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il fut un temps, nos coeurs auraient pu battre à l'unisson. - théo & gia

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il fut un temps, nos coeurs auraient pu battre à l'unisson..
Cette coupure d’électricité va finir par me rendre dingue, c’est certain. Impossible de cuisiner quoi que ce soit, impossible de se distraire avec une série télévisée, impossible de passer des heures au téléphone, ou bien de surfer sur internet. Avec un infime espoir, je tente de rallumer mon téléphone, mais rien ne se produit. Plus aucune batterie. Je le jette à travers la pièce et entreprend de trouver une autre activité. D’un pas gracieux, je me rue jusque dans la chambre, à la recherche d’une tenue pour sortir. Mon dressing déborde de vêtements et j’opte pour une tenue de sport. J’enfile un short qui épouse parfaitement la forme de mes fesses, un débardeur noir et j’enfourne dans un sac mes chaussons de danse. Je tire mes cheveux en arrière, pour les attacher à l’aide d’un élastique et j’enfile une petite veste noire. Danser me fera me sentir moins prisonnière de l’ennui, c’est certain, et cela fait déjà quelques jours que je n’en ai pas eu l’opportunité. Je rajoute une bouteille d’eau, une pomme verte et mon téléphone, bien qu’il soit totalement hors service, dans mon sac à main, et je me glisse à l’extérieur de l’appartement, prenant soin de fermer la porte à clé derrière moi. C’est à ce moment précis que la porte d’en face s’ouvre. Je m’apprête à saluer Emrys, que j’ai rencontré dans ce couloir il y a quelques temps déjà, et c’est un autre visage qui se dessine dans l’encadrement de la porte. Je reste figée un instant. Impossible. Cela fait bien des mois entiers que je n’ai pas revu ces traits délicats, ce regard profond. Je cligne des yeux comme pour chasser une illusion, mais ce n’en est pas une, il se tient là, à quelques centimètres de moi. Je ravale ma salive, tandis que ma clé est toujours dans la serrure, attendant un geste de ma part. « Tu vis ici ? » Drôle de façon d’aborder quelqu’un, c’est certain, mais je ne m’attendais pas à le croiser, et encore moins sur le palier de mon appartement. Mon cœur s’emballe comme autrefois, mais plus à cause de la surprise cette fois-ci. Théophyl se tient devant moi, et je n’étais pas vraiment prête à ce petit voyage dans mes souvenirs.
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 Je crois que je suis tout simplement creuvé. Ces deux dernières semaines avaient été riches en émotions pour ma part. J'étais si fatigué que parfois je me cognais un peu n'importe où dans l'appartement ou contre les affaires d'Emrys parce que suite à cette coupure de courant, on y voyait quedal. De plus, je préférais rester avec Emrys que seul dans mon autre appart'. De grosses cernes prouvaient que nous séjour en Italie avait été pénible et j'avais perdu au moins un peu de poids. Néanmoins, le manque de courant ne m'empêchait pas pour autant de me rendre dans les endroits que je fréquentais habituellement. Et aujourd'hui précisément j'avais décidé de me rendre à  la Winthrop House voir si je ne pouvais pas tomber sur Wyatt afin de lui dire bonjour. C'est avec un air blasé, regrettant presque mon lit, que j'ouvris la porte de l'appart et en sortis en remarquant que la porte d'en face s'ouvrait elle aussi. Néanmoins, ce que je remarquais aussi me cloua sur place. Bordel de merde. Mais c'était...c'était... Je secouais la tête choqué ne pouvant croire en la personne qui se trouvait face à moi. C'était tout bonnement impossible. Jésus. « Tu vis ici ? » Et cette voix, comment aurais-je pu l'oublier ? Je secouais une nouvelle fois la tête histoire de me remettre de mes émotions. Mon cœur battait la chamade et je me demandais s'il n'allait pas passer à travers mon sweat-shirt beige. « Georgia ? Putain mais qu'est-ce tu fous ici ? » Mon ton avait été vachement dur mélangé à de la surprise. Une fois l'épisode de la bouche grande ouverte passée, mes souvenirs d'elle me revinrent en mémoire, ainsi que tous mes moments de souffrance.
