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Assise studieusement à ma table, j'essayais de comprendre le dernier chapitre du droit bancaire que je devrais mettre en application pour l'Affaire Mason que mon père m'avait confier. Cela faisait bien à présent trois heures que j'étais coincer dans cette sale glauque à examiner les moindre petit détails qui pourraient avoir un quelconque rapport avec mon boulot du cabinet mais l'envie n'y étant pas, je ne comprenais pas grand chose. Lasse, j'attrapais mon BlackBerry, je devais rejoindre les filles un peu plus tard dans la soirée pour cette fameuse soirée d'Halloween, soirée à laquelle je croiserais sûrement Konrad. Je soufflais en regardant l'heure. 22H54. Je devais déjà avoir manqué le meilleure mais soit. Je laissais mon regard s'évader à travers la fenêtre où des centaines de petit points lumineux et chaleureux se reflétaient gaiement. J'adorais Halloween. C'était hormis noël, une de mes fête préféré. J'aimais le fait que cette tradition perdure et que les gens soit toujours autant investit à la préparer. Je plaçais mon crayon entre mes lèvres, pensive, rêvant ne jamais avoir à terminer ce dossier lorsque tout à coup. Plus rien.  
Mes yeux s'écarquillèrent dans la pénombre. Le noir complet. « Qu'est ce que ? ». Je rallumais mon portable pour faire quelques pas dans la salle et me diriger vers les fenêtres immense mais à ma grande stupeur la ville était elle aussi plongé dans le noir. « C'est quoi ce bordel ? ».
Mon souffle devint soudainement beaucoup plus rapide. Je détestais déjà bien assez me retrouver seule à une heure si tardive dans les couloirs d'Harvard alors ajouté à ça l'obscurité. Je me mit à pianoter nerveusement sur le clavier de mon smartphone quand. Pas de réseau. Putain j'étais réellement coincé. Je tentais de me calmer. La lumière reviendrais bien dans quelques petites secondes, c'était certain. Je patientais.
Dix minutes s'étaient écoulée et j'étais à présent assise le long du mur, immobile, les jambes resserrée contre ma poitrine. Aucun mouvement depuis que la coupure de courant. Je commençais à paniqué. Je devais bouger d'ici, allez dehors, savoir ce qu'il se passais, mais je n'arrivais pas à m'en donné l'ordre. Tétanisé par cette stupide peur. Je torturais mes lèvres n'osant même pas respirer. Ce contexte ressemblait étrangement à un de ces films avec lesquels Jeremiah aimait me faire peur, enfant. Un tas de scénario défilèrent dans ma tête mais aucun n'avait d'issu bien joyeuse. Il fallait que j'arrive à sortir d'ici.
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Soirée d'enfer. Je me détendais tout juste jusqu'à ce moment où je décidais de changer de décor et d'aller jouer un tour aux cinglés encore restés dans l'école à travailler. J'avais un peu bu alors j'étais d'humeur joyeuse. Je n'avais pas de nouvelles d'Eliah et meme si je m'inquiétais ; je savais qu'elle m'enverrais un message dès qu'elle serait moins occupée. Ma bosseuse devait bosser chez elle ou à l'école, je ne sais pas. Nous avions toute la nuit rien de presser alors. Je marchais donc, sortant de la petite vallée où se trouvait la maison hanté des Dunster et traversais la rue, peuplée de vampire, riche héritier fantôme et autres monstres en tout genre, rigolant à tout va jusqu'au grand campus, pas loin du tout de l'endroit par chance. J'avais abandonné ma moto et trouvait un endroit où laisser mon casque sans soucis et je sentais déjà que je ne reviendrais la prendre que le lendemain. A cette pensée, je rigolais seul. Je pénétrais dans l'enceinte de l'école, plus ou moins déserte. Je voulais venir là mais j'aurai jamais cru trouver quoi que ce soit ouvert pourtant si ... Etrange. Avait-il fait ça exprès vu qu'après tout, elle restait surveiller par les vigiles ? Je ne savais pas. J'entrais et commençais à tout explorer quand