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Insupportable et pourtant ... - Draco

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Insupportable et pourtant ...
Ft. Draco & Antonio

Il devait être 14h, Antonio n'avait pas cours les deux prochaines heures mais cela ne voulait pas signifier qu'il n'avait pas de travail, bien au contraire. Le jeune homme avait une tonne de copies à corriger. Quelle idée il avait eu de donner ce fichu devoir "Rédiger en espagnol votre meilleur souvenir" certes ce devoir avait pour but de vérifier l'aptitude de ses étudiants en rédaction espagnole. Il souhaitait savoir s'ils étaient à l'aise à l'écrit comme à l'oral dans sa matière. Et dans le cas contraire aidé ceux qui avaient des difficultés. Mais il n'avait à aucun moment imaginé l'ampleur de la tâche qu'il aurait ensuite à tout corriger. Surtout qu'il aurait du penser à les limiter à un nombre de pages voire de lignes parce que certains d'entre eux lui avait carrément remis des romans de Quatre ou six pages.

Assis derrière son bureau, il était quasi seul dans la salle des professeur, il n'y avait qu'un de ses collègues à l'autre bout de la pièce en train de faire des photocopies. Reposant son mug de café Antonio se replongeait sur la copie d'une de ses étudiantes ... Quand ... Il entendit la porte s'ouvrir et relevant la tête, légèrement curieux, ou prêt à saluer un collègue, il aperçut alors .... à sa plus grande surprise Draco Conwell. La surprise n'était pas forcément bonne, car depuis plusieurs mois, il tentait tant bien que mal d'éviter ce dernier, se contentant de leurs heures  de cours en communs. Et pour tout dire, l'article qu'il avait lu ce matin  l'ennuyait  profondément et l'avait mis dans un état de nerf certain. Un sourire taquin, limité amusé se dessinait soudain sur ses lèvres, avant de lui balancer.


Conwell ... Je sais que tu n'es pas un génie en espagnol .... mais il me semble cependant que tu saches lire en anglais ! Non ? C'est la salle des professeurs ici .... c'est noté sur la porte .... Ce qui veut dire que Toi ! Etudiant ! Tu n'as rien à faire ici.


© Belzébuth
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Depuis la sortie du dernier article de l'Harvard Crimsom, beaucoup de chose avait changé. Ma relation avec Ariane s'était aggravée, ma réputation avait empiré et les rumeurs me concernant ne s'étaient qu'amplifier. Sur le plan médiatique national, j'étais décris comme celui que la petite fille du président à trompé, un vrai looser. Voilà qui n'arrangeait certainement pas mes affaires, mon plan de me rapprocher de Ariane afin d'être bien vu dans la presse battait sérieusement de l'aile, et il fallait que je réfléchisse à tout prix à une nouvelle stratégie. Mais pour l'instant, j'avais autre chose à faire. J'avais envie de supprimer toute négativité autour de moi, et de me concentrer sur ce qui me rendait heureux, et Antonio y participait beaucoup ces derniers temps. Je me surprenais souvent en train de rire, ou sourire en pensant à lui, me forcer à passer vers ses salles de classe juste pour qu'il me voit, j'avais même songé à m'inscrire au club de théâtre, mais j'ai vite abandonné lorsque j'ai retrouvé mes esprits. Moi Draconnus faire du théâtre ? Et puis quoi encore. Je m'étais cependant aujourd’hui rendu en personne dans la salle des professeurs, afin de lui rendre ma copie d'espagnol, un devoir en retard que j'avais essayé de lui rendre depuis un moment, sans succès. Soit je n'étais pas chanceux, soit...il m'évitait « Désolé m'sieur, je vous ai cherché partout cette semaine, dans vos salles de classes, mais je vous ai pas trouvé...du coup je me suis permis de venir ici. » lui dis-je sur un ton neutre, mon cœur battait pourtant à 100 à l'heure, il ne me laissait vraiment pas indifférent « Voici ma copie » lui dis-je en lui tendant ma feuille.
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Insupportable et pourtant ...
Ft. Draco & Antonio

