S.ANGEL GOMES ► mélanie iglesias

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle arabika et j'ai seize ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Il est si populaire et génial alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Mélanie Iglesias comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Annaelle. Je fais environ cent mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

à dix ans : "Angel, c'est l'heure, dépêche-toi." Résonna la voix de ma mère dans la maison. Allongée sur mon lit, regardant le plafond, je me releva d'un petit bond, dégaga mes cheveux de mon visage, je descendit de mon lit, ou plutôt de ce qu'il en resté, puis je pris ma valise et la traina jusqu'à la porte de ma chambre. Me retournant pour regardé entièrement ma chambre, cet endroit allait me manqué, j'avais l'impression d'y avait était née dedant, je m'étais tellement attaché à cette grande maison, au jardin, aux voisins, à l'école de la ville, j'avais mes marques ici, et en partant j'allais tout perdre. Une minutes de silence s'écroula, je me retient de pleuré -chose que j'avais fait durant plus d'une semaine-. Puis je sortis de ma chambre, fermant les yeux tandis que je claqua la porte. Je respira un grand coup, puis pris l'escalier, rejoiniant mes parents dehors, un chauffeur engagé spécialement par mon père prit ma valise et la mit dans le coffre. Je regarda la maison, ma maison, c'est tellement stupide, mais elle allait me manqué, quelques voisins étaient venu nous dire au revoir, ça me fessait trop mal, je ne pouvait resté devant ce spectacle, je monta alors dans la voiture, pris mon mp3 et mes écouteurs, me callant contre la portière, mis le volume à fond et m'endormis dès que mes parents furent dans la voiture, et que l'ont s'en alla enfin. Direction l'aéroport, les état-unis n'attende que nous.

à quinze ans : "Tu est sûre que personne ne va nous voir ?" Je leva les yeux aux ciel, puis le fixant intensément. "Arrête d'avoir peur de mon père, il ne sera jamais au courant de ça, on est en sécurité, et au pire, s'il le sait, il ne pourra rien changé entre nous !" Dis-je, souriant, en posant mes mains sur ses joues, wah ses yeux, rien que son regard sur moi me donnait des papillons dans le ventre. Je détestais le fait qu'il est toujours peur. C'est sûre, qu'en se montrant ensemble en plein public était risqué. Mais j'aimais bien trop faire des choses risqué. Il m'était arrivé plus grave, et qui allait bien m'empêcher d'aimer un homme de vingt-cinq ans? Qui était en plus de ça, le jardinier de mes parents. J'avais du caractère, un peu trop même d'après tout le monde, j'avais peur de rien, et ça n'allait pas changé du jour au lendemain. Ne pouvant plus lui résisté, j'embrassa amoureusement mon premier véritable amour, je souris lorsque je le sentis alors se détendre enfin. Mais lorsque j'ouvris les yeux, je vis mon père entré à ce moment même dans le restaurant. Un moment de panique me submerga. Qu'est ce que je vais faire ?! Non c'était mort d'avance, si mon père me voit avec le jardinier, il va tout de suite comprendre... ça fait tout de même un an que je vie une relation "secrète" avec lui, et ils nous en est arrivé des jours ou on risquait de tout foirée. Je regarda mon copain, totalement perdu, j'eu envie de me baffé, il faut vraiment le faire, mon père qui débarque pile au moment ou j'arrive enfin à rassure mon copain... Je vais me faire choqué c'est mort d'avance. "Putain, mon père est là ! Va te caché !" Il fit un bon en arrière et vu mon père, les mains dans les poches allant vers une table qui était à seulement deux mètre de nous. Et là, mon copain eu une réaction assez bizzare, il se leva tout simplement et fila tout à fait naturellement dehors. Okay, en gros je suis toute seule, donc c'est encore pire que d'être avec lui si mon père me voit. Je me tapa le frond, mais en regardant à nouveau mon père... Mon sang se stoppa en un coup brusque. Une femme... Il était assit avec une femme... D'un trentaine d'années, plutôt très belle, il l'a regardé avec ce regard qui ne trompe pas... C'était le même air de regard que je fessais à tout mes copains... Enfin, surtout ceux donc j'étais vraiment folle amoureuse. Je resta complétement paralisé sur place, jusqu'à ce que mon père remarque ma présence, nos regards se croisèrent, et son sourire disparus, je me leva d'un coup, alors qu'il fessait de même pour venir vers moi. J'enfilais ma veste lorsqu'il arriva à ma hauteur. "Angel, attend, je peux tout t'expliqué !" Dit-t'il m'attrapant le bras me le serrant fortement, me retenant de resté face à lui. "Oh, non, tu n'a strictement rien à m'expliqué, j'ai vite compris, tu t'est foutu de ma gueule et de la gueule de maman ! Tu vois, je suis pas si conne que ça. Avec ton regard aussi passioné envers cette... Inconnue, ça trompe pas une seule seconde ! " Criais-je, attirant légèrement l'attention des gens du restaurant, donc la pimbèche de mon père, qui en se retournant, me dévoila son visage, pas si inconnue que ça... J'avais l'impression d'être tombé encore plus bas en seulement cinq seconde. "Estelle ? La femme de ménage ? T'est sérieux ?! Mais t'est vraiment qu'un gros connard !" Gueulais-je dans le restaurant. Il ne suffit que d'une seule seconde après que ses mots eurent échappé mes lèvres, pour que je me reçoit d'un coup brusque, la main de mon père sur ma joue. Un petit cri m'échappa et les larmes montèrent vite. Je le regarda droit dans les yeux, voyant son visage pétrifié, complétement énervé et surprise de son geste, j'attrapa d'un coup mon sac et sortis à toute vitesse du restaurant.

à vingt ans : ça y est, j'ai vingt ans, l'âge parfait pour moi, il m'en est arrivé des choses, ma vie n'est pas pour autant terminé, d'abord je née au Brésil, à mes dix ans je part au Etat-Unis, j'y rencontre un homme, mon premier amour, au même moment ou mon père trompait ma mère, mais ils n'ont pas divorcés pour autant. Je passe le brevet, puis le bac, je fais des études de droit, car ma famille est énormément riche, alors, pour bien réussir ma vie et aussi pour faire plaisir à papa et maman, on bosse dure. Mais là dessus j'ai encore des taps de choses à vivre, et c'est sûre qu'il n'y à pas que eut ses moments là qui ont pu marqué ma vie.