tout à coup, j'entendis un petit bruit dans une salle et vit la lumière se couper. Je fonçais vers la porte et l'ouvrait ; plus de lumière nulle part, le noir complet, total. Je ne comprenais pas et ma bouche prit la forme d'un "o" d'étonnement. Y'a quelqu'un ? Avais-je dit doucement malgré tout. Dans l'inquiétude, je pensais directement à ma femme et lui envoyait un message lui demandant où elle était. Elle me répondait qu'elle se trouvait encore au campus et qu'elle s'était douté que j'y viendrais ce soir pour faire mon annuel blague au fraudeur, resté à l'intérieur pour faire une surprise à ceux du lendemain ou faire d'étrange cérémonie. J'eus un fou rire : comptait-elle m'attendre longtemps comme ça ? Je devais donc deviné où elle se trouvait ... je fonçais vers la salle de droit, salle de classe où elle aimait etre et où elle aurait pu se cacher pour que je la trouve. Quand je poussais la porte, j'entendais un pas, un pas de recul et une respiration très calme, très douce : celle d'une fille et comme la plupart des autres bruits venaient de groupe, je sus tout de suite que c'était elle. Purée, c'était simple de te trouver Bébé ... Je m'avançais dans la salle et cherchais le briquet puisqu'il semblait impossible d'allumer lorsque j'appuyais sur l'interrupteur. je ne le trouvais pas. Jamais les choses quand on en a besoin. Je tentais de la trouver, tendant le bras vers elle. Je la croyais apeuré car elle ne parlait pas mais se contentait de s'approcher aussi, je la sentais venir. Chérie, j'ai pas mon briquet ... ça va ? Je sais que tu as peur mais viens au moins près de moi ! Je touchais enfin sa main, cette main si belle, si douce et caressais son bras recouvert d'un voile qui me rappelait son petit chemisier blanc que j'adorais tant lui enlever. Je me rapprochais d'elle, encore, collant mon corps contre le sien. Le seul bémol pour l'instant ; c'était qu'elle ne parlait pas et qu’étrangement, aujourd'hui, son parfum était différent mais je la savais si imprévisible ma Eliah. C'est propice à certains trucs ce noir mon coeur, tu crois pas ? dis-je en rigolant doucement.
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Ce silence insoutenable, la nuit omniprésente, la peur tétanisante.
Rien avait bougé. Rien. A part peut-être quelques bruits de pas que j'avais entendu aller et venir dans le corridor. Je n'avais même pas osé m'y aventuré, j'avais trop peur de ce que j'aurais pus y trouver. Ou ne pas trouver. Je sursautais une énième fois en entendant des pas toujours et encore. Je me recroquevillais sur moi-même me sentant stupide de me mettre dans un tel état pour une coupure de courant, mais c'était plus fort que moi.
Mes yeux s'était à présent habitué à l'obscurité et de l'autre bout de la salle j'observais avec attention ce qui me semblait être la poignée de la porte, lorsqu'elle s'ouvrit soudain. Je devins haletante sans m'en rendre compte et sans que je n'ai eu le temps de réalisé quoique ce soit je reconnu une voix familière.  Purée, c'était simple de te trouver Bébé …
Emrys. Difficile à dire mais je crois que mon visage s'illumina et je me levais doucement sans pour autant y croire. Je fis quelques pas incertain et en une minuscule seconde à peine je m'enfouissais dans son étreinte, violemment. C'était fou comme chaque fois il semblait apparaître comme un véritable héros. Je m'agrippais à lui, empoignant son T-Shirt de mes poings ferme, j'étais tellement soulagé qu'il soit là. Je repris mon souffle et levais le visage vers lui.  Chérie, j'ai pas mon briquet ... ça va ? Je sais que tu as peur mais viens au moins près de moi ! J’eus un instant de trouble. Comment m'avait-il appelée ? J'avais pour habitude qu'il me donne des surnoms plutôt attendrissant, cela dis celui-ci m'avait fait tiquer. Je balayais cette pensée et me laissais aller sous ses caresses rassurantes.
