C'est le 20 DÉCEMBRE 1991 à SYDNEY, AUSTRALIE, que les membres de la famille RIVERS HOLLAND m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) JILLIAN. Je suis CÉLIBATAIRE et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis HÉTÉRO et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale AISÉE. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de MÉDECINE MAJEUR ET D’ÉCONOMIE MINEUR depuis 5 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que HÉRITIÈRE DE LA FAMILLE HOLLAND . Et pour terminer, je voudrais intégrer les CABOT ou les ELIOTS.
Jillian Rivers-Holland
Looks alot like alicia vikander
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Shane ou Distractcreature et j'ai 18 ans. Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Toujours aussi magnifique et unique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise alicia vikander comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 952 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Que cette nouvelle chance soit un réussite . Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE Du haut de son château, dans son luxueux appartement, elle a trouvé bon de faire un peu d’école buissonnière lors de cette journée. Pour une fois, ce fut l’une de ses meilleures décisions. Être pris sous les débris de l’université ou encore être enfermée et angoissé dans une salle de classe se demandant d’où sort tout se boucan, l’avait échappé de belle. Cela n’empêche tout de même de s’être s’inquiétée pour les autres, elle est loin d’être une non sentimentale après tout.
CABOT HOUSE. Elle fait la une des magazines mondains, elle est la représention même de la perfection, de ce que dise les articles. Riche héritière des Hollands, elle se tient à rigueur de toute connerie qui pourrait ternir à la réputation de sa famille paternelle. À la fine pointe de la mode, il n'y a rien d'étonnant de la voir chaussé d'une nouvelle paire d'escarpin fraichement importé de la nouvelle collection de Christian Dior, l'une de ses marques préférés. Elle aime bien aussi porter des vêtements de nouveau designer qui font leur début dans le monde des hauts du domaine, c'est même grâce à elle que leur nom devient de plus en plus cité dans des conversations. Elle est celle qu'on admire et qu'on veut fréquenter, celle qui attire le regard, la source des compétitions dans l'agente masculine rien que pour chuchoté de délicieuse paroles au creux de son cou. La désirable et l'intouchable héritière Holland.
ELIOT HOUSE. Inutile de n'en dire plus ou moins, rien que son nom de famille et familier pour beaucoup. Il n'y a rien d'extraordinaire qu'elle fasse partie des élites de l'université. Quelques-uns d'entre eux sont ses amis d'enfances, mais le cercle est très restreint. La jeune Rivers-Holland tolère peu d'entre les jeunes héritiers comme elle, les critères pour rentrer dans son cercle est très élevé. Donc elle hésite un peu d'intégrer les Eliots.
Avant la naissance, c'est le bonheur le plus total dans les esprits de vos parents, qui deviennent, progressivement, complètement gâteux. Même bien avant de vous avoir mis au monde. Vous imaginez la suite... Les cadeaux stupides et enfantins s'accumulent sur les tickets de caisse. Les bouteilles de bières sont remplacées par des packs de lait. Et l'argenterie, est littéralement remplacée par une vulgaire vaisselle en plastique. Oui comme on dit, la naissance d'un enfant, est l'un des plus beaux jour de notre vie... ça c'était vos paroles bien avant que le vrai cauchemar commence chers parents
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First chapter .
La vision flou, le corps humide, les sons semblaient se perdent progressivement dans l'esprit encore inconscient d'un nouveau-né, que l'on nommera jusqu'aux jours d'aujourd'hui, Jillian. C'est assez difficile d'expliquer ce que la nature inflige parfois aux gens. Notamment dans la nuit du 19 au 20 Décembre, alors que Mr et Mme Rivers-Holland vivaient le plus bel instant qu'un être humain puisse compter à ce jour, ils ne savaient pas qu'ils s'engouffraient dans une misère certaine. Mais ne vous emballez pas. Personne n'ignore qu'un enfant, demande un minimum d'attention, de soutiens et d'amour. Mais étrangement, Mr et Mme Rivers-Holland ne se soucie pas encore de l'avenir de leur enfant. Car même si le plus beau jour de leur vie venait d'arriver, leur pire cauchemar venait lui aussi de débarquer en toute insouciance.
Après avoir passé plusieurs jours statiques, allongée dans un lit d'hôpital, Catherine Rivers, quitta l'établissement médical, retrouver le confort d'une belle et grande maison dans laquelle, Jillian passera toute son enfance. Journaliste réputée pour ses nombreux ouvrages pour la lutte contre les violences conjugales, Catherine Rivers avait l'habitude d'être écoutée et comprise par les gens qui soutenaient ses points de vue. Mais il en fut autrement pour sa fille Jillian, qui du haut de ses 14 mois, n'obéissez qu'aux paroles de son père. Et à cet instant précis, Mme Rivers comprit très vite, que Jill, ne se laisserait jamais marcher sur les pieds. Ce petit jeu, qui amusait certes beaucoup la petite fille, faisait moins rire sa mère. Une fois le temps écoulé, la petite Jillian se lassa de l'habitude rébarbative de sa mère, et s'attaqua à présent, à son père. Qui avait été jusqu'à présent épargné des caprices à répétitions de sa fille. Quelques mois plus tard, ce fut au tour de Charles Holland de ce prosterner devant sa fille.
