Accident durant la nuit ✗ Abigael

✗Accident dans la nuit.

J'étais dans ma voiture, entrain de rentrer de soirée, il était tard. Nous étions dans les petites heures de la nuit, il devait être deux ou trois heures du matin. J'avais activer les grands phares puisque avec cette fichue coupure de courant, les poteaux d'éclairage ne jouait pas leur rôle. En plus de tout, il pleuvait à sceau et on ne voyait donc vraiment pas grand chose. Je mordais d'ailleurs un peu le bord de la chaussée et la voiture devenait incontrôlable, impossible à la reprendre en main. Je venais frapper un des poteaux d'éclairage du bord de la route de plein fouet. Je perdais connaissance et me rappelait d'un simple moment où j'entendais des sirènes ainsi que de voir des lumières bleus. Je fus transporter à bord d'une ambulance qui me conduisait tout droit vers les urgences. C'était pas très grave, je me sentais pas si mal, juste un énorme mal de crâne. J'avais une plaie au niveau de la joue suite à une coupure avec un bout de pare brise, mais je me fis vite recoudre quelques points par une infirmière qui était là. J'avais quelques traces de coupure un peu partout, mais ce n'était que de petites griffes, rien de grave. C'était plutôt ce mal de tête qui me dérangeait vraiment. J'étais couché sur une sorte de brancard, près d'une infirmière en attendant quelques nouvelles, il avait fait quelques examens et je m'étais plaint pour mon mal de crâne. Je n'avais pas vraiment la force de parler, j'attendais simplement de savoir si je pouvais rentrer chez moi. Au fond, je voulais passer le reste de la nuit, dans mon lit.

(Invité)

« T’es d’service urgence cette nuit Williams! » On le sait tous, c’est le patron qui décide. J’ai raccroché le téléphone, et je me suis tranquillement préparée pour partir bosser. Le hic c’est que demain matin j’ai cours, conclusion je ne vais pas dormir de la nuit. C’est comme ça, il y’a toujours des sacrifices à faire. Et puis j’ai eu le temps de dormir dans la journée, alors ça va. Heureusement ses services de nuit, ils ne m’en donnent pas beaucoup, étant donné qu’ils savent que j’ai encore le nez bien plongé dans mes études !

Arrivé à l’hôpital, vers minuit, je me suis directement rendu à mon service. En chemin vers le service d’urgence, j’ai eu la chance de croiser quelques adorables patients, malheureusement loin d’être rétablis. Travailler à l’hôpital n’est pas vie facile. On se doit d’être sociale souriant, mais quand on aime les gens, ce n’ai pas compliqué. Le plus dure dans tout ça, c’est quand on se réveille un matin, et qu’on apprend que le patient de tel ou tel chambre, nous à quitter durant la nuit. Encore plus dure quand il s’agit d’un enfant. Mais voilà, dans chaque métier il y’a des complications, et on se doit de vivre avec !

2heure du matin, j’ai eu le droit à une petite urgence depuis le début de la nuit, mais j’avais pourtant le pressentiment que d’autres allaient arrivées, c’est obligé. Le jour où on arrive à une seule intervention en une nuit, je crie victoire ! Après avoir parlé plusieurs minutes avec un collègue, je bipe, une ambulance est arrivé dans la cours. Je prends mes jambes à mon cou, et cours récupérer le brancard auprès des autres. « Accident. La voiture à heurter le poteau d’un lampadaire. Aucune grosse blessure physique, par contre il a vite perdu connaissance. » J’écoute chacun des renseignements, sachant qu’ils sont plus qu’important. Après plusieurs longues minutes, j’ai fini par recoudre la plaie ouverte sur la joue du conducteur, et ceux auprès d’un médecin attentif à chacun de mes mouvements. « Du bon boulot ! » m’avait-il gentiment dit. Nous avons alors ensuite emmené la victime dans le bâtiment principale, dans une des salles de réanimations, en attendant qu’on réussisse à le réveiller.