Il se rapprocha encore un peu plus de moi, de façon charnel. Cette position inconfortablement agréable n'était pas sans me rendre un brin nerveuse. Je me mordit la lèvre et le laissait me guider, simplement. Je me logeais dans son  cou sans dire un mot.  C'est propice à certains trucs ce noir mon cœur, tu crois pas ? Je m’immobilisais sur sa poitrine. J'avais peur de ne pas avoir bien compris ses paroles. Je me redressais, reposant mes mains sur son torse les sourcils légèrement froncés. Ce revirement de situation soudain était quelque peu brutal. J'avais malgré moi, un léger gêne quant à ce comportement. Je plongeais mon regards dans ses pupilles qui, elles seules, scintillaient à travers la pénombre, tentant d'y trouver là une réponse mais rien. Seulement un léger souffle alcoolisé. Je tentais de dire quelques chose, mais rien ne vint. Je restais simplement immobile devant lui, le souffle court.
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Il est vrai que le lieu ne manquait pas de charme. Je la sentais tout contre mon corps, son parfum n'était clairement pas le meme mais je la savais si imprévisible que ça ne me troublait pas du tout et puis, pourquoi ce serait-elle rapproché sinon ? J'avais reconnu ce petit haut que j'aimais tant arraché avec mes dents pendant nos ébats, je caressais le voile de ma main, n'hésitant pas une seconde et passait ensuite ma main dans ses cheveux pour une fois détaché et cela me donna le sourire, me faisant rire car ce soir, elle m'étonnait comme ses sms ce soir où elle me disait m'attendre dans l'école ; que de choses bizarres mais je profitais. On s'était engueulé deux jours avant et on ne s'était pas revu alors meme si on faisait genre d’être complètement rabiboché ; c'était pas forcément très vrai, je savais qu'elle m'en voulait alors tant qu'on se disputait pas encore, j'allais profité. Je reprenais la parole : Je t'aime bébé ... Je caressais son visage puis laissais ma main caresser de nouveau son bras pour ensuite prendre sa main et tenter avec adresse de l'emmener contre un mur. Là, je la collais contre ce mur, d'une froideur incroyable et passant mes mains sous ses jambes jusqu'à ses fesses, je la soulevais avant de poser mes lèvres directement sur ses lèvres. Je pétrissais ses fesses remontant une main dans son dos parfois et violer sa bouche de mes lèvres, demandant déjà l'autorisation d'y faire danser ma langue. Néanmoins, j'avais une sensation étrange ; c'était étrange ... Sa bouche, ses fesses, enfin surtout, sa façon de me laisser l'embrasser, de répondre au baiser et de me toucher ... j'eus un instant de panique.
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Étais-je entrain de fabulé tout ça. Cette coupure, ce noir, cette salle immensément vide et les mains d'Emrys sur ma peau. J'étais tétanisé, partagé entre la confusion et la passion. J'avais rêver ce moment tant de fois sans vraiment y croire. Je ne comprenais pas, je ne comprenais pas comment en quelques minutes à peine je m'étais trouver dans cette position, loger là dans ses bras puissant. J'essayais de faire face à mes démons et chassait ce désagréable sentiment de gêne. Il me tenait fermement, droit de sa posture imposante et moi fragile entre ses mains je brûlais. Il passa une main dans ma chevelure de feu et je faibli laissant allez mon visage sur sa peau.  Je t'aime bébé ... un frisson me parcourut l'échine au son de sa voix. Tout ça n'était pas réel, ça ne pouvait pas l'être. Je me concentrais très fort pour oublié ce qu'il venait juste de chuchoter. L'alcool faisait dire tellement de chose. Mon souffle se coupa alors lorsqu'il fit glisser ses doigts sur mon bras fin, balayant ma peau doucement avant d’attraper ma main. J'étais perdue.
