Alex est tombé amoureux de Rachel au premier regard. Elle était assise au premier rang entrain d’écrire tranquillement les cours tandis qu’il se trouvait comme toujours au fond de la salle. Quand ses yeux sont tombé sur elle il a tout de suite sue que c’était la femme de sa vie. C’était elle qui lui donnerai un fils et qu’il prendrait pour épouse. Mais Rachel avait un petit ami et sortait peu et Alex était tous sauf recommandable. Pas que c’était quelqu'un de méchant ou cruel, bien au contraire. Seulement le jeune Colt n’était pas très travailleur et il était plutôt marginal et indépendant, n’écoutant que ses propre lois. Puis il a toujours eut tendance a être quelque peu volage en matière de filles durant son adolescence, bien que se soit elles qui venaient à lui sans qu’il ne le cherche. Mais a chaque fois il se lasser vite et finissez par rompre. Peut-être attendez-t-il la bonne tout simplement … Ces détails prit en compte l’avenir du futur couple semblait donc sérieusement compromis. Mais tout comme son père Alex était quelqu’un de têtue et déterminer et il compter bien qu’un jour Rachel soit sienne. Il commença d’abord a tout faire pour lui prouver qu’il valait bien mieux que son petit ami actuel, se trouvant toujours sur sa route pour l’aider. Pas un seul jour ne se passait sans qu’il la croise ou lui soit utile. Partout où elle se rendait il était là. Il s’inscrit au même option qu’elle, au même activité extra scolaire et même durant les temps calme il se trouvait a ses côté. Tant et si bien que le jour où Alex décida qu’il était inutile d’insister et lui rendit sa liberté. Ne la voyant pas de la journée, Rachel ressentit un manque. Elle réalisa alors a quel point elle s’était attaché à lui et qu’en fait elle était tombé amoureuse sans s’en rendre compte. Les deux élèves sortirent alors ensemble mais le père de Rachel ne vit pas cette relation d’un très bon œil, voyant Alex seulement comme un garnement qui pervertissait sa fille et l’écarter du droit chemin. Ils se virent alors en secret jusqu’au jour où Rachel donna rendez vous au jeune Colt devant l’arbre où ils s’étaient donner leurs premier baiser. Elle semblait étrange et lorsqu’il s’approcha pour l’embrasser elle se déroba et s’écarta de lui, froide et distante.
Alex – « Rachel ?! Qu’est-ce qui as ? Que se passe-t-il ? »
Rachel – « Je crois qu’on ne devrais plus se voir… »
Alex – « Pourquoi ? J’ai fait quelque chose de mal ? »
Rachel – « Non non bien sûr que non… tu n’a rien fait, bien sûr que non… c’est juste que je crois que nous deux … je... »
Alex – « Qu’est-ce qui se passe ? »
Elle avait les yeux brillant et semblait à fleur de peau, a deux doigt de pleuré. Lui était inquiet et avait peur de la perdre. Elle semblait être sur le point de rompre et il était perdue. Il ne comprenait pas pourquoi elle semblait d’un coup si effrayer. Que s’était-il passait ? Il posa sa main sur sa bras pour la rassuré et elle se mit alors a grimaçer de douleur. Il fût surpris et ne compris pas sa réaction . Par réflexe il releva la manche de son tee-shirt et aperçut une grosse trace rouge sur son poignet, comme une empreinte de doigt et un énorme bleue a l’endroit où il avait poser sa main.
Alex – « Qu’est-ce que c’est qu'ça ??? »
Rachel – « C’est rien . Laisse moi. »
Elle retira vivement son bras et le replia contre sa poitrine, cachant les marques de son poignet avec son autre main. Alex sentit la colère montait en lui d’un seul coup. Quelqu’un avait oser faire du mal à Rachel et ça il ne le toléré pas. D’autant plus qu’il savait pertinemment de qui il s’agissait : son père !
Alex – « Il t’a frappé c’est ça ??? Ce fumier a osé lever la main sur toi ??? c’est ça ??? »
Rachel – « Non bien sûr que non ce n’est pas ça. C’est rien j’te dit. C’est rien. Va t’en »
Elle poussa le poussa avec énergie tandis qu’il semblait perdue, le cœur au bord des larmes, le regard figer d’horreur.
