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Ariane + haters gonna hate

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Ariane & Faith


Est-ce qu'aujourd'hui j'étais une femme heureuse? Oui, je pense bien. Walter et moi, nous étions encore plus proche et notre amour l'un envers l'autre ne faisait que de renforcer nos liens. Rien ne pourrait me séparer de lui, rien à part lui évidemment, s'il ne voudrait plus de moi un jour. Je me sentais tellement bien, aimée, adorée, chouchoutée. J'avais l'homme le plus formidable et le plus riche du campus. C'était l'idéal d'une fille Cabot. Les Winthrops n'étaient pas assez inintéressants pour elles, il y avait toujours de la compétition entre les deux maisons. D'ailleurs, Je me rapprochais de plus en plus de la confrérie des bleus et si mon intégration chez les roses ne se serait pas bien passée, j'aurais sauté dans le premier wagon pour aller chez les bleus. Mais tout cela n'était pas important. Que Walter soit mather, lowell ou encore cabot -sait-on jamais-, je l'aimerais quand même. N'était-ce pas trop mignon de m'entendre penser comme cela? Oh oui! Je sens la bonne humeur, le soleil, je donne de l'amour à tout ceux qui me regardent. La veille, je venais de faire mes dernières photos pour mon shoot final, celui que terminera donc mon book pour le montrer à des agences. Avant d'aller en cours, je voulais faire la surprise à Walter en allant le voir à la Eliot House. Cette maison si fraîche et luxueuse. J'adorais ça. Je garai ma belle voiture rouge au bout de la rue et je me faufilai à l'intérieur du bâtiment. Arrivé à sa chambre, j'ouvris doucement la porte et lorsque je me rapprochai du lit, je vis une longue chevelure brune. Je fronçai mes sourcils en poignant dans les cheveux. « Qu'est-ce que tu fous là espèce de petite garce? Tu t'amuses à dormir dans le lit de mon mec en petite tenue hein? Je te conseille vite de foutre le camp sinon c'est moi qui te fous dehors! » m'écriai-je en la regardant droit devant les yeux. Je la connaissais pas celle-là, c'est qui? Et qu'est-ce qu'elle fout dans le lit de Walter? Je vérifiais que le jeune homme ne soit pas là et encore heureux qu'il était absent, sinon j'aurais fait exploser la maison.
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Les stores laissent passer quelques rayons de lumière lorsque Walter dépose sur ma joue un baiser amical. Je me retourne dans le lit, trop fatiguée pour pouvoir ne serait-ce que lui souhaiter bon courage pour ses cours. Une fois encore, je suis venue le rejoindre en pleine nuit. Je me suis glissée auprès de lui et son bras a machinalement entouré ma taille pour me blottir contre lui. Nous n’avons pas pris la peine d’échanger un mot, nous nous sommes seulement assoupis l’un contre l’autre, comme nous le faisons si souvent. J’avais pris la résolution de cesser ce genre de chose, pour me protéger moi-même de notre situation. Mais j’ai flanché, parce que même si une partie de moi aimerait s’éloigner de Walter, je n’y parviens pas. C’est mon meilleur ami depuis si longtemps, nous sommes liés, et je ne peux pas renier cela… Raison pour laquelle, j’ai de nouveau foulé le carrelage glacial en pleine nuit, pour passer de ma chambre à la sienne, priant pour qu’il soit seul, et c’était le cas.
Alors que mon sommeil se fait de plus en plus léger, et que l’hypothèse de me lever enfin chemine dans mon esprit, j’entends la porte de la chambre qui s’ouvre. J’aurai pensé que Walter serait encore en cours, mais il est évidemment un peu plus tard que ce que je pensais. Je garde les yeux fermés un moment attendant une réprimande amusante de sa part, me disant que dormir ne me mènera sûrement pas au succès que je désire, mais à la place de cela, je sens une main empoigner ma chevelure brune et je me retourne. Cela n’a rien de délicat ou d’amical et je devine immédiatement que ce n’est pas Walter. Je peine à ouvrir les yeux tandis qu’une blonde me fusille du regard. « Qu'est-ce que tu fous là espèce de petite garce? Tu t'amuses à dormir dans le lit de mon mec en petite tenue hein? Je te conseille vite de foutre le camp sinon c'est moi qui te fous dehors ! » Sachant que Walter s’était entiché d’une blonde écervelée j’avais longtemps imaginé ma réaction lorsque je la croiserai enfin, pourtant, je n’avais nullement imaginé cela. Ses grands yeux me fixent, et je vois qu’elle nourrit à mon encontre une envie de meurtre. Je devrais être amusée de la situation, mais ce réveil brutal me met hors de moi et je me redresse dans le lit. « Lâche-moi salle folle ! » Dis-je en la poussant de toute mes forces. Je frotte mon crâne, là où mes cheveux ont été tirés pour apaiser la douleur. « Ca va pas ou quoi ? Tu te prends pour qui ? Tu sais qui je suis au moins ? » Debout sur le lit, je la scrute de la tête au pied. Walter a décidemment de mauvais goûts. J’aurai préféré qu’il me ramène une Mather ! « Tu t’es cru où là ? T’es chez des gens civilisés, fais un peu d’effort bordel ! » S’il y a pire que de ne pas me laisser dormir, c’est me réveiller de la sorte. « Ton mec ça l’a pas dérangé de dormir avec moi alors t’as qu’à voir ça avec lui ! Apparemment tu ne lui suffis pas. » Dis-je d’un ton amer. Si elle veut la guerre, elle va l’avoir.
