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SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook

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C'est le dix janvier 1991 à New York, que les membres de la famille Herondale m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Samuel Bryce.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme (majeure) et de relations internationales (mineure) depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que glandeur professionnel, mais promis, j'envisage de changer ça. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Quincy.
Samuel Bryce Herondale

Looks alot like Boyd Holbrook

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle parabatai et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Je trouve ce forum génial et ce scénario l'est tout autant SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1001568715 SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1001568715  alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Boyd Holbrook comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par pigfarts is real. (bazzart) Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Feldt K.-T. Crossroad, Briony N. M-Silver, Alexander Strudwick et Y. Hendrix Malcolm.

Mot de la fin ? ▲ :picole: 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
J'étais quelque part en Allemagne quand j'ai appris la nouvelle : un taré, des bombes, sur le campus. J'étais en sécurité loin de tout ça, ce qui ne m'a naturellement pas empêcher de flipper pour les étudiants sur le campus et plus particulièrement ceux qui me sont proches. Ce genre d'évènements, même si je n'ai pas tout vécu en direct, ça reste gravé. Ca s'est produit, rien n'exclut que ça recommence et même si je préfère ne pas y penser pour ne pas me gâcher la vie bêtement avec ce genre d'appréhensions, ça n'en reste pas moins gravé dans un coin de ma tête.

MATHER.
En dépit de son côté terre-à-terre, Samuel a adopté l'idée qu'il n'est pas à Harvard pour jouer les enfants de choeur, le nez toujours fourrés dans ses bouquins. Il bosse, oui, mais il s'amuse avec ses amis surtout. Tout en conservant une détermination qui lui est propre, il aime se mettre la tête à l'envers et tout est bon à prendre pour atteindre ce but. Sans jamais être passé derrière une limite critique, il n'a pas franchement que des habitudes très saines, mais il considère que ça lui passera. Pour l'heure, il n'a pas envie de se prendre la tête. Il fait comme bon lui plait. Qui est plus est, ancien Mather, c'est également à cette maison qu'appartiennent tous les gens qui lui sont le plus proche, c'est chez lui, là ou son coeur est. Aussi, il voue une forme de haine à l'égard des Eliots, des personnes particulièrement fausses à son goût. Non, il ne les supporte vraiment pas.

QUINCY.
Si on ne le cherche pas, Sam est un garçon gentil, qui se révèle même avoir un grand coeur. Toujours présent pour ses amis, il est doté d'une curiosité naturelle à l'égard de tout ce qui l'entoure. Ainsi, pour se rapprocher des différents peuples sur terre, il n'a pas hésité à partir un an pour un long voyage qu'il a trouvé particulièrement épanouissant. Il ne croule pas sous l'or, mais n'est pas le moins du monde égoïste et surtout particulièrement peu matérialiste. L'argent n'achète pas tout et on est tous aptes à donner beaucoup.
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Dix-huit février 2005.
Mes souvenirs étaient devenus brumeux, confus, sans que j'ai pris le temps de me rendre compte de ce processus qui avait doucement rendu le déménagement moins désagréable. Je me souvenais très bien de l'aéroport, de mon air dépité que j'avais entraperçu dans une des immenses baie-vitrées offrant à tous les futurs passagers sur les nerfs une vague occupation durant l'interminable attente précédant l'embarquement. J'étais petit et de ce fait, mes parents avaient dut estimer que ce serait plus facile, de partir brusquement pour un pays étranger dont je ne connaissais rien de la langue. Sauf que ça ne l'était pas. Le truc, c'est que je n'avais strictement aucune envie de partir vivre au Japon et j'étais foutrement têtu. Enfin, toutes les colères du monde n'avaient pas réussis à persuader mes parents de laisser leur bébé de quelques années sur un autre continent. J'avais dut suivre mes parents, que je le veuilles ou non. Les Etats-Unis, des souvenirs que j'en ai près de dix ans après les avoir quittés, c'est très différent du Japon. A cinq ans, j'étais pas très concentré à me formaliser sur les différences entre les vues des fenêtres de mon ancienne et nouvelle chambre. Ce qui me stressait davantage, c'était d'avoir le sentiment de n'être en mesure de parler qu'à mes parents. En fait, ce n'était pas qu'une sensation : jusqu'à ce que j'apprenne à bafouiller quelques phrases aux tournures particulièrement maladroites en Japonais, j'étais coincé, forcé de passer par l'intermédiaire de mes parents chaque fois que je voulais m'adresser à une personne extérieure à notre petite famille.