Alex – « Rachel… Je t’aime… »
Rachel – « Va t’en j’ten supplie va t’en. Je ne veux pas qu’il te fasse du mal alors je t’en supplie va-t’en. VA T’EN !!! »
Elle éclata en sanglots et sans rien dire il se rapprocha d’elle et la prit dans ses bras, les larmes chaudes de Rachel se déversant sur son tee-shirt. Sa main posa derrière le cou de sa bien aimée, Alex maintenait Rachel contre son torse, sa tête poser sur son cœur qui ne battait que pour elle. Elle avait beau lui dire de partir jamais il ne l’abandonnerai car elle était tout pour lui. Les yeux embrumer de larme elle releva le regard vers Alex qui semblait tellement calme et serein que ça l’apaiser.
Rachel – « Je suis enceinte… ».
Après avoir appris cette heureuse nouvelle Alex et Rachel se mirent à réfléchir sur leurs projets d’avenir, voulant à tout prix garder l’enfant. Alex redoutait de décevoir ses parents qu’il aimait et respecter beaucoup trop en leurs annonçant qu’il avait mis enceinte une fille de seulement seize ans alors que lui-même n’en avait que dix huit. De son côté pour Rachel il était hors de question qu’elle reste chez son père alors qu’il voulait qu’elle avorte. Ils décidèrent alors de s’enfuir et ils partirent en Ecosse. Le jeune couple ne tarda pas a se marier et fit tout pour qu’on ne retrouve pas leurs traces. Un jour de pleine lune, Rachel finit alors par accoucher dans une banale chambre d’hôpital, seulement aidé par une simple infirmière. Ils eurent un garçon qu'ils appelèrent James. Quelque seconde plus tard vint alors au monde la petite Silver, car en effet il n'y avait pas un bébé mais deux. Étant à présent une vraie famille, ils continuèrent à se cacher et partirent s’installer dans une petite maison en situé, au cœur de la forêt.
Ce jour là, alors que les jumeaux avaient à peine 8 ans, il faisait un froid glacial dehors. La neige était tombée toute la journée. Jayden et Silver tremblait de froid. Les jumeaux portaient de pauvres vêtements troués. Sa mère leurs avaient mis une couverture, la seule qu’elle avait. Il ne restait pour le lit d’elle et son époux qu’un pauvre drap tout usé mais l’important pour elle était que son enfant se sente aux mieux. Les Colts était pauvre, terriblement pauvre et le froid rentrait de part et d’autre dans la petite maison de bois où ils habitaient, à l’entrée de l’une des grandes forets d’Ecosse. Jayden se frotta les cuisses pour se réchauffer mais le froid était dense.
Alors que la petite famille s’apprêtait à se coucher, quelqu’un frappa à la porte. Il s’agissait d’un voyageur égaré qui leurs demanda l’hospitalité pour la nuit. Ils n’avaient pas grand-chose à lui offrir et ils lui avouèrent honnêtement qu’il aurait sans doute plus chaud dehors, mais l’homme accepta ce qu’on lui donnait, ravie d'échapper à la neige. Le petit garçon se retrouva à partager son lit avec l’inconnu. « Comment tu t’appelle bonhomme ? » « Jayden » « Et toi petite fille ? » « Silver et vous ? » « Munroe, Munroe Mcgregor. » Il releva son bras, faisant signe aux enfants de venir se blottir contre lui pour avoir plus chaud. D’après Munroe c’était la moindre des choses puisque les enfants lui prêtait bien gentiment leur lit et leur couverture. Bientôt les enfants s’endormirent et la nuit passa… Le lendemain matin, Mr et Mme Colt demandèrent à l’inconnu s’il pouvait veiller sur leurs enfants – qui dormaient encore… - pendant qu’ils s’enfonçaient dans la forêt pour aller couper du bois. Les jours à venir allaient être rudes et ils préféraient être préparés au froid. Mr Mcgregor accepta volontiers.
Malheureusement les heures passèrent et les Colt n’étaient toujours pas revenus… Jayden s’était même réveiller et commençait à s’inquiéter. « On va aller les rejoindre dans la forêt, d’accord ? » dit-il aux enfants qui acquiesça d’un signe de la tête. Main dans la main, ils marchèrent longtemps avant de tomber sur les corps sans vie des parents de Jayden et Silver… Leurs corps inerte étaient lacérés de part et d’autre et la neige était tacher de rouge… Jayden regardait ce spectacle interdit, sous le choc, pendant que Silver pleurait à chaude larme. Munroe ouvrit son manteau et d’un geste de la main ramena les orphelins vers lui pour leurs cacher sous son long manteau et lui évitait cette vision d’horreur. Les pauvres avaient été attaqués par un ours... Les pauvres enfant n’avaient plus aucune famille… Munroe s'accroupie alors pour se mettre à la hauteur des l’enfants. « On va retourner à votre maisons récupéré mon cheval et je vous aimerais aux villages, là bas on s'occupera de vous. » .