Il arrive un temps où, la vie n'est pas de tout repos. Comme lorsque vos enfants grandissent et qu'ils côtoient les bacs à sables pour s'en faire un point de rendez-vous. C'est à cet âge que les parents disent à leurs enfants que leurs petites histoires de pacotilles, n'ont aucune importance sur le reste. Mais détrompez-vous, c'est à cet âge-là que l'on se forge les premières idées de la vie. Tout d'abord, il y a ceux qui essaient de comprendre pourquoi tout le monde ne parle pas la même langue. Ceux qui essaient de comprendre pourquoi les tables de multiplications ont autant d'importances dans leur vie à cet âge. Et puis ceux, comme Jillian, qui accepte la vie comme elle vient et qui ne pose pas de question.
Second chapter.
A cette histoire, je ne décernerai pas le prix de la meilleure enfance à la petite Jillian Rivers-Holland. Même si sa volonté à se battre, aurait pu me faire changer d'avis. Peut-être celle de la plus belle histoire romantique. Oui, Jillian fut confrontée à une enfance pour le moins, mélancolique. Il est de ces familles, des histoires qui ne s'oublient jamais. Laissez-moi vous en épiloguer la plus touchante de son enfance...
Une famille doit se doter d'une complicité infaillible face aux petites choses de la vie quotidienne. Or, ce ne fut pas le cas de la famille Rivers-Holland. D'un côté de la balance, une petite fille. Seule et romancière. Et de l'autre, des parents, littéralement égoïste et désespéré. Cette histoire n'aurait jamais pu être comptée aujourd'hui sans un élément perturbateur. Bien qu'à elle seule, Jillian savait parfaitement pourrir la vie de ses parents qu'elle aime tant. Laissez-moi vous avouer l'identité de cet élément, même si je pense que vous savez ultimement de quoi s'agit-il. Et bien pour ceux qui sont longs à la détente, l'élément en question n'est rien d'autre qu'un misérable garçon des rues. Batifolant dans les quartiers pauvres de la ville tentant de se trouver une place dans la société...
Les pieds emmitouflés dans le sable, la petite Jillian ne savait pas encore qu'à cet instant même, sa vie basculerait pour toujours. Alors que sa poupée, anciennement décorée de dentelles blanches, venait d'atterrir hors du bac à sable, celle-ci quitta le sol, pour se retrouver dans les mains d'un garçon. Celles-ci étaient rêches et à son index, une bague en or ornait son doigt. Jillian leva les yeux. On pouvait à présent lire un regard glacial et envoûtant sur le visage de la petite fille. Sandro Scofields, jeune garçon âgé de 5 ans à peine, venait d'entrer dans la vie de Jillan.
Après des années à passer leurs après-midi ensemble, Mr et Mme Rivers-Holland se sont vite rendu compte que quelque chose dissipait leur fille et que cette mauvaise influence déteignait sur celle de Jillian. Elle n'était plus cette petite fille arrogante et prétentieuse qui ne voyait jamais plus loin que son nombril. En effet, depuis quelque temps, Jillian était plus souvent au parc national que dans le jardin luxuriant de la famille Rivers-Holland où tout le bonheur du monde s'y trouvait. Or pour la petite brunette, le bonheur était égal à la présence de Sandro à ses côtés. Ce qui n'était pas du goût de ses parents... Encore jeune et insouciante, la jeune fille fut vite contrainte à ne pas lever le ton sur ses parents. Depuis le temps, Catherine Rivers, la mère de Jillan, commençait peu à peu à sombrer dans l'alcool, pour des raisons encore inconnues à l'esprit de sa fille. Désorientée, Jillian ne sut plus comment agir face à sa mère et préféra ne plus lui adresser la parole. Depuis en plus dépendante, Mme Rivers piquait des crises de colère contre Jillian. Voir sa fille avec un garçon malsain la mettait or d'elle. Mais que faire lorsque le cœur choisit à votre place l'élu ? Rien. Il faut seulement assumer sa part de responsabilité. Mais est-ce bien l'âge pour la petite Jillian de faire la part des choses à 12 ans maintenant ?
