constance. » Je retenais alors un reniflement d'ennui. Voilà qu'elle me trahissait. Enfin, elle n'était au courant de rien… Personne ne savait ce qui s'était passé entre lui et moi. Personne sauf Andy. Et quand il prit ma main dans la sienne, je me retenais de la retirer. Non, ce n'était pas le moment de me donner en spectacle. Et je savais que ma mère n'apprécierait pas mon geste. Je ne voulais vraiment pas l'avoir sur mon dos toute la soirée parce que je l'aurais fait. Je me contentais alors d'afficher un faux sourire. Après tout, le monde dans lequel nous vivions était peuplé d'hypocrites. Alors une de plus ou de moins, ça ne changeait rien. « Max. Ça fait plaisir de te voir. » Bon, mes mots n'étaient pas un mensonge, mais j'aurais préféré une confrontation dans d'autres circonstances, surtout après ce qui s'est passé entre nous. « Je vais vous laisser vous retrouver. D'autres invités attendent que je vienne les saluer. N'oublie pas de faire de même chérie. » Non, je ne voulais pas qu'elle me laisse seule avec lui. Et je lui lançais un regard qui lui montrait bien mes pensées. Elle ne fit que m'en rendre un furieux. Elle s'en alla alors. Je retirais rapidement ma main de la sienne. « Je dois y aller, j'ai des choses à faire. » Je me retournais alors et m'éloignais rapidement.

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Je ne pensais pas tomber sur la raison de ma venue pour fuir Harvard ici. C'était pas vraiment génial de me dire que j'allais donc passer Thanksgiving dans le même lieu qu'Elsyia qui faisait la gueule, et ça me faisait bien chier qu'elle fasse comme si nous étions deux étrangers devant sa mère. Je saluais d'ailleurs cette dernière, que j'adorais, de façon un peu distante, puisque j'avais encore peur qu'elle m'en veuille d'être parti à la mort de ma meilleure amie, amis visiblement ce n'était pas le cas. « Toujours aussi charmant très cher. Mais je te l'ai déjà dit, tu peux m'appeler Constance. » Avec un grand sourire charmeur, j'hochais la tête, et lui répondis : " Comme vous voudrez, Constance. " J'adorais cette femme, et je la considérais presque comme ma tante à l'époque où je venais chez les Ravenswood très régulièrement. Mais malgré cela, ce n'est pas elle qui attirait mon regard pour le moment, et même si cela pouvait paraître mal poli, je regardais Elysia du coup de l'oeil, jusqu'à ce qu'elle déclare, comme si c'était tout à fait naturel : « Max. Ça fait plaisir de te voir. » Me retenant de grincer des dents et que lui claquer au visage qu'elle n'avait qu'à venir me voir à la Eliot House ou à mon appart pour me trouver, et que comme elle m'évitait c'était sûrement faux qu'elle était heureuse, mais pour le moment je devais faire preuve de retenue. " Moi aussi Elysia, très plaisir. J'ai l'impression que ça fait une éternité qu'on ne s'est pas vus.." Même moi je pouvais jouer comme ça devant sa mère, même moi je pouvais afficher un faux sourire en plastique et faire comme si tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. « Je vais vous laisser vous retrouver. D'autres invités attendent que je vienne les saluer. N'oublie pas de faire de même chérie. » Suivant la mère d'Elysia du regard, j'espérais pouvoir lui parler mais elle décida de fuir, une fois de plus, et elle retira sa main qui était toujours glissée dans la mienne : «Je dois y aller, j'ai des choses à faire. » Secouant la tête, j'attrapais son bras pour la retenir, et je lui dis, tout en l’entraînant plus loin : " Tu dois aller plus loin, pour qu'on parle. J'en ai marre, Elysia. " Ne la laissant pas reculer ou s'échapper je la tenais fermement, jusqu'à ce qu'on s'éloigne du monde, dans l'immense propriété de ses parents. La lâchant ensuite je me retournais vers lui, frustré. " Tu t'éclate à m'ignorer à Harvard, et maintenant tu fais comme si on ne se connaissant pas, devant ta propre mère? Tu joue à quoi Elysia? Tu veux me pourrir ma journée, à venir me narguer comme ça, après couché avec moi et t'être cassée comme une voleuse? " Reprenant mon souffle, je me stoppais, les traits tendus.

