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SALOMEE ► Tu me rends fou.

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Fais de moi ton roi, je ferais de toi ma reine. (+ Salomée)


Une fois de plus, ma journée c'était réellement mal passée. Je venais de me disputer, comme toujours, avec ma fiancée par obligation Isaline. Elle avait le don pour me mettre hors de moi, j'avais envie de l'étriper, de la tuer, de l'étrangler. Cette femme me dégoûtait, elle me répugnait et savoir que je devrais vivre avec elle m'étais simplement impossible à imaginer. Marchant en poussant plusieurs personnes dans les couloirs, je n'étais pas d'humeur à dire pardon. En fait, je ne demandais jamais pardon à personne. Je devais aller à la bibliothèque chercher un livre d’économie pour ma dissertation de la semaine prochaine, un examen très important, pourtant, je n'avais pas spécialement la tête à travailler. Qu'importe, je n'avais pas spécialement le choix, je devais faire ce devoir. Pénétrant dans la grande salle, sans aucune discrétion, la bibliothécaire me fusilla du regard. D'un simple geste de la main, je fis détourner la tête de celle-ci. Étant un Eliot, il était fort rare que l'on s’empenne à moi, même extrêmement rare. Me faufilant dans les allées, je me stoppais devant plusieurs bouquins qui parlaient de politique et autres choses. Du bout des doigts, j’effleurais certains pour mieux lire la couverture. Que prendre, que choisir telle est la question. Alors que je continuais à marcher sans regarder ou j'allais, je sentis une personne me cogner légèrement. Franchement, ce n'était pas le jour pour ce genre de conneries. Tournant brutalement la tête, j'allais sortir les crocs quand je tombais nez à nez avec Salomée. Cette fille avait le don de me mettre hors de moi sans y être pour grand chose. En faite, sa seule erreur était qu'elle me plaisait plus que de raison, qu'elle faisait naître en moi quelques sentiments que je refusais d'admettre. Pour la cause, à chaque fois que je croisais son chemin, je me montrais froid et même colérique.

« Quoi, tu sais pas regarder ou tu vas ! » Dis-je en marmonnant dans mes dents. Je trouvais cette demoiselle de toute beauté. Son sourire, son regard, ses cheveux...Non, je me refusais d'admettre ce que je pouvais ressentir. Pourtant, après quelques secondes, je dis de nouveau. « Désolé, j'ai passé une sale journée. » Ho mon dieu, ho mon dieu ! Donnez moi un calendrier il faut faire une croix dedans. Mathias Alexander Ravenwood venait de s'excuser, en plus de ça, face à une fille.Je réalisais soudain la connerie que je venais de faire, sérieusement, j'avais vraiment dis ses mots . Pestant contre moi-même, je me maudis une fois de plus. Salomée avait cette emprise sur moi, elle semblait me calmer en quelques secondes tout en me faisant dire des conneries. Je détestais ça. Poussant une soupire, passant une main sur mon visage, je sentis mon coeur battre un peux plus fort. Il fallait vraiment que je me reprenne, il ne fallait pas que je tombe dans le piège des sentiments. Voilà quelques mois que je connaissais la jeune fille, en fait, dès le départ elle m'avait réellement plus. Ses longs cheveux, son regard profond, sa peau parfaite...Mais cette perfection à mes yeux signifiait que je devais me montrer arrogant, méchant, cruel avec elle. Chose que je faisais généralement à merveille. Parfois, néanmoins, je baissais ma garde et je devenais plus ou moins gentil avec elle. Dans ses moments-là, je me maudissais intérieurement et me traitais de tout les noms possible. Détournant mon regard, je reposais celui-ci sur les bouquins, essayant de fuir péniblement cette jeune demoiselle qui me faisait tellement d'effets.
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Tu me rends folle.
mathias ∞ salomée


