THÉORYS ◭ « Let's pretend we're together ! »

Depuis mon retour d'Italie, je n'avais pas vraiment eu l'occasion de reparler très sincèrement avec Emrys. Notre dernière soirée ensemble avait quelque peu dégénérée et il était vrai que nous n'en avions pas réellement reparlé. En même temps, il n'y avait pas non plus grand chose à dire sur le sujet. Nous avions bu et déconner et ce soir, alors que j'accrochais les boutons de ma chemise beige dans ma salle de bain, je me surpris à lui crier. « T'es prêt Robin ? On va quand même pas se rendre dans ce bar à trois heures du matin ! » Je voulais une bière bien fraîche moi. Passant une dernière fois une main dans mes cheveux afin de les rendre encore plus mal coiffé, je sortis de la salle de bain et me dirigeais vers le salon après avoir attrapé ma veste en cuir que j'enfilais. J'avais proposé à mon cher Emrys de se faire une virée entre potes dans un quelconque bar afin de se retrouver que tous les deux et de discuter entre potes. Je l'avais croisé vite fait lors de la soirée Dunster-Winthrop mais nous n'avions pas réellement pu parler, et je me demandais s'il allait avoir des choses à me dire ou au contraire, se refermer comme une huître comme d'habitude. Parce qu'il fallait lui tirer les vers du nez à ce cher petit colocataire. Je jetais une dernière fois un regard à mon reflet et lui criais une nouvelle fois. « Toujours pas ? Si t'es encore à poil c'est pas grave, viens comme ça tu pourrais nous avoir des bières gratos ! » Je me mis à rire face à ma blague pourri, scrutant pour voir quand il allait surgir d'une des pièces de l'appartement qu'on se partageait.

Depuis quelques temps, je tentais de faire de mon mieux pour ne pas sombrer avec tous ce qui se passait dans ma vie. Je répèterais toujours que je ne suis pas victime dans l'histoire mais que je n'ai pas de chance quand meme. Je terminais de me préparer, me regardant bien dans la glace, tirant à moitié la gueule pour voir a quoi je ressemblais lorsque je faisais un si bonne tete quand j'entendais la voix de mon colocataire traversait l'appartement : « T'es prêt Robin ? On va quand même pas se rendre dans ce bar à trois heures du matin ! » Je touchais mon oreille de douleur avant de rire doucement, retrouvant une expression moins triste et colérique. Je ne répondais pas tout de suite le poussant au bout pour qu'il cri encore et que je puisse bien rire. Nous sortions ensemble ce soir, non, pas un rencard, nous étions juste pote malgré les jeux étranges de la dernière soirée ; tout était clair, c'était évident ! Je sortais donc, passant par ma chambre, sortant ma pochette et y rangeant donc téléphone et compagnie tandis qu'il reprenait la parole : « Toujours pas ? Si t'es encore à poil c'est pas grave, viens comme ça tu pourrais nous avoir des bières gratos ! » J'eus un fou rire alors que je me trouvais toujours dans ma chambre, je manquais de me laisser tomber dans mon lit à cause de la dose de rire qu'il allait surement déclencher rien que par cette phrase puis je courrais en dehors de la chambre vers l'entrée où il se trouvait, lui tapant par surprise sur l'épaule arrivant à vitesse grand v : Oh Batman, j'suis pret depuis un moment t'sais ... J'entreprenais donc de le dépasser et d'ouvrir la porte, je sortais et la tenant ouverte, je repris en riant : Oh que tu es long quand tu t'y met ... Parlant ainsi de son manque d'efficacité à sortir de l'appartement et inversant les rôles vu qu'il m'avait attendu en réalité ... Je lui fis un clin d’œil.

