ROULETTE RP ► Mais quelle débile elle.

29/12/2011

Roulette RP

Puis sinon, quelqu'un a un Monopoly de poche ?

CONTEXTE : Travailler pendant deux heures, voir plus, sur un ordinateur, et se couper du monde, c'est dangereux le soir. Surtout quand la personne chargée de verrouiller la salle est un peu tête en l'air, et qu'elle enferme les pauvres élèves encore dedans en train de travailler ou de trainer sur Facebook.. Heureusement, ce n'est que durant la pause de midi, elle ne va pas tarder à revenir ouvrir, mais y'a un moment à passer dans cette salle remplie d'ordinateurs. Et le démineur, c'est pas un jeu pour jouer à plusieurs, mais qui sait peut-être allez-vous trouver un moyen de vous occuper?

PARTICIPANTS : Feldt K.-T. Crossroad ♦ D. Jogvan Soderqwist ♦ Aidan L. Norrington ♦ Louise R. Penshorn

Ce rp de groupe est organisé par la roulette à rps

Amusez-vous bien !

(La Doyenne)

Retourner au Japon, t'avais aide a remettre de l'ordre dans ta vie, meme si tu etais toujours en morceaux, tu avais reussi a oublier certaines choses. Tu avais meme eu le courage de retourner en cours, bien qu'au fond tu etais toujours exempté. Tu n'avais cours que l'apres-midi, de ce fait, tu avais decidé de passer la matinée dans la salle d'informatique pour rattraper tout tes cours perdus. Tu etais en master maintenant et avoir rater autant de cours pendant ce dernier mois n'etait vraiment pas un bon truc. Tu n'avais pas vu l'heure passé alors que tu travaillais sur certains programmes et fichier php. Finalement, ton ventre fit un bruit bizarre te signalant que tu devais manger. Tu sauvegardais alors ta session, fermant l'ordinateur et te dirigeant vers la porte. Cependant, au moment, ou tu voulais l'ouvrir, elle etait fermée. Euh c'etait une blague? Tu te retournais pour voir si tu n'etais pas seule, et il y avait 3 autres personnes dans la piece. "Bon les gars, on est enfermée jusqu'a la fin de la pause midi!" Lancais-tu d'un air blasé. T'as faim et t'es enfermée ici, c'est vraiment pas cool!

(Invité)

L'espace entre ses deux cours était trop peu important pour que Aidan regagne la Lowell House. Il avait quelques recherches à faire pour ses cours sur les cubistes et décida donc tout naturellement de se rendre en salle informatique. Il n'était pas un adepte de cet endroit mais parfois il n'y avait pas le choix. Il était donc en compagnie de quelques autres personnes auxquelles il n'avait tout bonnement prêté aucune intention. Complètement absorbé par l'écran, la voix féminine lui annonçant qu'ils étaient coincés lui fit cependant relever la tête. Un sourire se peignit sur son visage. Non mais sérieusement, quelqu'un avait été assez crétin pour verrouiller une porte alors que plusieurs personnes étaient dans la pièce ? « J'ai même pas amené de quoi manger ! » dit-il interloqué. Ouais fallait pas plaisanter avec sa faim. Il regarda les trois personnes présentes et déclara le plus sérieusement du monde : « Bon bah je vais devoir manger l'un d'entre vous. » et sur ces paroles, il se mit à rire. Allez, fallait devoir passer le temps...

(Invité)

Endormi quasi aussi profondément qu’un ours qui hiberne depuis un peu plus d’une heure, la joue collée sur le clavier de son ordinateur, le danois n’avait rien fait de plus, pendant tout ce temps, que de gémir… Ok, ça pouvait sembler vachement bizarre, surtout qu’il se trouvait au fin fond de la pièce et qu’il était plutôt bien planqué derrière plusieurs rangées d’étagères parfaitement remplies ; mais très sincèrement, les petits bruits qui n’avaient de cesse de sortir du fond de sa gorge, même lorsque la pièce fut quasiment vide sans qu’il ne s’en rende compte – ça aurait été bizarre qu’il capte quelque chose en dormant –, n’avaient rien de… pervers ? L’explication est bien plus simple qu’elle n’y semble : un sommeil profond et plus qu’agréable après une quasi nuit blanche. Bref. Finalement réveillé sans réelle raison, Jogvan leva la tête – tout en s’étirant tel un ours mal léché –, la marque des quelques touches bien prononcée sur sa joue droite, avant de fixer l’heure. « Ouhla… Faudrait que je bouge de là moi… » Très bien, très bien, il ne parlait à personne d’autre qu’à lui-même. Se levant dans un bond, le grincement de sa chaise lors de son recul résonna dans à peu près toute la bibliothèque… Et merde. Bien la discrétion ? Le Winthrop s’activa pour atteindre la porte le plus vite possible et ouvrir l’une d’entre elles… Enfin, essayer. Et vu qu’il ne semblait pas y avoir moyen de l’ouvrir, il tenta sur la prochaine avant de se retourner vers la bibliothécaire : « Mad… » Punaise, il rêvait encore là ou elle avait vraiment disparu ? Observant l’heure à deux fois avec sa tête d’homme mal réveillé, il finit par se retourner vers les trois personnes restantes dans la salle : « Désolé de vous déranger mais… Elle est passée où ? » dit-il en pointant le bureau du doigt. « Je suis un peu à la bourre là, faudrait que j’y aille mais y a pas moyen d’ouvrir les portes… » Enfermés ? Mais non, impossible attendez !

