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C'est le 24 avril 1992 à Paris, que les membres de la famille Arnault m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Morgane Calixte Victoire.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine (majeure) et biochimie (mineure) depuis quatre ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Quincy.
Morgane C. Arnault

Looks alot like Adelaide Kane

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle BLINI♦SOUL et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à deux charmantes jeunes femmes & pour y avoir été il y a trèèèès longtemps.  Je trouve ILH toujours aussi parfait alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Adelaide Kane comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 450 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ JE VAIS FAIRE DANS LA COUR DES GRANDS UNE ENTRÉE TRIOMPHALE.
Je souhaite
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
Je n’y étais pas … Appelez ça de la chance si vous le voulez – et c’est probablement le cas – mais je n’y étais pas ayant eu besoin de rentrer en France, ma mère étant à l’hôpital. Mais ce n’est pas parce que je n’y étais pas que je n’ai pas été touchée, seulement ce fut mental et pas physique. J’étudie à Harvard, certains étudiants blessés sont de mes connaissances, un évènement de cette ampleur ça travaille. Je n’ai pas pu m’empêcher d’imaginer ce qui me serait arrivé si j’avais été présente sur le campus ce jour-là … serais-je blessée ou morte ? Je ne sais pas et je ne préfère pas le savoir. Psychologiquement, je pense que ça continu de me travailler aujourd’hui et que ça va être le cas encore longtemps, après tout nous vivons tous avec la conviction que ça n’arrive que dans les films … jusqu’à ce que ça se passe réellement. C’est traumatisant, d’autant plus lorsqu’on est sur les lieux au moment où tout se passe, mais même si cette attaque à la bombe me pousse à être d’autant plus méfiante, j’en suis devenue plus ouverte avec mes proches tant j’ai pu craindre de les perdre.

ELIOT HOUSE.
Cette confrérie s’est imposée à moi lors de ma première année, il me semblait tellement logique d’y demander mon adhésion alors pourquoi ne pas tenter ? Héritière du groupe LVMH regroupant plusieurs marques de luxe françaises, père considéré comme la deuxième fortune française et la dixième fortune mondiale, autant dire que j’ai de quoi jouer en ma faveur pour entrer dans cette confrérie. Je suis une gosse de riche – autant dire clairement les choses – et ayant nettement profité de l’argent de ma famille dernièrement et des privilèges que procure mon nom je me suis dit que continuer sur cette voie me permettrait de garder mes petites habitudes. J’aime profiter de l’argent que mes parents me mettent sur mon compte en banque depuis plusieurs années – même si, juste entre nous, mon compte tire un peu la tête depuis mes 18 ans puisque super papa tient à ce que je reste sage – et c’est quelque chose que je ne compte pas changer. Je ne suis pas snob et hautaine pour autant – même si parfois ça peut m’arriver – mais je dois avouer que j’ai cette tendance à toujours croire que grâce à ma famille et à l’argent de cette dernière tout m’est facilement accessible, que je n’ai qu’à claquer des doigts pour obtenir ce que je veux. La confrérie Eliot ne regroupe que des personnes de la même élite que celle à laquelle j’appartiens … la rejoindre n’est qu’une évidence.

QUINCY HOUSE
Je sais … lorsqu’on voit mon caractère ou plus exactement mes exploits avant d’intégrer Harvard on se dit qu’il est surprenant que je demande également à faire partie de cette confrérie. Néanmoins, ce n’est qu’une carapace … je veux parler de mon caractère – mais si ceci s’échappe d’ici je nierais tout en bloc. Même si j’ai tendance à être particulièrement entêtée et parfois assez fière, je pense avoir tout de même le cœur sur la main. J’aime aider les autres, j’aime conseiller et écouter lorsque c’est nécessaire. Je ne suis jamais contre le fait de participer à une œuvre caritative puisque, après tout, j’ai l’argent qui peu aider comme quoi ça ne sert pas qu’à parvenir à mes fins. J’aime aussi les œuvres humanitaires que ce soit sur le sol américain ou ailleurs. J’étudie la médecine parce que j’aime aider les gens et l’idée de sauver des vies – ou tout du moins essayer de le faire – partir à l’étranger pour soigner des personnes est quelque chose que j’aime, qui me touche. En somme, je pense avoir malgré tout le cœur sur la main et être assez appréciée pour être membre de la maison Quincy.