La barrière de la langue a vite commencé à me rendre barge et je m'y suis mis. Je ne pouvais pas sans arrêt être à côté de mon père pour qu'il me serve de traducteurs comme il le faisait déjà pour ma mère qui avait accrocher dans pleins d'endroits parfois très insolites de la maison des feuilles de vocabulaire. Elle essayait et je me suis mis à l'imiter. Heureusement, je n'étais pas forcé d'entretenir des conversations bancales avec tout le monde : avec Feldt, j'étais libre de m'exprimer sans craindre un manque de vocabulaire soudain. Elle aussi était étrangère à ce pays dans lequel nous étions coincés tous les deux et elle était américaine. Il n'en fallait pas plus pour qu'on fasse connaissance. Sa présence rendait le coin un peu moins dépaysant. Cette fille sentait la maison et j'aimais bien ça, j'aime toujours ça. C'est ce à quoi je la raccroche, entre autre : je me suis toujours bien sentit avec elle. N'allez pas y chercher une trace d'ambiguïté entre nous : il n'y en a pas. A cet âge, on a pas besoin de petite copine. Non, ça ça allait venir ensuite. Coincé sur le pas de la porte de ma chambre, le regard dans le vide, je m'extirpa de mes pensées et balaya la pièce du regard. Elle n'était pas trop petite, sans être gigantesque et si elle m'avait semblait totalement dépourvue de vie à mon arrivée, aujourd'hui, elle en grouillait. Et ce même avec mes affaires enfermées dans des sacs. Sam, tu es prêt ? Jappa une voix derrière moi. Je ne répondit pas, faisant une dernière fois le tour de ma chambre histoire d'en garder des souvenirs puis j'en sortis, définitivement. Je boutonna mon blouson alors que je dévalais les quelques marches de l'escalier. La maison était vide, les sacs entassées près de la porte, mes parents en pleine crise. Papa, vêtu d'un vieux sweat-shirt jaune moutarde, tenue détonnant terriblement avec son allure d'homme tiré à quatre épingles, (boulot 'sérieux' oblige, j'étais davantage habitué à le voir en costard que dans une tenue semblable à celles que j'enfilais pour dormir) ne tenait pas en place, ses mains s'agitant frénétiquement dans ses poches, alors qu'il arpentait la maison d'un pas vif, tournant en boucle, comme un lion en cage. Il avait toujours été du genre nerveux. Le genre qu'il vaut mieux pas embêter quand il est sur les nerfs. Je m'abstenu donc d'ouvrir la bouche pour lui parler. J'ignorais s'il était content de rencontrer la maison, ou même encore s'il estimait que c'était plus les Etats-Unis, n'autre chez nous, que cette maison, que le Japon. Dix ans. Whaou. Moi-même, je n'étais pas sûr de ce que je pensais, de ce que je ressentais. Pourtant, j'avais toujours été assez clair là-dessus : je le savais quand j'étais content, triste, blasé, en colère. J'avais été triste, puis en colère, puis triste, quand Feldt était partie. J'avais été vraiment triste car elle avait perdu ses parents et ce n'était pas quelque chose que j'aurais souhaité à mon pire ennemi, puis j'avais été en colère car elle allait partir et que je refusais totalement l'idée même si naturellement et bien on me demandait pas mon avis sur la question. Et j'avais été triste ensuite car elle me manquait. C'était limpide. En cet instant en revanche, mes certitudes étaient ébranlées, floutées, à l'image de mes souvenirs d'avant le déménagement. Peu importe, on partait et j'étais pas mécontent à cette idée. Maman était clairement heureuse et elle ne cherchait pas à se le cacher. Elle allait retrouver le pays qu'elle avait toujours considéré comme le sien, peu importe la distance qui pouvait bien l'en séparer. Je savais qu'elle avait accepté notre venue ici pour papa. Normal, c'est ce qu'on fait quand on est marié. Mais bon, dans le fond, elle était aussi larguée que moi à notre arrivée. Elle avait l'air plus détendue que mon père, tressant sa chevelure blonde en embrassant une dernière fois les lieux du regard, comme je le faisais moi aussi. Après avoir fixé sa coiffure avec un élastique, elle tourna vivement la tête vers moi. Oui, elle était définitivement lumineuse. Ca faisait un bail qu'elle avait pas eu l'air si réjouie, si détendue. Cela en était presque comique en comparaison au niveau de stress de papa qui ne lâchait jamais bien longtemps de vue le cadran de l'horloge de la cuisine. Vous n'avez rien oublié ? Ta chambre est totalement vide, Sam ? C'est pas comme si on allait revenir alors il faut faire attention. Bordel, mais qu'est-ce qu'il pouvait être gonflant quand il était nerveux. Ouais papa, j'ai tout. Répliquais-je d'un air las avant de lâcher un soupire. C'était pas comme si j'avais amené pleins d'affaires ici ou que j'avais emmagasiné pleins de babioles. Non, franchement j'avais pas été très matérialiste. J'allais rentrer avec des souvenirs pleins la tête, j'avais pas besoin de plus.
The End




