iza-junes a. wilde-berry ☂ danielle campbell

C'est le treize décembre dix-neuf cent quatre-vingt-dix à Toronto, que les membres de la famille Wilde-Berry m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Iza-Junes Azzurra. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de danse (majeur) et d'administration (mineur) depuis quatre ans et travaille en parallèle de mes études en tant que vendeuse dans un magasin de vêtement (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Quincy House.

iza-junes a. wilde-berry

Looks alot like Danielle Campbell

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle heatattack et j'ai 20 ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Très joli forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Danielle Campbell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par sweet nothing et tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Iza-Junes était en cours de danse, lors du drame. Heureusement, elle n'était pas touchée par explosion. Elle vécut plus de peur, que de mal, heureusement. Toutefois, cet événement fut relativement traumatisant, pour elle. Durant plusieurs semaines, elle fit des cauchemars, à ce sujet. Aujourd'hui, elle n'est plus réellement perturbée par cet événement, bien qu'elle craint toujours, un nouveau drame, au fond.

LOWELL HOUSE.
L'art est, pour elle, un moyen d'évasion. Depuis plusieurs années, désormais, la danse est devenue, également, un moyen d'exprimer, ses maux. À cause d'une enfance particulièrement ardue, la jeune brune ressent beaucoup de difficulté à révéler, à son entourage ses états, ses sentiments. Alors, l'art est devenue pour elle, une façon d'exprimer, des sentiments cachés. En plus de la danse, elle peint également des tableaux et de plus, elle détient également une passion pour le chant, mais également pour l'écriture. En somme, toutes les choses touchant à l'art est une véritable bénédiction, pour elle.
QUINCY HOUSE.
Sa famille d'adoption apprit à celle-ci l'importance de donner, sans nécessairement, attendre un retour quelconque. Le coeur sur la main, elle fait souvent passer le bien être des autres, avant, le sien. Elle n'est pas méchante, bien au contraire. Elle est particulièrement touchée par le malheur des autres. Elle fait souvent, des dons et elle participe souvent à des oeuvres caritatives.

(Invité)

back to life

Iza-Junes est née dans une petite bourgade de l'ouest de Toronto. Un petit village dont le nom semblait, excessivement, insignifiant, par sa taille. Dès sa naissance, la jeune brune est amputée d'un amour, maternel. Sa mère est décédée, quelques heures après sa naissance, suite à plusieurs complications. Son paternel, incapable de passer par-dessus, une telle frasque, abandonnait, sa fille, dans les bras, de sa génétrice. La grand-mère paternel de la jeune brune recueillit, celle-ci. Pas nécessairement parce qu'elle aimait, sa petite-fille. Simplement, par pitié. Parce qu'elle prétendait que dans un orphelinat, elle n'aurait eu, aucun avenir, disait-elle. Mais, quel avenir avait-elle, dans les bras d'une femme dévorée par la rancoeur vis-à-vis de la détresse de son enfant? Absolument aucun. Selon elle, Iza-Junes était la raison de la perdition, de son fils. Après la mort de l'élue de son coeur, il sombrait dans une dépression et dans l'alcoolisme. Bien que sa mère tentait de ramener le jeune homme à la raison, celui-ci sombrait, encore plus profondément, dans le chagrin. Il est mort, quelques années plus tard, de tristesse, disait-elle. Une mère ne devrait point survivre, à la mort de son enfant. Cette phrase, Iza-Junes confrontait, celle-ci, quotidiennement. Elle grandit avec l'idée qu'elle était responsable de la mort, de ses parents. Elle grandit avec la rancoeur, de sa grand-mère, vis-à-vis de son existence déplorable. L'enfance de la jeune brune était particulièrement triste. Elle était, constamment, martelée par les mots blessants de sa grand-mère. Elle était âgée de dix ans, lorsqu'elle était résolue, à mettre fin, à ses jours. Pourtant, elle n'était, encore, qu'une enfant. Qu'une enfant blessée par le temps. Un jour, durant le mois d'hiver, en rentrant chez sa tutrice, à pied, elle prit une décision drastique. Aujourd'hui, elle cesserait de souffrir, d'une façon ou d'une autre. Au pied d'un arbre, elle passait la nuit, dans l'espoir que le froid emporterait son âme abîmée par l'agression qu'elle subissait, continuellement. Elle était âgée de dix ans, lorsqu'elle espérait, mourir de froid, sous les flocons de neige. Une belle mort, croyait-elle. Toutefois, les autorités retrouvèrent sont corps gelés, quelques heures, avant le lever du soleil.

