Invité
est en ligne
Invité
Ulükah Vynh Williams fiche; terminée C'est le 4 avril 1991 à Cambridge, que la famille Williams m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Ulükah. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en droit, je suis maintenant en première année. Et pour terminer, je fais partie des students. |
Études En vrai, je savais pas vraiment quoi faire de ma vie. J'aurais pu suivre ce que mes "soeurs" font, mais au final, je savais même pas si j'étais capable de savoir un truc en rapport avec la musique. L'économie, ça m'intéressait pas du tout. Mais je me voyais pas du tout rester chez moi à rien faire, et travailler sans diplôme, c'est impossible. Enfin, peut être que j'en ai un de diplôme, qui sait ? Ma mère voulait que je tente psychologie, mais on en a assez d'une dans la famille. Et j'ai aucune patience pour rester dans une salle à écouter des gens parler. Finalement, le droit, j'ai un peu choisi au pif. Fallait que je fasse quelque chose, j'ai pris une liste, et mon doigt s'est arrêté là dessus. Et me voilà à la fac, avec du retard sur le programme, et ne sachant même pas si ces études-là allaient me plaire. Après, le délire fac, c'est pas trop mon truc. Moins je me fais voir, mieux c'est, et malheureusement pour moi, tout le monde connait déjà ma tête. Un noir amnésique qui débarque à la fac, ça passe pas inaperçu, surtout quand il a été "adopté" par une famille de blancs. J'me fais petit. | Caractère Je sais pas vraiment qui j'étais. Je sais pas quel âge j'ai, et je sais pas comment je me comportais toutes ces années que j'ai vécu. A mon avis, j'étais loin du gars que je suis aujourd'hui, rien qu'à voir mon corps. J'ai des tatouages partout, je sais même pas ce qu'ils signifient, et même si tout le monde trouve ça classe, j'aimerai bien comprendre. C'est ça qui me définit le plus. Le désir de savoir. Qui j'étais. Qui je suis. J'en sais strictement rien. J'suis timide, j'ose pas aller vers les gens, et quand c'est eux qui viennent vers moi, je me renferme. J'suis jaloux de tout le monde. Parce qu'ils ont une vie parfaite. Du moins, pour moi, ils en ont une. Parce qu'ils sont maitres de leur histoire, que le passé les définit et qu'ils ont un vécu qui les a forgé. Passer à côté de la mort, ça m'a forgé aussi. Être victime d'une agression dont je ne me souviens plus, ça me rend craintif. Autant j'ai confiance en ma nouvelle famille, autant, je ne peux me résoudre à faire confiance à qui que ce soit. Parce que je me dis qu'on m'a voulu du mal, et que si on me sait en vie, peut être qu'on peut vouloir me sauter dessus à nouveau. Finir le travail. J'ai constamment peur dans ma vie, à tel point que je sursaute à chaque fois qu'on m'approche sans que je le remarque. J'suis pas quelqu'un de méchant au fond. Du moins, j'ai pu l'être par le passé, mais aujourd'hui, non. Je cherche juste à être tranquille. A profiter de la vie, et à ne pas avoir d'embrouilles. |
Everyone Has Their Own Story
Ziam Miller : Les recherches continuent.
19 mars 2012
La disparition de Ziam Miller reste un cas inexpliqué qui attriste tout le pays. Le jeune homme, qui avait démarré sa carrière il y a un an, n’a donné signe de vie depuis maintenant quatre mois. Les autorités poursuivent les recherches, mais manquent cruellement de fils conducteurs.
« Nous faisons notre possible pour retrouver Ziam, mais après quatre mois de recherche, nous commençons à venir à court d’indices. », explique Paul Bailey, à la tête de la brigade de recherche. « Son appartement ne montre aucun signe d’effraction, sa voiture est garée à sa place, toutes ses affaires sont bien rangées, nous n’avons aucune preuve pour penser à un enlèvement, et pourtant, c’est l’hypothèse qui semble le plus juste. Même ses relevés bancaires et téléphoniques ne nous aident pas à savoir où il pourrait être ».
Le 19 novembre 2011, Ziam Miller, âgé de 22 ans, avait prévu une journée comme une autre. Son emploi du temps indique qu’il avait deux interviews de programmés, et un concert le soir, qui annonçait guichet fermé. Il ne s’est jamais rendu à un de ces rendez-vous. « Au début, j’ai cru à un caprice de star. Vous savez, quand on est au début d’une carrière musicale, à cet âge, on a tendance à voir les choses en grand et à se sentir supérieur à tout le monde. J’avoue avoir été en colère avant d’entendre la nouvelle », déclare Haley Simmons, animatrice de radio. Depuis ce jour, Ziam Miller n’a donné aucun signe de vie, et même ses parents restent sans nouvelles.