De 2005, à 2012.
J'avais acquis une certaine capacité à m'adapter, en même temps, je ne pouvais pas me retrouver dans une situation moins confortable que celle dans laquelle j'avais été à Tokyo. Rentrer au pays, cela ne fut absolument pas perturbant. J'avais passé dix ans loin de tout et j'ai re-appris à aimer ma ville natale, n'ayant pas eu franchement le temps de la découvrir avant de partir, alors que je passais plus de temps dans les bras de mes parents plutôt qu'au sol. Je n'ai pas mis beaucoup de temps à tomber amoureux de New York j'avais toujours vécu dans des grandes villes alors forcément, je ne pouvais qu'aimer l'agitation perpétuelle de la grosse pomme. J'aime les foules de gens, le fait de se faire marcher sur les pieds dans la rue, de faire une grimace et que la personne qui vous a écrasé le pied ne soit déjà plus là pour que vous puissiez l'engueuler un peu. J'aime cette effervescence. Ca plait pas à tout le monde, mais moi j'aime. A l'inverse, j'ai jamais été très fan du silence : j'ai frôlé la crise pas mal de fois lors de vacances dans la famille de ma mère. La maison campagnarde et isolée de mes grands parents est peut-être le lieu le plus chiant de toute la terre. C'était toujours un calvaire d'y aller et mes parents le savaient bien. Une sorte de façon de me punir parfois en "me déconnectant". En gros, m'isoler pour mieux me mater. N'allez pas croire que j'ai été un garçon très difficile, mais disons que mon père a des principes bien arrêtés et ma mère une certaine tendance à verser dans le mélodrame. Elle a grandit en allant dans des pensionnats pour filles et son premier mec (et le dernier, techniquement) c'était mon père. Hors, il y a plus grand déconneur sur cette terre. Soit, je flipperais si c'était le cas. Toujours est-il que j'ai cru que ma mère allait s'étrangler en trouvant un peu d'herbe oubliée dans mon jean. (Non, je ne suis pas suicidaire, je ne l'ai pas fait exprès) J'avais dix-sept ans et elle s'est quasiment mise à pleurer. L'horreur. Mon père a été moins sentimental. Je ne suis pas un gros fumeur, enfin, sans compter la cigarette, mais qui peut se venter d'être un enfant de choeur et de n'en avoir jamais fumé une, ne serais-ce que pour "essayer" ? Bref, mes parents sont des gens très droits, qui ne rigolent pas sur certains sujets. On fait avec, je ne peux pas les échanger contre d'autres plus laxistes, donc je m'en contente. Qui plus est, s'ils deviennent particulièrement chiants sur certains sujets, sur d'autres ils sont plus sympathiques : il y a ce genre de moments, ou je considère même que j'ai de la chance de les avoir. Naturellement, je les aime, je serais un monstre sinon, mais j'aime aussi que, en dépit de leur façon de me traiter comme un enfant parfois, ils mettent un point d'honneur à me respecter et à me laisser parler, quand je ne suis pas directement condamné au silence. (Il y a des sujets sur lesquels on ne débat pas, s'y tenter malgré tout avec mon paternel, c'est du suicide.) Ainsi, tout en ne me félicitant pas lorsque je leur ramenais des sales notes, ils n'ont jamais été du genre à vouloir me dicter ma vie, sur le plan professionnel j'entends. Il faut dire que j'ai bien vite sut ce que je voulais. Ma petite colère d'avoir été emmenée contre ma volonté d'enfant à Tokyo a été effacée par les années, remplacée par une curiosité naturelle pour le monde qui m'entoure. Dans le fond, me retrouver ainsi à l'étranger m'a peut-être aidé à explorer ce côté là de ma personnalité. J'étais forcé de m'ouvrir aux autres pour ne pas rester dans mon coin, avec en seule guise d'amis mes deux parents et même quand les efforts se sont avérés devenir plus facultatifs, je n'ai pas cessé. Je suis tombé amoureux des voyages et je ne dors jamais mieux que dans un avion. (Oui, le même endroit ou tout le monde a tendance à avoir un mal de chien à s'endormir. Oui, je suis normal.) En général, je vois ni le décollage, ni l'atterrissage. C'est ma version de la promenade en voiture. Cette soif d'aventures, de nouvelles expériences, cette faculté à se sentir plus en sécurité que jamais dans les airs contraste avec un autre aspect de ma personnalité : mon côté très terre-à-terre. J'adore déconner, faire la fête, m'amuser, faire des trucs débiles, (car bon, si je ne les fais pas à mon âge, je ne les ferais sans doute jamais et ce serait vraiment trop bête de ne pas les faire. Vous me suivez ?) mais je peux aussi être le casseur d'ambiance, quand ça déconne trop. J'ai pas peur de passer pour le rabat-joie, car je sais bien que je n'en suis pas un. Disons que juste tendance à être le grand frère, sans pour autant devenir le papa. (Si je commence à virer comme mon père, tapez moi dessus jusqu'à ce que j'arrête.)