Pour tout vous dire, je pense que pour Jillian, le mieux était de couper les ponts avec Sandro. Et c'est ce qu'elle fit... Pendant quelques jours seulement. Car très vite, la flamme qui brûlait en elle ne pouvait s'éteindre que par passion. Leur seul moyen de se retrouver : se cacher... Pour assouvir sa colère sur autre chose que ses parents, Jillian décida de s'épanouir, seule, du mieux qu'elle pouvait. Et se lança dans la photographie. Le seul moyen pour elle de s'extérioriser de toute cette pression ambiante qui régnait dans sa vie depuis quelques mois déjà. Mais cela ne suffisait plus lorsque ses parents décidèrent de quitter l'Australie, pour s'installer à Paris, de nouveau. La séparation s'annonçait être radicale pour Sandro et Jillian Totalement accablée, Jill savait pertinemment que la décision subite de déménager était la solution pour la séparer de lui. C'est dans une affreuse souffrance, qu'elle quitta Sydney, qu'elle quitta Sandro, son meilleur ami. Oui, avec le temps l'amour des premiers jours ne les avaient pas séparés, mais plutôt avait renforcé leur amitié.
La période de l'adolescence fut très difficile pour la jeune Jillian. Comme n'importe quel adolescent toutes classes sociales confondues, c'est la période de rébellion et la demoiselle n'échappa pas à la règle. Elle remarqua un peu plus l'hypocrisie de ses parents envers elle et leur couple. Elle fit les 400 coups pendant plus de deux ans et se rendit compte, que son charme, ne laissait pas les hommes indifférents. Mais l'adolescence c'est aussi l'âge, des complexes. De l'incertitude. Cette voix qui trotte sans cesse dans l'esprit de nos jeunes ados tourmentés par leur nouveau mode de vie. Cette angoisse de ne pas plaire à tout le monde. Ce stress permanent qui glace vos membres devant l'être aimé. Toutes ses petites contradictions qui vous font penser que l'adolescence est une période, de changements radicaux.
Last chapter.
A force d'y croit, on finit par ne plus savoir ce qu'on voulait. C'est un peu ce qui s'est passé pour le coeur de Jillian. Qui a su pendant se contenter d'un seul homme pendant plusieurs années, perdit un peu les pédales. Le manque la hantait. L'image de Sandro lui manquait. Et qui par la suite à décider d'en faire qu'à sa tête afin d'oublier son amitié tellement forte. Tout se déclencha à partir du moment où Jullian se retrouva en face à face avec son père, pour toujours. Évaluée à plus de 0.5 g d'alcool dans le sang, Catherine Rivers, âgée de 49 ans, trouva la mort dans un accident de voiture à 2h30 du matin. Deux côtes cassées, le foie percé et le cerveau bien endommagé, Mme Rivers n'eut assez de force pour rester en vie plus longtemps.
S'enfonçant un peu plus chaque jour dans un gouffre tellement profond, que Jillian ne savait plus pourquoi elle se levait le matin. Enchaînant les coups d'un soir, Jillian fut une vraie rebelle. Tenant tête à son père et déclinant toutes propositions d'aide. La jeune femme qu'elle était autrefois c'était soudainement assombrit depuis quelques années. Seule, la vie semblait trop insurmontable pour la jeune femme. Sandro lui manquait, son meilleur ami lui manquait, son premier amour lui manquait.
Face à l'attitude démesurée de sa fille, Mr Holland désemparé, envoya Jillian dans un pensionnat à New York. Et ce ne fut pas sans remords. Le pauvre homme se sentait coupable de la mort de sa femme et de la souffrance que cela avait provoqué sur sa fille. Car c'est à cause de leur couple que Mme Rivers aimait tant sa bouteille. En effet, sous ses airs de PDG parfait, Charles Holland était un homme qui aimait les rebondissements au cours de sa vie. Mais après le mariage, la naissance, il n'en eut aucun autre. C'est pourquoi c'était à lui d'en créer de nouveaux. Depuis 3 ans, Mr Holland trompait Catherine avec une amie en commun, elle aussi journaliste. Mr Holland a toujours gardé le secret bien longtemps. Mais pour combien de temps encore ?... Toute la famille, où plutôt Charles, avait racheté leur ancienne maison avant le déménagement à Paris à un prix couteux, mais devait se pardonner auprès de Jillian qui avait tous perdu en quittant le pays.
Le soleil brillait, les oiseaux chantaient et Jillian semblait avoir repris du poile de la bête. Le fait de se retrouver en pension, fit ouvrir les yeux à Jill sur son comportement alarmant ses dernières années. On pouvait à présent observer les traits pétillants d'une jeune femme pleine d'ambitions pour l'avenir. Jillian fut au courant à présent de la liaison de son père lorsque sa mère était encore en vie. Ayant posté sa demande dans l'une des plus grandes universités de l'état, Harvard ,mais aussi donné illusion à son père qu'elle suivait le bon chemin, elle y était étudiante depuis 5 ans. Même si Jillian semble en parfait état, les rails, la douleur et le sexe font toujours d'elle ce qu'elle est vraiment. Pauvre papa, insouciant de ce qui se trame sous ses yeux embrumés...