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(flashforward) stop talking, with Gaïa

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Gaïa & Félix Հ stop talking you're so annoying.
Grouilles, maman, s'il te plait dépêches. Pensa très fort Félix en serrant son téléphone dans sa main. La journée avait été nulle et là, c'était tout simplement la cerise sur le gâteau. Ce lundi s'était annoncé pourri depuis le réveil. Comme toutes les semaines après un bon week-end, Félix avait eu du mal à décoller du lit et il avait passé les cours de la matinée à ruminer sur son envie de dormir. Ses yeux se fermaient presque encore à l'heure du déjeuner et il s'était prit une mauvaise note cette après-midi. La troisième en deux semaines. Il n'était vraiment pas au top en ce moment. Et ce n'était que le début de la semaine. Lundi. Il détestait le lundi. Le parking commençait à être désert en même temps, il n'y avait plus de cours maintenant et il était juste temps de rentrer et de se reposer. Bien sûr, s'il avait le malheur de faire preuve d'honnêteté en rapportant une nouvelle mauvaise note à sa mère, la soirée ne serait pas franchement agréable. Félix pesait le pour et le contre d'un éventuel mensonge, alors que le temps passait. Au bout de quelques interminables minutes, il dut se rendre à l'évidence : sa mère était en retard. La mère de Gaïa aussi. Il ne manquait plus que ça pour le mettre vraiment de mauvaise humeur. Enfonçant ses mains dans les poches de son blouson, sentant le temps se rafraîchir, le garçon de seize ans poussa un petit soupire en fixant l'entrée du parking avec exaspération. Il ignorait Gaïa. Ils avaient beau se connaître depuis des années, ils ne s'étaient jamais entendus. Félix savait que c'était de sa faute et bien qu'elle ne pouvait pas le savoir, ce n'était pas à la base car sa tête ne lui revenait pas : non. C'était une raison plus personnelle. Quelque chose dont il ne voulait pas parler. Et sûrement pas à elle. C'était une façon d'agir sans doute un peu stupide, mais à seize ans, on est sensé être un peu débiles, non ? C'était la raison qui l'aidait à bien dormir la nuit. Fatigué par le silence et sa mère n'arrivant pas, Félix fit un petit effort en ouvrant la bouche. « On se les gèle. » Bah quoi ? C'était mieux que rien.

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Fallait l'avouer, ta journée n'aurait pas pu être plus pourrie qu'elle ne l'avait été aujourd'hui. Pour commencer, ta meilleure amie était malade et n'était pas venue aujourd'hui. La fille de ta marraine, que tu considérait également comme ta cousine n'avait pas non plus montré le bout de son nez de la journée. Pour continuer, tu n'avais eu qu'un B+ à ton interrogation de littérature, c'était l'une des moins bonne note que tu avais eu depuis la rentrée, même si elle n'était pas catastrophique du tout. C'était même la seconde meilleure note de la classe, mais elle ne te satisfaisait pas assez, grande perfectionniste que tu étais. Pour finir, ton frère jumeau avait refusé de te ramener chez toi en voiture, parce qu'il passait la soirée chez l'un de ses ami. Crétin ! Il faisait passer ses potes avant toi, et te laissait en plan sur le parking du lycée. C'est vrai que vous n'étiez pas en très bon terme en ce moment, mais quand même ! Du coup, tu devais attendre ta mère, qui était en retard, probablement bloquée par son boulot ou prise dans les embouteillages. Bien sûr, tu n'avais pas pris de veste ce matin, juste un pull tout neuf que tu adorais. Résultat, t'avais froid à attendre là, immobile. On se les gèle! Non, sans blague ! Tu te tournais vers la personne qui venait de prononcer ces quelques mots. Tu haussais l'un de tes sourcils blond lorsque tu aperçu Félix. Lui et toi, vous vous connaissiez depuis longtemps, mais vous ne vous étiez jamais vraiment appréciés, tu ne savais même pas pourquoi. En fait, le garçon avait toujours été hautain et froid avec toi, du coup tu n'avais jamais vraiment cherché à arranger votre relation. T'étais surprise qu'il t'adresse la parole, c'était le moins que l'on puisse dire. Mh.. Réponse courte, si on pouvait la considérer ainsi. D'un autre côté, que voulais-tu répondre d'autre ? T'aurais bien lancé une réponse cinglante genre « Non, sans blague ! J'avais pas remarqué, j'étais même prête à me déshabiller tu vois », mais vu votre relation déjà on ne peut plus tendu, fallait mieux éviter. Cependant tu ne pu t'empêcher de prononcer autre chose : Tiens, tu me parles toi maintenant ? Aller maman, dépêche toi d'arriver s'il te plaît !