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this is a story of a broken doll
Paris, France ♡ juin 2009
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Je ne sais pas par où commencer. Ma psychiatre m’a conseillée d’écrire, de coucher sur papier tout ce qui me perturbe, tout ce qui me tracasse afin de ne pas le garder pour moi et de ne pas avoir à exploser comme j’ai pu le faire dernièrement. Mon père m’a alors trouvé un charmant petit journal – je ne préfère même pas savoir le prix qu’il a mis dedans. Je caresse du bout des doigts la couverture en cuir vert pomme et souffle. Lentement, ma main glisse de sorte à ouvrir le petit cahier et j’attrape ensuite un de mes crayons. Ma main reste en suspend au-dessus de la première page tandis que dans mon esprit le vide s’installe. Ce n’est pas le moment d’éprouver des sensations de trac pourtant ! Je suis seule dans ma chambre, assise à côté de ma fenêtre, je n’ai pas de crainte à avoir et de toute manière je sais qu’aucun membre de ma famille ne viendra fouiller dans ce journal. Je soupire un bon coup et me lance avant de perdre tout mon courage. « Je m’appelle Morgane Arnault et … je ne sais pas par où commencer. Le début pourrait être une bonne chose. Ma famille biologique … Je ne sais rien pas grand-chose sur cette dernière. Ma mère est prostituée – autant dire les choses comme elles sont – et mon père était l’un de ses clients, sans doute quelqu’un de très affluent. Elle était droguée et de ce qu’on m’a raconté elle a arrêté lorsqu’elle a su être enceinte de moi. Elle a tenu jusqu’à recevoir l’argent de mon père qui ne voulait surtout pas que mon existence soit connue. A partir de là elle a sombré et à l’âge d’un an et demi je fus prise en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance. Quelque temps plus tard les Arnault m’adoptèrent après que j’eus visité plusieurs familles d’accueil qui m’abandonnèrent en se rendant compte qu’une bouche à nourrir à de plus n’était pas aussi intéressant que ça. De tout cela, je n’en garde aucun souvenir et je pense que ce n’est pas plus mal. J’avais trois ans lorsque Bernard et Hélène Arnault m’adoptèrent faisant de moi l’une des futures héritières de la société LVMH, un héritage qui m’envoya sous les feux des projecteurs alors que je n’étais pas même capable de parler correctement … » Je cesse d’écrire et relis ce que j’ai couché sur le papier. Oui, c’est un bon début. Une bonne explication concise de là où je viens, de mes débuts dans ce monde, à présent il ne me reste plus que le reste de ma vie avec les bons comme les mauvais – bien plus nombreux – moments.

not all surprises are good surprises
Paris, France ♡ avril 2009
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Je savais sans voir mon reflet qu’une lueur de défi venait d’éclairer mon regard. Pour cela il me suffisait de scruter l’expression du visage de mon frère. Je savais lire en lui comme dans un livre ouvert, ce que Jean ne supportait absolument pas mais qu’il n’arrivait pas à arrêter. Nous avions grandi ensemble et étant l’avant-dernier enfant de nos parents, il était également celui dont j’étais la plus proche, celui qui me comprenait le mieux. Rentrés du lycée, nous avions immédiatement pris la direction de la cuisine comme à notre habitude. La pièce reflétait principalement les goûts de notre mère – et sans doute aussi l’avantage qu’avait le fait d’avoir beaucoup d’argent sur son compte en banque. Le plan de travail en « L » se trouvait près de la grande baie vitrée de la cuisine et séparait le lieu où tout le travail était fait de celui où nous mangions. Sur la table se trouvait seulement un vase plein des dernières fleurs que notre père avait offert à notre mère et c’était face l’un à l’autre que nous avions pris place autour de cette dernière. Avant cela, j’étais allée chercher un couteau et le pain de mie tandis que Jean avait pris le Nutella. C’était notre rituel depuis le jour où nous avions été à l’école la première fois et malgré mes dix-sept ans je ne regrettai pas le fait que ce rituel soit toujours là. Nous avons commencé à discuter de notre journée de cours, un sujet totalement banal avant qu’il n’en vienne à parler de son bulletin de notes. Le trimestre s’était terminé et les courriers étaient arrivés la veille. Notre mère ne les lisait jamais – soit disant parce qu’elle nous faisait confiance, mais je la