MACKLEMORE ► Rufus Alex Kirkland

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Julie, mais vous pouvez m'appeller Ju ou Juju, car tout le monde m'appelle comme ça et j'ai 19 ans. Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à mon ancien compte ici.  Le forum est superbe et j'ai hâte de voir ce qu'il réserve de plus alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Macklemore comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par minnie.mouse. Je fais environ 900 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ :slipperyhug: 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Vancouver, Canada. Oui, je suis canadien et je porte fièrement la feuille d’érable sur mon cœur depuis m’a naissance. Les gens d’ailleurs adorent les canadiens et surtout que les gens me complimente lorsque je commence à parler, car j’ai un accent qui me donne un charme à ce qu’on dit. J’ai grandi dans une famille très artistique, mais qui n’a pas souvent été parfaite, car mon père n’était pas l’homme qu’il me fallait dans ma vie et ma mère n’a jamais été là pour moi. Ma mère n’avait pas le choix de m’envoyer dans une nouvelle famille pour avoir une vie encore plus seine et que je puisse être bien entouré et pour m’aider, ma mère avait demandé à mon oncle et ma tante de prendre soin de moi pour qu’elle puisse garder contacte avec moi. J’étais très jeune lorsque tout ceci est arrivé, mais je n’ai jamais eu la chance de connaître ma vraie mère. Mon oncle et ma tante était des artistes tout comme mes parents et aujourd’hui, c’est grâce à eux si je suis un mordu des arts et surtout de faire la fête, car mon oncle était un grand fan de rock’n roll, mais je n’ai jamais aimé ce style de musique tout comme lui. Le rap, le hip pop et pop m’a toujours donné une inspiration. Les backstreets boys étaient une inspiration lorsque j’étais jeune avant de connaître les débuts d’Eminem et plein d’autre artiste pour me faire réaliser que la musique et l’inspiration du moment présent était ce qu’il me fallait pour poursuivre mon chemin. Par contre, mon chemin vers l’adolescence n’était pas celui que j’avais bâti avec tout ce que j’avais en tête. J’ai toujours été une personne très naïve lorsque j’étais adolescent et de pouvoir prouvé à tout le monde que je n’avais pas peur de rien… en fait, j’ai peur de plusieurs choses et incluent le fait d’avoir de peur de mourir, ceci m’a beaucoup traumatisé lorsque j’ai passé des mois et des mois dans un milieu hospitalier et à me dire que le diable était pour venir me chercher si je recommençais. Je me détestais tellement, mais j’ai eu la chance de terminer mon secondaire grâce à mes parents à la maison. Une chance que mon oncle et ma tante était-là pour moi, car mon père m’aurai condamné complètement de la famille et il m’aura laissé par moi-même jusqu’à temps que le bon Dieu vienne me chercher. J’ai travaillé longtemps dans une industrie pour pouvoir me ramassé assez d’argent pour pouvoir poursuivre mes études dans un domaine qui m’a toujours intéresser et s’est de continuer dans la production de mes blogs et de pouvoir continuer d’appliqué ma marque sur les réseaux sociaux. Le journalisme et la radio m’intéresse énormément aussi, car ce sont des endroits que l’on peut facilement apporter une expression sans que personne vienne nous pointé du doigt et de pouvoir appliqué nos opinions. Par contre, je ne peux pas oublier les arts qui sommeillent en moi. La musique, le dessin et les compositions, c’est ce qui m’inspire le plus au monde et de pouvoir m’ouvrir des portes vers un monde différent, je voulais y arriver. Mon oncle et ma tante m’avait trouvé un endroit fabuleux lorsque j’ai reçu mon acceptation pour aller étudier aux États-Unis dans une des plus grandes universités, Boston était le chemin que j’avais pris pour poursuivre mes études. Harvard ne prenne pas n’importe qui pour entreprendre des études. Les bonnes notes et aucun casier judiciaire et ceci m’avait beaucoup mis sur les nerfs pour ça. Voilà pourquoi j’ai attendu avant de recommencer ma vie étudiante et je voulais absolument avoir l’argent pour enlever cette tâche de mon dossier. Par contre, j’avais commencé à faire la fête, mais chaque fois que je voyais de la drogue près de moi, mon cœur était sensible et je voulais vomir. Je ne faisais que penser à toute la médication que j’ai eue et ceci me levait le cœur. Je croyais m’avoir échappé des milieux hospitalier, mais j’ai vécu encore une fois l’enfer en étant impliqué dans l’attentat qui est survenu au campus. Mes parents ne pouvaient pas y croire avec toute la malchance qui me suivait comme un chien sans défense. Le fait de toujours vivre sous la médication, je ne suis pas capable, mais de me sentir fort devant tout ce qui passe à l’entour de moi, j’apprends à ne pas me plaindre. J’ai continué mes études et je suis maintenant en deuxième année dans le milieu des arts et en relation public. Je ne peux pas trouver le temps long et ce qui me rend le plus heureux, c’est d’avoir eu cette chance de pouvoir continuer à vivre.