Il est vrai que notre homme était un professeur sérieux mais il était aussi un homme taquin, joueur. Il aimait plaisanter et même ennuyer son monde par moment . Et il fallait bien avouer que Draco était une de ses victimes préférées. Avec lui s'était devenu peu à peu un véritable plaisir. Leur première rencontre avait été si mouvementée et négative qu'il avait tout de suite conclut que le blondinet n'était rien de plus qu'un gosse de riche, un idiot prétentieux au sale caractère, et qui en plus dealait sans se soucier des conséquences juste pour se faire un peu plus de fric. Mais par la suite, à force de rencontres durant les dernières années, notre beau brun avait appris à connaître les différents côtés de ce mec et il dû bien admettre qu'il l'avait jugé trop vite ... bien trop vite. Et puis un jour - lors de l'attentat - il comprit aussi .... qu'à force de le croiser, de le fréquenter, de passer : des discussions aux disputes et aux divers jeux auxquels ils pouvaient s'adonner l'un et l'autre, comme la provocation par exemple. Et bien il avait fini par craquer, par être attiré par lui sans même s'en rendre compte. Et c'est pour ces raisons qu'il prenait du recul, qu'il l'évitait.  Parce qu'il y avait une trop grosse différence d'âge entre eux. Parce que Draco était un étudiant, un de ses élèves. Et aussi parce que Draco était un mec et surtout un hétéro. Oui pour toutes ses raisons Antonio avait pris certaines décisions.

Le jeune homme ne répondit même pas à la provocation, lui qui était si doué pour envoyer chier le monde. Mais là non, ce qui surpris légèrement Antonio. Ce qui l'étonna encore plus fut sa réponse. Il disait le chercher et en plus s'excusait ... combien fois l'avait-il fait avant ? Jamais ! Le sourire d'Antonio disparaissait peu à peu pour faire place à un air d'étonnement


Tu me cherchais ... c'est drôle ... j'ai toujours pensé que tu préférais ne pas me voir.  

Hop Autre petite taquinerie au passage. Alors qu'il tendait le bras pour attraper la copie qu'il lui présentait. Puis il y jeta un coup d'oeil, très, très rapide.

Désolé ... mais .... tu as beaucoup de retard ... je ne peux pas prendre ton devoir.


© Belzébuth
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Antonio n'était pas vraiment un professeur d'Harvard parmis tant d'autre, outre le fait qu'il était plus jeune, et particulièrement séduisant, il avait ce coté taquin et sarcastique qui m'énervait au plus haut point. Il était dur d'avoir le dernier mot avec lui, même moi, Draco, y avait du mal. J'avais pourtant eut l'habitude dans ma jeunesse d'avoir tous mes professeurs à mes pieds, un petit coup de fil ou compensation de papa, et hop je les avais dans la poche, mais avec lui cela ne marchait pas. De plus, je savais qu'il venait lui aussi d'un milieu fort aisé, étant donné que je l'avais déjà croisé à une soirée mondaine plutot luxueuse à New-York. Son petit air taquin habituel, changea soudainement pour laisser place à de l'étonnement, il avait l'air lui même, pas l'homme sans cesse en train de me remettre à ma place, mais juste Antonio, l'homme d'une trentaine d'année, qui m'attirait dangereusement. « C'était juste pour vous rendre ma copie. Je ne cherche jamais les gens, on me trouve. » ajoutai-je en souriant à mon tour de façon taquine. Je ne voulais cependant pas trop lui donner d'espoir, pas maintenant. Mes sourcils se plièrent lorsqu'il refusa de prendre ma copie « J'ai quand même fait l'effort de venir jusqu'à votre bureau, et puis une copie rendue vaut toujours mieux qu'une copie non faite ! » répondis-je avec une fausse indignation « J'ai pris 2 heures de mon précieux temps pour que nous n'acceptiez pas cette copie ».
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Insupportable et pourtant ...
Ft. Draco & Antonio