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Les battements de mon cœur s’emballent. Je mets quelques secondes avant de reprendre mes esprits. Mes mains tremblent, mes jambes menacent de me laisser m’effondrer contre le sol et je suis presque certaine que mon visage perd de son éclat, virant à un teint pâle. « Georgia ? Putain mais qu'est-ce tu fous ici ? » Son ton est empreint de surprise et de froideur, je devine qu’il n’est pas ravi de me voir, et je le comprends aisément. Je suis moi-même bouleversée par sa présence. Depuis son commencement, notre relation a toujours été compliquée. J’étais vulnérable, je suis tombée amoureuse. Il m’a repoussé, et lorsque les rôles se sont inversés, lorsqu’il est devenu vulnérable et que j’étais devenue fière à cause de la blessure, je l’ai brisé à mon tour. Œil pour œil, dent pour dent. Et pourtant, j’ai peiné à dormir toutes les nuits qui ont suivies. J’ai regretté mon geste et j’ai eu envie si souvent de revenir, de m’excuser, de l’embrasser. Mais je ne suis pas de celles qui font machine à arrière et j’ai voulu penser que le passé ne me rattraperait jamais. Belle erreur. « Je vis ici. Et toi ? » Répondis-je sur un ton neutre. Je suis étonnée de remarquer que ma voix ne tremble pas tant je vacille de l’intérieur. Le destin peut parfois se montrer sacrément cruel. « Je pensais sincèrement qu’on ne serait jamais amené à se revoir. » Je l’espérais surtout, car cet étroit mélange de sentiments affectueux et de colère m’envahit de nouveau, alors que j’aurai cru l’avoir laissé derrière moi, définitivement. Une partie de moi rêve de caresser du bout des doigts sa joue, l’autre rêve de s’enfuir à grande enjambée. « Je… Je sais même pas quoi dire en réalité. » Bafouillais-je.
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/w Georgia & Théophyl
 « Je vis ici. Et toi ? » Sa réponse s'étouffa presque dans ma gorge. Plus de 3000 km sur ce continent à deux parties et il fallait qu'elle vive dans le même bâtiment que moi. J'avais peine à y croire. Comment est-ce que cette fille qui avait casi foutue ma vie en l'air, pouvait se trouver là face à moi, avec ce même visage, ce même regard et cette même moue sur ses lèvres ?  Combien de fois avais-je pensé, songé à elle sans m'en rendre compte ? Combien de fois m'étais-je demandé où elle se trouvait, ce qu'elle faisait, si elle allait bien. Combien de fois me suis-je retenu de lui envoyer un sms lui demandant s'il elle était disponible pour que l'on puisse se voir. Combien de fois avais-je tenté de l'effacer de mon esprit ? Je ne saurais réellement le dire. Qu'elle se trouve là face à moi, était un affront au bon sens. Elle n'avait pas changé. Et si je n'aurais un tant soit peu, pas passé le cap sur la relation extrêmement nocive que je possédais avec elle, j'en serais probablement encore en train de baver. Mais là, je devais reconnaître que j'étais plutôt sous le choc. « Je pensais sincèrement qu’on ne serait jamais amené à se revoir.  Je… Je sais même pas quoi dire en réalité. » Je me passais la langue sur mes lèvres étant resté silencieux jusque là. J'avais vraiment peine à y croire...Merde, je l'avais aimé cette fille. Durant de longues années, j'avais passé mes journées à l'attendre. Et quand j'y repensais à l'heure d'aujourd'hui je me sentais plus que pathétique. Je vins m'appuyer contre le battant de ma porte d'entrée, croisant mes bras sur ma poitrine, plongeant mon regard sur elle, me demandant comment me comporter. « Ça fait longtemps que tu vis là ? Pour ma part, oui je vis ici aussi. » Premier silence, premières réflexions, c'était assez dur. « Si ça peut te rassurer, je pensais exactement la même chose. Malheureusement, je constate qu'on a pas écouté mes prières... » J'étais sévère, ce qui prouvait que je n'avais pas encore surmonter la chose à la perfection. Je soupirais. « Comment vas-tu sinon puisqu'on y es ? » Même si je reconnaissais, que re-rentrer dans l'appartement et me foutre dans mon pieu était plus tentant. Mais je n'allais pas fuir une nouvelle fois pour le regretter ensuite.
