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LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos

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C'est le 10 août 1993 à Paris, que les membres de la famille Fabre et Penshorn m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Louise, Raphaëlle.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'arts, dans le domaine du théâtre depuis deux ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Mather House.
Louise R. Penshorn

Adèle Exarchopoulos

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Ange et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Magnifique, une tonne de membres et une ambiance du tonnerre alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Adèle Exarchopoulos comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi-même.

Mot de la fin ?LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 1188809706 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
Je suis dans ma salle de bains et je peins sur mon visage les couleurs de la vie. je manipule mécaniquement mon mascara et ma poudre. Je me prépare, ce soir je sors, comme hier et comme demain. Je n'y ai que des amis, entre tarés, on se comprend. Je m'habille. Ma dégaine de pouffiasse me ravit. Une pouffiasse en deuil. Je suinte le fric et la vulgarité. Je me dégoûte. J'ai un flash en m'arrêtant devant la grande glace à l'entrée. Je me revois deux ans plus tôt, je partais tout lui avouer l'espoir au cœur, en me demandant si j'allais lui plaire ce soir-là, et si j'allais une fois encore finir cette nuit entre ses bras. Mais je n'ai pas fini la nuit entre ses bras, et lui cette nuit-là, il n'en a jamais vu la fin.

LOWELL HOUSE.
Luca était pianiste et j'ai appris par cœur les chansons qu'il jouait. J'ai toujours effleuré La Ve d'artiste de Léo Ferré. Je me suis étonnée à aimer le théâtre. Emma y était pour quelque chose. Nous étions ensemble dans ce cours. Elle était ma muse. Pour elle, j'avais quitté Paris pour l'Amérique. Elle souhaitait faire ses études à Harvard et je l'avais suivie. Je n'étais pas amoureuse mais je l’appréciais beaucoup. Aujourd'hui, nous ne sommes plus ensemble. Et tout d'un coup, je trouve les cours moins intéressants.

MATHER HOUSE.
Encore un réveil difficile. Pendant dix minutes, je maudis toutes ces nuits blanches, ces verres superflus, ces cigarettes dont je n'avais pas envie, ces lignes de coke qui n'ont servi à rien, et je prends la résolution de ne plus jamais sortir, arrêter de boire, de fumer, me coucher tôt. Mais impossible de m'y tenir, je suis un oiseau de nuit.
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∞ Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini.
Je suis une pétasse. De celles que vous ne spouvez supporter; de la pire espèce, une pétasse du XXème, mieux habillée que la maîtresse de votre patron. En digne héritière de générations de femmes du monde, je passe plus de temps à me laquer les ongles, à me dorer la pilule au Bar Oz, à rester le cul sur un fauteuil et la tête dans les mains d'Alban Ermyst, à lécher les vitrines de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, que vous à travailer pour subvenir à vos petits besoins. Mon crédo : sois belle et consomme. Je suis française et parisienne et je n'en ai que faire. Avouez que vous me prenez pour une sacrée conne en total look Prada, sourire bleeching et cils papillonnants. Vous avez tort de me sous-estimer, ce sont des armes redoutables, c'est grâce à elle que je dénicherai plus tard un mari au moins aussi riche que papa. Car travailler n'entre pas dans la liste de mes nombreux talents. Je me ferai entretenir et voilà. Comme mère et grand-mère avant moi. Cela dit, depuis quelques décennies, la concurrence est rude sur le marché matrimonial de grand luxe. Les bons partis sont sollicités de toute part par une armada de mannequins, de secrétaires, et autres soubrettes ambitieuse dont les dents blanches rayent le parquet et que ne reculent devant rien pour se tailler l'Homme divin. Eh oui, Paris ouest, nous sommes tous beaux, nous sommes tous riches. Riches, vous y croyez sans peine, vu le prix du mètre carré, si nous n'étions pas riche, nous n'habiterions pas là. Nous, nous pouvons tous faire, tout avoir, puisque nous pouvons tout acheter. Nés avec une petite cuillère en argent dans nos bouches, nous enfreignons gaiement toutes les règles car la loi du plus riche est toujours la meilleure. C'est jouissif d'agiter notre abondance-décadence sous le nez de la pauvreté roide et vertueuse. A deux cents à l'heure dans les rues de Paris où il ne fait pas bon traîner quand nous sommes au volant, nous mêlons l'alcool à la beu, la beu à la coke, la coke aux ecstas, les mecs baisent des putes sans capotes et jouissent ensuite dans les copines de leurs petites sœurs, qui se font de toute manière partouzer du soir au matin. Nous sommes en plein délire, emportées dans une course effrénée de gaspillage gargantuesque, de luxe luxurieux. On prend du Prozac comme vous prenez du Doliprane, on a envie de se suicider à chaque relevé bancaire, parce que c'est vraiment honteux quand on pense qu'ailleurs, il y a des enfants qui crèvent de faim, alors qu'on s'empiffre et qu'on s'en met plein le pif. De toute façon, quoi que nous fassions, c'est honteux.