Antonio n’était pas du genre à se laisser amadouer par ses élèves que ce soit filles ou garçons, de toutes façons il agissait toujours avec égalité, il n’agissait pas en fonction du sexe, du statut, de la couleur ou autre encore. Non pour lui, tout le monde était jugé à la même enseigne il n’y avait pas de favoritisme, même pour ceux qui était ses amis, il avait des principes et il n’y dérogeait pas. C’était quelqu’un d’entier et de juste. D’ailleurs la plupart des membres de la confrérie Eliott ne l’aimait guère pour ça car leur argent ou leur nom n’avait aucun impact sur lui, il s’en foutait royalement. Alors même s’il était attiré par Draco, même si il avait surement envie tout au fond de lui de l’aider, ce n’était pas du tout son genre de faire du favoritisme, car alors il y aurait injustice. C’est pour cela qu’il disait ne pouvoir accepter la copie du jeune homme. Et non pas en réponse à la provocation du garçon qui disait qu’il ne le cherchait que pour ça et rien d’autre, car en général c’était aux autres de le chercher et pas à lui de faire le premier pas. Ce qui était surement vrai quand on savait qu’il vendait de la drogue, il était certain que ça devait être les pauvres consommateurs accro qui devaient le trouver pour obtenir leur dose du jour et penser soudain à cela gêna voire même déplu au professeur. Malgré son sourire taquin qui le rendait si sexy.

Je n’en doute pas … et avec un chien de flic je suis certain qu’on te retrouverait sans trop difficulté … juste à l’odeur.


Ce n’était pas très gentil, mais ce n’était pas faux pour autant. Draco savait que le beau brun était au courant de son commerce et qu’il n’aimait pas du tout ça. Alors il comprendrait rapidement l’allusion. Rapidement il reprit qu’il ne pouvait pas prendre sa copie. C’est alors que son sourire s’attachait à nouveau à ses lèvres, il semblait presque content de lui refuser son travail. Ou peut-être parce qu’il venait de lui rabaisser son caquet. Le jeune homme se défendait d’être venu ici jusque pour lui donner la copie, il ajoutait même qu’il avait perdu deux heures de son temps pour la rédiger. Ce qui de nouveau amusa Antonio. Qui ouvrit le tiroir de son bureau et en sortit un carambar qu’il pose sur son bureau, devant le jeune homme.

Je reconnais que tu as fait des efforts … voici un petit cadeau pour t’encourager.

Rhooo le vilain. Antonio le provoquait et en fait, il n’était peut-être pas juste avec lui. Car un peu plus tôt dans la matinée il avait accepté la copie d’un autre élève qui avait pris du retard alors pourquoi ne le faisait-il pas avec lui. Peut-être que là justement il faisait entrer en jeu sa légère colère. Qu’il sortit soudain sans s’en rendre compte. Les paroles passant ses lèvres sans qu’il puisse les retenir.  

Si tu travaillais autant que tu passes de temps à draguer …. Tu n’aurais peut-être pas eu tant de retard.