HJ : pardon du temps de réponse j'suis rentrée de vacs hier :TT:

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Lun 13 Jan 2014 - 3:36

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« Moi aussi Elysia, très plaisir. J'ai l'impression que ça fait une éternité qu'on ne s'est pas vus.. » À ses propos, je rougis furieusement. Les souvenirs de notre dernière rencontre filèrent devant mes yeux. Je soufflais alors, discrètement, essayant de reprendre le contrôle de mes joues. Je ne rougissais pas seulement face à ces souvenirs, mais aussi à cause de ce sourire plaqué sur ses lèvres, qui ressemblait bien trop au mien. Il était en colère, je pouvais le sentir. Distant aussi, parce qu'il n'était pas sincère. Comment pouvait-il l'être alors que j'ai passé mon temps à le fuir, encore une fois? Finalement, ma mère nous laissa et j'en profitais pour essayer de le semer, comme toujours. Sauf qu'il ne m'en laissa pas la chance. Sa poigne était ferme, son regard aussi. « Tu dois aller plus loin, pour qu'on parle. J'en ai marre, Elysia. » Je me laissais alors entraînée. De toute façon, je n'arrivais pas à me défaire de son emprise. Finalement, à l'abri des regards, il me lâcha enfin. « Tu t'éclate à m'ignorer à Harvard, et maintenant tu fais comme si on ne se connaissant pas, devant ta propre mère? Tu joue à quoi Elysia? Tu veux me pourrir ma journée, à venir me narguer comme ça, après avoir couché avec moi et t'être cassée comme une voleuse? » Mon visage pâli légèrement suite à ses propos. Je ne savais pas c'était quoi mon problème. Depuis nos retrouvailles, je n'avais pas arrêté de me rapprocher de lui, pour finalement fuir. Un pas en avant, des dizaines de pas en arrière. Je ne voulais pas pourtant. Me mordant la lèvre, j'évitais à tout prix son regard. Parce que j'avais peur que mes yeux trahissent le fond de mes pensées. « Je… Je voulais pas… Je… C'était une erreur. » Ces derniers mots s'échappèrent dans un murmure. Non. Non, ce n'était pas ce que je voulais dire. Ce n'était pas une erreur. C'était la meilleure nuit que j'ai jamais passé. Mais j'avais eu peur. J'avais peur qu'il me dise que, pour lui, c'était une erreur. Alors j'ai préféré prendre les devants et m'en aller alors qu'il dormait toujours.

HJ:: moi aussi (+ maxilia) it was you, and me; and maybe one day, it will be us 2442039969

j'ai enfin fini les cours, à partir d'aujourd'hui, je suis liiibre pour rp hanwii

du coup, je serais plus présente (+ maxilia) it was you, and me; and maybe one day, it will be us 3997999705

Ven 31 Jan 2014 - 20:41

it was you, and me, and maybe one day, it will be us (+ maximilian)

Cette fois, j'aurais encre put fuir, la laisser partir, et marmonner dans mon coin qu'on méritait mieux que ça tout le deux. Mais cette fois, j'en avais un peu marre. J'étais pas parfait du tout, je le savais, mais ce n'était pas moi qui était parmi comme un bandit après la nuit qu'on avait passé ensemble, pour mon anniversaire. Mais je ne voulais plus jouer à un jeu, j'en avais marre, j'avais pas su quelle conduite tenir, durant tout ce temps je me rongeais les sangs, alors maintenant, je voulais qu'on mette les choses à plat. Autant des fois elle me suppliait de rester près d'elle autant des fois elle me chassait et concrètement, j'en avais marre. Je voulais des explications, je l’entraînais donc un peu à l'écart de la fête donné par ses parents, histoire qu'on ne s’engueule pas en plein milieu de la haute bourgeoisie de New York. Je lui expliquais mon ressenti, m'ouvrant, faisant des putains d'efforts pour lui faire comprendre que je n'aimais pas du tout la situation dans laquelle on se trouvait, et sa réponse me fit clairement l'effet d'un coup de poing. « Je… Je voulais pas… Je… C'était une erreur. » Autant le dire tout de suite, avoir passé la nuit dans mon lit, chez moi, est une erreur. Il faut croire qu'on a pas la même définition d'erreur Elysia et moi, mais si c'est ça qu'elle juge comme une erreur, je ne fais pas m'énerver contre elle. Nous n'avons pas les mêmes inspirations, et aussi chiant que ça puisse être et aussi douloureux, je n'ai pas le droit d'être déçu alors qu'elle ne m'avait rien promis. Elle a toujours son Konrad, après tout, c'est lui l'homme de sa vie, j'avais presque oublié quand elle m'embrassait. " Une erreur? C'est ça que je suis pour toi, une erreur? Ok. Alors désolé de t'avoir fait perdre ton temps, mais viens plus jamais chez moi, anniversaire ou non, je te laisserais pas rentrer. " J'ai assez d'efforts et j'avais pris assez de porte comme ça, assez de refus, j'pouvais être gentil mais là c'était trop. Je lui lançais un regard rempli de dégoût, de déception sur son compte, avant de tourner les talons pour aller sous une tente blanche, essayer de me changer les idées avec une coupe de champagne.