Sueur froide. Battement de cils, mouvements brusque qui le bouscule un peu. Tu t'étais perdue dans tes pensées. Tu te demandais d'où te venais soudainement cette chaleur qui te bouffait le corps entier, tu semblais te consumer en elle. Chaleur, frisottis dans tes cheveux. Il est là. C'est ce sentiment qui te parcourt quand tu le vois. Vous vous entichez en quelques sortes, tu connais son regard, celui qu'il te lance, il semble plein de haine, mais ce n'est qu'une impression. Au fond, il est doux comme un agneau quémandant un peu de ta douceur, un peu de ton être. Quelques secondes à peine, tu venais de le bousculer, ...Il te fit face, les crocs amorcés prêt à mordre sa proie, mais il fit mine d'effacer un sourire timide presque béat pour afficher une mine déterré...Quoi, tu ne sais pas regarder ou tu vas ! ... Ce n'est même pas une question et toi...t'aimerais dire non, tu n'arrives pas, il te captive, il t'ensorcelle. Monsieur Ravenwood te détient sur le bout des doigts, il te connait, il fait seulement mine de te haïr. Tu souris, puis tu passas une main dans tes cheveux pour les ramener derrière tes oreilles...O excusez-moi mon altesse, je ne pensais pas qu'il pourrait y avoir des règles de circulation... Il te regarda énervé puis son regard changea, il devint tendre et puis il te lança un ... désolé, j'ai passé une sale journée...Tu as l'impression que c'est un signal, un truc du genre ' j'ai passé une sale journée, si je t'agresse, c'est parce que je veux un câlin, je veux que tu me consoles '. Tu l’interprètes comme ça, tu te dis qu'il n'aurait pas besoin de te dire qu'il se sent pas bien, tu le connais tellement, tu sais qu'il est parfois insupportable, mais qu'il peut être tendre et désireux d'avoir un peu d'amour. Il passe une main sur son visage contrarié, avec lui, Salom tu ne te reconnais pas, tu étais tellement...toi. Au fond, tellement différente de la religieuse que tu es, tu prends ses avances, tu le sens qu'il veut plus, que ça l'effraye et qu'en même temps, il a peur de ta réaction. Tu reprend le livre qu'il a dans ses mains et tu le déposes doucement sur une étagère.

Il semble vouloir ne plus croiser ton regard, il t'évite et ça te fait du mal. Toi aussi, tu le ressens ce sentiment d'appartenance avec lui. Quelque chose de plus au moins nouveau et il...il te fuit ! Il ne semble pas vouloir accepter l'évidence. Vous êtes attirés l'un vers l'autre .Tu passe une main chaude et douce sur son front, il te regard désemparé. Es-tu en train de jouer avec lui ?... non, ce n'est pas ton genre...t'es malade ? dis-tu d'une voix mièvre...Tu le regard étonné, puis tu rigoles par après... Ravenwood qui s'excuse, on aura tout vu. Est-ce la fin du monde ? Le retour du Christ pour que tu puisses ainsi te rabaisser ?

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Fais de moi ton roi, je ferais de toi ma reine. (+ Salomée)


Parfois, je me demande si je n'aurais pas du me faire arracher le coeur, ainsi, j'aurais moins de complications dans la vie. J'aurais aimé ne plus rien ressentir, oublier ce que les sentiments pouvaient éveiller en moi, une faiblesse digne des plus cons. Et là, j'étais simplement un gros con sans cervelle. Je ne voulais pas me montrer faible devant elle, non, je ne voulais pas me rabaisser au point de devenir doux comme un agneau. Je devais la faire souffrir, comme celle qui autrefois, cruellement, m'avait également fait souffrir. C'était mon but, ma raison d'exister, faire souffrir le plus de femmes possibles. Malheureusement, avec Salomée, c'était différent. Je ne ressentais pas le besoin de la faire souffrir, de la voir pleurer, non. Je ressentais tout le contraire, comme la sensation de la protéger de tout les dangers existants, comme la protéger des connards comme moi qui pourraient la briser. Je restais neutre face à sa remarque, effectivement, il aurait du y avoir des règles de circulations, cela m'aurais empêcher de me frotter à elle. J'évitais de la regarder, de mon plonger dans ses yeux pour m'y perdre, m'y noyer...Je voulais rester maître de moi-même, je voulais garder le contrôle de la situation. Quand elle me prit le livre des mains, je tournais la tête vers elle, désorienté. Quand elle posa sa main sur mon front, je me raidis, pas habitué à ce genre de contacte avec elle...Cela n'était pas désagréable du tout, d'ailleurs, un frisson s'empara de tout mon corps. Non, ne pas succomber à la tentation, cela m'étais interdit. Si j'étais malade ? Sûrement, car pour l'observer comme je le faisais, je devais carrément être au bord de l'agonie. Elle rigola et cela me fis sourire, légèrement, certes, mais je souris quand même ce qui était rare. Généralement, je souriais avec un air arrogant, froid, méchant mais pas cette fois...Non.

