Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityROULETTE RP ► La douleur prouve qu'on est en vie
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal


ROULETTE RP ► La douleur prouve qu'on est en vie

La Doyenne

Âge : 57
Lieu de naissance : Boston
Quartier d'habitation / Colocation : mon bureau, j'y vis, y a quoi.
Situation sentimentale : mariée, bien entendu
Études / Métier : doyenne de l'université la plus prestigieuse au monde
Date d'inscription : 29/12/2011
Pseudo & Pronom(s) IRL : -
Icon : ROULETTE RP ► La douleur prouve qu'on est en vie VGUnHBxM_o
Faceclaim : viola davis
Crédits : polaroid paper (avatar) et prima luce (icon)
Multicomptes : x
Description (1) : ROULETTE RP ► La douleur prouve qu'on est en vie Giphy
Warnings : WARNING // concernant (personnage) écrire iciTRIGGER // refuse de jouer ; écrire ici

RPS : 6566
Messages : 48868
Préférences de jeu
veritas
La Doyenne
est en ligne
Compte fondateur
Roulette RP

It hurts, it hurts !


CONTEXTE : Vous vous baladiez à la recherche de quelque chose d'intéressant, ou parce que vous vous étiez perdue, ou parce que vous recherchez l'adrénaline... seulement voilà. L'une de vois l'a parfaitement trouvée, l'adrénaline et suite à une maladresse, le plancher a cédé et la voilà avec une jambe coincée dans le sol et enfoncée jusqu'à la cuisse. Ca fait mal. Mais en plus c'est difficile de la sortie de là...
NB : Vous avez le choix quant à la personne blessée !

PARTICIPANTS : Jenny Winters ♦ Jackie-Elie Stevensen ♦ Olympe H. Jones

Ce rp de groupe est organisé par la roulette à rps

Amusez-vous bien !
(La Doyenne)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lendemain de la soirée, tu t'étais réveillée dans l'une des premières. Peu rassurée par l'endroit où vous étiez. D'ordinaire, tu n'étais pas une froussarde. Mais ce manoir, il ne te laissait pas indifférente. Il suentait l'horreur et t'avais comme l'impression, qu'on y avait fait des choses assez horribles par ici. Fallait voir les drôles de pièces et d'instruments que l'on pouvait trouver par ici, aussi. Tout laissait porter à croire que les habitants de cet ancien asile psychiatrique avait sûrement vécu l'enfer. De quoi faire froid dans le dos. Bref, réveillée, t'étais restée à comater dans ton sac de couchage un bon moment, avant d'en sortir pour faire un brin de toilette. Histoire de te sentir plus ou moins propre sur toi. Une cigarette, un café avalé et tu te décides à aller visiter une partie du manoir Briarcliff, seule. Il fait jour, tu te dis que tu n'as rien à craindre vu que la plupart des étudiants est maintenant debout. Et que de toute façon, qu'est ce qu'il pourrait t'arriver ? Si tu savais, tu serai rester bien au chaud dans ton sac de couchage et jamais tu n'aurai eu à le découvrir. Après quelques minutes à traîner de pièces en pièces, de couloirs en couloirs, tu finis par atterrir dans ce qu'il semble être une infirmerie. Tu jettes un coup d'oeil depuis la porte avant de t'introduire dans la pièce, sans faire vraiment attention là où tu mets les pieds. Quelle connerie. Il te suffit de quelques pas, pour que l'inévitable arrive. Le sol se rope sous tes pieds et tu te retrouves bien vite, la moitié de la jambe passant à travers. Tu cries sous l'effet de surprise et gémis de douleur, quand tu commences à ressentir cette dernière. Génial. Eh! Il y a quelqu'uuuun ? cries-tu, entre deux légers gémissements. Avec la chance que t'as, tu t'es bien ouverte comme il faut, ou peut être cassé un membre. Un comble quand on est dans une infirmerie quoi. Sérieusement, si on pouvait m'aider à me sortir de cette situation merdique, ça serait cool. Tu jures, parce que t'estimes que la situation le permet. Et commences à espèrer que quelqu'un à eu l'idée de se perdre par ici.

