Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[FLASHBACK] - " Not afraid, i'm with you " ♠ KONRAD
Le Deal du moment :
Pokémon Évolutions Prismatiques : ...
Voir le deal


[FLASHBACK] - " Not afraid, i'm with you " ♠ KONRAD

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Konebony

Non, non, c'était pas possible, je nage en plein cauchemars, je n'arrive même pas à réaliser ce qu'il vient de se passer. Pourquoi ? Pourquoi Harvard ? Pourquoi nous ? Toutes ces questions auxquelles il n'y aura jamais de réponse, j'ai la boule au ventre, je me sens pas comme d'habitude, une sensation bizarre, j'ai la tremblote, j'ai mal de partout alors que je ne suis pas blesser. J'ai besoin de me rassurer, j'ai besoin de le voir, savoir que tout va bien, qu'il n'a rien eu, Konrad bordel dit moi que tu vas m'ouvrir la porte, que tu seras chez toi dans un état pas possible comme d'habitude, que tu vas me crier dessus de taper aussi fort à la porte, dit moi juste que t'es là, que tu ne m'abandonne pas toi aussi. J'attend devant sa porte, regardant les rues, clignant des yeux plus de fois que la normal, je recule pour regarder vers les fenêtre, j'étais tenté de crier son prénom, mais j'avais la gorge nouée. - Putain Konrad, ouvre la porte j't'en supplie ! Murmurais-je à peine audible. J'avais froid, j'étais pas vraiment habillé, je sortais de ma chambre, j'étais en pyjama, j'ai même pas pensé à me couvrir, je suis partis en bombe sans réfléchir. Je croisais les bras contre ma poitrine, j'avais des frissons partout. Mon dieu... Dîtes moi que je rêve...

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

konebony

† Not afraid, i'm with you. †

Pourquoi ? Pourquoi il a fallut que ça tombe sur moi ? J'ai déjà assez eu de merde comme ça, j'ai l'impression que je paye le prix de toutes ces années de conneries, de liberté, de débauche et j'en passe, elle a été la seule chose qui m'a maintenu en vie, la seule qui faisait barrage entre un suicide et la vie et on vient de me l'arracher, mon trésor, ma petite sœur, elle n'avait rien demandée, si entre nous deux un malheur devait arriver, c'était à moi, c'était moi le connard, moi l'erreur, elle devait rester en vie, pas partir, pas si brutalement. Apprendre en fin de journée que sa sœur n'a pas survécu à un putain d'attentat à la bombe sur le campus causé par un foutu détraqué, c'est une balle en pleine tête, j'ai même pas pu aller sur le campus, les flics, les pompiers, les ambulances, les équipes de déminage, toute la clique était au rendez-vous, j'avais stressé comme un taré, je crois avoir battu le record du mec qui a appelé le plus un numéro en une après-midi, qui a laisser le plus grand nombre de messages, j'aurais du aller sur le campus, faire en sorte qu'elle s'en sorte mais non, j'ai préféré me remettre d'une soirée, et dormir toute la matinée jusqu'à être réveillé par ce tremblement, la détonation de cette bombe. Recevoir cette lettre de l'hospice, cet acte de décès, je le tiens toujours dans les mains, il est quoi ? 19h ? J'ai pas bouger du lit depuis que je l'ai reçu, je suis en mode dégueu, jogging et marcel, même pas une douche de prise et dieu sait que ça me ferait du bien mais j'ai tellement du mal à réalisé, j'ai jamais autant bloqué sur quelque chose, et aussi j'ai jamais autant pleuré, j'ai l'impression que tout s'écroule autour de moi, c'est même plus qu'une putain d'impression. On ne toque même pas à ma porte, on frappe, je reconnais cette voix, ce timbre de voix habituellement doux et apaisant, sensible et craquant est devenu crispant, apeuré et perturbé, c'était la voix d'Ebony. Je me levais, je me sentais si lourd, le trajet jusqu'à la porte d'entrée fut interminable et pourtant je réussissait à ouvrir la porte, j'aurais du prier pour que ce moment vienne, j'avais besoin de la femme de ma vie et elle était là devant moi, j'avais perdu la première femme de ma vie avec cet attenta, il ne m'en restait plus qu'une et elle était là et j'arrivais même pas à parler, juste à trouver le courage de lever les yeux sur elle et d'essayer de ne pas chialer.