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Antonio avait une façon de se comporter qui lui était unique, et qui m'exaspérait. Il avait en fait une sorte de comportement bipolaire, un moment il pouvait vous paraître sympathique et fort agréable, puis à un autre il pouvait juste vous taper sur le systeme. Son refus face à la remise tardive de ma copie m'énervait, car il me connaissait et savait que si son cours ne m'intéressait pas, alors je n'aurais meme pas pris la peine de rendre sa copie, mais me serais contenté de ne pas la faire. Il était hors de question que je travaille ainsi pour rien. Pour ne rien arranger, sa répartie sarcastique avait aussi le don de me mettre hors de moi . Je me mis à jurer intérieurement avant de lui dire « Moi qui vous trouve dh'abitude en si charmante compagnie féminine dans les couloirs...je me suis bien demandé où est ce que vous vous cachiez... » je faisais là référence aux bon nombres de fois ou je l'avais observé en train de s'entretenir de manière plutot personnel avec d'autres profs, ou inconnues dans l'université, et cela je dois l'admettre, m'avait à chaque fois rendu jaloux. Le fait de le voir avec quelqu'un d'autre ne m'enchantait pas, je voulais le voir...seul, savoir qu'il serait toujours disponible, présent pour...moi. Je ne savais pas réellement ce que j'éprouvais pour lui, je ne voulais pas qu'il soit pour autant avec moi, du moins pas encore, mais je désirais juste le voir seul. « Je parie que c'est la charmante prof de français qui vous retiens de la sorte...voilà pourquoi je ne vous ai pas vu cette semaine » ajoutais-je malicieusement. Précher le faux pour savoir le vrai, mon activité favorite. Je ne savais pas encore comment j'allais réagir s'il m'affirmait qu'en effet, il fréquentait quelqu'un, cependant, je savais que cela ne me ferait guère plaisir. Il finit par la suite par sortir un carembar de son bureau, pour me le donner, avec comme dh'abitude une remarque désobligeante. « Très drole professeur, vous devriez aussi coaché le club des humoristes ». Puis je posai soudainement mes deux mains sur son bureau, et me penchais de manière à me retrouver à quelques centimètres de son visage, « Je ne drague pas professeur...je suis serieux et serais prêt à n'importe quoi pour que vous acceptiez ma copie » lui dis-je plus calmement, la proximité qu'il y avait entre nos deux visages était hallucinantes, j'avais insisté de la sorte pour lui faire comprendre de maniere indirecte que je ne draguais personne, que si lui désirais également me voir seul...et bien je le serais... 
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Insupportable et pourtant ...
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Antonio était parfois ce qu’on pourrait définir comme un emmerdeur. Il pouvait être si joueur, si provocant parfois et avec Draco cette partie de lui était multiplié par 10, par 100, par 1 000. Et ce depuis leur première rencontre, oui depuis ce jour et presque à chacune de leur rencontre le professeur d’espagnol prenait un malin plaisir à jouer avec le jeune homme. Mais ce n’était bien sûr pas sans réponse de ce dernier et c’est peut-être ce qui faisait le jeu n’en était que plus intéressant, plus jouissif qu’avec un tout autre partenaire. Et c’est surement aussi cette partie de l’étudiant qui avait fait et qui faisait toujours craquer Antonio, ça et tant d’autres choses que nous n’aurions pas le temps d’aborder maintenant parce qu’il y avait tant de choses avec tant de détails et de nuances que ça pouvait prendre une éternité à tout vraiment expliquer en détail. Antonio voyait qu’il arrivait à ses fins quand il remarqua le regard et quelques mimiques sur le visage de son partenaire. Et puis il ne fallut pas attendre longtemps avant que ce dernier riposte, il s’aventurait alors que le côté séducteur de notre professeur et sur les nombreuses rumeurs qui couraient sur son compte.

Effectivement il était un homme qui profitait de la vie et des femmes …. Enfin ce que personne ne savait c’est qu’il profitait tout aussi bien des hommes et oui notre beau brun était bisexuel. Et le sexe était un plaisir qu’il s’offrait souvent peu importe le sexe de son partenaire, le but étant de prendre de son pied et aussi et très souvent d’oublier tout le reste. Oui ce n’était pas le genre d’homme à s’attacher mais ce n’est pas pour autant qu’il ne croyait pas en l’amour, qu’il n’avait pas une partie romantique ou sentimentale. Simplement il ne s’en servait pas souvent, voir quasiment jamais, peut-être parce que de son point de vue personne encore ne l’avait mérité. Peut-être que personne n’avait encore réveillé cette partie de lui. Il n’avait encore jamais voulu partager plus qu’une bonne partie de jambes en l’air. Mais malgré ça, il y avait bon nombre de rumeur qui était totalement fausse. Oui il était un séducteur, un joueur, il aimait charmer et il était souvent en présence de belles créatures, de tout sexe d’ailleurs, mais jamais il ne coucherait avec un ou une étudiante, car c’était interdit par le règlement et aussi parce qu’il y avait tant de choses qui allait contre tout cela. A commencer par la différence d’âge, par les soucis qu’une relation de ce genre pourrait engendrer par contre …


La prof de français ?!

Il se mit à sourire et repris

… Effectivement elle me prend pas mal de mon temps en ce moment mais …

Il se redressa légèrement, restant assis mais décollant son dos du dossier de la chaise et se rapprocha du bureau allant même jusqu'à se pencher au-dessus puis il lui murmura.