Jayden et Silver grandirent donc à l’Orphelinat du sacré cœur. Ces années là furent assez difficile pour les jumeaux qui étaient constamment en retrait et laissés pour compte. Ils étaient tous deux très effrayés par le monde qui les entourait et Silver se réfugier souvent dans les bras de son frère pour qu’il la protège. James était souvent perçu comme un garçon trop calme et trop gentil, jouant parfois à la poupée pour distraire sa sœur qui n’avait pas d’ami tout comme lui, et les autres s’en prenaient souvent à lui. Il était donc un peu le souffre douleur et se prit plein de coup. Peu importe car Jayden gardait espoir d’être un jour adopté, ainsi que sa sœur, et de se retrouver dans une famille aimante. Tout le contraire de Silver qui désirait plus que tout rester a l’orphelinat car pour elle personne ne remplacerait les parents qu’elle avait perdus. Seulement lors de la visite hebdomadaire de l’établissement par des parents en mal d’enfants, Silver fût choisit par un adorable petit couple qui avait perdu une fille du même âge que Silver et qui lui ressemblait quelque peu. A peine âgé de neuf ans, Jayden fût alors séparé de sa sœur. Dés lors il devient encore plus renfermé sur lui-même et passa pratiquement tout ses journées enfermé dans sa chambre à dessiner, ou tout seul dans le jardin bien à l’écart des autres. Le personnel de l’orphelinat ne firent pas attention à son comportement, se disant que ça lui passerai…
Puis un jour alors que Jayden venait à peine d’avoir treize ans il reçut une lettre d’une femme étant apparemment sa grand-mère. Etant donné qu’il commençait à être grand et que ses chances d’être adoptés diminué on le vira tout simplement de l’Orphelinat et on le mit dans un train direction les Etats-Unis. Jayden arriva à la demeure de cette vieille femme de presque quatre vingt ans qu’il ne connaissait pas. Elle vivait dans une maison beaucoup trop grande pour elle et qui devait sûrement avoir accueillis autre fois son père. Katherine avait été plus que surprise d’apprendre l’existence d’un petit fils et l’avait accueilli avec une sympathie franchement modéré.
Katherine : « Alors comme ça mon bébé a eut un fils ? Il ne manque rien pour attendre celui-là. Qu’il attende un peu que je le revoie et ça risque d’être sa fête. Il va bien ? Ou est-t-il ? Et ta mère aussi ? … Et puis, qui c’est, d’abord ? Et bien alors, tu as perdu ta langue ? »
Jayden – « Euh… Doucement, j’viens à peine d’arrivé… En fait j’en sais rien. Mes parents ne m’ont jamais de vous… »
Katherine – « Oh… je vois »
Jayden – « J’ai grandit en Ecosse avec ma sœur avant qu’ils ne soient tuer… »
Katherine – « Ta sœur ??? Ah parce qu’il y en a une autre ??? »
Jayden – « Oui. Elle a mon âge. »
La douleur de la perte de sa sœur encore fraiche, Jayden se leva alors et se dirigea vers un des meuble où était posé des cadres pour couper court à la conversation. Des tas de photo montrait une belle jeune femme brune qui semblait avoir un fort caractère et un homme charmant lui aussi mais qui semblait espiègle et malicieux. Tout deux semblait heureux et Jayden resta concentré sur le sourire de l’homme, il avait pratiquement le même. Enthousiasme il se retourna vers sa grand-mère, prenant l'une des encadré dans les mains.
Jayden – « C’est mes parents sur la photo n’est-ce pas ? »
Katherine – « Tu ressemble à ton grand père »
Jayden – « Merci »
Katherine – « Ce n’était pas un compliment. »
Jayden eut l’air dépité. Sa grand-mère lui apparaissait vraiment comme une veille ménagère. Mais c’est parce qu’il ne la connaissait pas encore....
Katherine – « Tu es aussi peu perspicace que lui. Tu es toujours a inventé des scénarios et a avoir des idées farfelue je parie ? »
Jayden– « Pas vraiment… Vous l’aimiez ?
