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Le froid d'octobre commençait a s'influer dans l'appartement et maintenant tout le chauffage était demander a contribution. Encore heureux qu'il y est les deux chambre de libre : je n'avais pas besoin de réchauffer. J'avais poser une petit annonce sur le hall de Harvard et Cambridge et en attendant un quelques qu’on que appel, je prenais un chocolat chaud dans mon bar préférer (de loin). En attendant ma petite commande je me décidais a ouvrir un de mes fidèles carnet qui me permettais de mettre en place mes nouvelles chanson que j'utilisais souvent lors des mini concert que je faisais ici, ou ailleurs. je gribouillais quelques petit mots avant de sentir la main parfaitement manucuré de la serveuse me presser le bras. Elle déposait ma boisson et partis en me faisant un clin d’œil et en roulant un peu trop des hanche : elle n'avait jamais remarquer mon affection pour les hommes ? Même un abrutis de première aurait compris ! Je montais mes sourcils un me mis a rire. Peut être par pitié, je ne sais pas. Je trempais a mes lèvre une peu du doux cacao, mais je me sentais observe. Enfin, peut être que je devenais fou ?
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Se pourrait-il que je puisse un jour connaître enfin ce monde merveilleux ?





Le temps Voilà ce dont je manquais depuis deux mois. Avec mes cours de journalisme, mes cours de dessin et les cours généraux, je commençais à être complètement surchargé. Mon boulot de strip-teaseur me fatiguait carrément, à tel point que j’en dormais en cours. Cela faisait même plus de deux semaines que je n’avais plus été au centre pour sans-abris en tant que bénévole. Et là, c’était ma seule pause depuis deux semaines. Et encore. Une pause d’une heure, pas de quoi casser trois pattes à un canard. Enfin, j’avais décidé de prendre un chocolat chaud au Lord Hobo. Juste histoire de décompresser un peu.

J’entrais donc dans le café-bar à l’allure d’un salon de thé. Et je le vis. Ce garçon au nom inconnu sur lequel je craquais depuis 1 mois déjà. C’était ici-même que je l’avais vu pour la première fois. Et j’avais immédiatement flashé sur lui. Sur ses yeux magnifiques, et sur ses cheveux bouclés. Je l’avais même vu rire une fois, et son sourire était juste le plus beau au monde. Il fallait bien l’avouer, cet homme était le genre d’homme parfait. Mais je devais également avouer que moi et les garçons, ça faisait deux. Introvertie et discret, je ne savais même pas comment l’aborder. Alors, ça semblait mal barré.

Deux solutions s’offraient donc à moi : le reluquer de loin, encore une fois, ou oser faire le premier pas. Je devais oser. Au moins pour le connaître un minimum. Ayant attendu au moins 5 minutes à l’entrée du café, je fis le choix de faire le premier pas. Le pas lourd, les joues déjà rouges, je m’avançais alors vers sa table. Et la voix tremblante, je me lançais.


« Heu… Bonjour ! Est-ce que je peux m’asseoir ? Je… je n’aime pas vraiment être seul à une table. »

Bon sang. Il va me prendre pour un détraqué. Bon, niveau première impression, j’étais surement fichu. Et son regard qui venait de se poser sur moi ne m’aidait pas. Mes joues étaient en feux par sa faute. Et ça se voyait surement. Énormément.




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La douce idylle qui était dans ma tasse me faisait vibrer, ciel que c'était bon ! Je continuais a trouver quelques petite rime par ci par la. Mon inlassable sujet d'inspiration était bien sur l'amour deçut ou amoureux cette source était aimé par tout le monde faisant croire au petit prince charmant et au kent des barbies. Un simple utopie, certe. Je fredonnais hey jude cette chanson, je l'avais en tête depuis quelques jour je e chantait tout le temps dans ma douche. je ébouriffais un peu mes cheveux qui était emprisonner dans mon bonnet et dénouais mon écharpe. Et tandis que je le posais sur ma chaise un blondinet rougis pour je ne sais quel raison me demandais si il pouvait partager ma table. Je lui fit mon plus grand sourire et fit un "oui" affirmatif avec ma tête je posais ma tete sur ma main par mon coude accoude a la table je lui fixe un peu et fronçe les sourcils il me dit quelques chose : "hum dit moi... On c'est pas déjà rencontré ? Moi c'est Adam."
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Se pourrait-il que je puisse un jour connaître enfin ce monde merveilleux ?