Après avoir attendu plusieurs minutes à côté du brancard-lit du jeune homme, il s’est enfin réveillé. Son visage ne m’est pas inconnu, je sais que je l’ai déjà vu quelque part ! Il se plein de son maux de tête, sans pouvoir vraiment prononcer le moindre mot. Une amie me remmène le rapport sur l’accident, et je me lève enfin de ma chaise pour parler avec le jeune homme. « Bonjour Monsieur…Prescott c’est bien ça ? » dis-je avec le sourire en regardant d’un coup d’œil rapide la feuille que j’ai dans la main, tandis que l’autre est posé sur les barres qui entoure le brancard. « Vous êtes en salle de réanimation actuellement. Pendant l’accident vous avez été victime d’un choque violent à la tête, et vous avez donc rapidement perdu connaissance. » Contente de le voir réveiller, je me dois de l’emmener ailleurs à présent. Mais avant ça, je dois le tenir au courant d’un petit détail qui pourrais sans doute poser problème.. « Ah et suite à ce choque que vous avez subit à la tête, on préférerait vous gardez au moins cette nuit, et au mieux faire quelques examens. » Je pense qu’il est capable de comprendre non ? En plus il à toujours encore mal au crâne, alors s’il est victime d’un traumatisme crânien, on l’sait pas ! Je le regarde droit dans les yeux, et ça y est, je le capte! Il est à Harvard lui aussi, c'est là que je l'ai vu! S'il est étudiant à Harvard, ça ferait bizarre de le vous-voyez vous trouvez pas ?..

hj: sorry c'est super long, j'étais inspiré Accident durant la nuit ✗ Abigael 2157042859

Accident durant la nuit ✗ Abigael 2157042859

j'espère que t'auras le courage de lire tout ça :sifle:

(Invité)

✗Accident dans la nuit.

C'était dur, je vois des lumières bleus dans le noir, j'entend les sirènes. Puis, rien ne me vint à l'esprit, juste ce réveil dans la chambre, devant une jeune infirmière, je sentais des douleurs un peu partout et surtout au niveau de la tête. D'ailleurs, je fis signe et me plaignait d'un mal de crâne qui ne cessait pas. La jeune infirmière en question me demandant si c'était bien monsieur Prescott, j'hochais la tête en signe de réponse, mais ne prononçait simplement aucun mot. Non, rien ne sortait, je n'arrivais pas à sortir la moindre phrase, mes lèvres bougeait mais aucun son ne sortait de ma bouche. Elle ajoutait ensuite que j'avais eu un accident et que j'avais eu un violent coup à la tête, d'où ce mal de crâne je suppose. Elle continuait en me disant que j'étais en salle de réanimation. Elle s'arrêtait un instant de parler, mais la suite ne préavisait rien de bon. En effet, la jeune fille me faisait savoir que je devais rester à l'hôpital, déjà au moins pour une nuit en observation et pour faire quelques examens. Mais je détestais l'hôpital, même si c'était autres choses que la boucherie du champ de bataille. Ma fois, je ne pouvais pas vraiment dire quelques choses, puisque je n'arrivais pas à pousser le moindre mot en dehors de ma bouche. Mais c'était peut-être une imposteur, car une infirmière si jeune, c'est rare. Quoi que j'étais peut-être tomber sur une étudiante, oui c'est surement ça et elle ne sait pas ce qu'elle fait. Pour moi, je n'avais rien, juste un simple mal de tête qui allait passer après quelques heures.