(Invité)

❝ c'est en faisant n'importe quoi qu'on devient n'importe qui. ❞

A la sortie des cours, j'avais envie de passer à la bibliothèque. Je n'avais pas encore mis les pieds dedans et je me demandais si à tout hasard, Harvard possédait des livres français. Étant française, j'étais curieuse de connaître le roman ou même l’encyclopédie que j'allais déniché. La bibliothécaire, aussi vieille que devait être les murs de Harvard m'indiqua l'étagère des langues étrangères. *Yes*. Je venais de tomber sur le roman de Bel‑Ami de notre cher Guy de Maupassant. En lisant la quatrième de couverture, ce livre ne me disait rien. Il me semblait tout aussi ennuyant que notre charmante ancêtre à l'accueil. Il était recouvert de poussière et il sentait le grenier de ma grand-mère. Dégoutant, je reposa le livre pour y faire tomber un second sur mes pieds. Celui-là était tout à fait très intéressant, le livre du Kâmasûtra pour les nuls version inédite avec les menottes en cadeau. Mais où était passé ces menottes ? Ne me dites-pas que la bibliothécaire les avait volé ? Sacrée petite coquine. Elle cachait bien son jeu celle-ci. Je me pris de fou rire en l’imaginent attachée à son bureau et donc soumise à toutes les cruautés qu'il me venait à l'esprit. Souhaitant retourner la voir enfin de lui demander où étaient ces fameuses clés; elle n'était plus à son bureau. « C'est une blague ! ». Où était-elle passée ? Regardant l'heure affichait de mon téléphone portable, je comprenais pourquoi l'ancêtre était parti. Il était midi, heure du repas. Avant de m'exclamer de colère, je me rendis compte que je n'étais pas la seule à être enfermée ici. Nous étions quatre étudiants. « Putain, je rêve. Plus que quelques heures à entendre... ». Naturellement, je connaissais peu de personne à Harvard. Et ces trois là, je ne les connaissais pas. Une étudiante nous indiqua que la bibliothécaire devait normalement revenir à quatorze heures. Puis, un s’exclama en disant qu'il avait faim. La perche était trop facile. Je n'avais pas froid aux yeux même avec des inconnus. Et je pouvais sortir naturellement ceci : « Tu peux me manger sans problème. » Le livre que je tenais dans mes mains allait peut-être nous servir. Je leur présenta sans plus attendre. « Tenez, ça peut nous donner des idées ». L'énorme sous entendu de fou. Après tout, on peut s’éclater et s'amuser.

(Invité)

Visiblement, le personnel d’Harvard pouvait vraiment etre negliant parfois et ca tu pouvais pas trop l’accepter. T’etais pas du genre a vouloir user de ton influence mais la clairement, c’était pas vraiment acceptable. Et si elle revenait pas et qu’elle vous oubliait a nouveau. T’avais cours, t’avais des enfants dont tu devais t’occuper et que tu voulais aller voir avant de retourner en cours cette apres-midi, mais a la place t’etais enferme dans cette debile de salle info avec un tas de gens qui semblait pas vraiment comprendre non plus. D’ailleurs un d’eux (Jogvan) semblait tout emerger. « Elle est partie, c’est la pause midi et on est enferme ici. » Lachais-tu d’une manière tres non-chalente. Tu viens te rassoir a un des ordinateurs. Autant s’occuper en attendant quoi. « Si quelqu’un a une bonne idee qui ne requiere pas l’utilisation d’un livre, on pourrait peut-etre meme reussir a s’en sortir. » Faut dire que t’etais déjà de mauvaise humeur du au peu d’heure que tu dormais avec les jumeaux, et la, c’était un peu comme la cerise sur le gateau. Vive les heure de midi enferme en salle info.

(Invité)

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