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tu me sauves, je te suis. - emrys & georgia

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tu me sauves, je te suis..
Je me laisse entraîner par les notes de musique qui résonne dans l’immense boîte de nuit. Je ne réfléchis plus. L’alcool qui coule dans mes veines m’aide à me détacher doucement de la réalité, et surtout à faire abstraction d’un fait particulièrement dérangeant, Alekseï est revenu. Entourée d’une dizaine de Cabot, mon corps tout entier se laisse envoûter par le rythme et je ne remarque pas vraiment les mains entreprenantes qui se posent sur ma taille. Mon verre à la main, je m’abandonne à cette étreinte, sans cesser de danser. Cela n’a aucune importance, cet homme n’aura rien de plus, mais je me prête au petit jeu qu’il vient de commencer, je le fais espérer. Je me déhanche contre lui un moment, avant que la musique ne change et que je décide de quitter la piste pour le bar. J’échappe à son emprise et je ne prends même pas la peine de lui adresser un seul mot, je me faufile entre la foule pour me faire servir un deuxième verre. Seule, contre le bar, j’avale celui-ci en quelques secondes seulement et alors, je sens ma tête tourner. C’était peut-être celui de trop finalement. Je ferme les yeux, comme si ce malaise allait s’évanouir en un battement de cil, mais rien n’y fait. Je me sens mal. Ma tête me fait affreusement mal, j’ai l’impression de suffoquer dans cette ambiance malsaine. D’une démarche que j’espère la plus gracieuse possible, et ce même le haut taux d’alcool dans mon sang, je cherche la sortie et c’est un soulagement incommensurable lorsque je parviens à me hisser à l’extérieur. Une bouffée d’air frais. C’est ce dont j’avais réellement besoin. Je frissonne cependant lorsque la brise de ce milieu d’automne caresse mes bras dénudés. Je me pose contre un mur, la tête en arrière et je respire. La nuit est noire, le ciel à peine étoilé. De là, le brouhaha semble moins important et alors je décide de marcher quelques minutes, pour reprendre totalement mes esprits avant de retourner à l’intérieur. Je m’éloigne sur le parking, respirant à plein poumons jusqu’au moment où j’entends des pas, étrangement bien calés sur les miens. Je pivote sur moi-même et dans le clair de lune, j’arrive à discerner une silhouette musclée. « Tu m’as laissé en plan sur la piste ma jolie. » Le ton sur lequel l’individu prononce ces paroles est clairement menaçant. Je ne parviens plus à réfléchir, courir est la solution qui pourrait peut-être me sortir de cette sale situation, mais mes talons m’en empêchent clairement. Pourtant, je ne trouve aucune autre solution et alors j’abandonne mes escarpins pour lui échapper. Pourtant, sa main empoigne mon bras, et un cri s’échappe du bout de mes lèvres. « Lâchez-moi ! Vous me faîtes mal ! » Son visage s’approche du mien, son haleine pue l’alcool. Je tente de reculer, mais il s’empare de mon autre bras avec sa main libre et je vois dans ses yeux que ses intentions ne sont clairement pas amicales…
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Promis, je vais te sauver ...