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Konebony

Un grincement, un soupçon d'air frais passant sur mon corps, de légers claquements de dents, une odeur de tabac ressortait de chez lui, comme d'habitude ça empèstait le tabac à pleins nez, j'y étais habitué maintenant à force de squatter chez lui. Il était là, debout devant moi, les yeux rouge, le regard froid, il avait l'air si fragile, si fatigué, c'était la première fois que je le voyais dans cet état, la première fois qu'il abandonne cette foutue image de bad boy pure et dur, je pouvais le voir enfin mis à nu, il était juste lui, encore un enfant, il était perdu, ça se lisait sur les traits de son visage. Aucun mot ne sortit de ma bouche, aucune réaction pendant quelques secondes, je le dévisageais, ouf ! C'était bien lui, il n'était pas partit, il était toujours présent. Dans un élan je agrippais à son coup, reniflant son cou et le pressant encore plus fort contre moi. Je finis par enfouir mon visage dans le creux de son épaule, lâchant des larmes silencieuses... Je finis par relevais la tête, il était beaucoup plus grand que moi, j'habillais ses joues chaudes de mes mains encore glacées, le regardait sans dire un mot, on entendait juste pas respiration plus lourde. - Putain, c'que tu me fais du bien ! Je le regardais il avait l'air anéantit, pourquoi ? Pourtant il n'est pas blessé à première vu. - Y s'passe quoi Konrad ? M'dit pas que t'as étais touché ? Je balayais du regard son corps, j'étais frustré, j'avais peur de trouver une quelconque blessures sur sa peau, j'pouvais pas voir ça, j'aurais pas supporté qu'il est quoi que ce soit ! Je finis par dépasser le pallier, refermant la porte, entraînant Konrad sur le sofa. Ma main dans la sienne, sa main que je ne pouvais lâcher, je la tenais si fort, sans m'en rendre compte. - C'est quoi qui va pas ? Dit moi, reste pas silencieux !

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

konebony

† Not afraid, i'm with you. †

Je trouve cette force au plus profond de moi pour agripper la poignée de la porte et l'abaisser pour l'ouvrir, laisser passer cet air, faisant ressortir toute cette odeur de tabac froid, de tristesse, de désespoir et de douleur, tout ce mélange arrivait dans ses narines, mes yeux trouvaient aussi ce courage pour la regarder en face, je ne sais pas comment j'ai trouver cette force, c'est peut-être savoir que ce fut elle qui frappait si fort à la porte, c'est aussi le fait de ne pas quitter ses yeux, je me sens tellement abandonné, quelques secondes à restés là, immobiles, elle comme moi puis elle vient passer ses bras autour de moi, se jeter dans mes bras, et je trouve toujours de la force pour la serrer contre moi, entourer mes bras autour de son bassin. Si j'avais trouver la force pour sentir sa présence contre moi, je ne trouvais pas la force pour ouvrir les lèvres mais à moi aussi ça me faisait tellement du bien de la voir, de la sentir contre moi, tellement du bien que ses mains sur mes joues me donnaient des frissons mais même pas je pouvais répondre à sa question, je la laissais prendre ma main, m'amener jusqu'au canapé en la laissant entrer et refermer la porte, elle était inquiète, je le savais juste en lisant dans son regard. Même assis l'un à côté de l'autre, elle ne lâchait toujours pas ma main, ses yeux ne quittaient toujours pas mes yeux, et elle recommençait à insister sur le pourquoi du comment, savoir pourquoi je vais si mal, savoir pourquoi je suis si vidé, je serre un peu plus sa main et j'arrive enfin à trouver je ne sais où cette force pour ouvrir mes lèvres Madelyn... ma petite sœur, morte dans les décombres, je n'arrive pas à me retenir, je ne quitte pas ses yeux et même si je la fixe toujours je sens les larmes couler sur mes joues, je me sens si faible face à elle en cet instant, mais j'arrive pas à me retenir, cette fierté de garder cette image forte du connard peut pas surpasser la peine que je ressens sur la prunelle de mes yeux qui vient de s'éteindre.