Puis subitement dans une violente douceur il me plaqua brutalement contre le mur de béton. j'étouffais un gémissement, coincé contre la cloison glaciale et son corps en émoi. Mes yeux perdu dans cette noirceur, j'avais la sensation que mes sens étaient décuplé. Cette tension palpable qui attirait nos corps consumé comme des aiment. Je fermais les yeux me laissant allé à ce qui ne semblait n'être rien d'autre que le fruit de mon imagination. Ses mains reprirent mon contrôle. Doucement il attrapa ma jambe et je me cambrais contre la surface de glace alors qu'il torturait à présent mon postérieur. Tout ça était si naturelle que j'en perdais la raison. Mes mains se glissèrent au creux de sa nuque et je serrais mon poings ferme dans ses cheveux désordonné. Mes jambes s'enroulèrent avec souplesse autours de sa taille et il scella l'instant en déposant hardament ses lèvres euphorique contre le mienne. Quelques secondes s'écoulèrent pendant lesquels je réalisais que j'étais bien là. Je me plongeais dans les étincelles de ses yeux et laissais mes doigts aller sur sa nuque. Ma poitrine s'embrasait littéralement, se soulevant au rythme de nos souffles. Je me mordit la lèvre un court instant avant que fougueusement les baisers reprirent toujours plus intensément sans que l'on puisse s'arrêter, gesticulant l'un contre l'autre sous le désirs puissant qui nous tenaient. Je laissais glissé ma main sur son biceps contracté qui m'empoignait violemment contre ce mur et sentit son souffle ralentir. Mes doigts caressèrent lentement ses muscles tendus alors que je m'approchais de son visage essoufflée. Je déposais mes lèvres mouillée sur les siennes immobile. J'étais ailleurs.
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Son corps contre le mien, sa bouche contre la mienne ; ça faisait quelques temps que je me voyais dans l'obligation de lâcher mes peines et mon désespoir en baisant. C'est cru mais réelle. Nous passions notre temps au lit parce que je n'arrivais pas à assumer que le désespoir avait atteint mon cœur et elle, elle était là ; ma petite femme qui malgré tout me faisait des petits coups merdiques mais au fond, je l'aimais tellement. Mes mains caressaient son corps parfaits, ses fesses tandis que nos langues jouaient un ballet dans une danse frénétique. Maintes et maintes sensations s'offraient à moi, ma respiration s’accélérait de trop mais je trouvais qu'il y avait un truc étrange, une sensation trop différente comme si l'amour, ce cœur qui bat trop fort, n'était pas là ... Je laissais alors glissé ma main sur son poignet, puis sur sa main, remarquant qu'aucune chaine brute ni bague ne s'y trouvait. Je la lâchais d'un coup, surprenant surement la personne qui avait osé ne pas me dire qui elle était et reculait d'un pas : Vous êtes qui ? Je tenais son poignet fermement et la bloquer contre le mur de l'autre main ; BORDEL, vous etes qui ? Et tout en m'énervant, serrant le poignet de cette personne fausse, je réfléchissais ; qui aurait voulu vivre ce moment ? Qui aurait pu se voir en plein rêve et être aussi délicate dans ces gestes ? Qui avait une silhouette presque similaire à ma femme ? Non, ce n'est pas possible. Je lâchais la personne, reculant d'au moins 10 mètres, manquant de tomber sur une table ; on entendait un fracas. Lena, est-ce que t'es malade ? J'en étais presque sur et si ce n'était pas le cas, je le saurais de toute manière.
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Nager en plein rêve. Cette expression avait sans doute une connotation pathétique, illusoire, mais c'était bien celle qui convenait.  Je nageais en plein rêve. Je saisissait l'instant, cette instant de tendresse qu'il m'accordait sans me demandé qu'elles en était les raisons, qu'est ce qui l'avait fait changé d'avis si brutalement.
Je laissais reposé mon front contre le sien, éreinté de cette violente étreinte qui nous avait plongé dans une sorte de transe et sourit. Un sourire imperceptible dans ce sombre lieu, mais réel. Emrys fit glissé son bras le long de mon bras pour saisir ma main mais la sienne se crispa soudainement. Il attrapa férocement mon poignet et le plaqua contre la brique me faisant grimacer de douleur. Que se passait-il. Ma respiration s’accéléra de plus belle, mais pour des raisons bien différentes. La peur se rependit petit à petit dans le bas de mon ventre pendant qu’oppressant, il cria : Vous êtes qui ? Je fronçais les sourcils et ma gorge se serra. Je ne comprenais pas. Ou était passé le rêve, les étreintes, les baisers, la tendresse ? Je tentais d'agiter doucement mes doigts douloureux d'être privé du sangs retenu dans le poignet qu'Emrys martyrisait de sa poigne. « Quoi ? » ma voix se brisa. Était-ce un de ces jeux pervers dont j'avais entendu parler ? Ou une blague pour fêter l'Halloween ? BORDEL, vous êtes qui ? Répétât-il une seconde fois avec hargne. Mes mots se brisèrent dans ma gorge. Ce jeu ne m'amusait plus du tout. Il me faisait peur. Ma gorge étrangler me faisait mal, mon poignet me faisait mal et ma respiration était douloureuse. Emrys me lâcha soudainement et j'entendis un fracas plus loin de la salle. Je soufflais. Lena, est-ce que t'es malade ? Dit-il soudainement.