 « Oh Batman, j'suis pret depuis un moment t'sais ... » Ouais ouais, je secouais la tête de haut en bas histoire de me faire comprendre à moi-même, sachant qu'il ne me voyait pas que je le croyais vachement. Un sourire se dessina quand même sur mes lèvres alors que je l'entendais rire à ma dernière réplique. Ah j'étais drôle quand je voulais, y'avait pas à dire. Il arriva donc enfin et je il sortit le premier de l'appart me tenant la porte avec un clin d'oeil. « Oh que tu es long quand tu t'y met ... » Ben voyons, je lui fis une grimace avant de lui emboîter le pas, sortant à mon tour et fermant la porte derrière moi. On sortit donc de l'établissement et je me dirigeais vers ma Lamborghini. « On prends ma caisse n'est-ce pas ? » Il était hors de question qu'on prenne la sienne, ou son tacot, d'ailleurs je ne savais même pas où elle se trouvait et un sourire se dessina sur mes lèvres. Je me mettais derrière le volant, attendant à ce qu'il rentre aussi dans la voiture et je démarrai. Direction le premier bar qu'on trouvait. Bon évidemment, la dernière fois nous nous étions pas privé pour nous prendre une bonne cuite dans notre salon, mais là je pense qu'on avait besoin de changer d'air et d'ambiance. On arrivait enfin et je sorti de la voiture après l'avoir garée. De la musique forte et entraînante sortait de cet endroit. Je fis une tape sur l'épaule d'Emrys. « Alors poto, qu'est-ce que t'as envie de boire ? Puis c'est quoi que ces fringues ? Fallait venir à poil je t'ai dit ! » Je me mis à rire. Bah quoi ? Il était mieux foutu que moi, on aurait vraiment pu avoir des bière gratos.

Mon colocataire et ami me fit une grimace et tenant toujours la porte, je lui tirais la langue en riant. Nous sortions donc de l'appartement ensemble, sortons ensuite de l'immeuble grandiose puis nous dirigeons vers sa voiture sans surprise tandis qu'il me demande ; « On prends ma caisse n'est-ce pas ? » Je rie face à sa question alors qu'il se dirige presque sans attendre ma réponse. Pourtant, il devrait regarder mes mains ; ni casque, ni clés sorties donc je n'ai pas prévu de l'emmener en moto. Je continue de rire. Je répondais en pouffant et soufflant : Tu vois un casque dans mes mains, couillon ? Je laisse un instant et continue : et bah non, abruti de mon coeur, donc c'est qu'on la prend ta caisse de reve ... Dis-je en grimaçant pour me moquer. Il est déjà assis dans la voiture et je reprend peu à peu mon sérieux le rejoignant, en m'asseyant à mon aise. J'attache la ceinture de sécurité en lui offrant un sourire tandis qu'il recule pour sortir de sa place et commencer à rouler sur un rythme entrainant. La musique est à fond et tape dans mes tympans un maximum. Je souris et bouge tranquillement sans pour autant faire le con, juste simplement profitant de l'instant entre pote. « Alors poto, qu'est-ce que t'as envie de boire ? Puis c'est quoi que ces fringues ? Fallait venir à poil je t'ai dit ! » Je fais semblant de rire, un style rire qui signifie "tu te crois drole" puis je regarde la route en lui répondant du tac au tac ; tu avais qu'à le faire toi d'abord ... je veux profiter de ma soirée et boire .... bah je verrais sur le moment j'en sais rien pourquoi toi tu penses qu'à ça, à boire ? Nous roulons vers le lieu choisi à une vitesse assez rapide, on sent l'envie d'arriver. Je continue à bouger quand je me stoppe net avant de dire ; Au fait, aujourd'hui, meme si tu en meurs d'envie, tu éviteras de me baiser ... Je rigole, lui montrant d'un clin d’œil. Là, je le charrie bien sur notre dernière soirée avant de poursuivre ma blague : Non mais parce que je sais que t'es accro bébé.