Une soirée, encore une, les soirées s'enchainent ici parce que la fête est un bienfait qu'on doit tous pouvoir s'accorder. Ce soir, le people Republik est rempli et je suis bien heureux de pouvoir profiter de mes potes en discutant dans un carré au fond de la grande salle, ne manquant pas de reluquer un peu les filles : tant que ça ne va pas plus loin y a rien de mal ! je bouge un peu la tête au son de la musique, dispersant mon regard dans la salle quand quelques potes proposent une virée. Je n'ai pas envie, je reste là et boit un dernier verre : ce soir, je ne suis pas bourré. Deux verres et l'esprit clair ! A la fin, je traverse la piste et sort de la boite, bien décidé à rentrer voir mon colocataire, histoire de se mater un film mais d'abord, alors que je pousse la porte du club, je me roule un clope tranquillement. Je ne regarde que la feuille s'enrouler autour du tabac dans mes doigts déjà un peu gelé par le petit froid du soir puis je l'allume. J'avance dans la rue, clope au bec quand j'entends des cris en provenance du coin, pas très loin. Mes yeux s'écarquillent à l'entente des cris, je dois faire quelque chose ; c'est une fille et ça semble sérieux. J'écrase ma clope et cours, tournant au coin comme une tornade, je découvre un mac, tenant une fille fermement et la bloquant à présent contre un mur ; il la touche, tente de la caresser et je comprends déjà ses intentions. Je m'avance en l'insultant : Espèce de connard ! Elle veut pas... lâche la tout de suite ! Je déboule sur lui et l'attrape par le col. Il me fout presque une claque en se débattant et je le lache en regardant la fille. Ma voisine, cette fille ... Mes yeux s'écarquillent à nouveau ; Georgia ! Je frappe le type, ne faisant plus attention à la demoiselle sachant que je dois le maitrise mais déjà, il me renvois des coups. Une bagarre débute à celui qui arrivera à vaincre l'autre, mon unique but : Que ce connard capable de tenter de violer une fille apprenne les bonnes manières.  Je sens que mes poings sont durs et je n'hésite pas, je me lâche, je lâche ma rage sur lui, mes poings frappent contre son visage, il m'entraine à terre et on roule tout en se frappant. J'ai mal au nez et il me semble que je saigne mais on continue.
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tu me sauves, je te suis..
J’aimerai crier alors que sa main glisse sur ma cuisse, mais c’est tellement répugnant, tellement choquant que je ne parviens pas à sortir un seul son. Je reste muette, le visage terrorisé par cet homme qui fait très certainement deux fois mon poids. Je n’ai aucune chance, et lorsque j’essaie de mordre la main avec laquelle il caresse ma joue, il me frappe en plein visage. C’est terminé pour moi, je me sens vide de l’intérieur, je me sens abandonnée par la vie… Aucun moyen de lutter, je ferme les yeux, étouffant un gémissement de douleur lorsqu’il empoigne mon bras. Mais lorsque je les rouvre, quelques secondes à peine plus tard, il n’est plus là, contre moi. Un homme est venu à mon secours et muette, stupéfaite, je ne bouge pas, je reste figée. Peut-être que mon ange gardien ne m’a pas abandonné finalement… Et lorsque je croise le regard de cet homme qui vient de se lancer dans une bataille contre mon agresseur, mes yeux s’écarquillent. « Georgia ! » Je n’arrive pas à le croire. Ce type est toujours au bon endroit au bon moment. Il frappe l’énergumène qui se jette sur lui et au sol ils entament un combat plus violent encore.  Je regarde le spectacle, stupéfaite et incapable de faire quoi que ce soit. Mais du sang se répand au sol et alors je sers très fort mon sac à main dans mes deux mains et assène un coup sur la tête de celui qui aurait pu me blesser quelques minutes plus tôt sans l’intervention d’Emrys. Un grognement s’échappe de ses lèvres, il est pas mal amoché mais il décide de prendre la fuite, contre toute attente. Mon cœur bat à toute allure, et je le regarde s’éloigner dans l’obscurité pour disparaître du parking, traînant l’une de ses jambes avec difficulté. Je me retourne vers celui qui vient très certainement de me sauver la vie et lui tend une main pour l’aider à se relever. Une fois qu’il est de nouveau sur ses deux jambes, je me jette contre son torse et l’entoure de mes deux bras. « Merci. Vraiment. Merci. » Dis-je tout en plaquant ma tête contre son corps. Habituellement je ne suis pas vraiment du genre à être reconnaissante pour quoi que ce soit, mais ce soir, Emrys vient de me sauver la mise. Je me détache de lui, pour examiner son visage en sang. Délicatement, du bout des doigts j’effleure son nez qui ne cesse de saigner. « Oh mon dieu, ça va aller ? » Demandais-je en fixant ses prunelles luisantes dans la nuit. « Laisse-moi voir… » C’est le moins que je puisse faire en effet.
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Promis, je vais te sauver ...
