KOACE ∞ le bonheur n'est qu'éphémère.

Le bon vieux temps. C'était quoi le bon vieux temps ? Celui où ton frère te protégeait encore. Celui où Melody la sœur de Konrad était encore là pour te dire quoi faire, pour faire sourire son frère. Celui où tu te défoncé la gueule sans penser que tu aurais eu une tumeur au cerveau. Enfin bref, un vrai chaos. Tu avais l'impression de ne plus rien contrôler. Tu n'y arrivais plus. Jeno était revenu, vous aviez repris vos bonnes vieilles habitudes mais ce n'était plus pareil. Il y avait ce petit quelque chose en Jeno, en toi qui te faisait le voir de plus en plus différemment. Et puis, Konrad t'avait blessé, déçu. Il t'avait fais souffrir comme jamais personne ne t'avait fais souffrir alors forcément. Et puis, de le voir dans les bras d'un cabot c'était horripilant. Tirant une nouvelle fois sur ton joint tu le regardais. « Et puis, Jeno est revenu. Tu sais que ça change beaucoup de choses sont retour. Konrad, je t'aime beaucoup, je t'ai aimé comme personne ne t'as jamais aimé. Mais Jeno c'est tout pour moi et s'il me demandait de partir au bout du monde avec lui je le ferais. Avec toi aussi je serais prête à le faire mais j'aurais beaucoup de mal à quitter Jeno. » Tu baissais doucement les yeux avant de relever ton regard vers le visage du beau brun. « D'ailleurs, il était le seul à savoir où j'étais et pourquoi j'étais parti. J'avais rien à lui cacher à lui. J'avais pas à lui caché mon corps chétif, mon corps hideux c'est mon meilleur ami. Alors, que toi c'était différemment mais je te cache pas que je ne suis plus si sûre que ce ne soit que de l'amitié avec Jeno. » Baissant une nouvelle fois son regard, tu savais que tu allais lui faire du mal, alors tirant sur ton joint, tu ne disais rien jusqu'à ce qu'il te parle enfin parce que ce monologue et ce silence de sa part devenait pesant.

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† le bonheur n'est qu'éphémère. †

Elle venait de me le confirmer, c'était retour au bon vieux temps, putain tellement de souvenirs, bons comme mauvais, surtout avec elle, dans notre relation, j'y pense et je ressens cette douleur au cœur comme je ressens cet apaisement, ça a été ça pendant deux ans entre nous, entre peine et joie, brutalité et douceur, défonce et sexe, bref deux ans mouvementés et plus j'y pense et plus ce que je ressens pour elle refait surface sans que je m'en rende compte. Elle m'avait blessée en m'affirmant qu'elle avait couchée avec Jeno, vraiment, lui aussi m'a blessé mais j'allais pas le fracasser comme j'aurais pu le faire si je ne connaissais pas le mec ou que je ne l'aimais pas de base, Jeno était comme mon petit frère, j'ai l'impression d'être trahis mais j'ai rien à dire, ils sont meilleurs amis, ils se sont retrouvés c'est tout. Elle m'en tirait encore une couche, je sais que Jeno est revenu, je sais qu'elle ferait tout pour lui, qu'elle mourrait pour lui, entre lui et moi elle le choisit lui c'est sur, je sais tout ça, autrefois ça aurait pu être moi, mais c'est du passé. Je sais. Entre lui et moi, c'est lui et se sera toujours lui, j'ai compris le message t'en fais pas. elle continuait dans son monologue, me révélant qu'elle avait parlée de son départ qu'à lui, qu'il n'y avait que lui qui était au courant et le pire qu'elle me disait c'est qu’il semblait y avoir plus que de l'amitié entre eux, ce fut une gros coup de massue là J'ai rien à te dire, juste à fermer ma gueule et accepter les choix que tu fais quel qu’ils soient. je me levais du lit pour venir à la fenêtre, j'avais mal putain, tellement mal que je me retenais de chialer car là je la perdais.