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La vie peut parfois nous jouer des tours et je suis certaine que s’il existe réellement un être tout puissant, il doit être en train de rire de la situation. Me voir là, toute gênée face à celui que j’ai tant aimé et que j’ai tant blessé, volontairement, par orgueil et par fierté. « Ça fait longtemps que tu vis là ? Pour ma part, oui je vis ici aussi. » Ca fait quelques mois en effet que je me suis installée dans cet appartement. Avant je vivais à la résidence Eliot mais je m’y suis sentie de moins en moins chez moi, j’ai donc choisi de prendre un appartement avant de prendre la décision radicale d’entrer dans une autre confrérie. Seulement voilà, je me suis habituée à ce petit cocon douillet où je peux me retrouver seule lorsque j’en ai besoin. « Quelques mois. J’aurai jamais imaginé que tu puisses être le colocataire dont Emrys me parlait. » Lâchais-je tout en évoquant l’autre rencontre que j’avais faite sur ce palier, quelques semaines auparavant. En effet, ce dernier avait parlé d’un colocataire, un ami à qui il tenait et qui était le genre de personne qu’il me fallait à tout prix rencontrer. Si j’avais su, s’il avait su. Cette rencontre devient réellement bouleversante tant elle fait remonter à la surface des souvenirs trop longtemps enfouis. « Si ça peut te rassurer, je pensais exactement la même chose. Malheureusement, je constate qu'on a pas écouté mes prières... » Premier coup, bien mérité c’est certain. Je hausse un sourcil avant d’affronter son regard. Il est là, dans l’encadrement de la porte, les bras croisé sur la poitrine. Il souhaite me faire comprendre à quel point ma présent lui déplaît, et j’aimerai simplement prendre l’ascenseur et quitter le palier, le laissant là, seul à ressasser nos souvenirs déplaisants. Pourtant, je ne fais rien de tout cela, je l’affronte, parce que je suis ce genre de personne. J’assume tous mes actes même ceux que j’ai pu regretter. « Oh ça va Théophyl. » Dis-je d’un ton agacé avant de prendre ma clé dans la serrure pour pouvoir jouer avec. M’occuper les mains avec un objet m’a toujours aidé à ne pas me laisser terrassée par mes émotions, qu’il s’agisse de stress, de gêne ou de toute autre chose. « Comment vas-tu sinon puisqu'on y est ? » J’arque un sourcil, surprise de ce rebondissement. « Parce que cela t’intéresse réellement ? » Le questionnais-je sur la défensive, avant de me radoucir, d’expirer lentement et de me reprendre. « Eh bien, je vais très bien, depuis… » Que je t’ai brisé le cœur, que je me suis vengée de ma blessure. « Depuis la dernière fois. Et toi comment vas-tu ? Qu’ai-je manqué en disparaissant de ton entourage ? »
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« Quelques mois. J’aurai jamais imaginé que tu puisses être le colocataire dont Emrys me parlait. »  Elle vivait ici depuis quelques mois ? C'était insoutenable, j'avais l'impression que la terre s'ouvrait sous mes pieds. Cela faisait donc quelques mois que je vivais juste en face de mon ancien grand amour ? Et de plus elle connaissait Emrys. Si je fus choqué par ses révélations, je n'en montrais rien, je ne voulais pas qu'elle remarque à quel point j'étais choqué. Néanmoins, je baissais la tête pour essayer de me cacher un tant soit peu. Puis je lui avais fait remarqué que mes prières n'avaient pas été exaucées, puisqu'elle était là face à moi. « Oh ça va Théophyl. » Je relevai instinctivement la tête. Ainsi donc elle se souvenait de moi et de mon prénom, elle ne m'avait pas oublié pour autant. Seuls quelques amis m'appelaient Jamie, les plus proches uniquement Théo et ceux qui me reprochaient quelque chose, Théophyl. Et son ton me faisait entrevoir son agacement. L'entendre prononcer mon prénom m'arracha un frisson mélangé à une grimace. Puisque nous y étions, je lui demandais comment elle allait. « Parce que cela t’intéresse réellement ? » Sa réponse me tua sur place. « Je ne suis pas non plus sans cœur. » Malgré qu'il y ai un temps, elle m’ait arraché le mien. « Eh bien, je vais très bien, depuis…  Depuis la dernière fois. Et toi comment vas-tu ? Qu’ai-je manqué en disparaissant de ton entourage ? » Je secouais la tête indécis. Telle était la question, qu'avait-elle manqué depuis que je ne la côtoyais plus ? Mais finalement, qu'avait-elle connu lorsque je la côtoyais un peu ? « Je vais bien merci. » Je marquai une pause, retrouvant contenance, réfléchissant à la suite des événements. « Pas grand chose. Rien qui ne puisses t'intéresser du moins. Et toi ? Tu es toujours à Harvard, tu as intégré une nouvelle maison peut-être ? » Je tentais de faire ralentir les battements de mon cœur comme je pouvais, mais la tâche était difficile.