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Gaïa & Félix Հ stop talking you're so annoying.
Il n'avait pas envie de faire la conversation, mais ce silence l'embêtait plus qu'autre chose. Gaïa devait le trouver bien compliquer comme garçon : il n'avait jamais pris la peine de justifier son côté plus froid, plus réservé, avec elle en général. Dans le fond, si on savait pourquoi, ça devenait compréhensible, mais il ne voulait même pas en parler à ses parents, alors à elle, encore moins. « Mh.. » Il ne pouvait pas lui reprocher d'être aussi peu loquace étant lui même quasiment arrivé à un point ou il s'arrêtait brusquement de parler lorsqu'elle arrivait. En plus, c'est vrai que son sujet de conversation ne pouvait pas mener facilement à un long débat passionné. Il n'avait jamais été très doué pour faire marcher sa tête dans les moments désagréables. Il aurait put simplement ne plus parler et même s'éloigner un peu pour attendre l'arrivée de sa mère dans le calme, mais elle r'ouvrit la bouche. « Tiens, tu me parles toi maintenant ? » Il se mordit la langue, sachant pertinemment que c'était le moment de se justifier un peu. Il était pas forcé de tout expliquer, mais en même temps, c'était difficile de pas le faire, bah ouais c'était pas une si longue histoire que ça. T'as l'air assez puéril comme ça, alors faut que tu dises quelque chose, fais pas le boudeur. Alors qu'il cherchait ses mots, Félix entrouvrit la bouche et las de réfléchir après une journée de cours, il laissa les mots sortir naturellement. « On est tout seul sur ce parking et ma mère a dut m'oublier vu le temps qu'elle met, donc j'ai pas trop le choix. » Il n'avait pas prononcé ça sur un temps avenant, invitant au dialogue. Non, il l'avait dit comme s'il était carrément le garçon le plus malchanceux d'être piégé là avec elle. Continu, Félix, t'est bien parti railla sa petite voix intérieure.

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Les regards glacials et les réponses brèves et cinglantes de Félix, tu en avais pris l'habitude à vrai dire. C'était la même chose depuis des années déjà. Ca ne t'aurait pas dérangé si seulement tu avais su pourquoi il ne t'appréciait pas. Parce que tu ne lui avais rien fait toi, jamais. Non, tu ne comprenais pas, et tu détestais ça. Le truc, c'est qu'à chaque fois que tu essayais de lui parler, de comprendre, il se refermait sur lui même et commançait à t'ignorer, sinon il partait limite en courant. Alors te retrouver toute seule avec lui dans le parking du lycée ? C'était plus ou moins la situation parfaite pour essayer de lui tirer les vers du nez. Mais il fallait y aller avec subtilité, pour ne pas risquer de t'en prendre plein la figure, oui parce qu'il a presque autant de répartie que toi. Presque. Bon, il fallait déjà que tu comprennes pourquoi il t'adressait soudainement la parole alors que ce n'était pas son genre du tout de te parler. On est tout seul sur ce parking et ma mère a dut m'oublier vu le temps qu'elle met, donc j'ai pas trop le choix. Tu devais le prendre comment ? En fait c'était une corvée pour lui de t'adresser la parole, c'est ça ? Tu croisais tes bras fins contre ta poitrine en te tournant face à lui. Tu étais vexée, et il allait le savoir. C'est quoi ton problème à toi, hein ? Tu te crois trop bien pour m'adresser la parole, c'est ça ? Ecoute, si tu ne veux pas me parler, ferme la et c'est tout. Tout en délicatesse, bravo Gaïa. Mais tu n'avais pas l'habitude que les gens agissent comme ça avec toi. Généralement ils se battaient presque pour passer du moment avec "Gaïa, la princesse". Alors pourquoi Félix était-il différent ? Qu'est ce qui lui déplaisait chez toi ?
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Gaïa & Félix Հ stop talking you're so annoying.