Il accepta, à ma grande surprise. Mes joues toujours aussi rouges, je m’asseyais sans dire un mot. Le serveur vint aussitôt à ma rencontre, et je lui commandais un chocolat chaud avec une voix à peine audible. Je reportais ensuite mon attention sur le jeune homme très attirant face à moi. Ce dernier se présenta, après m’avoir demandé si l’on ne s’était pas déjà vu. Oh si, moi je l’avais déjà vu un paquet de fois. Lui, j’étais moins sûr. Il n’avait pas dut me remarquer.

« Je suis à Harvard, on s’est déjà croisé dans les couloirs surement… »

Je laissais un sourire timide se dessiner sur mon visage, tandis que mon regard se baladait entre ses yeux, ses lèvres, sa barbe de trois jours… Je scrutais chaque mouvement de son visage en me délectant intérieurement. Bon sang, il était parfait en tout point. Les papillons dans mon ventre étaient en train de s’affoler, tandis que mes joues n’avaient toujours pas changées de couleurs.

« Je ne voulais pas te déranger… C’est juste que j’ai l’impression que tout le monde me regarde quand je suis seul à une table. »

Faux. Archi-faux. Je préfère être seul en vérité. La seule et unique vérité, c’était que je voulais qu’il soit au courant de mon existence. Que je puisse rentrer dans sa vie. Qu’il sache que quelqu’un l’avait remarqué, et que ce quelqu’un était sans cesse en train de l’admirer à chacune de ses apparitions. Oh oui, il devait savoir ça.




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Le jeune homme paru surpris de mon invitation a ma table. Je lui fit mon plus grand sourire avant de lui demander si l'on ne c'était pas rencontrer avant, ça tête me disait quelques chose pourtant... Mais de où ? Impossible a détermine. Les couloirs d'Harvard ? Surement mais enfi, je me rapelle pas de tout les tête que je croise dans les couloirs, non c'était autre chose. Je ne voulais pas l'importuner alors lorsque la serveuse partis avec sont cul d’arrière train , qu'est que ça pouvait être vulgaire, mais ma foie ! Si c'est pour la clientèle. Je mordais doucement mon stylo tout en jouant avec ma langue qui s'enroulais doucement. Je fixais avec attention ma feuille... C'est un peu compliquer, je me sens trop observé. Je monte mes yeux pour finalement voir, le rougissement du blondinet toujours aussi présent : "oui je comprend... C'est comme aller au cinéma je n'aime pas y aller seul" d'ailleurs j'essayer de prendre sur moi en ce moment car la dernière fois que j'y suis aller seul, je m'était fait toucher l'entre jambe... Par un parfait inconnue !

Je lui sourie encore une fois et la commande du jeune homme arrivé. Je bus a mon tour une seconde gorgées et me surpris avec un peu de chantilly sur mes levres je l'enlevais avec mon doigts pour le suçoter doucement : certain aurait dit que c'était de la pure provocation, d'autre une signe sans importance mais je pouvait sentir de ma place que le garçon attelait un peu a ce geste. C'était comme si je me sentais tout nue et qu'il voyais comme superman.Je me raclais la gorge : "Tu fait des etudes en quoi ? Je te verrais bien dan sle mannequina c'est étrange..."
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Je n’avais pas vraiment fait attention au fait qu’il était en train d’écrire. Bon sang, quel idiot. Je l’avais dérangé pendant son écriture. Je savais ce que c’était. Je détestais être dérangé pendant la conception d’un dessin. Je regrettais quelque peu mon intervention, même si ce regret était largement contrasté par la satisfaction de le voir d’aussi près. Et aussi d’entendre sa voix, et de savoir son prénom. Adam… Ou le prénom qui est aussi attirant que la personne qui le porte. Enfin. Il répondit à ma phrase concernant le fait d’être seul. Il prit l’exemple du cinéma pour parler de lui. S’il n’aimait pas aller seul au cinéma, je pouvais toujours l’accompagner la prochaine fois ! Enfin, je n’allais pas lui dire ça, mais j’espérais qu’il puisse lire dans mes pensées pour le deviner lui-même. Quoique, il ne fallait peut-être pas qu’il s’aventure dans mon esprit. Pas sûr de ce qu’il y trouverait…

La serveuse revint avec mon chocolat chaud, et je remarquais bien son attirance pour Adam. Bon, j’avais de la concurrence. Je la laissais repartir en la regardant d’un air mauvais, puis je reportais mon attention sur Adam et sur ses lèvres. Sur laquelle un peu de chantilly s’était installé. Bon sang… l’invitation à la luxure. Il enleva cette dernière d’une façon un peu trop sexy pour être innocente. Mon cœur en rata un battement d’ailleurs. Mes joues devenaient encore plus rouges, si c’était possible. Avait-il remarqué mon attirance ? Jouait-il de ça ? En tout cas, il n’en dit pas un mot, se contentant de parler de mes études. Il me voyait dans le mannequinat. Une façon pas si subtile de dire qu’il me trouvait attirant ? Je me surprenais à sourire timidement.