« Malade ?... » je fronçais les sourcils. Est-ce qu'il était devenu fou, c'est lui qui venait littéralement de se jeter sur moi pour me violenter et c'est moi qui était malade. Je serrais les dents en malaxant mon poignet, mais mes larmes étaient plus forte que moi.
« Est-ce que tu te fous de ma gueule Emrys ? Je comprends pas. Il t'arrive quoi ? C'est une de tes blagues c'est ça ? » j'essuyais à présent maladroitement les larmes de colères qui ornaient mes joues. Je n'en finissait pas d'être déçue.
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J'avais ressenti des sensations de ouf et cru que c'était ma femme, mais comment avais-je pu ? Lena était tout sauf une femme c'était une petite adulte toute choute, la sœur d'un super pote, c'était tout sauf une femme à mes yeux parce que je la voyais comme une petite précieuse à protéger et que je devais pas toucher le moins du monde. Au moment où j'avais compris, c'était un tel choc que j'avais retenu son poignet férocement, effrayé qu'elle n'ait rien dit ... comment pouvait-elle en profiter ? comment avait-elle pu ? Helena fut étonnée car perdue, elle me sortait un simple ; « Quoi ? » d'étonnement ! Je parlais, appeuré, à la jeune femme, lui faisant comprendre que j'étais perdu et que je n'appréciais pas la blague. Je venais juste de comprendre qui elle était et tous se bousculait en moi tant je me sentais affreux d'avoir fait ça ne serais-ce quelques minutes. Je sentais sa respiration s'accelerait surement la douleur de son poignet écrasait dans ma main mais je ne voulais plus qu'on se touche, j'avais bloqué. Je fis un bon en arrière la lachant d'un coup, la laissant libre et fonçant sur une table derrière un peu plus. BAM. « Malade ?... » Avait-elle dit d'un ton choqué par mes paroles. Je comprenais que ça la choque mais se rendait elle compte qu'elle avait profité du fait que je crois trouvé Eliah pour m'embrasser et peut etre aller plus loin ? Je me grattais l'arrière de la tete, pensif et énervé tandis qu'elle reprenait : « Est-ce que tu te fous de ma gueule Emrys ? Je comprends pas. Il t'arrive quoi ? C'est une de tes blagues c'est ça ? » J'entendais qu'elle faisait de petits bruits, reprenant sa respirations ... puis, oh non ... elle pleurait pourtant je ne décolérais pas et en plus, elle niait ; comment voulait-elle que je réagisse ? Je me réavançais pour ne pas avoir à crier ou quoi que ce soit d'autres puis je repris en sa direction, la poitant du doigt sans qu'elle ne puisse me voir : Non, mais c'est toi qui te fous de moi ... tu sais que je suis en couple ... pourquoi crois-tu que je t'aurais appelé Bébé ? Pourquoi tu n'as pas dit avant que je t'approches que tu n'étais pas Eliah ou quoi ? C'est pas moi le problème Lena ... On sentait que j'étais grave furieux et que je ne pouvais pas me stopper dans ma colère, je me sentais trahi. Pourquoi as tu essayé de profiter comme ça ? Je t'ai déjà dit que c'était pas possible toi et moi ... je suis en couple et puis y'a ton frère, merde ! Mes sens sont décuplés, j'entendrais presque son cœur, son souffle me parvenir, sa respiration, je sens son parfum .... tant de choses.
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