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Bien voyons, je ne m'attendais pas du tout à retrouver une femme en petite tenue dans le lit de mon copain. Je ne comprenais pas et ça me rendait dingue de ne pas comprendre ce qu'il se passait. Je m'en foutais, j'empoignais l'animal en chaleur avec rage et je l'éloignais du lit en lui lançant un regard noir. Elle ne connait pas la colère de Faith McLoyd, la cabot populaire que personne n'oserait manquer de respect. Et là, cette bluette même pas vraiment eliot faisait sa maligne à frotter ses fesses sur dans les draps de Walter. « Ca va pas ou quoi ? Tu te prends pour qui ? Tu sais qui je suis au moins ? Tu t’es cru où là ? T’es chez des gens civilisés, fais un peu d’effort bordel ! Ton mec ça l’a pas dérangé de dormir avec moi alors t’as qu’à voir ça avec lui ! Apparemment tu ne lui suffis pas » lança-t-elle d'un air hautain. Wow, fallait qu'on m'explique là. Walter était absent donc apparemment cette petite garce allait m'en dire plus. J'étais choquée et blessée. Pourquoi Walter aurait-il fait ça? C'était impossible, je ne pouvais pas y croire. « Je m'en fous de savoir qui tu es à part une autre pouffiasse que Walter ramène dans son lit! » m'écriai-je en levant mes bras d'un coup. J'étais nerveuse, j'en pouvais plus, il fallait que je respire un coup sinon j'allais briser les os de la demoiselle. J'ouvris la première fenêtre qui me passait sous la main et je fermais les yeux pendant un instant. « Depuis quand ça dure? Toi et lui? » je tournais ma tête vers elle en essayant de voir si elle mentait ou pas. Mais ce qui m'énervait le plus, c'était qu'elle se rhabillait lentement, trop lentement à mon goût. « J'ai jamais vu ton visage, il ne me dit rien. Tu es une prostituée c'est ça? Haaa, j'aurais du m'en douter et monsieur est partis sans payer du coup mademoiselle boude dans son lit en train de l'attendre. » dis-je fièrement d'un air moqueur. Ouais, de la répartie, ça, j'avais. Il fallait pas qu'elle fasse la maligne avec moi, car je pouvais très facilement l'écraser comme une fourmi.