« Non, je fais des études de journalisme avec option dessin. Et toi alors ? Compositeur, écrivain, journaliste peut-être… ? »

Son petit carnet me mettait sur la voie, même si ça restait sur un plan assez large. Je portais à mon tour mon chocolat chaud à mes lèvres, en buvant une gorgée un peu brulante. Bien sûr, je n’avais pas prévu la chaleur de la boisson ce qui provoqua une grimace immédiatement sur mon visage. Bon, dans le genre mannequin, on aura vu mieux. Je n’étais clairement pas prêt de le séduire de cette façon. Pire que ça, il allait me prendre pour un idiot à force…




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J ne pensais pas que mon geste allait tellement le pertuber que ça ! Je le voyais essayer de battre en retraite ses yeux des miens. Je penchais ma tête sur le côte, ça n'allais pas vraiment être comme ça que j'allais savoir ce qui tramait dans ca tête m'enfin. Le langage corporelle ne m'était pas inconnue, j'observais c'est lèvre qui bougeais nerveusement. Il était stresse mais par quoi ? C'est main bougeais nerveusement aussi, tapotant a tout vitesse sur la table. Je lui demandais finalement quel études il faisait car oui Harvard avait une grande panoplie de voie. Ce qui permettais de voir traîné un futur musicien avec un futur dentiste. Je lui sourie a ça réponse et  fit un rire gêné lorsqu'il me retournais la questions : "Hum... Je fais dans la musique options théâtre. D'ailleurs je fais le Jukebox humain tout les vendredi ici" je bus un nouvelle gorgé et ris un peu lorsque je vis la tête que le jeune blondinet faisait. Je passais un peu ma main dans mes boucles et pris dans ma sacoche mes lunettes pour les poser sur mon nez : "désolée ca me fait vraiment mal au yeux... Quand je reste trop longtemps sans" je remontais mes et voyais plus nettement. D'ailleurs, je vis le propriétaire du bar venir vers notre table je fit un coucou de ma main et celui si tout dent sortis s'accoudas sur notre table : "alors alors... Ta encore un rendez vous ? Mais c'est que ca marche le spead dating. Fait attention hein ! Avec sa gueule d'ange et sa voix il fait tomber tout le monde dans c'est bras !" oh mon dieu j'avais tellement honte ! Je couvris ma main sur mon visage. Et lorsqu'il repartis -fiere de ca bêtise j'imagine !- je me retournais vers le bondinet un sourire gêné : "pardon pardon... Je suis vraiment désolé".
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Il me répondit. Musique, avec option théâtre… Devant moi se tenait peut-être le prochain grand artiste de Broadway. Et j’aurais été un des premiers à craquer sur lui ! Je reposais ma tasse sur la table avec la conviction que j’allais attendre surement quelques instants avant d’essayer de boire mon chocolat de nouveau. Je m’étais brulé la langue, et ça piquetait encore un peu. Je cherchais alors une réponse à sortir pour ne pas paraître trop ridicule, quand je le vis sortir ses lunettes. Ok, alors il était définitivement parfait. Les garçons avec des lunettes étaient les plus beaux à mes yeux, et il venait de confirmer mes pensées le concernant par ce simple geste.

« Pas de soucis. Ça te va bien… »

Il allait finir par croire que le rouge était ma couleur de teint naturelle. Mes joues ne quittaient pas cette couleur. Je ne vis pas un homme arrivait vers nous, mais j’entendis son coude s’appuyait sur notre table. Qui étais-ce ? Il ne se présenta pas vraiment. Il ne fit que taquiner Adam. Oh, il en profita aussi pour le faire passer pour un Don Juan. À moins que ce n’était seulement la vérité sur lui… J’écoutais donc l’homme, qui repartit aussi vite qu’il était venu, puis reportais mon attention sur Adam qui semblait quelque peu gêné. Bon, les rôles s’étaient inversés. Il était celui qui rougissait, quand j’étais celui qui venait soudainement de reprendre confiance en moi. Il se confondit en excuse, tandis que j’haussais les épaules.

« Ne t’inquiète pas. »

Je fronçais les sourcils malgré tout. S’il était un Don Juan, alors ça changeait pas mal de chose. Je voulais bien avoir de la concurrence, mais toute une basse-cour… C’était différent. Si je devais écouter l’homme qui était venu à notre rencontre, alors il avait souvent rendez-vous ici. Et ce n’était pas mon genre de partager.