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J’aurai pensé que le recroiser ne ferait naître en moi aucune émotion. Peut-être un peu de gêne, mais rien de plus, or, alors que ses grands yeux surpris me fixent, je me sens basculer dans une nostalgie effrayante. Des palpitations se font ressentir dans le creux de ma poitrine, et j’ai l’impression de perdre pied, de ne plus me contrôler, quand je me rappelle de ses traits beaucoup moins marqués autrefois. Ce petit air angélique qui m’avait fait tomber sous son charme en très peu de temps. Mais les choses ont bien changées et aujourd’hui, il ne nourrit sans nul doute plus aucun sentiment à mon égard. Cette vérité me trouble. Peut-être qu’égoïstement j’aurai voulu le marquer un peu plus. Je l’écoute parler, le son de sa voix n’est pas tellement différent d’autrefois. Si ce n’est que son ton est bien plus froid. « Pas grand-chose. Rien qui ne puisses t'intéresser du moins. Et toi ? Tu es toujours à Harvard, tu as intégré une nouvelle maison peut-être ? » J’hausse les épaules. « Oui, toujours à Harvard, mais j’ai quitté l’Eliot House, pour intégrer les Cabots cette année… » Avouais-je d’un ton neutre, ne trahissant aucune des émotions qui me submergent pourtant, gêne, doute, affection. Comme si je me rendais compte que toute la tendresse que j’avais cru avoir définitivement perdu à son encontre se réveiller petit à petit. « Et puis, qu’est ce qui te dit que ta vie ne m’intéresse pas ? » Demandais-je en le fixant intensément. « Tu m’as toujours beaucoup intéressé tu le sais. » Entamais-je sur un ton plein d’assurance. Georgia se réveille, l’assurance et l’aplomb pour masquer la gêne et le trouble, c’est ma façon de fonctionner.

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Je n'aurais jamais songé que je pouvais la revoir comme ça d'un jour à l'autre. Évidemment, parfois, il m'arrivait de penser à elle. Son souvenir me hantait l'esprit durant longues minutes, minutes durant lesquelles je me demandais comment elle allait, ce qu'elle faisait, ce genre de chose que nous nous demandons lorsqu'on ne parle plus à une certaine personne mais qu'on se préoccupe encore d'elle. Et plus le temps était passé et moins je me posais de question, mais je ne l'oubliais pas pour autant. Comment l'aurai-je pu ? J'avais passé une majeur partie de ma vie sur le Campus à aimé cette personne, à souffrir pour cette personne, à me languir de son idéal. « Oui, toujours à Harvard, mais j’ai quitté l’Eliot House, pour intégrer les Cabots cette année… » Ah. Elle avait intégré la maison de mon actuelle petite-amie, qui en était d'autant plus la présidente. « Et ce changement de maison est du à quoi ? » J'hochais la tête ayant croisé les bras sur ma poitrine, m'étant appuyé contre la porte d'entrée de mon appartement avec Emrys. « Et puis, qu’est ce qui te dit que ta vie ne m’intéresse pas ? Tu m’as toujours beaucoup intéressé tu le sais. » Je relevais instinctivement la tête vers elle, alors qu'elle me fixait presque intensément, à m'en couper le souffle. Elle ne pouvait pas me dire ce genre de chose, à m'en faire croire que toute la colère que je ressentais à son égard était en train de disparaître pour faire réapparaître de vieux sentiments, de vieux sentiments qui me faisait presque peur. « Je ne sais pas, le fait qu'on ait coupé tout contact, que tu es joué avec moi alors que tu savais pertinemment quels étaient mes sentiments à ton égard. C'était une drôle de façon de me monter que je t’intéressais.  » J'avais tenté de prendre une voix assurée, mais je savais que c'était peine perdu. Puis je rendis les armes. Elle me fascinait quand même toujours. « Tu es pressée, ou après tout, je peux quand même t'inviter à boire un café chez moi ?  Nous y étions juste devant, et nous habitions juste en face l'un de l'autre, alors pourquoi continuer sur de mauvaises bases.
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