Lorsque vint le moment de m'inscrire à la fac, j'ai fait le tri parmi mes universités préférées. (Oui, j'avais une liste) Harvard en tête, poussé par mon père, qui y a fait ses études, donc bon, ça relevait un peu du sentimental. J'ai été pris, pour son plus grand bonheur et pour le mien aussi, naturellement. Qui ne serait pas enthousiaste à l'idée d'être accepté par une université particulièrement prestigieuse ? Il faudrait être dingue. Si j'ai été accepté, ce n'est pas par piston, enfin, peut-être un peu, mon père étant du genre à venter les mérites de sa progéniture, mais mes notes n'étaient pas en reste. Le journalisme, c'était logique. C'est mon truc, ma passion, ce que je veux. Je n'ai pas de doutes. C'est très clair, parfaitement limpide dans ma tête. Dans le fond, je suis le genre de garçons qui sait ce qu'il veut. Je ne suis pas du genre à bosser durant des heures, à m'acharner, sinon j'aurais été illico chez les Dunster. Mather par le passé, je n'ai pas rejoins les verts pour rien : mise à part le fait que je fume comme un pompier, que j'adore planer un peu histoire de me déconnecter de la réalité et que je pense qu'une soirée n'est pas une soirée sans alcool, j'ai également une tolérance zéro envers les gens qui croient que tout leur est dut. (Encore plus quand leur confiance surdimensionnée en leurs propres personnes est proportionnelle à l'argent qui se trouve sur leur compte en banque, argent qu'ils ne gagnent pas et qui n'est autre que celui de papa et maman. Zéro mérite. Des claques qui se perdent, pour être poli.)
The End
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La dernière année. (2012-2013)
Retrouver Feldt à Harvard, c'était déjà génial. Avoir sympathiser avec ses amis jusqu'à ce qu'ils deviennent également les miens, ce le fut encore plus.  Disons que si on me demande ce que j'ai le mieux réussi depuis mon arrivée à Harvard, je dirais mon cercle d'amis. S'en vouloir verser trop dans le sentimental, ils sont géniaux. Il est vrai qu'au début, j'étais plus proche de Feldt, normal, mais je n'ai pas tardé à adopter les garçons, puis Briony. Les amitiés masculines c'est toujours un peu spécial, ça n'a pas la tournure ambigüe que peuvent avoir les amitiés mixtes et ça ne les en rend que plus précieuses selon moi. Hendrix et Alex sont des personnes de confiance, des gens sur qui je peux compter et clairement, deux des personnes avec qui j'aime le plus passer du temps. Il faut dire qu'on ne s'emmerde jamais avec eux. Je suis le plus posé, mais pas franchement la définition de l'enfant modèle : du coup, disons juste qu'il est rare qu'on ne finisse pas défoncés. Peu importe ce qu'on peut bien en penser : être étudiant, c'est aussi ça. Briony s'est joins au groupe plus tard, guidé surtout par son coup de coeur pour Hendrix. J'avais rien contre : je suis pas du genre sur-protecteur en amitié, c'est bizarre ce genre d'attitudes enfin sauf quand ça va trop loin et qu'il va y avoir de la casse, là, je sors les dents. Bref, Briony m'a laissé une bonne impression et étant donné que je n'ai pas l'esprit aussi étroit que ses chers Eliot, j'ai adhéré à sa présence vite, encore plus quand elle s'est mise en couple avec Hendrix, vu que naturellement, je la voyais plus. (Quoique, même avant, je la voyais déjà pas mal) Avec le temps, nous sommes réellement devenus amis. Je tiens à elle exactement comme je tiens à Feldt et aux garçons et j'ai toujours essayer de l'aider, d'être là pour elle. Je crois qu'elle m'écoute même parfois et venant de Briony, c'est quand même une petite fierté. Et bien oui, je l'adore, mais elle est têtue. Ce petit groupe de verts s'apparente plus à une famille que tout ce que j'ai d'autre à Harvard. C'est ce qui compte le plus là-bas et ça compense avec mon statut de fils unique. Malgré ces liens forts, je n'ai jamais écarté mes projets, liés au journalisme, comme toujours, à mon envie de partager des informations, d'en emmagasiner, me créant une véritable banque de données. Alors, au cours du Summer Camp 2012, la période la plus propice à déconner et à se laisser aller, j'ai décidé qu'il était temps de bouleverser un peu mon quotidien pour un an. J'ai décidé de faire le tour du monde. Non, j'étais pas déchiré quand ça m'est venu comme une véritable révélation. J'avais toujours eut cette petite idée dans un coin de la tête, mais bon, j'étais majeur alors, donc même si je préférais partir avec la bénédiction de mes parents, je pourrais le faire dans tous les cas. Ils acceptèrent, malgré une approbation un peu sèche aux téléphones et ce après m'avoir fait promettre de les appeler au moins une fois par semaine. Hu. J'ai parfois un peu manqué à ma parole, mais dans l'ensemble, je me suis accroché. J'ai également fait de mon mieux pour entretenir mon amitié avec les gens restés à Harvard, via skype, même s'il faut bien dire que c'était parfois un peu rapide. Disons que j'étais pas en voyage pour rester devant un écran et que cette année a sans doute été la plus inspirante que j'ai jamais vécu. Je n'ai jamais eu particulièrement besoin de mon petit confort et j'ai aimé m'adapter aux modes et aux cultures. Je suis tombé amoureux de chacun des pays que j'ai visité, car je suis comme ça. Evidemment, je n'ai pas fait que savourer ses différents voyages. Non. J'ai bossé, sinon je me serais bien fait tirer les oreilles à mon retour. Je suis particulièrement fier du reportage que j'ai monté et que je peaufine encore un peu. C'est mon bébé, ce qui a résulté de toute cette année à l'étranger. J'ai eu des appréhensions lorsque l'année s'est terminée et qu'il m'a fallut rentrer, reprendre le cours de ma vie car c'était bien l'impression que ça m'a fait : celle d'avoir eut une absence, d'avoir été absent, éloigné de tout, pour une durée de douze mois. Je me suis mis en pause sur pas mal de plans. Mais voilà, au bout d'un moment il faut bien reprendre les rennes. Je mentirais si je vous disais que ça m'a ennuyé de rentrer : oui, j'étais un peu anxieux, mais aussi content de retrouver ma petite routine. C'est parfois chiant, mais franchement, ma vie n'est pas ennuyeuse donc j'étais pas mécontent de la retrouver. Tout va bien  se passer. Sauf que voilà, en un an, pas mal de choses peuvent se passer et je n'ai pas put tout anticiper. Tout n'allait peut-être pas être si simple.