 « Tu vois un casque dans mes mains, couillon ? Et bah non, abruti de mon coeur, donc c'est qu'on la prend ta caisse de reve ... » Pff le con. Heureusement qu'il prenait pas sa moto, si en plus il comptait boire, il était hors de question que je le laisse repartir ensuite tout seul sur son engin deux roues. Déjà qu'une fois, y'en avait une qui m'avait grave pércuté de plein fouet. J'imaginais pas s'il avait un accident. On montâmes donc dans la voiture et la musique résonnait à fond alors que je conduisais. Je lui avais commenté le fait qu'il aurait du se ramener à poil histoire de nous rapporter des boissons gratos. Il se mit à rire d'un rire hypocrite. « Tu avais qu'à le faire toi d'abord ... je veux profiter de ma soirée et boire .... » Biiip mauvaise réponse, j’enchaînais du tac-o-tac.  « Non, tu sais très bien mon ange que de nous deux c'est toi qui fait tourner le plus de tête. » Je repensais à notre dernière soirée et un frisson me parcourra l'échine. Nous avions vraiment ça ? « Au fait, aujourd'hui, même si tu en meurs d'envie, tu éviteras de me baiser. Non mais parce que je sais que t'es accro bébé. » Arf il fallait vraiment qu'il ramène ça sur le tapis. Il rigole et me fait un clin d’œil et tout ce qui me vient à l'esprit c'est de suivre cette mise en scène.   « Non pas ce soir mon lapin si tu permets, j'irais bien voir ce qu'il y a ailleurs. » Je lui fis un clin d’œil alors que la seule que j'aurais bien été voir était Elia. Mais ce soir nous avions prévu une soirée entre mec. Une fois arrivés dans le bar, je me tournais vers lui. « Qu'est-ce que tu veux prendre ? »

Je rigolais à pleine bouche. J'étais heureux de cette soirée meme si je pensais à ma Eliah, celle que je voulais trop voir ces derniers temps sans le pouvoir mais heureusement, mon pote était là. On roulait, pas trop de monde sur la route, c'était cool. Bien sur, il n'aima pas ma réponse apparemment il voulait vraiment que ce soit moi qui dévoile ma nudité, je rigolais de nouveau lorsqu'il me dit : « Non, tu sais très bien mon ange que de nous deux c'est toi qui fait tourner le plus de tête. » Je me tordais de rire sur mon siège de voiture et encore plus au moment où il me surnomma mon ange, drôle de nom. J'avais ensuite décidé de le provoquer et je le sentis glousser ce qui m’empêcha de cesser de rire. Bien sur, il n'avoua pas qu'il me voulait pensais-je en rigolant tandis qu'il me répondait ; « Non pas ce soir mon lapin si tu permets, j'irais bien voir ce qu'il y a ailleurs. » et je répondais rapidement en riant, manquait de m'étouffer -; mon lapin avant de le voir se garer devant le bar. Une fois dans la grand bar, on se dirigeait vers deux sièges libre devant le bar, direct à l'endroit où on buvait se bourrer -haaan pas bien!- et il me demanda : « Qu'est-ce que tu veux prendre ? » Je me grattais l'arrière de la tete et réfléchit un instant avant de répondre : Un long Island mon bichon ! Rigolant alors du choix de surnom bien ridicule pour l’embêter. Je balayais alors la salle du regard. Ça se remplissait peu à peu. Je cherchais des perles rares meme si je pensais au fond à ma jolie Eliah. Je pensais trop à elle et ne pouvant rien faire avec pour le moment, c'était compliqué. J'avais des projets mais je n'osais pas, je ne pensais plus cela possible. Je me raclais la gorge de gêné tant je pensais et avais la tête sur le point d'exploser a force de réfléchir et faire mine que non puis voyant deux filles arrivaient vers moi, assez étrange et bizarre, je me remettais droit en disant à mon colocataire : Mon dieu, thon à 12H ... mon dieu, qu'est-ce qu'elles viennent faire !? au secours, on va couler ... J'eus un petit rire jaune et je sentis une main sur mon épaule. On se connaissait ? La première fille, la plus cheum aussi nous dit alors : Salut ! ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu les beaux gosses ?! J'écarquillais les yeux en regardant mon ami qui semblait tout aussi perturbé.

