MAYDISON HAYLEY WHEELER •• Miranda Kerr.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle cj.pomme et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à prd, mais j'y étais auparavant puisque j'avais eu Ruby Dos Santos avec l'avatar d'Adriana Lima, puis Victoria Justice, mais j'me suis pas vraiment mise dedans. Je reviens plus forte mes amies.  J'ai toujours adoré ce forum alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Miranda Kerr comme avatar, d'ailleurs les images ont été prises sur Bazzart. Je fais environ 200 - 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Je vous aimes tous  .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

« Je suis née à Sydney, la capitale de l’Australie. Et j’ai vécue là-bas durant des années. C’est la base de ma vie cette ville, même si je n’y suis pas rester des lustres, a peu près dix-huit ans quand même. Mon père, Aaron, n’était qu’un simple ouvrier et ne se faisait pas une paye de ministre. Quant à ma mère, Mia, elle avait un petit job très peu sympathique à la cantine de mon école privée. Autant vous dire qu’étant plus jeune je n’avais pas tout ce que je voulais contrairement à aujourd’hui. Ma vie n’était qu’une simple routine complété par des dettes qui n‘en finissait plus. J’ai également un petit frère, il est toujours à mes côtés, il s’appelle Matthew. C’est mon petit prince, celui qui me remonte le moral lorsque je pleure de ne pas pouvoir obtenir le sac à main Guess dernier cris ou encore le nouvel iphone. Enfin vous voyez quoi. Moi je n’avais rien de tout ça et pourtant tout le monde le croyait, allez savoir pourquoi ? Peut-être parce que j’étais une fille très bien élevée, le genre de fille a mettre une serviette sur ses genoux à table ou encore celle qui lève le petit doigt pendant qu’elle boit un café avec les copines à sa mère. Personne ne savait réellement l’enfer que je vivais. On dit que l’argent ne fait pas le bonheur, mais détrompez-vous, car cela arrange beaucoup de choses !

Ma vie a vraiment changer lorsque j’avais dix ans. Une simple petite fille, toujours très propre et qui dégageait une très bonne image d’elle. J’ai été repéré dans la rue avec ma mère sur le chemin de l’école. Repéré pour participer à un concours de Mini miss Sydney. Beaucoup de monde participait à ce concours et je ne pouvais en aucun cas y participer puisque mes parents n’en avait pas les moyens. Déjà étant enfant j’aimais beaucoup posé devant mon miroir et à me prendre en photo comme un mannequin et on a toujours dit de moi qu’un jour je serais mannequin. Un rêve en effet. Et là, c’était une belle opportunité qui s’offrait à moi, mais elle n’est pas venu au bon moment. Du moins c’est ce que j’ai pensé au début. Deux jours après, tout mes proches ont donné un peu d’argent pour avoir l’argent requis. Mes parents y croyait dur comme fer et ils ont eu bien raison puisque j’ai gagné ce concours. De là, je suis passé à la télé et un peu d’argent rentrait sur le compte de mes parents. Ils n’en voulaient pas, mais j’ai insisté afin qu’on ne s’écroule pas sous les dettes. Oui, j’étais une fillette responsable à dix ans. Les années d’après j’enchaîne de nombreux concours où j’ai toujours terminer dans les trois premières. J’ai sus de suite que j’étais née sous une bonne étoile. Voilà ce qu’il en est pour ma carrière professionnel.
En dehors de ça, j’ai eu mon premier petit copain à quinze ans. « Un amour de jeunesse, un amour si fort, mais un amour qui nous blesse. » J’étais amoureuse de lui, tellement amoureuse que lorsque notre histoire s’est brisé j’ai cru que ma vie était foutue. On est sortie ensemble pendant deux ans, c’est avec lui que j’ai tout fait. Il était impossible pour moi de m’imaginer sans lui jusqu’à ce que cette fille apparaisse dans sa vie. Aujourd’hui, j‘ai bien avancée et j‘ai beaucoup appris. Il restera ma plus belle histoire malgré tout.
A mes dix-sept ans, j‘ai perdu un être cher à mes yeux, mon père. Je souffre encore en silence à l‘heure actuel car il était tout pour moi, mais vraiment tout. C‘était mon repère, mon modèle. Lui et moi on avait ce lien qui nous unissait, ce lien si fort entre un père et une fille. Il me manque, ce n’est pas par vagues, c’est constant, sans répits. Ma mère cachait sa peine, mais au fond je savais qu’elle était détruite, anéantie. Et Matthew, bien trop fier pour montrer ce qu’il ressent. Il garde tout au fond de lui. Je le connais comme si c’était moi qui l’avait fait. Il est malheureux et détruit. Je l’ai tellement bien cerné qu’un jour il en a pleurer. Ce jour-là, j’ai vu le vrai Matthew. J’aime mon frère plus que tout et ce drame nous a encore plus soudé.
Par la suite, on vivait au jour le jour sans se soucier de rien, ni même des dettes qui commençait peu à peu a disparaître. Un soulagement. Mes petits concours me faisait gagner de l’argent, assez pour qu’on sorte la tête de l’eau. Et puis un jour, a notre grand bonheur on a gagner a la loterie. 1.000.000 d’euros sur notre compte en banque. De là, ma mère décide de nous inscrire dans la plus prestigieuse université des États-Unis : Harvard. Je ne pouvais qu’être heureuse, de plus j’avais découvert un domaine d’études magique, qui me plaisait réellement. Les langues et la littérature. Je souhaite devenir "écrivaine". Bon j’aime pas du tout ce mot là, mais je préfère dire ça qu’écrivain. Voyez-vous ? Ma vie a encore plus changer à cet instant précis. Matthew est devenue quelqu’un de bien, ancien drogué, il a suivie une cure durant quelques mois et cela la rendu meilleur. J’en suis fière. J’ai également pris une option sport puisque je suis une très grande sportive. Bref, le bonheur nous souriait enfin.
A l’université, j’étais une fille digne de ce nom. La vraie beauté fatale, tout le monde me respectait et j’en jouait beaucoup. J’ai tous les garçons que je veux à mes pieds, donc beaucoup d’avantage. Seulement voilà, a mes vingt et un ans j’ai appris que j’étais enceinte. Qui l’aurait crût ! Le père ne m’aime pas ou du moins, il ne m’accorde pas beaucoup d’importance. Malgré ça, il était trop tard pour penser à l’avortement et en toute franchise, je ne pouvais pas faire ça. Tuer un petit être qui grandissait dans mon ventre c’était purement impossible. J’ai donc décidé de le garder et de mettre mes études en stand by pendant ses neufs mois de grossesses. Le père n’a rien voulu savoir et a même quitté les États-Unis. Il ne voulait aucun lien avec l’enfant, ni même avec moi. J’en ai pleurer, j’ai beaucoup souffert durant cette période. Heureusement mon frère était là pour m’aider, ainsi que ma mère. J’ai donc beaucoup réfléchis et j’ai fais la pire erreur de ma vie. J’ai accouché sous X. Abandonné son enfant est la chose la plus horrible que l’on puisse faire et je le savais bien. Mais je ne voulais pas d’enfant, pas maintenant. C’est donc pas loin d’il y a deux ans maintenant que j’ai décidé de rendre visite à mon fils au moins une ou deux fois par semaine avec l‘accord de sa nouvelle famille ainsi que d‘un juge. Malgré que je ne voulais aucun lien avec ce bébé, aujourd’hui je tente de racheter ma conduite d’il y a trois ans. Pour le moment, je ne songe pas à le reprendre vers moi. Je souhaite terminer mes études en toute sérénité. »