soupçonnai de ne pas s’y intéresser. Ainsi, à chaque fois que nos notes arrivaient, maman les posait sur le bureau de notre père pour qu’il puisse les lire une fois de retour du travail et nous féliciter ou, au contraire, nous remonter les bretelles. Selon les dires de mon frère ce serait pour lui la seconde option. Quant à moi, je n’avais jamais ressenti cette peur. Mes notes avaient toujours été excellentes et c’était encore le cas aujourd’hui. Voir l’air désespéré qui venait de se peindre sur le visage de mon aîné m’avait donné une idée, idée qu’il avait immédiatement compris. « Ne fais pas ça ! » Trop tard ! J’ai quitté ma place et ai rapidement pris la direction du couloir afin d’atteindre la porte du bureau de mon père. Il n’était pas prêt de rentrer à la maison – à moins d’un imprévu – et notre mère était au Canada pour une représentation. Jean et moi-même étions livrés à nous-même, mais c’était tellement courant que ceci nous paraissait normal. Je suis entrée dans le bureau en poussant discrètement la porte comme si je craignais que quelqu’un se trouve à l’intérieur. C’était comme la dernière fois que j’y étais entrée. Tout était parfaitement rangé sauf sur le bureau lui-même où un tas de feuilles étaient éparpillées. Je suis allée vers le bureau et j’ai commencé à soulever toute la paperasse sur le dessus à la recherche des enveloppes. « Morgane, sors de là ! » M’a ordonné mon frère qui m’avait rejoins. J’ai levé la tête vers lui. Je l’ai regardé quelques secondes et je suis repartie dans mes recherches. « Et tu comptes faire quoi de mes notes lorsque tu les auras ? Le trafiquer ? Ils l’apprendront ! Arrête ! » Difficile de ne pas percevoir l’angoisse dans sa voix, mais une partie de moi s’en amusait, comme j’adorai le fait de fouiller dans les affaires de notre père. J’ai alors commencé à ouvrir les tiroirs et quelque chose attira mon attention. Mes sourcils se sont froncés et j’ai attrapé le document qui avait attiré mon regard. Mon sang s’est glacé lorsque j’ai lu les premiers mots, mais ce fut d’autant plus le cas lorsque j’ai lu en diagonale le reste. J’ai senti le regard de Jean posé sur moi et voyant que je ne bougeai plus, il m’a rejoint. « Qu’est-ce que c’est ? » J’ai dégluti et ai redressé la tête vers lui. J’avais subitement envie de pleurer et j’ai lu la panique dans son regard au moment où il remarqua que j’allais mal. J’ai tendu d’une main tremblante le bout de papier qu’il a attrapé. Jean l’a lu aussi vite que moi mais il comprit immédiatement ma réaction. « Tu le savais ? » Ai-je demandé, la voix plus brisée que jamais. Mon frère a secoué la tête de gauche à droite et je n’ai pas douté de lui un seul instant. Il a vite rangé le document là où je venais de le prendre. Il s’est approché de moi et a posé ses mains sur mes épaules en ancrant son regard dans le mien. « Ça ne veut rien dire. Tu restes ma sœur, tu m’entends Morgane ? Ce n’est qu’un papier sans importance. » J’aurais voulu être d’accord avec lui mais je n’y arrivai pas. Les larmes ont fini par avoir raison de moi. Je les ai senti quitter mes yeux et rouler le long de mes joues sans essayer de les arrêter. Je me suis dégagée et ai reculé de quelques pas. « Ça en a pour moi ! » Me suis-je écriée même si je détestai m’emporter contre mon frère. « Mon existence entière est un mensonge, qu’est-ce que je suis supposée croire maintenant ? Ils m’ont menti depuis … depuis toujours ! Ce n’est pas rien et … je dois sortir d’ici. » Jean n’a pas eu assez de temps pour comprendre la fin et ainsi m’empêcher de partir. Je l’ai bousculé sur mon passage et j’ai parcouru la distance entre le bureau de notre soit disant père jusqu’à la porte de l’appartement en courant. Là je ne me suis pas arrêtée, j’ai continué même en entendant mon frère m’appeler. J’ai dévalé les escaliers et j’ai couru dans la rue jusqu’à considéré être assez loin pour ralentir le rythme. J’avais été adoptée et mes parents n’avaient pas jugé bon de m’en parler. Peut-être avaient-ils pensé que je ne l’aurais jamais découvert ? Ça aurait été le cas si je n’avais pas eu l’idée d’aller fouiner dans les affaires de mon père … Toute ma vie était désormais remise en question. Qu’avaient-ils été capables de me cacher encore ? Je doutai sincèrement de vouloir savoir et j’ai continué d’avancer dans les rues parisiennes en me posant des milliers de questions sans cesser de pleurer.