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Konebony

Je grelottais encore, j'avais tellement froid, depuis c'matin, c'foutu matin... Je suis en short alors qu'il fait moins vingt-cinq degrés au soleil et moi j'me trimbale pratiquement à poil. J'en avais rien à battre à ce moment-là, j'me foutais complètement de l'allure que j'pouvais avoir, de la façon dont j'étais vêtue, le froid n'étais que le dernier de mes soucis à cet instant. Je lâchais enfin la main de Konrad pour passer les miennes sur mon visage en reculant sur ma crinière. Je n'en revenais toujours pas, j'avais encore du mal à y croire, bordel se silence devenait insupportable, j'arrivais plus à réfléchir à quoi que ce soit, je ne pouvais même pas appeler ma famille pour leur dire que je vais bien, j'ai plus de famille depuis trois piges maintenant, le seul qui me reste c'est lui ! Konrad, juste Konrad et là c'est lui qui avait besoin de moi. Madelyn... Sa soeur, pourquoi il me parle de sa sœur d'un coup ? - Comment elle va ?! Tu veux que j'l'appelle pour toi ? J'ai de la batterie encore ! Je sortis mon portable de la poche avant, commençant à faire défiler le répertoire afin de tomber sur le numéro d'Madelyn, j'lui tendis le téléphone jusqu'à ce que je vois son regard, jusqu'à ce que je vois ses yeux remplis de tristesse. Non... Non..Ne me dit pas ça bébé, je posais mon portable sur le canapé, ma voix était tremblotante, il n'avait rien dit mais j'avais deviné, il me rappelle moi quand j'ai su que ma mère...Enfin que voilà. Je descendis les genoux à terre, prenant son visage dans mes mains, le rapprochant contre le mien, des gouttes d'eau salées tombaient sur mes joues, je fermais les yeux, baisant son front. - Ecoute moi bébé, tu vas t'en sortir, dit toi qu'elle est mieux là où elle est, qu'elle est enfin en paix, qu'elle a trouvé le calme et le répit ! Faut qu'tu sois fort pour elle, hein qu't'es fort bébé ?! S't'euplait, écoute moi, calme toi, tout c'que tu feras n'y changera rien, j'suis déjà passé par là et je sais le mal que t'endures mais dit toi que tout va passer, t'oublieras pas mais ta peine s’apaisera et tu vivras avec.. Ne fait pas de connerie, je sais que tu seras tenté comme moi je l'est aussi était à un moment mais tu te feras encore plus de mal qu'autre chose ! Ca servira à rien de te mettre dans tous ces états, ça ne changera absolument rien ! Je parlais, je sortais les grands discours mais tout c'que j'dis c'est du blabla, sa soeur, sa moitié est partit et moi j'lui baratine le crâne avec de la même merde qu'on m'a sortit autrefois ! J'suis vraiment pathétique desfois...

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

konebony

† Not afraid, i'm with you. †

Elle était enfin rentrée, on étaient assis sur le sofa, elle tenait encore ma main, la serrant sans se rendre compte de la poigne qu'elle exerçait, je crois qu'elle se rendait pas trop compte des choses en ce moment même, elle avait même douté que je sois encore là et depuis qu'elle sait que je suis là, depuis qu'elle s'est collée contre moi pour me sentir et sentir ma chaleur la réchauffer, elle ne réalise que ça et le reste passe à côté. Elle lâche finalement ma main lorsque mes lèvres s'ouvrent pour juste sortir le prénom de ma défunte petite sœur et je la vois dès lors s'affoler, me proposer son portable pour l'appeler mais ça ne sert plus à rien, elle ne décrochera plus jamais et pourtant même si elle me voit laisser couler les larmes, elle continue dans sa lancée à sortir son portable composer le numéro de sœur et au moment où elle le porte à mon oreille, ses yeux fixent les miens et je crois que ce n'est que maintenant qu'elle comprend, qu'elle sait pourquoi je suis si vidé, si triste, si froid, elle se rend compte que ma sœur ne décrochera pas, elle vient de comprendre. Elle laisse son portable glisser de sa main sur le canapé, elle laisse ses genoux glisser sur le sol et ses mains venir tenir ma tête, ses douces lèvres embrassent mon front et elle colle ensuite celui-ci au sien, je fermais les yeux ne pouvait cesser de pleurer et elle aussi elle s'y met, c'est vrai qu'elle adorait Madelyn, parfois elles pouvaient aller dans des délires toutes les deux, elle a autant de peine pour moi que de la peine pour elle-même en sachant que ma petite sœur est décédée. Elle me sort un long discours, plusieurs minutes de parlotes, je l'écoute mais je crois que ça ne sert vraiment à rien, enfin elle fait ça pour moi, me réconforter et je la remercie de tout cœur mais je ne retiendrais rien de tout ça, je suis trop blessé et perdu Pourquoi on me l'a arraché ? j'ai besoin de poser ces questions, besoin de trouver des réponses Pourquoi elle et pas moi ? me voilà à céder dans ses bras, je viens plonger ma tête dans le creux de son cou et lâcher toutes les larmes de mon corps, je la serre fort parfois même trop fort sans m'en rendre compte, j'ai même du mal à respirer mais je m'en fou presque, je continue de pleurer, j'arrive plus à m'arrêter.