Mes amis ont dut décidés que c'était trop facile de partir ainsi toute une année pour voyager et histoire de bien me ramener sur terre et de me punir, ils ont décidés de mettre le bordel pour bien me rendre le retour difficile : non, sérieusement, ils ont quand même particulièrement bien déraillé. Feldt est une maman et disons que c'est pas le top. Le père est Eliot, ça c'est la cerise sur le gâteau, mais à la limite je m'en moque, c'est elle qui m'importe et ses enfants aussi, naturellement. Je doute pas une seconde qu'elle fera une merveilleuse maman, même si pour l'instant, elle a tendance à voir davantage le verre à moitié vide plutôt qu'à moitié plein. Aussi, Briony est engagé dans une relation amoureuse dérangeante et un brin malsaine à mon goût. Pire ? Hendrix n'en fait pas parti. Brionix n'est plus et j'avoue que ça me fait furieusement bizarre. Peut-être car j'ai tout loupé et que pour moi, il n'y a jamais eut qu'Hendrix pour elle. Je l'ai vu amoureuse, cherchant à se rapprocher de lui, quitte à se rapprocher de nous dans ce but, histoire de bien faire les choses comme il faut. Alors penser qu'elle ai put le faire souffrir comme ça alors qu'elle avait l'air de tant tenir à lui, c'est bizarre, ça n'a pas de sens et je dois bien reconnaître que ça m'embête. Je vais pas remuer le couteau dans la plaie, Alex s'est déjà énervé histoire de bien marquer le coup, inutile que j'en rajoute derrière, trois plombes après. Elle a laissé Hendrix pour Andy McDougall. A vomir, vraiment. Je ne me permettrais pas de juger Briony, enfin pas trop durement, mais elle a fait fort. Ce garçon, son nouveau copain, c'est un pur condensé de tout ce que je déteste. Le genre particulièrement peu tolérant, qui est persuadé que le monde entier tourne son nombril. Invivable quoi. Je ne sais pas comment je pourrais l'apprécier et ce même s'il avait été envisageable que je ne prenne pas sur le champ le parti d'Hendrix. (comme si c'était possible) Non, je ne peux pas. Comme si nos vies n'étaient pas suffisamment compliquées avec toutes ses histoires, Alex a eu son lot lui aussi, en se découvrant une famille dont il ignorait l'existence. Briony a perdu la sienne. Un cauchemar, quoi. Enfin, je suis volontiers prêt à donner de ma personne pour essayer de rendre cette situation moins dramatique. Je veux apaiser les tensions et retrouver mes meilleurs amis, tels qu'ils étaient avant. J'ai besoin que ça s'arrange.
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:sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle: :sifle:
*prépare le bouclier anti-émeutes pour pas s'recevoir Hendrix, Alexander & Samuel sur le coin d'la gueule*