Mais il y a aussi la prof de sport et la prof d’italien mais …. Ça reste entre nous … hein !

Il posa son index contre ses propres lèvres appuyant sur le fait que tout cela devait rester secret et ajouta un petit clin d’œil. Bien évidemment, il plaisantait car jamais il ne parlerait ainsi de ses collègues avec un étudiant. Oui il passait du temps avec ces femmes mais il n’avait encore couché avec aucune d’entre elle, mais si ça faisait plaisir à cet idiot d’y croire. Surtout que lui, au vu de l’article qu’il avait lu était bien le dernier à lui faire la morale. Il comprenait aussi pourquoi il rendait son devoir en retard et tout ça l’agaçait au plus haut point, même si ça ne devrait pas. Il devrait être objectif, il y arrivait toujours en général mais là non. Alors il ne put s’empêcher à son tour de lui faire une petite réflexion concernant ce qu’il faisait, ce dont l’article parlait au lieu de travailler. Mais le jeune homme sembla être bien ennuyé par cela au point de légèrement s’emporter, il posa soudain ses deux mains sur le bureau et se pencha à son tour en avant, se retrouvant soudain encore plus proche du visage de son professeur, qui écarquilla les yeux étonné de sa réaction lui qui en général gardait son self-contrôle et puis il y avait aussi ses paroles. Il disait ne pas draguer, être sérieux et vouloir tout faire pour qu’il accepte sa copie, il ne l’avait jamais vu si sérieux dans son travail. La surprise passé, Antonio esquissa encore un sourire.

Oki … alors … arrête de prendre et de vendre cette merde !

Son regard n’avait pas quitté le sien, il lui demandait d’arrêter toutes ses conneries avec la drogue. Il était quasiment certain que ce dernier refuserait mais pourtant il tentait le coup. Pourquoi ? Pour le chercher un peu plus ou il croyait vraiment pouvoir à lui tout seul changé ce type. Il devait y avoir un peu des deux après tout ne dit-on pas qui ne tente rien n’a rien. Et puis c’était si jouissif de jouer avec Draco.



© Belzébuth
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Nous étions si proche, que je pouvais à présent entendre sa respiration, voir sa langue bouger, ses lèvres s’ouvrir et se refermer, l'espace de quelques secondes j'eus envie d'y plonger les miennes et de les sceller une bonne fois pour toute. Mais j'en fus empêché par sa réponse. Donc j'avais finalement raison ? Il fricotait avec la prof de français, qui au finale n'avait rien de bien particulier ? « J'espère que c'est une blague... » Il finit par la suite à décréter qu'elle n'était pas sa seule prétendante, j'en fus sans voix. « Vous vous foutez de moi là ? Ce ne sont mêmes pas vos standards! » Lâchai-je choqué, je reconnaissais avoir eut un certain culot d'avoir dit une chose pareille, car après tout comment étais-je supposé connaître son goût ? « Je suis votre standard » me dis-je cependant à moi même, dans ma tete. Ses confidences venaient de me décontenancer, m'énerver, j'avais envie de lui mettre une gifle en plein visage, il n'avait pas idée que ses paroles venaient quelques peu de me blesser, mais après tout comment pouvait-il savoir ? Je n'avais pas le courage de lui avouer mes sentiments, non, pas quand en plus il me révélait avoir autant de prétendantes et non de prétendants, moi qui m'étais mis à penser qu'il était au moins bi, j'avais sérieusement du me tromper. D'une voix basse, je lui murmurais « et bien tant mieux pour vous » puis je ressenti le besoin de mentir « au moins ça nous fait un point en commun, j'ai moi même une petite copine, mais avec elle c'est plus sérieux, on va se fiancer très prochainement » renchéris-je avec un petit sourire provocateur. Puis il me répondit à mon petit marché en me demandant d’arrêter de prendre et vendre quelque chose. Mon cœur se mit à battre fort, parlait-il de la drogue ? Je n'en étais pas sur, car je ne consommais pas de drogue, mais en même temps c'était la seule chose que je vendait. « De...de quoi parlez-vous ? Je crois que vous faites erreur... » répondis-je en hésitant, il ne fallait pas qu'il soit au courant de ça, c'était une mauvaise idée.
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La réaction de l’étudiant fut surprenante, Antonio ne s’attendait pas à cela et surtout il ne comprenait ce qui lui prenait et puis surtout c’était quoi cette histoire de standards ?Un sourire à nouveau se dessina sur les lèvres du beau brun.

