Jenny Lim Kim ► Jenn im

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mayumi et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une amie qui y est déjà son pseudo est Monster.  je passerai tous les jours et quant aux rp, aussi souvent que possible alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise jenn im comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même et tumblr pour les gif. Je fais environ 400-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ cela fait longtemps que je n'ai pas rp sur un forum occidentaux et cela fait également longtemps que j'ai pas joué de fille, mais jenn im était trop parfaite pour ne pas que je la joue... j'espère pouvoir m'intégrer ♥
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Une jeune fille était assise sur la table du salon, sa tête posée contre son main, un stylo dans l'autre. Elle laissait le crayon caresser le papier par petite foulée, essayant de mettre en œuvre une nouvelle création. Cette jeune fille s'appelle Jenny-Lim mais tout le monde l'appelle Jenny. C'est une étudiante à l'université d'Harvard d'origine coréano-canadienne, elle a toujours vécu dans une double culture. Son père coréen travail comme PDG dans une grande chaîne d'hôtel de luxe, sa mère canadienne est styliste pour les films hollywoodien. Autant dire qu'elle ne croisait que très rarement sa famille. Elle ne s'en est jamais plein, elle gardait simplement tout pour elle ce qui n'était sûrement pas la meilleure chose à faire. A l'époque, il était rare de la voir sourire, elle passait plutôt son temps à s'énerver pour rien et à créer des bagarres autour d'elle. Elle traînait souvent le soir avec des jeunes qu'elle n'aurait sûrement jamais du fréquenté à 16 ans mais elle le faisait, car personne ne lui disait d'arrêter de toute façon. Elle a commencé à faire des petits délits comme des voles, conduite en état d'ivresse. Elle a fait tout ce qu'elle pouvait pour avoir un minimum d'attention de ses parents chose qui n'a bien sûr pas marché. Alors elle continuait, allant jusqu'à la cigarette et les produits illicites. Trouvant le monde beaucoup trop beau à son goût, elle en venait même à détester tout ce qui l'entourait. Elle resta dans ce monde jusqu'à ses 18 ans, quittant alors Ottawa pour partir étudier la mode à Harvard. Son père espérait que celle-ci se calme une fois loin de tout ce qu'elle connaît. Est-ce que cela à marcher? Oui, elle n'était plus avec ceux qu'elle connaissait, elle n'avait plus de mauvaise fréquentation mais elle était seule et ... Seule.

La seule chose qui a pu lui ouvrir les yeux sur son comportement envers les autres, c'est son voyage en Afrique. Son père ne lui a pas laissé le choix, elle devait y aller pour se rendre compte de la chance qu'elle avait d'être aux Etats-Unis. Ce qu'elle vit la change radicalement, il y avait tellement de pauvreté et de souffrance, pourtant ils gardaient tous leurs sourires, les africains lui donnaient toujours quelque chose alors qu'eux n'avaient rien. Elle comprit ainsi que la vie n'était pas toute blanche mais qu'il était important pour elle de s'ouvrir et de vivre comme elle le souhaitait. Quand elle est revenue à Harvard, elle s'est tout de suite ouverte aux autres, parlant à tout le monde et ne retirant jamais son sourire -ce qui changeait de sa première année puisqu'elle ne souriait jamais. Elle a découvert que la vie est plus belle qu'il n'y paraît et son expérience en Afrique lui a donné l'envie de continuer à aider les pays sous développé pour leur donner une vie meilleure, eux qui donnent toujours sans rien avoir en particulier. Aujourd'hui, Jenny est une étudiante souriante et ouverte, elle ne voit toujours pas ses parents mais elle arrive tout de même à discuter avec eux via les réseaux sociaux. Même si elle n'arrive toujours pas à les considérer vraiment comme ses parents, elle fait des efforts pour que cela arrive. Elle a laissé sa vie de délinquante derrière elle et n'hésite jamais à en parler quand quelqu'un vient lui demander conseil. Ce n'est pas un sujet tabous, c'est juste un bout de sa vie qu'elle n'a pas su contrôler.