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Peu à peu, je sentais qu'il me filait entre les doigts, encore plus que d'habitude. Je n'avais pas pensé aux conséquences de mes paroles, je pensais juste à fuir, comme une lâche, comme à chaque fois que je me retrouvais face à lui. Je redevenais cette fille qui n'osait qu'observer l'homme qu'elle aime de loin. Elle ne lui était pas à la hauteur, elle ne serait rien de plus qu'une fille sur sa liste. Elle savait tout ça, parce qu'elle n'avait plus aucune confiance en elle dès qu'il était trop près. Mais là, elle regrettait. Son regard, jamais il ne l'avait regardé d'une telle manière. Elle se sentait comme… comme un déchet sous les yeux brillants de colère, de dégout. Cette fille, au bord des larmes, ce n'était pas moi. Ce n'était plus moi. Elle n'avait fait qu'encaisser ses mots, sans rien dire. Elle ne l'avait même pas regarder partir. Je ne pouvais pas la laisser reprendre le contrôle, Konrad m'en voudrait trop. Une nouvelle fois, j'enfermais cette fille sans défense dans un coin, à double tour, enchaînée. Je ne pouvais pas redevenir ainsi. Je ne savais pas où il s'en était allé. Et j'espérais vraiment qu'il n'avait pas quitté la soirée. Je ne pouvais pas le perdre. Je savais aussi que si je n'allais pas le voir maintenant, tout de suite, tout était perdu. Il n'y aura plus jamais de nous. Et je m'en voudrais toute ma vie pour avoir laissé passé ma chance à ses côtés. Tournant des talons, je me dirigeais vers le salon, puis la cuisine, le balcon, cherchant des yeux ce dernier petit espoir. J'en étais même arrivée à demander à mes parents! Finalement, ma mère m'annonça l'avoir vu dans une des petites tentes dressées près de la piscine extérieure. Ni une ni deux, sans même la remercier, je m'accourais -ou plutôt, marchais rapidement- vers l'extérieur. Et quand je le vis, mon coeur rata un battement. Prenant mon courage à deux mains, je me dirigeais vers lui d'une démarche confiante. Il était de dos, une coupe de champagne dans la main. Sans prendre en compte le regard des autres, je posais une main sur son bras pour le retourner avant d'emparer ses lèvres avec les miennes. Tant pis je n'agissais pas comme le voulait une demoiselle de mon rang, tant pis si demain, toute la société mondaine de NY en entendrait parler; c'était ce que je devais faire pour espérer qu'il y ait un "nous". Un baiser rempli de désespoir, mais aussi d'espoir dans un autre côté; un baiser salé par les larmes qui ont coulé sur mes joues. Et je le rompis, trop vite à mon goût. Mes bras l'enserrant, je finis par sortir tout ce que j'avais sur le coeur. « Ce n'est pas ce que je voulais dire. Rien de tout ça n'était une erreur. J'avais juste peur… J'avais peur que pour toi, ce soit une erreur. Tu ne peux pas savoir à quel point j'étais heureuse… J'ai… J'ai toujours eu des sentiments pour toi. Depuis le premier jour. Mais je reste sa soeur. Et j'ai l'impression qu'à cause de ça… J'suis désolée, je voulais pas. Me rejette pas, j'le supporterais pas. » Voilà, c'était dit. Ou presque. Il savait maintenant que j'avais des sentiments pour lui, mais je ne lui avais pas révélé à quel point mon coeur battait pour lui. C'était déjà beaucoup. Je fermais alors les yeux. Malgré tout, j'avais peur de son regard.

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