(Invité)

Le jeune Prescott n’est pas du tout en position de parler. C’est surement du à ce choque à la tête, ou bien il est encore trop traumatisé pour me dire le moindre mot. Je dois avouer que ça me met mal à l’aise, j’ai presque l’impression de parler à un lit vide. Mais comme il me regarde, hoche la tête et fait quelques bruits bizarre, en tout ça va encore. Je n’suis pas médecin, ni Infirmière expérimenté. Mais ce boulot fait partie de mes études, et même si je suis surveillé et prise en charge par des pros, je ne suis pas incapable pour autant. Je sais dans quoi je me lance, je connais mon boulot. En générale je suis en service d’oncologie, mais il y’a quelques nuits ou le bosse me fait bosser en service d’urgence pour voir ce que je vaux exactement. D’après lui, ça à l’air de par mal se présenter !

Je trouve que le jeune d’Harvard à l’air inquiet. C’est moi qui lui fais aussi peur ? Ou le fait qu’on préfère le garder encore nuit ? Franchement aucune idée. Ma collègue pro revient rapidement, et me chuchote un message. Nous devons l’emmener dans une chambre double pour la nuit. Elle pousse donc le brancard-lit, et je me charge de rassurer le jeune homme en marchant juste à côté, la main sur les barres qui entour le lit. Ça y est, nous voilà enfin arrivé dans la chambre. J’aide le jeune homme à prendre la position assise sur son brancard, lui qui n’a pas l’aire de trop comprendre. Puis je me tourne à nouveau vers lui. « Vos proches ont déjà été contactés. Je vous rassure, on les à tenues au courant de l’accident. En attend, je m’excuse, on vous prend un peu de cours, mais vous accepteriez d’être garder une nuit en observation ? Histoire qu’on soit juste sure que la blessure n’est que physique? » Il n'y vraiment qu'avec les patients que je parle comme ça. Je suis aussi gentille en générale, mais là je suis parfois carrément trop polie et j'ai l'impression d'avoir 50ans! Bon après quand c'est la vie du patient qui est en jeu j'dis rien, surtout que je suis observé donc! « Vous pouvez seulement essayer de prononcé un seul mot si-il-vous plait ? » Je lui demande, les yeux dans les yeux. Ça sera beaucoup trop compliqué sinon..Et je m'excuse si le choque à endommagé ses cordes vocales, mais ça ferait une raison de plus pour qu'il reste. Bon, s'il accepte, tout ce qui est papier, sécu ect, c'est la famille qui réglera une fois qu'elle sera arrivée, ce n'est pas de mon sort. Ma préoccupation, c'est le patient.

(Invité)

✗Accident dans la nuit.

Elle avait beau être jeune, mais elle savait ce qu'elle faisait cette infirmière. C'était une chose tout à fait rassurante quand on est cloué dans un lit d'hôpital, de ne pas tomber sur un psychopathe. Je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà vécu ce truc, d'avoir un accident de la route, surtout si violent. Peut-être quelques accrochages, mais pas au point de déclasser ma voiture qui est bonne à être emmener droit à la casse. Une infirmière faisait savoir que l'on allait me mettre dans une autre chambre, la jeune fille suivait le lit en ayant la main déposer sur les barreaux du lits. Une fois arrivé, elle m'aidait à me mettre assis, mais ça me faisait mal au niveau du ventre, du dos, bref j'avais des douleurs vraiment partout. Sauf que j'étais à présent assis, elle me demandait si je voulais rester ici pour la nuit, c'est vrai que c'était peut-être plus sage, surtout que c'était en bonne compagnie. Mais, je n'étais pas du style à rester là sur un lit d'hôpital sans bouger, sauf que je m'en sentais pas capable de bouger de là.

La jeune fille était vraiment polie et c'était un plaisir de l'avoir comme infirmière qui me suivait. Je souriais comme je le pouvais quand elle me demandait d'essayer de dire un petit mot. J'ouvris les lèvres avant d'essayer de dire un petit truc, mais ce n'est qu'un simple.. « N.... » qui sortit de ma bouche. Je ne savais pas lâcher la moindre phrase, je parlais en quelques sortes dans le vide. Je regardais la jeune fille un peu désespéré avant de venir tirer la moue et de laisser tomber mes bras le long de mon corps.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)