Il frappe, je rends les coups quand soudain, je vois du coin de l’œil arrivait sur nous un sac à main qui le frappe en pleine tête et le voilà qui fuit enfin, se résignant surement. Je me masse alors la tête, toujours allongé sur le sol, j'ai légèrement mal et Georgia me donne la main dans le but de m'aider à me relever car j'ai du mal. Je suis à nouveau debout, j'ai mal partout mais je sais qu'au moins, la fille n'est plus en danger ; c'est surement tous ce qui importe. Elle se jette dans mes bras, appuyant sa tete contre mon torse me remerciant. Je suis si géné que je ne dis rien et me contente de toucher mon nez pour comprendre pourquoi je vois du sang sur moi. Mon nez saigne, je grimace avant de la voir se reculer et dire : « Oh mon dieu, ça va aller ? » Je n'ai pas le temps de la repousser et de lui répondre que déjà elle s'approche en me disant ; « Laisse-moi voir… » Je tente ma chance pendant le créanau et tandis qu'elle approche sa main de mon visage, j'esquive un coup et lui dit : C'est bon,c'est rien t'inquiète ... Mais je tique inconsciemment parce que ça fait mal mais fier, je recule encore, ne voulant pas faire la chochotte. Je la regarde dans les yeux et lui dit, inquiet ; Et toi, ça va ? Il t'a pas fait mal ?
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tu me sauves, je te suis..
Alors que mes doigts effleure son visage, il se recule et mon bras retombe alors le long de ma silhouette. Je comprends alors qu’il a décidé de jouer les hommes fiers, virils et forts, et qu’il va tenter de me faire croire que son nez en sang ne provoque aucune douleur chez lui. J’aimerai parfois pouvoir enfin voir un homme sans sa fierté. Mais je me contente d’hocher la tête. « Puisque tu le dis… » Me permis-je avant de replacer ma robe sur ma silhouette et je vérifier que mon sac à main est toujours intact. Je sens ses grands yeux sur moi et je relève alors la tête vers lui pour répondre à sa question. « Tu es arrivé à temps. » Affirmais-je, en lui souriant de nouveau. En réalité, je ne sais pas jusqu’où tout ceci aurait pu aller, et je suis ravie qu’Emrys m’ait aidé à éviter tout cela. A présent, je n’ai plus aucune envie de retourner à l’intérieur, j’ai tout simplement besoin de rentrer chez moi, de me pelotonner sous une couette et d’oublier cette instant de frayeur qui fait encore battre mon cœur à toute allure. « Je me doute que tu dois avoir des amis qui t’attendent à l’intérieur mais est-ce que ça te dérangerait de me raccompagner chez moi ? Je ne me sens pas vraiment en sécurité… » Demandais-je d’une petite voix douce.
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Promis, je vais te sauver ...
Je fais le mec qui n'a pas mal pourtant ça me fait lègèrement mal, voir pas mal. Il m'a bien tué le nez ce connard. Je me suis éloigné d'elle et je sors un mouchoir, égoutant mon nez en sang sans oser la regarder dans les yeux. Je quitte alors son regard attendant toujours sa réponse concernant son état. Je sens qu'elle n'aime pas cette fierté que je me donne mais je ne peux le changer et enfin, timidement, elle me répond : « Tu es arrivé à temps. » Je souris tout aussi timidement, assez froidement, je suis comme ça, je ne peux pas plus. Je continue de tenter d'éponger le surplus de sang puis, la regardant sans croiser réellement ses yeux de braise, j'écoute ses paroles alors qu'elle me semble si fébrile : « Je me doute que tu dois avoir des amis qui t’attendent à l’intérieur mais est-ce que ça te dérangerait de me raccompagner chez moi ? Je ne me sens pas vraiment en sécurité… » Dit-elle d'une petite voix si douce qu'un chat aurait pu faire plus de bruit malgré son allure rapide. Je souris un peu plus avant de me tourner vers elle et de lui dire en osant la regarder cette fois : Oh ne t'inquiète pas, je ne te laisserais pas là comme ça, seule de toute les façons après ça, j'suis pas fou ... dis-je en m'exclamant, ne croyant pas qu'elle ait pu croire ça de moi. Je sors mon téléphone et envoie par texto un message de groupe pour dire à mes potes que je rentre puis, je tend mon bras, signe qu'elle peut se tenir à moi si ça lui chante et accompagne le tout d'un adorable : Madame; si je peux vous escorter jusqu'à ma moto ... elle est garée plus loin dans une rue plus sure ...
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