i'll never wake up without an overdose
New York, États-Unis ♡ avril 2010
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Les paupières closes, j’essaye de sentir le parcours que suivent ses mains sur mon corps sans y parvenir. En réalité, je suis loin, très loin de là où je peux être physiquement. Mon esprit voyage, une sensation que je connais trop bien désormais. Je plane de manière magistrale, mais cette fois la sensation n’est pas agréable. Mes sourcils se froncent tandis que je grimace. J’ai l’impression d’être sur un bateau au beau milieu d’une mer agitée. Mon estomac a du mal à tenir le choc et je sens des nausées me gagner, mais je parviens à garder le contrôle même si petit à petit ma situation empire. J’ai de plus en plus chaud et le cœur qui bat la chamade. Dans quelques instants il va exploser, j’en suis persuadée. Et, pendant ce temps, ses lèvres parcourent ma poitrine, mon cou et viennent capturer les miennes, mais je ne sens rien, je ne suis plus là. Pour le coup j’ai envie de mourir. Je me sens tellement mal que je prie pour m’endormir afin de me réveiller le lendemain dans un meilleur état, du moins je l’espère. Autrefois, mes parents me faisaient souvent la morale concernant l’alcool et la drogue et, en petite fille rangée que j’étais à l’époque, je buvais leurs mots, ce n’était plus le cas désormais. Je n’avais pas digéré ce que j’avais découvert et même avec tous les mois qui s’étaient écoulés depuis je ne parvenais pas à chasser les images de mon esprit. Je me revoyais plus en colère que j’avais en train de confronter mes parents – adoptifs visiblement – à la vérité. S’ils avaient essayé de trouver une excuse dans un premier temps, ma colère leur avait fait comprendre de ne pas même essayer d’emprunter cette voie. Au final, ils m’avaient tout avoué et si ça ne semblait pas grand chose pour autrui, pour moi c’était l’équivalent de la fin du monde car de mon existence rien n’était vrai. J’avais ensuite tenté de reprendre une vie normale, mais à force de tout accumuler j’avais simplement explosée. Les fêtes furent le début de ma descente en enfers, être envoyée chez une psychiatre ne m’aida pas, au contraire. J’ai ensuite fait mes valises pour les Etats-Unis et la drogue s’invita à mon existence. Je ne peux pas dire que j’ai conscience de tout ce que je fais, ce serait un mensonge. Je passe les trois quarts du temps déconnectée de mon corps et du monde entier. Je ne sais pas réellement ce que je fais, mais je le fais bien que ce soir je le regrette amèrement. Mes prières finissent pas être entendues et après l’acte dont je n’ai même pas eu conscience, je sombre dans l’obscurité pour me réveiller le lendemain avec la sensation que ma tête va exploser. Me redresser sur le lit fut difficile, me rhabiller une vraie mission commando, mais ceci fait j’ai titubé en direction de la sortie. L’air frais du matin et la lumière du jour m’ont arraché une grimace, toutefois j’ai gagné la première bouche de métro pour rejoindre mon appartement. Sur place, je me suis laissée tomber sur mon lit. J’ai dormi la journée entière pour me réveiller le lendemain, l’estomac criant famine. Mais si je dois sortir, il faut que je me douche. L’eau presque bouillante m’a doucement remis les idées en place. Vêtue d’une robe perlée vermillon, d’un collant opaque, d’un long gilet torsadé et de mes bottes en cuir, j’ai quitté mon appartement pour gagner le premier distributeur automatique afin d’avoir de quoi m’acheter à manger … ça ne s’est jamais produit. Ma carte introduite dans la machine, je ne l’ai plus jamais revue. Aucun moyen d’avoir de l’argent, mon compte avait été gelé par mon père qui, finalement, en avait eu assez de me laisser faire ce que bon me semblait, de me laisser gâcher ma vie et dépenser mon argent par les fenêtres. Ceci, je l’ai appris une fois de retour à mon appartement où j’ai appelé mon géniteur – enfin pas du tout – tout autant en colère que lorsque j’avais appris avoir été adoptée. C’est le genre d’informations qui a tendance à vous remettre le cerveau en place, croyez-moi. J’avais pris goût à la facilité que pouvait être ma vie grâce à l’argent que papa et maman mettaient amoureusement sur mon compte. J’aimai voir les portes s’ouvrirent uniquement parce que j’avais comme nom celui de mon père, l’une des grandes fortunes françaises et du monde, mais c’était fini désormais … Ce fut une douche froide, clairement, mais aussi le meilleur moyen qu’avaient mes parents pour me faire redescendre sur terre et revenir un tant soit peu sur le droit chemin.