« Alors comme ça, tu as beaucoup de rendez-vous ici ? »

Oui, je mettais les deux pieds dans le plat. J’avais retrouvé quelque peu confiance en le voyant se déstabiliser. À présent mes joues avaient retrouvés leurs couleurs normales, et j’avais un petit sourire sur les lèvres.




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Tandis que je mettais mes lunettes. Le jeune blond me disait que cela m'allait bien : était ce une blague ? Car jamais au grand j'aimais on me l'avais déjà dit, cela faisait partis de mes petit secret. Donc, heureusement, que je le connaissait pas plus que ça, au cas où. Je m'attendais en aucun cas que John (le propriétaire) allait taper la discute au blond norvégiens en face de moi, en parlant de ma personne. Je trouvais cela effectivement tres gênant car le connaissant peu; je ne voulais pas qu'il est aussi horrible image de moi et de deux, car je n'étais absolument pas comme ça, juste gentleman. Il est vrai qu'avec certaine personne, que j'avais rencontré lors des divers speed dating -que j'ai fais pendant plusieurs semaine- il m'arrivait de les inviter a boire un verre, prendre leur numéro pour ne pas les blessés e tpuis partir... Ok, ok j'avais copuler avec un d'entre eux, mon meilleurs coup ceci dit. Mais maintenant le jeune homme était marié a une jolie petite fiancé, je vous jures que j'était hyper surpris d'être invité ! Enfin bref, c'était donc rouge que je regardais le jeune homme : je n'aimais vraiment pas d'être dans ce genre de situation, c'est a dire a mon désavantage. Je m'excusais et me répondit que ce n'était pas grave : "hum... Ok" je touillais nerveusement avec ma cuillère le reste de mon chocolat chaud tandis qu'un vague blanc s'installait. Je ris completement honteux lorsqu'il me demandais si j'avais effectivement beaucoup de rendez vous : "Et bien... Disons que pour pas décevoir les gens, j'aime pas vraiment cela : rendre malheureux tout ca... Donc, oui je disais, je leurs servait un coup mais cela n'allait pas vraiment plus loin... Hum attend voir, OH mais ce seria trop drole si tu était jaloux... Tu a quelques peut tout le symptôme.. Mais je suis bête, on se connais que il y a quelques minutes !"
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Sa nervosité le trahissait. Il n’avait vraiment pas l’air détendu après ce que je venais d’apprendre, et ça voulait tout dire quant à la véracité des propos de l’homme venu à notre rencontre. Il me sortit une excuse peu convaincante, prétextant qu’il ne voulait pas décevoir les gens. Il leur payait alors une consommation, mais ça n’allait pas plus loin selon lui. Il évoqua ensuite le fait que j’avais l’air jaloux, que j’en avais les caractéristiques en tout cas. Oh non, je n’étais pas jaloux. Je voulais juste voir à qui j’avais à faire. L’amour n’était pas mon point fort. Je ne voulais pas vivre le genre d’histoire à vous dégouter de l’amour. J’avais déjà trop vécut ça.

« Oh non ! Je suis pas jaloux, pas du tout. Tu fais ce que tu veux, évidemment. Justement, c’est gentil de ta part… »

Bon, dans le genre, ça faisait plutôt jaloux en effet. Le simple fait de dire qu’il avait le droit de faire ce qu’il voulait suffisait à montrer justement que j’étais peut-être un peu jaloux. Je sentais mes joues devenirs rouges de nouveau, tandis que je portais ma tasse jusqu’à mes lèvres. Je bus une légère gorgée, veillant à ne pas me bruler cette fois. Heureusement, le liquide avait refroidit légèrement. Je ne quittais cependant pas le bouclé face à moi des yeux. Je le dévorais carrément. Mais je devais me faire à l’idée que ce genre de garçon n’était pas fait pour moi. Il était la perfection, et je n’étais apparemment pas le seul sur le coup. S’il avait le choix, je ne serais même dans son top 5. Triste vérité. Je jetais un coup d’œil à ma montre. Je reprenais les cours dans 20 minutes à peine, et je devais aller chercher mes cahiers de dessin avant de pouvoir retourner en classe. Donc, je ne devais pas trainer. Fin de notre premier et sans doute dernier rendez-vous. Bon, j’ai au moins une bonne raison d’oublier ce garçon : c’était en quelque sorte un Don Juan.

« Je vais devoir y aller. C’était plutôt très sympa de faire ta connaissance. J’espère qu’on se reverra sur le campus… »

Je finissais mon chocolat chaud à vitesse grand V, me brulant la langue une nouvelle fois au passage. J’étais quelque peu déçu de devoir partir. Retour à la réalité, dans laquelle j’allais devoir l’admirer de loin.





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