Depuis quatre mois, ses fans, ses amis et sa famille pleurent sa disparition. Si certaines personnes pensent qu’il s’est échappé avec le fric qu’il avait fait en un an pour vivre sa vie ailleurs, loin de toute cette vie, la « Team Miller », composée de toutes les personnes qui soutiennent le jeune homme et sa carrière, crient à l’enlèvement. « Je connais Ziam depuis que j’ai 3 ans. Il a souvent eu des hauts et des bas dans sa vie, il a galéré, il n’était pas connu pour sa sagesse mais jamais il n’aurait tout quitté comme ça. Il aimait trop ses proches pour s’échapper sans donner de nouvelles. Et surtout, il était tellement fier d’avoir accompli son rêve, il voulait que ça dure, il disait que ce n’était que le début d’un long voyage », raconte Marlon Evans, un ami proche du chanteur.
Les théories sur cette soudaine disparition vont bon train, allant du désir d’évasion à l’enlèvement, en passant par le meurtre organisé. Toutefois, les autorités continuent les recherches pour découvrir la vérité sur ce mystère qui fait verser un torrent de larmes sur l’Australie.
-------------------------------------------------------------------
Un amnésique au campus.
19 mars 2012
Si vous écoutez un peu les ragots qui tournent à la fac, vous avez sans doute entendu parler du scandale « Williams ». Non, je ne parle pas de Styx Williams, qui aurait fait une nouvelle connerie avec sa bande d’amis anormaux, mais d’Ulükah Williams, nouvel élève à Harvard.
La peau mate, encore plus noircie par les tatouages qui recouvrent l’intégralité de ses bras – et peut être plus, qui sait – les cheveux décolorés, un sourire ravageur, un style caractérisé de « swag » par des jeunes adultes qui ont oublié de grandir et qui ne laissent pas le nouveau jargon à la nouvelle génération, et un prénom à coucher dehors qui sort d’on ne sait où, Ulükah Williams ne peut passer inaperçu, bien que ce soit son plus grand souhait.
On l’a vu débarquer dans les couloirs d’Harvard il y a un peu plus de trois mois, et il ne cesse d’intriguer les plus curieux – comme moi, il faut l’avouer – ou les nanas en chaleur. Que sait-on de lui ? Pas grand-chose, étant donné que monsieur ne veut pas parler de lui ou de son passé. Mais mes talents de détective m’ont poussé à en savoir plus. Accueillit par les Williams au même moment de son arrivée dans l’université, le jeune homme cache une lourde histoire. Du moins, s’il pouvait s’en rappeler.
24 novembre 2011, Cambridge. Un jeune homme est retrouvé inconscient, baignant dans son sang dans les rues de la ville, par une bande de jeunes racailles qui devraient plutôt penser à faire leurs devoirs s’ils ne veulent pas finir dans le même état à cause du gang qu’ils essaient de rejoindre. Il est envoyé immédiatement aux urgences les plus proches. A croire que la chance lui sourit – du moins, ça dépend comment on voit les choses, vu la suite des événements – et John Doe, surnom lui étant attribué à l’hôpital étant donné qu’il n’avait aucun papier sur lui, est tiré d’affaires, échappant de près à la mort. Les choses se compliquent à son réveil quand le corps médical découvre que le jeune homme ne peut les aider à l’identifier : et un amnésique, un ! Depuis, la mémoire ne semble pas lui être revenu, et Mme Williams, psychologue chargée du cas du black qui ne se souvient de rien, l’a accueilli chez elle. On pourrait presque créer une affiche Benetton pour cette famille, qui est de couleur jaune-noire-blanche à présent.
Alors, Ulükah, quand vas-tu faire marcher ton cerveau et nous raconter toute ton histoire ? On crève tous de savoir !
DYK?
- Commentaires
J’ai de la peine pour ce gars, mais aussi du respect. Je sais pas comment j’aurais réagi si j’étais retrouvé salement amoché et sans souvenirs, mais je pense pas que j’aurais l’air si « serein ».
Ulükah ? C’est qui lui ? C’est quoi ce prénom de merde ? Il a cru qu’il était à Hawaii ?
Je capte pas d’où sort le tréma. C’est lui qui a choisi son prénom.
Canon, je me le ferais bien.
Le plan de sa vie se trouve sur son corps. Prison Break revival !
C’est le comble pour un black de pas se rappeler qui est sa famille, vu comment ils se reproduisent, ceux-là !
Il est dans mon amphi de droit ! Une fois, j’ai essayé de lui parler, mais juste impossible de lui faire décrocher quoi que ce soit. Il est gentil, mais il se dévoile carrément pas.
J’ai entendu dire qu’il s’était fait agresser, et qu’il avait une sale gueule à l’hosto quand il a été trouvé. Par contre, je l’avais jamais vu ici avant.
« He knew too much. –A »
Moi j’dis “CHALLENGE” ! L’emmener à une soirée, le faire boire à mort, et voir comment il est vraiment !
Challenge accepted.
Arrêtez de vous acharner sur lui, mettez-vous à sa place quoi.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Tino ↬ ÂGE - 20 ans ↬ PAYS/RÉGIONS - PACA, France ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - MSN ↬ TES IMPRESSIONS - Joli :P ↬ CRÉDIT(S) - fanpop/Johanna/tumblr ↬ AVATAR - Chris Brown ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI ↬ LE MOT DE LA FIN - The end. |
(Invité)