Pardon ? Mes standards ? Je ne savais même pas que j’en avais … mais … et TOI ! Qu’est-ce que tu en sais et surtout qu’est-ce ça peut te foutre ?

Il y allait un peu fort mais en même temps il se demandait de quel droit il venait fourrer son nez dans ses histoires de cul. Cela le gênait premièrement parce qu’il avait pas du tout envie de parler de ça avec lui, oui surtout pas avec lui. Et puis aussi comment il pouvait venir parler de ça alors qu’il y avait tout un article le concernant lui et ses frasques et qu’en plus il sortait avec cette petite idiote, qui l’agaçait royalement au passage. Surement pour l’énerver ou pour confirmer les rumeurs ridicules qui couraient sur lui, il lui avouait alors toutes les personnes du moins prof avec qui il fricotait, cela l’amusait c’était certains. Draco le félicitait alors et cela l’énerva mais il bon acteur il ne laissa rien transparaître et gardait même son petit sourire aux lèvres. Mais bon sang, il avait juste envie de se lever de l’asseoir sur la table derrière lui et l’embrasser. Ce petit idiot qui croyait tout savoir, tout connaître et qui en réalité ne connaissait rien du tout, surtout le concernant. Mais il ne pouvait pas le faire, il y avait tant de chose contre ça. Et cette envie de l’embrasser se transforma en colère, tout à l’intérieur, il bouillonnait de l’entendre parler de cette fille, des projets qu’il avait avec elle. Lui qui avait toujours détesté la violence de son père avait fini par lui ressembler par certains côtés, parfois il avait pu être incontrôlable et là .. et bien il se contrôlait mais pourtant, serrant le poing droit, il avait envie, très envie de le cogner, de le faire taire. Mais il se contenta de répondre.

J’imagine que je dois te féliciter … Vous êtes assez identiques l’un et l’autre.

Etait-ce un compliment, ça aurait pu l’être mais ça n’en avait pas forcément l’air, surtout en sachant comment était la relation entre la fameuse prétendante et le professeur d’espagnol.

… Qui se ressemble s’assemble dit-on … il faut croire que c’est vrai.

Reprit-il. Il y aurait tellement à dire sur ce sujet mais il ne le voulait pas, Antonio préférait passer à autre chose. Il ne voulait plus en parler, ce n’était pas le lieu, ni le moment et puis c’était aussi et surtout inutile de toute façon. Alors il reprit le sujet principal, son devoir et c’est alors que le jeune homme lui disait vouloir, pouvoir tout faire pour qu’il l’accepte, alors il lui demandait de ne plus consommer, de ne plus vendre sa poudre. Et alors il faisait genre : je ne sais pas de quoi vous parlez. Il le prenait pour un idiot ou quoi. Agacé légèrement, Antonio se leva de sa chaise.

Arrête de faire le con tu veux.

Il contourna son bureau et se plaça dans le dos de Draco, il approcha son visage du sien, son torse parfois effleurait ses omoplates. Et tout bas, murmurant, dans un léger souffle, il reprit.

Je parle de la poudre, de la merde que tu vends pour te faire un peu plus de fric !

Il le disait en étant si proche pour lui faire un peu peur, pour faire monter la pression mais aussi pour que personne ne l’entende. Ne le sache, il ne voulait pas non plus le foutre dans la merde et ainsi aussi il avait peut-être le moyen de lui foutre les jetons, comme s’il le menaçait, comme s’il avait quelque chose contre lui. Peut-être que tout cela le ferait réfléchir et réagir.  



© Belzébuth
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