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faith ∞ ariane


« Je m'en fous de savoir qui tu es à part une autre pouffiasse que Walter ramène dans son lit! » Cette idiote commence réellement à me taper sur les nerfs. Je lève les yeux au ciel devant tant de haine. Si seulement elle savait, mais puisque Mademoiselle ne prend même pas la peine de demander, elle ne saura pas voilà tout. Elle me prend pour une pouffiasse, très bien, je peux l’être, sans aucun soucis. Mais une fois de plus je me rends compte que cette fille n’est pas pour Walter, elle s’arrête bien trop vite aux apparences, s’en est totalement décevant. « Depuis quand ça dure ? Toi et lui ? » Si seulement elle savait. Je ne réponds pas, je me contente d’attraper mes vêtements abandonnés près du lit la nuit dernière pour les enfiler, avec toute la grâce qui me caractérise. Je prends mon temps, comprenant pertinemment que sa plus grande qualité n’est certainement pas la patience. Elle me fusille du regard avant d’ouvrir la fenêtre pour prendre l’air. Un sourire espiègle se peint sur mes lèvres. La situation m’amuse grandement, et dans un haussement d’épaules je lance un petit « Plusieurs mois, je ne compte plus en fait. » Et c’est totalement vrai, raison pour laquelle elle ne décèlera sur mon visage aucun mensonge, notamment parce que mes émotions ne se traduisent jamais sur mes expressions, c’est un art que j’ai appris aux côtés de ma mère. « J'ai jamais vu ton visage, il ne me dit rien. Tu es une prostituée c'est ça? Haaa, j'aurais dû m'en douter et monsieur est partis sans payer du coup mademoiselle boude dans son lit en train de l'attendre. » Alors là, elle va un peu trop loin à mon goût. Je repousse ma longue chevelure brune en arrière avant de croiser son regard et de la défier de mes grands yeux bleus. « Et bien contre toute attente, non, je ne suis pas une prostituée, pourquoi en aurait-il besoin de deux après tout ? » Lançais-je comme pour l’accuser d’en être une. Je me dirige jusque dans la petite salle de bain attenante à la chambre, je sais que son regard suit chacun de mes faits et gestes et je ne peux pas me priver de voir son visage devenir de plus en plus rouge de colère. Je m’empare d’une de mes brosses à dent laissées là pour ce genre d’occasion, et j’allume le robinet. Je repasse la tête dans l’encadrement de la porte pour la fixer. « Tu seras gentille, tu n’utiliseras pas ma brosse à dent quand il se paiera tes services, on ne sait jamais tu sais, les filles qui couchent un peu partout, ça peut vite ramener des maladies… » Et bim. De toute façon, en m’étant renseignée sur elle, j’avais aisément compris que les hommes défilaient entre ses draps et l’assenée de ce coup-là me fait horriblement plaisir. Je devine qu’elle s’approche de la salle de bain, et je me contente de me brosser les dents l’air de rien. Si cette Cabot a le sang chaud, elle ne sait pas qu’elle a en face d’elle la reine des glaces. Et elle aura un mal fou à me déstabiliser, ça c’est certain.
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Mais qu'est-ce qui lui prenait de me parler de la sorte? Et puis c'était qui elle? En tout cas, j'en voulais à mort à Walter de m'avoir caché cette meuf. Quand je repensais à la soirée où on s'était mis ensemble, il était prêt à défoncer le premier venu qui poserait le regard sur moi. « Plusieurs mois, je ne compte plus en fait.  » me répondit-elle indifférente. Comme si cette question n'était pas la plus importante, comme si elle me cachait autre chose encore. Je fronçais les sourcils, je croisais mes bras et je gardais un maximum le peu de calme que je conservais. « Et bien contre toute attente, non, je ne suis pas une prostituée, pourquoi en aurait-il besoin de deux après tout ? » elle était sérieuse là? J'étais loin d'être une prostituée tout le monde sait à quel point c'est difficile d'avoir Faith McLoyd dans son lit! Elle n'y connaissait rien, elle ferait bien de vite se taire sinon c'était moi qui allait lui faire avaler sa langue. La demoiselle partit vers la salle de bain, ce qui ne m'empêcha pas de garder un oeil très attentif sur elle. « Tu seras gentille, tu n’utiliseras pas ma brosse à dent quand il se paiera tes services, on ne sait jamais tu sais, les filles qui couchent un peu partout, ça peut vite ramener des maladies… » je lui souris ironiquement en croisant mes bras, comme si elle venait de me dire un compliment qui me faisait très plaisir. « Ne prends pas ton cas pour une généralité. T'es quoi alors? Enfin, t'es qui? » demandai-je sèchement. Je voulais juste son nom comme ça après hop direction Walter pour lui faire sa peau. « Je te conseille de péter tes chevilles qui vont exploser et redescendre sur terre pour avoir une discussion car je ne compte pas quitter cette chambre tant que je n'ai pas une explication. » simple et clair, je sais pas, elle voulait peut être un dessin pour comprendre? A moins que ça l'amuserait fortement.