 « Mon lapin. » Bah quoi (a) ? Sur ma petite tête que ça devait grave le faire kiffer que je lui sorte des surnoms de ce style. Puis il avait pas mal rit à s'en torde le vendre alors je pouvais presque me sentir fier de moi, me demandant s'il faisait parfois semblant, ou si je le faisais réellement rire. Puis nous étions arrivés devant le bar et nous étions rentrer dedans, je m'étais donc tourné vers lui en lui demandant ce qu'il voulait boire. « Un long Island mon bichon ! » Il se mit à rire et je me mis à rire avec lui, parce que le surnom était bien moche et que ça me faisait toujours autant tripé qu'on ait un tel jeu sans équivoque entre nous. J'adorais notre amitié et je m'en serais jamais passé pour rien au monde. « C'est pas un cocktail de fille ça ? » Je lui tirais la langue alors qu'une barmaid assez canon s'était rapprochée de nous par-dessus son comptoir et j'en profitais pour lui commander la boisson de monsieur et une bière pour ma part. J'étais Sam, valait mieux pas prendre de risque. Soudain, Emrys se tourna vers moi l'air presque préoccupé. « Mon dieu, thon à 12H ... mon dieu, qu'est-ce qu'elles viennent faire !? au secours, on va couler ... » Quoi ? Je me tournais dans la direction qu'il fixait avant de regarder droit devant moi afin de ne pas exploser de rire. On avait plus le temps de bouger, trop tard. Je me mis à toussoter alors qu'une voix s'exclamait.  «  Salut ! ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu les beaux gosses ?! »  Comment ? Je lançais un regard en direction d'Emrys, là j'étais complètement paumé. Je pris néanmoins le premier la parole. « Pardon, nous connaissons-nous ? » Certainement pas wesh, c'étaient des mythos ces meufs. Je me tournais donc vers Emrys. « Tu les connais toi mon chou ? » Et je me mordais les joues parce qu'il ne fallait surtout pas rire et rester crédible.

Salut ! ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu les beaux gosses ?! Les deux filles avaient l'air sérieuse ou surtout en manque et dans l'envie qu'on les culbute un bon coup mais personnellement, je préférais baiser une baleine que ce qui se trouvait en face de moi. J'avais tellement écarquillé les yeux que je sentais Théo sur le point de rire pas seulement pour leur gueule mais pour la mienne en les voyant si culottée. Je tentais moi aussi de ne pas exploser de rire et en sanglot. Il prit la parole et ça m'étonna énormément. Je vis la serveuse déposer nos boissons et je bus une gorgée en tentant de respirer pour ne pas m'étouffer de surprise alors que Théo jouait de ses talents d'acteur : « Pardon, nous connaissons-nous ? » Il se tournait vers moi et j'eus peur à la façon dont il commençait à me regarder et en plus de façon insistante comme si il voulait que les filles voient cet étrange regard. Je grimaçais tandis qu'il reprenait m'achevant niveau surprise : « Tu les connais toi mon chou ? » Heureusement que je le connaissais et voyais son air malicieux parce que sinon, ça aurait été étrange. je ne savais pas quoi dire alors je me contentais de lui dire en tentant de ne pas pleurer de rire tout en posant ma main sur sa cuisse de manière très crédible : Non mon bébé ... Les deux jeunes femmes nous regardèrent bizarrement avant de reprendre : Pourtant, nous en sommes certaines ? Mais donc vous etes gay ? Ce n'est pas possible ... Elles se regardèrent puis l'une osa ; Bon ok on se connait pas personnellement mais on vous a vu séparément venir ici et vous aviez l'air hétéro ... J'eus un sourire qui prouva à Théophyl que moi aussi, j'étais sur le point de mourir de rire et en faisant style que je le bouffais du regard, je disais aux filles en remontant de son genoux vers un tout petit plus haut avant de caresser son épaule saillante ; mes chéries, vous me choquez ... tous le monde sait que jo souis une madame ! Je me tournais pour boire un coup de cocktail, profitant alors pour rire sans une bruit mettant ma main devant ma bouche, manquant de m'étouffer tandis que je laissais Théophyl jouait un peu son rôle pour le faire suer.