j'espère que ça dérange pas que j'me sois permise que ce soit Jenny la blessée. ö
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ce lieu avait les dons de me taper sur le système. Il réveillait en moi une sensation étrange. La peur sans doute, j’avais fini par retrouver mon chemin laissant par la suite Andy au bras d’autres personnes. Je m’installais confortablement sur une petite chaise mise à disposition. L’idée de savoir que je n’avais pas été la seule à m’asseoir dessus ne me rassurait pas. J’avais toujours la sensation d’être observé ici, c'était effrayant. Mon portable était coupé, plus de batterie. « Eh merde ! » dis-je dans un soupire. Mon père était le deuxième problème de toute ma vie. Un brin protecteur, je ne pouvais faire aucun geste sans avoir l’approbation de papa Stevensen. Heureusement pour lui, il n’était pas au courant du lieu dans lequel je me trouvais. Il était d’ailleurs temps pour moi de quitter cet endroit. Je pliais mon sac de couchage et mit mon manteau. L’endroit était frais et sinistre. Il n’y avait rien ici qui pouvait réchauffer les cœurs. Un problème s’offrait à moi, mes clés de voiture étaient introuvables. Je compris rapidement que je les avais perdu en faisant mon petit tour de tout à l’heure. Je soupirais savoir que je devais retourner las dedans ne m’enchantait pas du tout ! Courageuse, je m’avançais vers l’obscurité des lieux. J’arrivais à la grande salle, rien ne semblait interpeller. Je rejoignais un petit couloir et entendis quelques bruits. « Sérieusement, si on pouvait m’aider à me sortir de cette situation merdique, ça serait cool ». Je m’approchais de l’infirmerie et vu Jenny. Je connaissais son prénom. Elle faisait partie de la même confrérie que moi. Nous nous étions que rares parler. Je remarquais rapidement sa jambe qui n’avait vraiment pas l’air d’être en bon état. « Roooooh bordel mais qu’es-tu t’es faits ? » dis-je en allant vers elle et en m’accroupissant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comment t'as pu en arriver là, hein ? Une jambe transperçant le sol merdique de ce manoir complétement morbide. Juste quelques secondes d’inattention et une poisse démesurée. Et te voilà coincée. Dans une infirmerie désaffectée. Éloignée du groupe d'étudiants. Géniaaaaaal. Comment tu vas pouvoir de cette situation maintenant ? Parce que toute seule, c'est juste impossible de pouvoir te décoincer. T'as beau essayer de bouger mais c'est complétement mort, t'es coincée. Alors la seule chose qui te reste à faire, c'est appeler à l'aide. En priant pour que quelqu'un arrive et t'aide à sortir de là. Pour que tu puisses voir les dégâts. Au bout de quelques petites minutes, une personne entre dans l'infirmerie. Jackie-Elie. Tu ne la connais pas personnellement mais tu sais son prénom puisque vous êtes dans la même maison. Et t'es contente dans ton malheur, de voir une de tes soeurs s'approcher de toi. Roooooh bordel mais qu’es-tu t’es fais ? Tu ris légèrement, c'est les nerfs qui craquent. Deux jours ici, deux jours à te contenir. Qu'est ce que tu t'es fais, très bonne question. T'hausses légèrement des épaules. Je marchais sans vraiment faire attention et voilà ce que ça a donné : une jambe coincée dans le sol de ce foutu manoir. Au beau milieu d'une infirmerie, si c'est pas le comble ça. Tu soupires, appuyant tes mains sur le sol. Essayant de t'extraire de cette situation. Et faut croire que je peux pas en sortir. Géniaaaaaal, ouais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

La situation était des plus surprenante. J’étais venue ici pour allez chercher mes clés de voiture perdu je ne sais ou et voilà que maintenant j’étais à la tête d’un problème majeur. Les prises de décisions pour les autres ne faisaient pas partie de mon quotidien. Pour êtres franche avec vous, je détestais ça. Je prenais mes décisions mais je détestais prendre les décisions pour les autres. Me retrouver dans cette situation ne me plaisait pas. Mais instinctivement je m’accroupis et m’adossais à son niveau. Sa jambe ne semblait pas être dans une très bonne position. « Je marchais sans vraiment faire attention et voilà ce que ça a donné : une jambe coincée dans le sol de ce foutu manoir. Au beau milieu d’une infirmerie, si c’est pas le comble » Je lui fis un petit sourire histoire de la rassurer. J’avais beau ne pas savoir quoi faire. J’étais encore assez lucide pour savoir qu’un simple sourire pouvait faire du bien. « Je suis là, je vais t’aider d’accord » Le calme était là chose primordiale dans cette situation. Le calmeeeeee, bordel pas évident. Jenny tenta une nouvelle fois de retirer sa jambe mais il n’y avait rien à faire. « Et faut croire que je peux pas en sortir ». Je soupirais également et lui dis : « Bon et tu sans que c’est cassé ou tu arrives à le bougé ? » le sol ne semblait pas stable du tout. Je m’avais un peu en faisant attention ou je m’étais les pieds et regarda son pied de plus prêt. « il faudrait que quelqu’un d’autre vienne ici… »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)