Mon sourire était franc presque doux, ce qui n'était pas dans mon habitude. « Je ne me rabaisse pas, je ne dis que la vérité madame...puis te fou pas de moi, sinon je vais devoir me venger. » Dis-je avec un petit air taquin sur le visage, essayant de me détendre et d'oublier ce frisson qui c'était emparé de moi lors du contacte de sa peau contre la mienne. Passant une main dans mes cheveux nerveusement, je n'étais pas spécialement à l'aise, n'aillant pas l'habitude de me comporter ainsi. Étrangement, quand je voyais la jeune femme j'avais directement envie d'aller lui parler, mais comme toujours, ma fierté me disait de ne pas bouger. Alors, je la laissais marcher et me dépasser sans la regarder, l'air de rien... « umh, faut vraiment que je trouve un livre. » L'excuse bidon pour tenter d'échapper à son emprise. Moi qui généralement était un dragueur hors pair, je me trouvais à fuir devant une jeune fille...J'étais pathétique, sérieusement, je me dégouttais. Faisant un simple geste de la main à Salomée, je passais à ses côtés et frôlais accidentellement sa main avec la mienne. Non de dieu, c'était vraiment fait exprès ! Mon coeur s'accéléra d'un coup. Je fonçais droit dans le section horreur de la bibliothèque, qui n'avait strictement rien à voir avec mon devoir, mais je devais m'éloigner.
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Tu me rends folle.
mathias ∞ salomée


Il se raidit. Le contact de ta peau contre la sienne, lui fait de l'effet. Tu ne sais pas, ou plutôt tu n'y penses plus. Tes yeux croisent les siens, ils sont d'un bleu céruléen. Tu n'avais pas remarqué, c'est beau, c'est étrange. C'est tout lui. Tu sembles hypnotisé. Il te fait un effet... Je ne me rabaisse pas,...tu détachas le paume de ta main de son front chaud... je ne dis que la vérité madame...tu ris doucement en baissant ton regard...puis te fou pas de moi, sinon je vais devoir me venger...et tu lui fis un grand sourire. Il avait un air taquin, quelque chose de nouveau dans son expression. Quelque chose que tu ne lui connaissait pas. Un vent d'anticipation t'envahit, tu eu l'impression que vos visages furent trop proches, tu t'éloignas et il passa une main nerveuse dans ses cheveux. Il tremblait un peu et tu l'observais avec de grands yeux...te venger, comment ? dis-tu en approchant tes lèvres de ses oreilles. Tu lui parlais toujours comme un ami, toujours à vouloir lui glisser quelques mots dans les oreilles. Des mots qui pourraient être des secrets qui serait une partie volée de toi pour la lui donner.

Tu étais bien innocente, aucunes arrières pensées, seulement une question, mais il dévia le sujet...umh, faut vraiment que je trouve un livre...L'excuse. C'est bidon pour toi, ça l'ai sans doute pour lui. Depuis quand trouve-t-il les livres si passionnants ? Ça te désempara... et tu restas là quelques secondes dans tes pensées, c'était comme une agonie, un arrêt de toutes tes fonctions vitales...il t'ignore ? Pour voir sa réaction, tu dis ...Je pourrais être ton livre, tu pourras alors me lire ouvertement. Mais, il semblait perdu, puis gêné. Il prit un livre et passa à côté de toi, il te frôla accidentellement avec sa main puis fonça vers un autre rayon. Tu ne pouvais le suivre, tu avais un protocole à suivre, c'était à lui de venir pas toi, c'était à lui de te parler pas toi. Mais, ton coeur réclamait encore plus. Tu tournas tes talons, tu étais bien décidé à voir ce qui n'allait pas avec lui. De toute façon, tu le savais, tu l'avais pressenti, c'était un double instinct chez toi. A ce moment-là, tu ne pensais plus à tes obligations. Etait-il chrétien ? Non...sans doute pas, pas beaucoup, pas du tout. Tu accéléras le pas. Etait-il humble ? Arf, tu n'y pensas plus... il était un Ravenwood, c'est tout. Tu arrivas vers le rayon où il semblait s'être perdu dans une lecture sur un livre d'horreur. Tu posas une main sur les pages de son livre...Ô rage! ô désespoir ! dis-tu d'une manière théâtrale, digne d'une pièce de Shakespeare...C'est quoi ton problème ? Tu me fuis comme la peste...Tu fis la mou et pour cela tu passas tes deux mains sur tes oreilles. Tu ne voulais pas entendre ce qu'il avait à te dire tant que tu ne terminerais pas ta phrase...Je n'aime pas les gens qui fuient la vérité.




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