Re-bienvenuuuue SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1153642411 MDRR
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Re Bienvenue parmi nous SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 185272391
Excellent choix de scénario hanwii
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Re-bienvenueeeeeeeeeee! hanwii
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook UqVihWUg_o
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Andy E.-McDougall a écrit::sifle: :sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle:
*prépare le bouclier anti-émeutes pour pas s'recevoir Hendrix, Alexander & Samuel sur le coin d'la gueule*

Re-bienvenuuuue :8D:MDRR

MDRRRRRRRRRRRRRR LA MEME !!! SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1881463262 SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1881463262
bon déjà TOI je vais pas t'aimer SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 3861440630 pas touche à Feldt (en plus mather non mais quelle blague :*7:) mais très bon choix de scénario, et très attendu, je le sais SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 152426858
rebienvenue hanwii
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merci à vous tous hanwii SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 2511619667 et pour le fait de pas s'apprécier, c'est réciproque alors tout va bien. SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 3861440630 SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1153642411 
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BOOOYD SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 4205929361
BIeeeeeeeeeenvenue SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 2511619667
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Elios I-A Di Fabio a écrit:
Andy E.-McDougall a écrit::sifle: :sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle::sifle:
*prépare le bouclier anti-émeutes pour pas s'recevoir Hendrix, Alexander & Samuel sur le coin d'la gueule*

Re-bienvenuuuue :8D:MDRR
MDRRRRRRRRRRRRRR LA MEME !!! SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1881463262SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 1881463262
bon déjà TOI je vais pas t'aimer :fuckyou:pas touche à Feldt (en plus mather non mais quelle blague :*7:) mais très bon choix de scénario, et très attendu, je le sais SAMUEL HERONDALE ► Boyd Holbrook 152426858
rebienvenue hanwii
MDRRR VIEEEEENS On fait la résistance ensemble ! MDRRR

*pousse Samuel et s'en va*
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