ZOFIA DI FABIO ► ashley greene

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BCR et j'ai seize ans (jeunesse, jeunesse...). Je suis française et j'ai connu le forum grâce à pub rpg design.  ILH est tout d'abord un forum magnifique, le design et les codes sont à tomber, et puis ça a l'air très actif ici, bref, j'aime beaucoup alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ashley Greene, la plus belle comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par class whore. Je fais environ 200/300 (je sais pas trop à vrai dire) mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Elios I-A Di Fabio.

Mot de la fin ? ▲ pouet.
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

ENFANCE.
J'allais dire « j'ai eu une enfance plutôt normale » mais en y réfléchissant bien, tout le monde ne va probablement pas trouver ça « normal ». Je suis issue d'un milieu (très très) aisé... et même plus que ça, puisque je fais partie de la famille souveraine d'Italie. Pour vous donner une idée, mon oncle est le Roi. Bien sur la monarchie a été abolie et mon pays est aujourd'hui une république, néanmoins les traditions persistent. Enfin, tout ça pour dire que j'ai été élevée dans le luxe et l'abondance. Je faisais partie de ces enfants qui ont tout en claquant des doigts, à qui on ne refuse pas grand chose. On appelle ça des enfants rois. Après tout, je suis une duchesse. Je n'ai pas été à l'école, ni au collège, j'avais des professeurs à domicile, ce qui m'a permis d'apprendre beaucoup plus rapidement que si j'avais été scolarisée. J'ai appris l'histoire de l'Italie sur le bout des doigts et on a commencé à me parler très vite de politique. J'ai toujours été très investie, j'adorais – et j'aime toujours – apprendre de nouvelles choses, me cultiver. Rendre mes parents fiers de moi. Je voulais grandir vite. Je fréquentais des enfants de mon âge, la progéniture des gens qui composaient le cercle « d'amis » de mes parents. Des descendants de la noblesse italienne, française, espagnole... Non, finalement, je n'ai pas eu une enfance normale, compte tenu du fait que la plupart des gens sont de condition bien plus modeste. Mais pour moi, ce n'est pas choquant, après tout, j'ai été élevée là-dedans.

ADOLESCENCE.
Le lycée a été ma première expérience « scolaire », la première fois que je me suis retrouvée dans une salle de classe avec d'autres personnes. Ceci dit, je n'ai pas vraiment été dépaysée, j'étais entourée de personnes que je connaissais ; j'ai étudié dans un bon lycée, le meilleur, le plus cher aussi. Aux yeux de mes parents, rien n'était trop beau pour moi. J'ai toujours eu des notes excellentes, parce que je suis ambitieuse depuis mon plus jeune âge – trait de caractère qui me vient de mon père. C'est aussi à cette période plus ou moins sympathique qu'est l'adolescence que j'ai vécu mes premières histoires d'amour. Ou devrais-je dire mes chagrins d'amour, en général, ça ne durait pas bien longtemps. J'aime commander, avoir du pouvoir, que les choses marchent comme je veux, je suis comme ça. Forcément, ça ne plaît pas à tous. Pas du tout, même. A côté de ces petites mésaventures, j'avais tout de même pleins d'amis sur qui compter, avec qui m'amuser, faire la fête. Enfin, pour ce qui est du dernier point, pas tout le temps et pas avec n'importe qui. Mon cousin, Elios, faisait déjà de nombreuses apparitions dans la presse à scandale à cette époque, et la famille n'avait pas besoin d'avoir quelqu'un d'autre à gérer. Ceci dit, j'étais beaucoup moins visée que lui par les journalistes, et aussi bien moins tapageuse. Elios était un peu le petit frère que je n'avais jamais eu, je me faisais un devoir le protéger, de faire en sorte que tout aille bien dans sa vie, mais quand il a commencé à déraper, j'ai été impuissante. Je crois que je m'en suis voulue, sans me l'admettre pour autant. Il a été mon premier échec – hormis mes relations amoureuses, mais ça...

AUJOURD'HUI.
Harvard. Université prestigieuse, réputation irréprochable. Toute ma famille y est passée, et sont de plus entrés dans la confrérie des Eliot – la maison la plus renommée. On attendait de moi que j'y aille à mon tour, et c'est ce qui s'est passé, bien entendu. Enfin, pas de suite, cependant. Je désobéis rarement, presque jamais. Les convictions et les valeurs de ma famille sont miennes, je n'ai aucune raisons de protester. Néanmoins quand ça arrive – et il faut bien que ça arrive de temps en temps – je sais me faire entendre. Je suis le genre de personne qui peut se lancer corps et âme dans un combat pour défendre des idées qui me sont chères. Enfin bref, je disais donc que je suis finalement devenue étudiante à Harvard, mais pas dès la fin du lycée. En réalité je n'y suis que depuis le début de l'année. Je suis tombée amoureuse d'un prince anglais qui m'a emmenée dans ses bagages... à l'université d'Oxford. Forcément, ça a déplu à la famille, mais face à mon refus catégorique de me séparer de celui que je considérais comme mon futur mari, ils n'ont pas eu d'autre choix que de me laisser partir. Et ils ont été bien contents que cette histoire se termine. Je n'avais plus aucune raison de rester à Oxford, on me l'a bien fait comprendre, mais ce qui m'a réellement convaincue a été d'apprendre que mon cousin partait en vrille. Je n'avais pas vu Elios depuis des mois, j'avais envie de l'aider. J'ai donc rejoint les rangs de Harvard. Et je le vis bien, j'adore cette université, j'adore les Eliot, je n'ai aucune remarque désobligeante à faire. A part peut-être sur les Mathers, mais je ne vais pas me lancer sur ce sujet-là... ça prendrait du temps, que je n'ai pas.