Je veux mourir. Le coeur des infirmières firent un tour, lorsqu'elles entendirent cette phrase sortir de la bouche d'une enfant empreint d'innocence. Elles lisaient, toutefois, l'ampleur du malheur dans les prunelles, de l'enfant. Elle restait, plusieurs jours, internée dans l'hôpital, sans toutefois, révéler la source de son malheur. Iza-Junes, prétendait, simplement, qu'elle ne méritait point, d'exister. Toutefois, les médecins comprirent que la jeune demoiselle était martyrisée par sa grand-mère. Plusieurs hématomes prouvaient, qu'elle était battue, par celle-ci. Immédiatement, elle fut transférée dans un orphelinat, du secteur. Plus que jamais, elle avait le sentiment qu'elle était abandonnée. Elle s'enfermait dans un mutisme. Elle pleurait, toutes les nuits. Elle refusait catégoriquement de manger. Elle désirait, disparaître, simplement. Puis, du jour au lendemain, ce couple fit son apparition dans la vie de la jeune brune au coeur meurtri. Ils étaient là, pour adopter, Iza-Junes. La première fois, qu'ils rencontrèrent la jeune demoiselle, celle-ci, plus que jamais réticente brisait, néanmoins, ce long silence qu'elle maintenait, depuis plusieurs mois, déjà. Pourquoi, moi? Cette question titillait l'esprit de la jeune brune. Durant, son existence, sa grand-mère parvient à résoudre Iza-Junes que son existence était déplorable et sans but. Elle était conformée à cette idée, qu'elle n'était qu'un déchet. Toutefois, le sourire charismatique de la dame parvient à renaître un sentiment d'importance, chez Iza. Pourquoi pas? Cette simple phrase parvient à redonner une lueur, dans la vie, de l'enfant au coeur meurtri.

Les années suivent son adoption un sourire imprégnait continuellement le visage, de Iza-Junes. Elle possédait désormais, la certitude, qu'elle comptait, qu'elle importait. Elle était aimée et chérie. Iza-Junes possédait un lien inexplicable, avec sa mère ainsi que son père. Quelques mois seulement, après son adoption, elle appelait, cette femme et cet homme, mère et père. Le couple surprit de l'attachement dévorant la jeune brune, ils ne pouvaient que remercier le ciel d'un tel don. Elle avait souvent le sentiment qu'ils étaient fait, les uns pour les autres. En plus, du bonheur de trouver des parents, elle avait la chance qu'ils soient fortunés. Toutefois, la jeune brune prit plusieurs années, avant de prendre, ses aises. Elle ne demandait, jamais, rien, que ce soit pour les temps des fêtes et pour son anniversaire. Sa grand-mère n'offrit jamais à sa petite-fille, un cadeau, alors elle ignorait, les modalités. Pourtant, ses parents offraient la lune, à la demoiselle. Des jouets par millier, des vêtements les uns plus beaux que les autres, un toit, de la nourriture et beaucoup d'affection. La première fois qu'elle osait quémander, quelque chose, à ses parents, elle était âgée de quinze ans. J'aimerais pouvoir suivre un cours de ... Timide, malgré les années, elle avait un brin de difficulté à avouer, son désir. Tu veux suivre un cours de danse? Et bien, tu es déjà inscrit. Tu commences, dans trois jours. Son visage s'allongeait, face, à la surprise. Incrédule, elle restait pendant plusieurs secondes dévisageant, le visage aimable, de la matriarche de la famille. Son père assit sur la chaise de la table à manger lisait son journal, mais furtivement, il jetait un petit coup d'oeil, sur ta mère, l'air moqueur et puis, sur Iza. Ça fait plusieurs semaines que nous remarquons que tu as un intérêt, pour la danse. Toutefois, nous attendions que tu réclames, toi-même, ton désir pour cet art. Néanmoins, en constatant que tu craignais toujours de faire, les premiers pas, nous avons cru bon d'inscrire notre fille, à sa place. Aussitôt, elle sautait dans les bras de son paternel, puis, de sa mère. Elle était tellement heureuse et tellement comblée de constater, qu'ils étaient conscient, de ses voeux.

Rapidement, la danse devient une passion, pour la jeune brune au coeur d'or. Elle voulait, faire, de cette passion un métier. La danse était une façon d'exprimer, ce qu'elle ressentait. Malgré les années, elle avait toujours beaucoup de difficulté à réclamer, ses désirs. Une parti d'elle savait, désormais, qu'elle comptait et qu'elle existait. Mais, une ombre persistait à désirer faire croire à la jeune demoiselle, que sa vie n'était qu'une tâche dans l'univers, des autres. Bien, qu'elle était suivie par un psychologue, depuis son adoption, elle persistait, dans un sens, dans le passé. Mais, elle voyait, désormais, son avenir. Et, pour elle, son avenir était dans la meilleure université des états-unis. Elle désirait ardemment poursuivre, ses études, dans cette université. Ses parents acceptèrent, malgré l'inquiétude, de laisser partir, Iza-Junes. La première année, la mère et le père de Iza-Junes faisait souvent la navette entre les états-unis et le canada. Ils désiraient faciliter la transition d'un monde à un autre. Toutefois, ils comprirent très rapidement, que la petite fille aux cheveux bruns était plus que jamais, à sa place.

The End

(Invité)