push a button and rewind
Cambridge, États-Unis ♡ septembre 2013
MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane Tumblr_ms6ai5kmJO1qe7736o4_250
JMon regard se pose sur le petit journal au cuir vert pomme qui se trouve sur mon bureau. J’ai parfois l’impression que cela fait des années que je n’ai plus rien écrit dans ses pages malgré le fait qu’il ait bien grossi. Certaines pages ne sont que des collages de petites choses qui me rappellent ce qu’a été mon existence ces dernières années et parfois … ce n’est pas joyeux. Je ne suis pas fière de certaines phases, mais je ne compte pas l’avouer à qui que ce soit, je le garde en moi comme un secret. Je m’évertue à prétendre me moquer de ce que peuvent penser les autres, que je mène ma vie comme bon me semble, mais ce n’est pas totalement vrai dans le fond, ce n’est qu’un masque que je porte chaque jour. Seuls mes proches me connaissent véritablement et savent que je ne suis pas la fille froide dont j’ai l’air aux premiers abords. Oui, j’ai un cœur aussi surprenant que cela soit, il faut juste me prouver que je peux avoir confiance avant que je m’ouvre. Me faire geler mes comptes par mon père fut l’électrochoc dont j’avais besoin même si, malheureusement, elle arriva trop tard. A trop jouer avec ma santé j’ai déclenché une maladie latente, un problème au cœur dont personne n’est au courant – je prends mes médicaments en prétextant qu’il s’agit de vitamines. Je n’ai pas envie qu’on s’inquiète pour moi et encore moins qu’on éprouve de la pitié à mon sujet. J’avance doucement et suivant mes études avec autant d’intérêt que possible. J’essaye de changer, de redevenir la douce demoiselle que je fus avant d’apprendre la vérité concernant mon adoption, mais certaines habitudes ont la dent dure comme un dit. Toutefois, je ne touche plus à la drogue et je bois très peu, pas alors que ma santé ait en jeu, mais mon sale caractère est toujours là, prêt à sortir de l’ombre dès que je me sens menacée. Etudier à Harvard, être sans cesse entourée d’un tas de personnes me permet de garder la tête sur les épaules même si je joue de mon nom pour obtenir certaines choses, la force de l’habitude. Nous avons survécu à beaucoup des preuves ces derniers temps, principalement la bombe qui a fait beaucoup de victimes, mais nous en sommes sortis que plus fort – du moins pour beaucoup – et j’aime cet esprit. Un petit sourire vint étirer mes lèvres. Je penche sur mon lit et attrape mon journal ainsi qu’un de mes crayons. Il était temps pour moi d’écrire, de laisser le bon en moi revenir et me guider.
The End
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bienvenuuuuuue MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 3850463188
Ewan nan ? MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 1616978029 MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 1551873947
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane QIkbezwN_o
MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24941
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Malvenue, attention à tes arrières :hanhan: 
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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Elle est sublime, bienvenue en enfer. 👸 
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Bienvenue à Harvard :dance: 
Bonne chance pour ta fiche et prends ton pied parmi nous MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 1365124802
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*essaye de ne pas mourir de peur ...* merciiii hanwii MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 73120010 :love2: Et oui, Ewan c'est moi MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 1365124802
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malvenue, bienvenue peu importe tu vas te faire bouffer MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 3997999705
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Yoooo !

Bien/Mal - venue ici :D MORGANE C. ARNAULT ► adelaide kane 3997999705
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welcouuuuume hanwii 
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