∞ Accro aux paradis artificiels et au péché véniel.
Je connais Luca depuis des lustres. Je le déteste comme je l'aime. Je ne supporte plus les pétasses qu'il côtoie. Je suis enivrement jalouse. Le temps n'existe plus avec L. Nous sommes restés ensemble un an pour finalement nous quitter. Un an à partager, des souvenirs désordonnés, et cette sensation au creux du ventre quand je les évoque... Un entrelacs de rires, de jambes, de fumée... une phrase de piano pleine de langueur... L'hiver puis le printemps... Mes mains crispées sur sa peau... sa voix qui me rend folle... l'obscurité radieuse qui règne dans ma chambre quand je dors dans ses bras... Moi qui fuyais l'amour, qui le fustigeais à l'envi. Nous sommes la même âme dans deux corps et, quand ceux-ci s'unissent, nous ne formons plus qu'un. Pendant un an, je ne suis pas sortie. Je n'ai rien bu, rien pris. Aucun manque Je me suis rassasiée en dévorant sa peau, mon besoin de débauche s'est consumé à la flamme de ses yeux. Je me surprenais à me sentir heureuse. Au bout d'un an, nous étions presque devenus "ordinaires". Mais le bonheur nous aurait ennuyés. On crèvera chacun de notre côté.
Sur un coup de folie, ma meilleure amie Sibylle me proposait de partir aux États-Unis pour vivre le rêve américain. Un an que je n'étais pas sortie, à vivre cloitrer dans cette appartement miteux. Quitter Paris, amis et surtout M. était si excitant que je n'ai pas réfléchi une seule seconde. Notre objectif était de rencontrer et séduire l'élite du gratin américain avec nos belles gueules et notre accent franchie. En quelques jours, nos économies étaient dépensées. On était pauvres. Papa ne voulait pas me donner de l'argent. Et ce con souhaitait que je me débrouille toute seule à gagner ma vie. Il en était hors de question. Sibylle n'était pas si stupide qu'elle en avait l'air. Elle venait de nous trouver un sacré job. C'était simple, on était "escorte girl". L'argent facile rentrait dans nos caisses. Nos fréquentations étaient toutes aussi mal famées qu'en France. On avait plaisir à écarter les jambes à ces dégueulasses hommes d'affaire. Six mois à être salie comme une pute. Je ne ressemblais plus à rien. On avait suffisamment d'argent pour rentrer en France. Bagages faits, billets achetés; on quittait les States.

∞ Le bonheur ne se finit pas, il se rectifie.
Tout avait changé à Paris. Luca était en couple et je voulais lui dire "je t'aime". Mes parents me haïssaient. Sibylle m'ignorait. Et moi j'étais enceinte. Je me suis fait avorter. Je n'ai rien ressenti d'abord, qu'une forme abjecte de satisfaction de voir se réaliser cette intuition que j'étais faite pour souffrir. Je ne souffrais pas. La prise de conscience eut lieu devant ce magasin de vêtements pour enfants, quelques heures après qu'une gerbe d'étincelles éclataient dans ma tête. Mais la douleur occasionnée par la perte de cet enfant n'était pas contrôlable, et ses manifestations ne m'étaient pas intelligibles; par exemple, ce qui me fait le plus de mal quand je pense à lui, c'est de ne pas savoir où regarder, et de regarder le ciel. J'avais dix-huit ans à ce moment-là. Pourtant, ce n'est pas cette épreuve et la douleur qu'elle me causa et me cause encore qui ont fait de moi ce que je suis.
Emma était un désir sexuel que je fascinais de contempler. Je l'avais rencontré dans un cours de théâtre et très vite nous jouissions de plaisir. Délicieuse lassitude qui freine quelques instants l'enthousiasme de la passion. Nos deux êtres épuisés gisent côte à côte en silence. Elle m'avait convaincu de la suivre à Harvard. Malheureusement notre histoire n'a pas tenu.
Je suis bien chez moi. Je traîne en peignoir toute la journée, dans l'atmosphère viciée par les montagnes de clopes que je fume, je n'ouvre jamais la fenêtre. Je préfère crever asphyxiée que crever de froid. Je ne bouffe rien, je n'ai pas faim. Pour me soutenir, je prends des Di-Antalvic, plus de gueule de bois, plus de courbatures, plus de migraine, pour me réveiller, je prends de la coke, plus de fatigue, plus de déprime. Les jours passent ainsi depuis trois mois. j'aime mon visage en ce moment; mes joues sont creuses, mes yeux ne brillent plus et sont dévorés par les cernes, mes lèvres sont incolores et ne savent plus sourire. Seuls mes cheveux sont restés les mêmes, longs, bruns et magnifiques, comme s'ils avaient absorbé toute la vie qui était en moi. L'homme que j'aimais est mort il y a trois mois (Luca). Je n’oublierai pas ton visage, je n'oublierai jamais ta voix. Je me morfonds dans ma douleur. Pauvre con, tu ne pouvais pas rouler moins vite.

Il est mort et plus rien n'a de sens pour moi. J'envisage l'avenir comme éternité de souffrances et d'ennui. Ma lâcheté m’empêche de mettre fin à mes jours. Je continuerai à sortir, à taper, à boire et persécuter des cons. Jusqu'à ce que j'en crève. L'humanité souffre. Et je souffre avec elle.

The End
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Bienvenue parmi nous LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 185272391
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bienvenue sur le forum hanwii 
bon courage (a)
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos QIkbezwN_o
LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24941
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Jasper O. Ellington
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Suuuuper choix d'avatar LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 3850463188 LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 2511619667 
Bienvenue sur le forum !
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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BIENVENUE PARMIS NOUS. LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 3850463188
jolie ava LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 1365124802
Bon courage pour ta fiche LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 2511619667
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Bienvenue parmi nous! Bonne chance pour la fiche ♥
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Original comme avatar, bienvenue :rvmp: 
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Bienvenue parmi nous LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 1365124802
J'espère que tu te plairas sur le forum :LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 1508216586 
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bienvenue avec la belle Adèle. LOUISE R. PENSHORN ► adèle exarchopoulos 3850463188
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