Katherine – « Ce vieux bougre ? Il n’arrêtait pas de me contredire et d’essayer de me mettre en colère. A chaque fois qu’il ouvrait la bouche c’était pour attiré l’attention sur lui et se faire remarquer. Je n’ai jamais connu un homme aussi bavard, exubérant et compliqué. »
Jayden – « Donc vous l’aimiez.... »
Jayden avait un léger sourire satisfait. Il avait comprit l’amour de ses grands-parents en rapport a la façon de s’exprimer de sa grand-mère devinant le sens cacher de ses mots. Katherine se leva alors et prit le cadre des mains de son petit fils. Elle caressa la bouche de l’homme d’un geste tendre comme si elle essayait de se souvenir de la douceur de ces lèvres ou du gout qu’elles avaient sur les siennes. Un silence régna avant qu’elle ne réponde à la pseudo question de James.
Katherine – « Chaque jour un peu plus… . C’est nous sur la photo, James, ton grand père, et moi. Pas tes parents. »
Jayden regarda Katherine puis la photo puis Katherine puis la photo pour comparer et laissa son regard sur la photo. Il fît une légère grimace de dégout, n’en revenant pas qu’une femme aussi belle que celle du bout de papier ai pût devenir aussi… vieille !
Jayden bidouillait une voiture sur le campus de Harvard quand une jolie brune aux long cheveux semblant un brin métissé fit irruption. Le jeune homme logeait sur le campus, il était bon bricoleur, il était un peu homme à tout faire de la faculté et ça lui permettait de payer les factures. C'était un travail sans prise de tête qui lui donner l’occasion de croiser les étudiants, d'avoir affaire à eux, sans étudier dans la célèbre faculté. La jeune femme qui venait d'arriver donna un coup sur la voiture, il était dessous. Il dona un coup de bassin pour faire reculer la planche à roulette où il était allongeait. Il leva le regard vers elle et détailla l’intrus de haut en bas Il leva le regard vers elle, rare était les femmes qui venaient ici. « La boutique est de l’autre côté. » l’informa-t-il car là elle se trouvait dans l’atelier même. « Je sais. J’ai entendu parler de toi. » Il se releva et attrapa un chiffon et s’essuya les mains qu’il avait pleine de cambouis. Il la regarda avec intérêt, ne se laissant pas démonter. « Ah bon ? Et qu’est-ce qu’on t’a dit de beau ? » « Il parait que tu es doué avec la mécanique. Je connais une façon pour toi de te faire du fric. » « Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai besoin de fric ? » « Tout le monde en a besoin. » . Ce n’était pas faux mais ce n’était pas suffisant pour le convaincre. « J’ai des info sur ta sœur. » Cette fois elle avait complètement capté son intérêt. Son regard se durcit. Il se demanda si ce n’était du bluff. « Sur Silver.» « Qu’est-ce que tu veux exactement ? » « Te montrait mon monde et éventuellement te filer un taff. »
Le soir même, Marisa – puisqu’elle était son nom – et Jayden avait rendez vous dans une ruelle sombre. Elle passa le chercher et il monta dans la voiture. Ils arrivèrent vers un lieu qui n’avait rien de comparable… Une vingtaine de voiture plus belle et trafiquaient les unes que les autres étaient sur place. Le lieu était bondé. Il y avait des gens de toute culture et surtout peu de blanc. Des jolies filles en mini short en jean semblaient être là justes pour faire jolie. Jayden se tourna vers Marisa pour lui demandait des explications. « Ce sont des courses illégales. Quelque chose me dit que tu es fait pour ça. Tu a était flashé quatre fois ce mois-ci pour excès de vitesse. Tu aime l’action. » « Si je gagne tu me diras où est Silver ? »« Si tu gagne et qu’tu aime ça le taff que j’ai pour toi t’intéressera peut-être… ». Marisa sortit de la voiture et Jayden prit la place du conducteur. Il participa donc à la course. A peine sa voiture eut-elle démarré qu’il sentit l’adrénaline et l’excitation l’envahir. Elle avait raison, il aimait la vitesse. Enormément. Ce sentant pousser des ailes il appuya sur l’accélérateur. La voiture de Marisa était un pure bijou, elle allait plus vite que n’importe quel caisse qu’il avait conduit par le passer. A sa plus grande surprise, il gagna la course… Marisa l’attendait sur la ligne d’arrivait. « Bravo. » « Merci. Je veux bosser pour toi. » Un sourire malicieux apparut sur les lèvres de la jeune femme, c’était tout à fait ce qu’elle voulait entendre…