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Je fixe mon reflet dans le miroir et je sens le regard d’insistant de la Cabot sur moi. Qu’est ce qu’elle peut m’agacer. Si je ne risquais pas de finir en prison et d’être victime d’abus, je la taillerai en pièce et l’enverrais valser par la fenêtre. Elle a ce petit air méprisant qui ne lui va pas du tout, comme si elle était supérieur. Mais ce n’est qu’une Cabot, et pas franchement jolie en réalité. Son langage est d’une vulgarité sans nom et je me demande bien ce que Walter peut bien lui trouver. A coup sûr, ces deux-là ne resteront pas ensemble. Je n’ai pas le souvenir que mon meilleur ami aime les hystériques. « Ne prends pas ton cas pour une généralité. T'es quoi alors ? Enfin, t'es qui ? » Elle s’impatiente et j’apprécie particulièrement le spectacle. La voir sortir de ses gonds tandis que je me comporte comme si elle n’était pas là. Je mets du dentifrice sur ma brosse à dent, la porte à mes lèvres et brosse celles-ci durant quelques minutes. Je rince ma bouche et je m’apprête à répondre mais elle me coupe la parole. « Je te conseille de péter tes chevilles qui vont exploser et redescendre sur terre pour avoir une discussion car je ne compte pas quitter cette chambre tant que je n'ai pas une explication. »  Je pivote sur moi-même pour lui faire face et la dévisage comme je sais si bien le faire, de bas en haut comme pour énumérer tous les défauts physiques qui la caractérise. « Peut-être que tu devrais prendre quelque cours de bonnes manières, ça ne te ferait pas de mal. » Répondre à ses questions par toute autre chose, je m’en délecte. Je la pousse légèrement pour pouvoir passer, ramasse mon sac au sol, et le porte à mon épaule. « Tu pourras faire le lit, je n’ai pas le temps ce matin et Walter aime quand le lit est fait pour s’y coucher le soir. » Dis-je en lui désignant les draps défaits. Je repousse mes longs cheveux en arrière, et la défie du regard de nouveau. « Mon prénom c’est Ariane. Mais ne te donne pas la peine de me donner le tien, je m’en fiche royalement. Et tes conseils, garde les toi à l'avenir. » J’accompagne ces paroles d’un de mes plus beaux sourires.
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Il fallait que je quitte cette chambre où j'allais foutre le feu. «  Peut-être que tu devrais prendre quelque cours de bonnes manières, ça ne te ferait pas de mal. » dit-elle fièrement, en ignorant mes remarques. Son comportement me gonflait. C'était vraiment le genre de peste que je ne savais pas voir en peinture.« Tu pourras faire le lit, je n’ai pas le temps ce matin et Walter aime quand le lit est fait pour s’y coucher le soir. Mon prénom c’est Ariane. Mais ne te donne pas la peine de me donner le tien, je m’en fiche royalement. Et tes conseils, garde les toi à l'avenir. » Je savais pas si je devais lui sauter dessus et la vider de son sang ou si je devais partir comme si de rien n'était. J'en avais marre de lui parler, je voulais juste voir Walter pour avoir une petite discussion, enfin plutôt une grande! Je grimace en la regardant de haut en bas et d'un air de dégoût je regardais le lit qui était défait. Jamais plus je viendrais dormir ici. Walter me prenait vraiment pour une conne. Je pris mon sac et le posa sur mon épaule puis je me forçai à regarder Ariane avec son sourire narquois.  « Tu sais quoi? Je vais vous laisser à vos petites histoires, moi j'en ai ma claque de passer pour la bouffonne de service! Il s'est bien foutu de moi! Tu souris en plus, quoi ça te fais rire Ariane? Ben étouffe-toi à glousser comme un dindon, déjà que tu as le physique. » d'accord là c'était méchant mais c'était histoire de clôturer la conversation car j'allais exploser.
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faith ∞ ariane


Comme prévu, il suffit d’ignorer ses questions, de la laisser s’impatienter et elle finit par craquer. Je l’observe tandis qu’elle ramasse son sac à main, et se presse d’un pas déterminé vers la porte. Elle se retourne vers moi, avant de partir et me crache au visage une tirade qui me fait rire au plus haut point. « Tu sais quoi? Je vais vous laisser à vos petites histoires, moi j'en ai ma claque de passer pour la bouffonne de service! Il s'est bien foutu de moi! Tu souris en plus, quoi ça te fais rire Ariane? Ben étouffe-toi à glousser comme un dindon, déjà que tu as le physique. » Peut-être que si elle ne s’était pas acharnée sur ma chevelure brune en arrivant les choses auraient pu se dérouler autrement, mais à présent, je n’ai nullement envie de la retenir ou de lui donner une quelconque explication. Qu’elle se fasse ses propres idées elle-même. Je la regarde de bas en haut alors qu’elle pense que sa comparaison à un dindon me blesse. Cette fille est pathétique, elle n’a rien trouvé de mieux que cela ? Je n’ai même pas envie de riposter, juste de la voir se précipiter à l’extérieur. Et puisqu’à mon goût elle ne se presse pas assez, je pose mon bras sur son épaule, et la pousse délicatement vers la sortie. « Passe une bonne journée. » Dis-je avant de lui refermer la porte au visage. Pour qui se prenait-elle sérieusement ?



HJ : On archive du coup ? De toute façon on se retrouve au manoir Ariane + haters gonna hate 1365124802
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oui tu peux archiver Ariane + haters gonna hate 1365124802
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