Accueil
Invité
est en ligne
Invité
C'est le 3 novembre 1988 à Sparte, que les membres de la famille Sforza-Cesarini m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Hadès-Pandore en désespoir de cause et n'ayant pu trouver plus original. Je suis en quête de la place qui est le mienne et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis un esprit en permanente apocalyspe et par accession un handicapé social. Je suis issu du sous-prolétariat grecque. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de neuroscience en majeur et anthropologie en mineur depuis sept ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Winthrop. | Hadès-Pandore Sforza-Cesarini Looks alot like Gaspard Ulliel |
Hi ! 
Sur internet on m'appelle H. et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une mémoire qui me fait défaut. J'ai adhéré au concept ainsi qu'au graphisme alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gaspard Ulliel comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya ou Morphine. Je tourne autour de 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Cartel ou la vénus à la fourrure. Je n'arrive pas à me décider.
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
Sur internet on m'appelle H. et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une mémoire qui me fait défaut. J'ai adhéré au concept ainsi qu'au graphisme alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gaspard Ulliel comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya ou Morphine. Je tourne autour de 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.Mot de la fin ? ▲ Cartel ou la vénus à la fourrure. Je n'arrive pas à me décider.
Je souhaite ▲
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE U.C | DUNSTER Hadès, il est juste fasciné par l’humanité. De loin, il observe, analyse, note, dissèque les mouvements, les formes, les natures, les conduites. Il est maître en son sens du détail, il n’est jamais là, au jour présent. Reculé en son esprit tortueux écrasé de questions existentielles et d’informations inoubliables, il sait beaucoup, en silence. Les dunsters, l’élite culturel ? Les grands ambitieux ? L’exigence pécuniaire et, par ce fait, le désir inégalable de sortir du contexte sociale dérivé d’une naissance malchanceuse n’est-elle pas justification suffisante ? En tout cela, il présente les symptômes, les traits stéréotypés dira-t-on plutôt, du génie perdu, incompris et asocial. Des cahiers et des cahiers entiers sur les différents comportements, aspects et physionomies de chaque étudiant, professeur ou employé qu’il a eu l’occasion de croiser. Oui, Hadès, c’est celui qui fait peur assis sur un banc là-bas, celui à qui personne ne parle et qui te regarde, intensément, et finalement te parcourt de frissons incommodes; tu t’éloignes et tu sens toujours son attention fixée sur toi, jusqu’à la fin. Oui, il est de ce genre là. L’humanité juge l’apparence, le sourire, les vêtements, les rumeurs, et s’il vous arrive de déplaire à l’humanité, en tout cela, elle se détournera de vous et ne cherchera jamais plus loin. Hadès, il est gentil, il n'a d'apriori sur personne, tu peux être le toxico du coin, le rockeur aux chaussures troués du bar d'en face, la camée héroïnomane et porteuse du SIDA, le clochard de la rue d'à côté, batman, l'empereur du nouveau-Mexique ou la reine des poneys bleus, Hadès il t'invite dans son sanctuaire, avec plaisir. Mais voilà, Hadès, personne ne veut entrer dans son petit monde à lui. Le pauvre roi autoproclamé du laboratoire de neuroscience, perdu au fond du couloir. Il fait peur, certes, il rend nerveux, il est angoissant. Mais, tout le monde le connait, « lui là bas, c’est doc, t’approches pas de trop, il mord », « ha, fait pas attention et le regarde pas sinon il ne te lâchera plus », « Passe à côté sans regarder, aucun contact visuel, c’est la règle », « il parait que c’est un serial killer dans son pays d'origine et qu'il a obtenu l’asile politique », absurde, grotesque, les rumeurs prennent toujours des proportions incontrôlables et le téléphone arabe a sitôt fait de rendre la fumée de quelques braises inoffensives en une tempête obscure, des abysses de ténèbres et l’orage du siècle. Alors les plus intelligents d’Harvard ? Son souhait de s’élever dans la société triomphant de son étrangeté manifeste et son incapacité marginale de se socialiser correctement, il est susceptible d’y gagner sa place. à l’humanité de juger. WINTHROPE U.C |
(Invité)