 « Non mon bébé ... » Oh non, comment ne pas rire avec ses conneries, franchement ? En même temps, nous nous n'avions rien demandé à ses filles qui s'étaient ramenées comme des petites fleurs afin de prétendre qu'elles nous connaissaient. Nous les aurions sûrement invités à boire un verre avec nous si elles n'étaient si...spéciales. Et horribles par la même occasion. Mais nous étions en couple après tout, chacun de notre côté. Mais il était hors de question que ces femmes restent et ne s'approchent de nous avec leur vieille tac-tic de drague. « Pourtant, nous en sommes certaines ? Mais donc vous êtes gay ? Ce n'est pas possible ... Bon ok on se connaît pas personnellement mais on vous a vu séparément venir ici et vous aviez l'air hétéro ... » Ah bon ? Je fronçais les sourcils. Ce n'était pas la partie qui disait nous pensions que vous étiez gay qui m'intrigua mais celle qui disait nous avons vu séparément venir ici. On était fliqués et surveillés maintenant ? « Mes chéries, vous me choquez ... tous le monde sait que jo souis une madame ! »  Quoi ? Je me  retournai vers lui avec de grand yeux alors qu'il m'avait complètement dévisagé quelques secondes plus tôt puis il avait effleuré mon épaule. Il me fallait toute la volonté du monde pour ne pas exploser de rire. « Oh non pas vous, vous êtes un véritable dix quatorze pourtant ! » Hein ? C'était quoi ça ? Je me mordais carrément la joue, puis je vins prendre une gorgée de bière. « Je suis navré de vous apprendre mesdames que l'homme qui se trouve juste à côté de moi aime sentir un torse contre son dos, si vous voyez ce que je veux dire. » J'avais passé un bras autour de ses épaules et venait déposer un très rapide baiser sur sa joue, toujours ma bière à la main. Haan qu'est-ce qu'on pouvait être cons nous alors.

Je me marrais comme un petit fou, regardant derrière le bar en essayant qu'elles ne me voient pas rire comme une ouf. Je tentais vraiment de m'éclater tout en jouant bien pour les éviter les deux là mais bon, c'était dur de pas se fendre la poire. En plus, je sentis que Théo était choqué, réellement ne s'attendant pas à ce que je joue à ce point en tentant de le faire suer, de le déstabiliser et puis de le faire éclater de rire. Et puis, les deux thons se remirent à parler. L'une d'entre elle me complimenta meme, m'expliquant que j'étais trop canon ce qui me fit bien plaisir mais surtout me fit rire. Je me retournais face à elle, souriant face à ce compliment tandis que Théo me coupait alors que j'allais parler ; « Je suis navré de vous apprendre mesdames que l'homme qui se trouve juste à côté de moi aime sentir un torse contre son dos, si vous voyez ce que je veux dire. » J'eus un petit sourire en coin et de coté un clin d'oeil pour mon ami tandis qu'elles nous regardaient, tendues et choquées que deux beaux gosses super virils soient gays. Je le vis passer son bras autour de moi avant de me déposer un baiser sur la joue et je caressais honteusement sa cuisse. Je rajoutais ensuite très rapidement ; Ce que mon homme veut dire, mesdemoiselles, j'aime les queues ... bien grosses évidemment ! Alors que l'une me regardait comme un monstre de perversité, l'autre prenait le bras de son ami du genre ; allons nous en et au moment où elles tournèrent les talons, je commençais à me marrer mais je dus me stopper quand elles se tournèrent d'un coup comme pour revenir. La première nous demanda alors ; Et vous n'avez jamais voulu faire ça avec l'autre sexe ? Je les regardais avec de gros yeux, choqué par l'insistance des deux demoiselles. Je souriais ensuite avant de regarder Théo pour lui faire signe de répondre.