Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityISALINE ► Je ne veux plus de cette hysteric love
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ISALINE ► Je ne veux plus de cette hysteric love

Anonymous

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J'ai beau souffrir, mon coeur revient vers toi et je me hais de t'aimer comme ça..


Depuis quelques temps, elle et moi c'était devenu étrange. Quelques petits sourires, des discutions quelques fois calmes et posées, des regards qui pouvaient passés pour tendre. J'étais perdu. Voilà quelques temps que je sortais avec Salomée, pourtant, mon coeur semblait battre plus fort quand je croisais son regard. Sa froideur diminuait, mon arrogance disparaissait quand elle me faisait face. Bordel, que ce passait-il ? Couché dans mon lit, je regardais le plafond avec un air rêveur et calme. Je devais trouver le comment du pourquoi, je devais savoir comment nous avions fais pour en arriver là. Il n'y a pas si longtemps que ça, je détestais cette demoiselle. J'avais sans cesse envie de l'étriper, de lui coller une bonne droite pour qu'elle ferme sa grande bouche. Mais à présent, j'en étais réduis à me perdre dans son regard avec un sourire béat, presque...non, même pas en rêve. Je ne pouvais pas être amoureux d'elle, c'était impossible. Pourtant, Isaline, car oui, c'est bien d'elle que je parle, semblait avoir réussit à dompter le connard qui éclatait en moi et dirigeait ma vie. Me redressant, passant une main anxieuse sur mon visage, je tentais de reprendre mes esprits. Depuis plusieurs jours, elle hantait mes pensées même quand j'étais avec Salomée. Elle aussi je l'aimais, mais différemment, moins fort. Me levant, faisant les cents pas, mon portable sonna. Quand je vis le nom de ma petite amie s'afficher, je ne répondis pas. Non, je n'avais pas le courage de lui parler, pas maintenant en tout cas. Je devais régler certains point, je devais mettre de l'ordre dans ma vie et pour ça j'avais besoin de ma fiancée. En sa présence, tout semblait plus facile, plus claire. Regardant l'heure, je remarquais qu'il était quand même assez tard. Qu'importe, je ne pouvais pas attendre le lendemain, c'était impossible.

Attrapant mon pantalon, je ne pris pas la peine de mettre un tee-shirt ou encore une veste. De toute façon, le dortoir des filles n'était pas loin, étant dans la même confrérie je ne devais pas traverser tout le campus pour la trouver. Je pris alors mon téléphone, prenant quand même soin de lui envoyer un texto. « J'ai besoin de te voir d'urgence, rejoins moi dans le hall de la confrérie s'il te plaît. » Encore une chose qui avait totalement changé, je lui parlais poliment. Bon, ce n'était pas tout le temps le cas, car je gardais mon caractère et elle aussi, mais comme je vous l'ai dis, notre relation était étrange. Fonçant droit vers le hall, je m'assis sur les escaliers, jouant nerveusement avec mon portable. Qu'allais-je lui dire ? Comment trouver les mots, surtout pour un mec comme moi...Je n'avais jamais fais de déclaration d'amour, je n'étais pas du genre romantique ou sentimental. Plusieurs minutes passèrent quand j'entendis du bruit dans le couloir, levant les yeux, je vis Isaline arriver vers moi. Un léger sourire aux lèvres, je me redressais calmement. « Je suis désolé, tu dormais ? » J'étais nerveux et cela se voyait sur mon visage.
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fall hard, just one more time (+ mathias)


J'étais là, couchée dans mon lit, emmitouflée dans la couette, à tourner encore et encore. Je ne parvenais pas à trouver le sommeil. Ces derniers temps, j'avais énormément de mal à m'endormir, sans doute parce que je pensais trop. J'essayais d'éteindre mon cerveau, le mettre sur pause, pouvoir être sereine. Mais non, il fallait toujours qu'un visage apparaisse soudainement, alors que je demandais à penser à tout sauf lui. Je ne comprenais pas. Ou plutôt si. Avant, quand je le voyais, je voulais juste l'éviter le plus possible, ne pas avoir à le confronter. Et là, depuis quelques temps, je me surprenais à le chercher du regard; quand j'étais dans la résidence, ou dans les couloirs de l'université, dans les restaurants, bref, partout où je mettais les pieds. Et ça me faisait peur. Je n'arrivais pas à comprendre comment il avait fait pour s'immiscer ainsi dans mon coeur. Je le détestais pourtant... Voilà, c'est ça le problème, je le détestais... Au passé. Entre la haine et l'amour, il n'y a qu'une fine ligne, trop facile à franchir sans même s'en rendre compte. Je ne voulais pas pourtant, vraiment pas. J'avais tout fait pour refermer mon coeur, à double tour, mais... J'aurais aimé continuer à le détester, et là, je ne pouvais juste pas m'empêcher de me montrer plus douce à son égard. À chaque fois, j'essayais de reprendre cette froideur, de redevenir l'Isaline qu'il a connu à ses débuts. Mais non, quelque chose m'en empêchait. Et quand je me montrais plus sèche à son égard, et bien... Je n'aimais juste pas ça.

Assise sur mon lit, j'en avais marre de tourner. Je ne parviendrais pas à trouver le sommeil, je m'en rendais bien compte. Soudain, mon téléphone vibra. Je lus alors le message. Il venait de Mathias. Ah ben tiens, quand on parle du loup. Il cherchait à me voir... Je n'étais pas la seule à avoir changé de comportement. Lui aussi, il se montrait plus poli, plus respectueux, plus doux aussi. Avant, il ne faisait que grogner des insultes, mais maintenant, il ne faisait plus rien de tels. Bon, c'est vrai que par moment, on se retrouvait à nouveau à se prendre la tête, mais c'est ce qui arrive quand deux caractères forts sont en désaccords. Je me mordis alors la lèvre, pas certaine de vouloir le retrouver. Sauf que... Finalement je soupirais et me glissais hors de mon lit. Je frissonnais légèrement en sentant la froideur du sol. Rapidement, j'enfilais mes ballerines avant de mettre un kimono en satin blanc par dessus ma nuisette noire -le tout signé VS, bien entendu. Je parcourais donc le couloir, assez rapidement, avant de descendre dans le hall. Parcourant la salle du regard, je le vis alors assis sur l'escalier d'à côté. Doucement, un léger sourire apparut sur mes lèvres tandis que je me dirigeais vers lui. Arrête de sourire... J'essayais de le ravaler mais... « Je suis désolé, tu dormais ? » Passant une main dans les cheveux pour remettre quelques mèches derrière mon oreille, je secouais la tête en signe de négation. « Non, pas encore. Enfin, je n'y arrivais pas vraiment... Qu'est-ce qu'il y a? » Ma voix ne résonnait que dans un léger murmure. En fait, j'avais presque peur de briser l'atmosphère qu'il y avait entre nous, et le calme régnant dans la maison aussi...
(Invité)