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Il venait d'arriver ici pensant à une séance excuses puis sexe mais non. C'était plus une séance défonce et vérités ou confidences ça dépend comment on voit la chose. Enfin bref, tu avais parlé, parlé jusqu'à ce qu'il se lève, se poste à la fenêtre et te fasses légèrement de la peine parce que même si tu avais de la haine contre lui, même si tu ne semblais plus l'aimer comme avant, tu avais une part de toi qui n'aimait pas le voir souffrir. C'est donc pourquoi tu te levais, passant tes bras autour de son torse en te hissant sur la pointe des pieds, tu arrivais à hisser ta tête sur son épaule. « C'est pas toi Konrad. » Tu mordillais légèrement ta lèvre inférieure. « On été peut-être pas fait pour être ensemble et puis te voir avec cette biatch rose. Te voir me haïr, m'humilié. J'ai du mal. » Tu soupirais doucement, laissant tes talons toucher le sol ce qui faisait que ton visage n'apparaissait plus dans la vitre de la fenêtre. « Je t'ai fais du mal c'est un fait, mais je te pensais plus intelligent pour m'écouter, me comprendre et non me balancer comme un chien devant toute l'université. Devant tous tes potes, devant tous ses gens qui sont à la limite de me cracher dessus en me voyant passer pensant que je ne suis qu'une grosse pute marie couche-toi là ! » Le tournant face à toi, tu plantais ton regard dans le sien. « Alors oui, oui tu as eu mal mais je ne t'ai jamais fait passer pour le pire des salauds, je t'ai toujours défendu ! J'ai toujours pris ton parti et toi tu m'enterres au lieu de m'écouter. » Secouant doucement la tête, tu repartais t'asseoir fumant un peu de ton pétard avant de le donner à Konrad.

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Vu qu'elle retournait à ses habitudes du bon vieux temps, ça allait surement finir par le sexe entre nous là, j'en savais strictement rien et même si la voir ainsi me faisait de l'effet, j'étais toujours en colère et je pensais pas à lui sauter dessus, loin de là. Je me poste à la fenêtre, tout ce qu'elle m'envoie dans la gueule ça fait mal, je chiale pas non, je ferme juste les yeux, essaye d'adoucir la douleur au niveau du cœur car oui je me rends compte que je suis toujours amoureux d'elle, qu'après tous ces mois, ce n'est qu'elle et que elle qui compte, je sens ses bras entourer mon torse, que j'aime cette sensation et la voilà encore à me sortir une vérité qui pour elle est logique C'est toi qui dit ça alors que pendant plus de deux ans.. je soupirais, je ne terminais même pas ma phrase, j'avais plus rien à lui dire, si elle aimait Jeno, c'était son choix, j'avais rien à dire. Tu comprend que j'ai cru que t'étais morte, j'ai réagis sous le coup de la colère, tout ce que j'ai dis pour t'humilier et te rabaisser c'était dit avec haine mais tu me hais à ton tour pour ces mots, parfait non ? elle retournait s'asseoir sur le lit, tirant une dernière latte avant de me passer le joint, je le prenais et le mettais entre mes lèvres tirant dessus et recrachant la fumée quelques instants après Je sais que j'ai merdé, arrête de me le répéter par toutes tes leçons de morales, je suis désolé Grace, voilà, je m'en veux de t'avoir fais autant de mal, juste que tu m'a brisé le cœur. Et je sais que j'ai brisé le tiens mais.. je peux pas croire que tu le choisisse lui. Jeno, son meilleur ami, mon petit frère, je ne comprend plus Tu disais que j'étais l'homme de ta vie, à croire qu'il a réussit à me remplacer. je rigolais comme un con tirant une nouvelle latte sur le joint. J'ai juste envie de quitter Aphrodite et de tout faire pour te reconquérir....

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Il scrutait toujours le vide alors que toi tu lui reprochais toujours un tas de choses. Soupirant en tirant sur ton joint, tu le regardais enfin tu regardais son dos. « Je sais Konrad, j'ai compris tout ça ! J'ai compris que j'avais mal agi mais tu étais vraiment obligée de me faire ça devant tout le monde? » Tu restais assise, ton visage était fermé, complètement hermétique, froide. « Et puis, me rabaisser en dessous d'une cabot ça va oui ! En plus, niveau style de fille tu changes rapidement parce que je ne me dis pas canon mais j'espère être mieux qu'elle sinon je me pends. » Tu étais dure mais hors de questions que tu lui dises que tu approuves, que cela ne t'as strictement rien fait. Certes, désormais ça te fait moins chier mais sur le coup t'avais juste envie de l'émasculer et de lui arracher sa manucure à elle. « Que tu m'ai brisé le cœur je m'en fous ! J'en suis plus à ça près depuis deux ans mais c'est ma fierté que tu as touché. Tu n'as jamais été capable de mettre la tienne de côté, moi j'ai toujours mis la mienne de côté, j'ai fais des concessions pour toi et aujourd'hui je dis stoppe. » Tu soupirais une nouvelle fois, lui passant ton joint. Il te faisait face désormais et toi tu étais assise en tailleur dans ton lit en mode v'là défoncé. « Que je le choisisse lui ? Tu es en train de dire qu'il est pas assez bien ? Et puis, je ne choisis personne, le choix se fait un peu de lui même, car je n'aurais pas envie de briser un de tes nouveaux couples. » Tu secouais la tête en écoutant ses dires. Putain mais toi t'étais pas censé être la femme de sa vie ? Non mais comme si que cela ne marchais que dans un sens. Enfin bref, tu baissais doucement les yeux. « Quitte Aphrodite fais ce que tu veux mais je te laisserais pas galérer autant. Parce que malgré tout, je ne tiens pas à ce que tu finisses dans le même état que moi. Alors, reste avec ta rose et puis on verra. » Remontant tes yeux vers lui, tu le fixais. « Seul l'avenir nous le dira. »

