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Jeno & Salomée
Je peux être forte quand je veux l'être. Je le sais, il y a des fois, je me retiens de pleurer, je cherche des solutions et tant que je n'en ai pas une, je ne lâche pas. Rarement, j'abandonne en faite, c'est une loi que je me suis faite, je n'abandonne JAMAIS. On dit que les gens qui abandonnent sont des lâches, mais je n'en suis pas une ! Je suis seulement trop curieuse parfois. J'avais entendu parlé de plusieurs activités à faire pendant Halloween, comme la visite d'un cimetière. Allez savoir pourquoi je me suis retrouvée dans ce genre de délires. On pouvait encore y aller, même-ci Halloween passait et qu'il était temps de penser à Noel. Je n'avais rien à faire et comme les choses quelques peu mystiques avait toujours attisé mon intérêt. Nous n'étions pas beaucoup, seulement deux ce jour-là, comme-ci s'en était le destin. Nous pouvions choisir les activités à faire, entre visiter un manoir remplit de squelettes et très sombrement décoré pour l'occasion ou en savoir plus sur l'histoire de la ville, sombre sois disant, et sérieusement, j'aurai voulu demander à l'accompagnatrice de nous suivre. Le jeune homme en question était assez louche, il avait un regard perçant, une démarche effacée et un air de je-baise-le-monde-et-ses-règles-de-tocard. Mais, en parfait accord, nous avions préféré l'activité dans le manoir. Lui et moi, nous nous retrouvâmes seuls devant l'entrée d'un manoir, était-ce le bon ? Il y en avait deux et j'espérais atterrir dans le bon. Le jeune homme toussa quelques instants, il faisait froid et j'enroulais sur mon cou, mon écharpe pour me tenir au chaud. Je le regardais ensuite bizarre, j'espérais juste qu'il ne puisse pas avoir de mauvaises pensées, de toutes les façons dans ce genre d'endroits, il devait sans doute y avoir des caméras de surveillance. J'entrais premièrement en poussant la porte, il entra par la suite et nous fîmes enfermés... Je tentais de revenir sur mes pas pour ouvrir la porte, mais elle était verrouillée... Non, non, non ! On est vraiment fichus, c'est pas le bon !... Je tentais encore une fois de pousser la poignée, mais elle était tellement dure à ouvrir que je fus pris d'une forte angoisse,... on fait quoi ? Parce que je peux pas rester ici !
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