« C'est quoi ton problème à toi, hein ? Tu te crois trop bien pour m'adresser la parole, c'est ça ? Ecoute, si tu ne veux pas me parler, ferme la et c'est tout. » Bon, soit, il avait des tords et pas qu'un peu, mais il ne l'avait pas non plus insultée, ou frappée, ou il ne savait quoi. Il avait pas fait quoi que ce soit qui mérite de se faire traiter de snob et venant d'elle, il considérait que c'était quand même quelque chose. Et bien ouais 'madame était une princesse'. Lui aussi avait du sang royal dans les veines et il l'ouvrait bien moins qu'elle, alors franchement, se faire qualifier d'hautain, ça le faisait bien rire. « Tu ne sais strictement rien de moi et tu te dresses déjà un portrait de moi ? T'as rien de mieux à faire ? » Lança-t'il, hargneux. Il s'y prenait comme un manche et ça allait vraiment mal se finir, mais bon, sa journée l'avait achevé et il était sur les nerfs. Dans le fond, c'était sûrement mieux qu'il se défoule un peu sur Gaïa plutôt que sa mère qui l'agaçait d'or et déjà à pas être déjà là, l'emmenant loin de ce lycée de malheur. « De nous deux, celui qui se croit trop bien pour les autres, c'est sûrement pas moi, princesse. » Il appuya bien sur le mot, en le faisant presque sonner comme une insulte. Vous avez dit tête-à-claques ? Ca allait sans doute lui revenir en pleine figure car il était prince lui aussi, mais bon, tous les princes et princesses ne ressemblaient pas, encore heureux. Peu décidé à se résoudre à la fermer maintenant qu'il était lancé, Félix reprit la parole vivement, sans lui laisser le temps d'ouvrir la bouche entre deux tirades. « Moi, je pense que ça te saoule vraiment que je sois pas à tes pieds, comme ta tribu d'admirateurs, ça t'emmerdes vraiment, tu comprends pas pourquoi. C'est vrai que c'est frustrant de pas savoir » il créait son petit suspens, non en fait il savait pas à quoi il était lui-même en train de jouer. Du Félix dans toute sa splendeur : une envie de parler dévorante et peu de réflexion.

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Tu ne sais strictement rien de moi et tu te dresses déjà un portrait de moi ? T'as rien de mieux à faire ? Non mais il se prenait pour qui pour oser te parler comme ça celui-là ? Tu n'étais pas sa sœur, encore moins son amie, alors tu ne tolérerais pas qu'il emploi ce ton avec toi. Non mais ! Il voulait la jouer comme ça ? Très bien, mais qu'il ne vienne pas se plaindre après. Je ne dresse pas un portrait de toi Von Hohenzollern ! Mais si tu veux je peux le faire, ça ne prendra que quelques instants. Tu n'es qu'un gosse ridicule, qui fait de petits caprices pour un rien dès que quelque chose ne lui plaît pas. Tu refuses de m'adresser la parole pour une raison qui m'échappe. T'es vraiment pitoyable. Et vlan ! Prends ça dans les dents Félix. Il le méritait. Le truc c'est que si tu t'en prenais une, tu l'aurais bien cherché aussi. Mais un prince ne frappe pas les filles, si ? En tout cas c'est e que ton très cher papa ne cessait de répéter à ton frère jumeau lorsque vous étiez petits et que vous vous bagarriez. De toute façon rien ne pouvait t'empêcher de lui répondre. Hors de question que tu te laisses marcher sur les pieds. De nous deux, celui qui se croit trop bien pour les autres, c'est sûrement pas moi, princesse. Et là, pendant quelques secondes, tu le regardais, les yeux écarquillés et la bouche à demi ouverte. C'est fou mais t'aurais cru entendre parler ton frère. Il avait prononcé exactement la même phrase quelques semaines plus tôt lors de l'une de vos disputes. Il t'avait reproché d'être une fille pourrie gâtée et de prendre tout le monde de haut. Venant de Hermès, ça t'avait blessé, même si t'avais tenté de ne pas le montrer. Ok, reprend toi Gaïa, il était limite en train de t'insulter, de se moquer de toi. Tu lui lançais le regard le plus noir possible. Tu ouvrais la bouche pour lui répondre, mais il ne t'en laissait pas le temps. Moi, je pense que ça te saoule vraiment que je sois pas à tes pieds, comme ta tribu d'admirateurs, ça t'emmerdes vraiment, tu comprends pas pourquoi. C'est vrai que c'est frustrant de pas savoir. Décidémment, tu allais lui sauter à la gorge et le tuer. Calme ! Respire !  Il avait réussi à te déstabiliser. Un exploit en soit puisqu'il y avait peu de personnes qui en étaient capables. Tu ouvrais une nouvelle fois la bouche avant de la refermer. Le problème, c'est qu'il avait en partie raison. Tu ne supportais pas de ne pas savoir pourquoi il agissait de la sorte avec toi. Je n'ai pas besoin que tu sois à mes pieds, il y en a d'autres qui sont cent fois mieux que toi. J'en ai rien à faire de toi ! Faux ! Tu n'en avais pas rien à faire de lui. En fait, il t'intriguait, et tu voulais qu'il t'explique la vérité depuis des années. T'es juste jaloux de moi. Ce que t'ignorais, c'est que tu n'étais pas loin de la vérité.
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