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Non j'aurais pas du, mais j'étais tellement blessé que je l'ai fais mais je regrette même si ça ne change rien. lui répondais-je perdu dans ce petit vide que je viens de trouver en scrutant l'extérieur par cette fenêtre. Elle était retournée s'asseoir sur son lit et je ne tardais pas à revenir aussi m'asseoir dessus l'entendant critiquer ma relation avec Aphrodite, je la comprenais au fond Tu es largement mieux Grace, même si avec elle je me sens bien, avec toi c'était beaucoup plus. je ne savais même plus quoi penser de ma relation avec Aphrodite, depuis ce baiser que Grace m'a donné à la soirée Halloween tout s'est retourner dans ma tête tout comme dans cette chose en pierre qu'elle à possédée. Elle m'avait passée le joint et je tirais dessus écoutant ses lèvres bouger sur le fait que j'ai refusé de mettre ma fierté de côté alors qu'elle l'a fait, je m'en rend compte maintenant Mais tu sais comment je suis, laisser ma fierté de côté, je crois que c'est tout ce qui me reste Grace et je reconnais que j'aurais pour une fois du la foutre en retrait avec toi. j'en venais vite à sa relation avec Jeno après avoir encore tirer sur le joint, j'étais pas trop pour leur ébat partagé ensemble mais j'avais rien à dire dessus, ce qui me faisait peur c'est qu'elle ressentait plus que de l'amitié pour lui. Tu ne brises même pas mon couple, je sais même plus quoi penser d'Aphrodite. elle ne voulait pas me voir dans le même état qu'elle, j'avais le sourire aux lèvres, un léger Qu'est-ce que ça pourrait bien faire que je sois dans le même état que toi, au final je suis perdant quoi qu'il arrive. je tirais encore quelques lattes avant de lui repasser le joint en lui spécifiant bien que je ferais tout pour la reconquérir L'avenir le dira oui. Mais je vais tout faire pour le foutre de mon côté cet avenir Grace, pendant deux ans t'as galérée avec moi, si les rôles doivent s'inverser, je prend le risque. je souriais faiblement, je lui montrais que j'avais encore tous ces sentiments pour elle par cette phrase, c'était du sincère, je la voulais pour de bon.

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Il était bien avec elle, il venait de te le dire et au fond tu voulais le voir heureux avec une fille. « Si tu es bien avec elle, reste avec elle mais ne la fait pas souffrir celle-là ! » Au fond, tu rêverais qu'il la fasse souffrir, qu'il la traîne dans la boue mais elle n'y était pour rien elle. Elle était cabot, elle était une princesse mais elle n'avait pas mérité tout cela. Enfin bref, vous en veniez à parler de la fierté de monsieur Sheffield. Ce sujet était assez brûlant enfin surtout pour toi. Lui se contentait de dire que tu avais raison mais ce n'est pas ça que tu voulais entendre, en fait tu ne voulais rien entendre du tout mais ça c'était le pire. « Tu sais aussi comment je suis Konrad. Et si moi j'ai mis ma fierté de côté c'était pour te garder mais toi tu n'as pas su le faire. Konrad, tu savais très bien qu'avec moi ça n'allait pas être un long fleuve tranquille, ce n'est pas comme avec ta cabot sans caractère. On voulait gérer tout les deux mais je t'ai laisser pas mal gérer et toi tu m'as empêcher pleins de trucs. C'est peut-être gamin de te le reprocher mais c'est comme ça ! » Tu soupirais doucement, délivrant ton joint bien entamé à Konrad. « Ne fais rien qui puisses te faire souffrir pour moi, car je ne sais pas si je pourrais t'en être reconnaissante. » Tu le regardais, puis tu te levais avant d'ouvrir la fenêtre. Tu avais l'impression de suffoquer dans cette chambre, tu n'en pouvais plus.