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Konebony

Tout à une fin, vraiment tout et même la vie ! Y'a rien à faire, on est là dans c'monde complètement merdique, à essayer de vivre ou plutôt de survivre pour certains. Ouais Konrad venait d'en faire le test aujourd'hui, sa petite soeur, sa vie, son sang n'était plus là, à croire que toutes les personnes qu'on aime finissent un jour par s'barrer et à nous laisser seule contre tous, seule face à soi-même. Et là on s'dit qu'on sert vraiment à rien dans cet univers, on est juste des pions, on a aucun pouvoir et même les plus riches crèveront un jour. Je restais planté devant lui, toujours à terre, ouais ça signifiait bien le sentiment que j'ressentais, plus aucune force, démoralisé... Je n'avais rien à dire, aucune réponse à ses questions, il n'y avait rien à répondre, c'était comme ça et puis c'est tout ! Il éclata en pleure, mon cœur se pressa en entendant ses sanglots, j'étais juste impuissante, j'ne pouvais pas apaiser sa colère, sa tristesse, ni lui faire oublier, que l'temps pour faire ce genre de truc. Ses larmes avaient mouillées mon tee-shirt, je caressais sa chevelure en regardant le mur blanc face à moi, vide de sens, vide d'expression. - Arrête.. Je finis par me relever, fallait pas qu'on reste comme ça, fallait pas qu'il se noie dans sa tristesse, c'était mauvais et c'était le meilleur moyen pour déprimer. - Bébé, allonge-toi, repose toi, ferme les yeux et ne pense plus à rien ! Je resterais près de toi jusqu’à ton réveil en espérant que t'iras mieux après ! Le sommeil et le seul moment où tu peux trouver la paix en étant encore en vie, et, encore la paix n'est pas toujours au rendez-vous. Je l'aidais à s'allonger sur le canapé, j'pressais le pas vers sa chambre et en tira une couverture, je le recouvrais avec. Je m'asseyais par terre, prenant sa main dans la mienne et posa ma tête contre la sienne. Je caressais sa main, p'têtre que ça l'aidera à s'endormir, du moins j'l'espère.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

konebony

† Not afraid, i'm with you. †

J'avais arrêter de jouer celui qui résiste à tout, ce qui vient de se passer vient de me tuer de l'intérieur, mon cœur vient de se briser en miettes, ma sœur, ma petite sœur vient de partir, elle a été une des nombreuses victimes de cet attentat et je n'en veux pas au mec qui a fait pété le campus, j'en veux à moi, je n'ai pas été un exemple pour elle, j'ai merdé en profitant de ma vie sans me soucier de la sienne, j'aurais du aller en cours et faire en sorte de garder un œil sur elle mais non j'ai joué les égoïstes comme toujours, je m'en veux putain, c'est de ma faute si elle est morte, de ma faute si je me retrouve seul, je récolte la merde de ce que j'ai semé comme connerie au final. Je cédais pour éclater en sanglots dans ses bras, j'arrivais pas à m'arrêter, la première fois qu'elle devait me voir ainsi, et je le regrettais sincèrement mais j'en avais besoin, paraitre faible pour une fois ça faisait du bien, se lâcher, lâcher toute cette douleur que je ressens dans ces larmes qui coulent autant que sur mes joues que sur son t-shirt, je la remercie d'être là, même si je ne lui dis pas, je sais qu'elle sait que je le pense, c'est ma meilleure amie après tout, elle me comprend sans que je dise le moindre mot. Elle me dit d'arrêter, elle se relève et me propose de m'allonger, c’est vrai que dormir peut m'aider, elle m'aide à me relever et m'allonger sur le canapé et m'abandonne quelques secondes pour faire le trajet jusqu'à ma chambre et revenir ici avec une couverture, elle prenait soin de moi, je me calmais, j'arrêtais de verser des larmes, je sentais la chaleur de la couverture recouvrir mon corps faible et froid, elle s'asseyait par terre, son dos reposait contre le sofa et sa tête contre la mienne, je sentais les caresses de sa main dans la mienne, je fermais les yeux, j'étais bien là. Mes yeux s'ouvraient de nouveau, elle était toujours assise ici, sa main tenait la mienne mais plus de caresses, elle s'était endormie, je m'enlevais du canapé en silence, la laissant dormir, je prenais mon portable sur la table basse, un sommeil de 2h, j'en avais vraiment besoin au final, j'allais à la fenêtre, la nuit claire me faisait mal aux yeux mais je m'en fichais , j'ouvrais la fenêtre et je portais une cigarette à mes lèvres, l'allumant et tirant dessus et scrutant par moment le visage de ma bony endormie.

Code by Cookies., don't give it without permission.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)