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koace † Oui je me sentais bien avec Aphrodite, mais je m'étais aussi tellement bien avec Grace, même plus qu'avec la cabot, c'était dingue comme situation actuelle, j'y comprenais plus rien. J'allais pas la faire souffrir même si ce qu'elle voulait, je connaissais Grace, elle détestait être rabaissée, encore moins par une princesse rose mais je savais que je n'allais plus l'avoir aussi facilement, je m'en rendais compte maintenant, l'effet Carpenter est passé par là. Putain le fait que tu sois dingue de lui change complètement ton point de vue c'est dingue. j'en riais presque avant de saisir le joint qu'elle me tendait, je tirais une latte avant de lui dire que j'étais prêt à tout faire pour l'avoir de nouveau mais elle me fit perdre espoir par sa remarque Reconnaissante ? Tu t'es bien cassée le cul pour moi pendant deux ans, j'ten ai été reconnaissant ? Je crois oui. elle se levait et allait ouvrir la fenêtre, comme si elle suffoquait de moi, elle n'en pouvait plus Tu sais Grace, si t'en as ta claque de moi, tu peux me le dire au lieu d'ouvrir cette fenêtre. T'as juste à le dire et j'me casse, j'te laisse tranquille avec Jeno pour le restant de vos jours en amoureux. je continuais de tirer sur le joint.

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Tout ceci partait en couille, tu n'avais jamais voulu en arriver là mais avec Konrad c'était toujours comme ça. Soit vous étiez fous l'un de l'autre, soit vous vous déchiriez comme des gamins, comme des amants qui n'auraient peut-être jamais du se retrouver. Tu soupirais doucement en passant une main sur ton visage. « Arrête ! Arrête de mettre Jeno partout. Jeno ne change strictement rien à mon point de vue. » Tu relevais ton regard pour le poser sur Konrad. Tu avais du mal à respirer, rien à voir avec la présence de Konrad, simplement le joint qui t’oppresser le cerveau, la cage thoracique et tout. Fermant doucement les yeux tu l'écoutais avant d'aller ouvrir la fenêtre pour respirer l'air frais. « Ce que j'ai pu faire pour toi, je l'ai fais avec le cœur. Je l'ai fait avec l'envie, je l'ai fait par amour. Mais j'en ai souffert et je veux pas te faire souffrir, te faire courir pendant un certain temps. » Tu étais dos à Konrad qui tirait sur le joint que tu lui avais passer. « Cela n'a rien à voir avec toi, c'est le joint. Il me comprime le cerveau, je n'en peux plus. » Tu soupirais doucement, cela te rappeler à l'ordre dès que tu tirais un petit peu trop sur la corde et là c'était le cas. « C'est juste la tumeur qui me rappelle à l'ordre quand je tire trop sur la corde. » Tu te retournais doucement, t'appuyant contre le dessous de la fenêtre en lui émettant un petit sourire.

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† le bonheur n'est qu'éphémère. †

koace † C'était obligé qu'on en viennent à ce genre de situation, soit on s'aiment à en crever soit on se détruit comme si on se détestaient, je ne la déteste pas mais j'ai mal de savoir qu'elle et Jeno sont allés plus loin que cette simple relation de meilleurs amis, ils ont couchés ensemble, je ne devrais rien dire, rien lui reprocher, mais jaloux comme je suis, même si nous ne sommes plus ensemble, je ne peux pas m'en empêcher de revenir toujours sur lui. Si tu le dis.. lui répondais-je, j'acceptais le fait qu'il ne l'influençait pas même si quelque part j'avais un doute, enfin bref. Je la voyais grimacer légèrement, elle se levait du lit pour aller à la fenêtre et l'ouvrir, elle avait besoin de respirer un air extérieur pur et frais, pas cet air toxique que dégage le joint que j'ai entre mes lèvres et que je savoure tout en lui faisant savoir que si elle avait galérée deux ans pour m'avoir, la chose inverse pouvait se produire mais elle me faisait comprendre en résumé que c’était une perte de temps que d'essayer de la reprendre. C'est bon, j'ai compris Grace. lui disais-je légèrement grimacé par ce qu'elle venait de dire, ça me faisait mal d'un côté mais d'un autre elle avait surement raison, c'était peut-être mieux ainsi. Je la voyais presque suffoquer, étais-ce ma présence ? D'après elle, c'était le joint qui la comprimait de l'intérieur, j'aimais pas ça mais je n'avais pas le droit de lui interdire de continuer à ce briser les poumons plus qu'ils ne sont déjà brisés, plus maintenant Arrête de tirer sur la corde alors St-James. répondais-je en souriant et tirant encore sur cette drogue qui me brisait aussi les poumons Ou continue avec moi. je lui tendais le joint avec un sourire aux lèvres, elle avait raison, je devais arrêter d'essayer l'impossible, juste profiter de la vie et de notre relation, celle d'avant.

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