J’ai envie d’un vrai baiser de cinéma ici, tout de suite ♥ Capucine & Raphaël

J'ai envie d'un baiser de cinéma ici, tout de suite

Je sais que ce n’est pas très original... L’amour est passion, obsession... Sa présence est vitale. Je veux dire tombe à la renverse, trouve quelqu’un que tu aimeras à la folie et qu’il t’aimera de la même manière. Trouver cet homme ? Et bien, laisse de côté ta tête et sois à l’écoute de ton cœur. S’il bat en tout cas je n’entends rien. La vérité ma chérie c’est que sans amour, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Être passé sur cette Terre sans connaître l’amour, le vrai, et bien, c’est être passé à côté de la vie. Il faut essayer de le trouver, parce que si tu n’as pas essayé, tu n’as pas vécu.

La journée était belle, il y avait du soleil et les gens s'activaient dehors pour s'allonger sur l'herbe, profitant des derniers rayons de chaleur avant que le froid s'installe. Raphaël lui était dans sa chambre, fenêtre ouverte observant l'extérieur, un joint à la main, il fumait tranquillement. Les effets du THC se faisaient ressentir tendrement, caressent avec légèreté ses pensées qui s'embellirent en un éclair. D'humeur morose, tout changea en quelques taf. Cappie fini par s'allonger dans son lit et s'endormi avec un léger son qui le arrivait à le détendre. Quand ses yeux s'ouvrirent à nouveau, qu'il observa l'heure, son coeur s'affola en un instant. Il était dix-neuf heures et il devait rejoindre Capucine pour aller au cinéma dans dix minutes. Avec un empressement soudain, l'allemand se précipita sous sa douche pendant quelques minutes. Après cela, il enfila un simple t-shirt ainsi qu'un jean. Malgré sa récente fortune, le beau brun restait toujours dans sa simplicité, crachant sur tous les fils à papa qui pouvaient montrer l'argent qu'ils possédaient. Après s'être préparé, Raphaël s'empressa de toquer à la porte de la chambre de sa belle blonde. Tapant du pied, Acker avait douze minutes de retard. Espérant ne pas subir des représailles, il attendait que Capucine réponde. Cette fille qui lui faisait tourner la tête, avec elle, il se sentait bien, il se sentait vivant. Cette sensation qu'il avait perdu le même jour qu'il avait perdu Lula, c'était sûrement son nouveau souffle de vie. Et pour rien au monde, il ne voulait la blesser ou la laisser s'échapper.

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CAPCAP
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Pour une fois, le soleil semblait être au rendez-vous, et beaucoup semblaient l'avoir compris. La pelouse grouillait de monde, et l'endroit donnait l'impression de revivre, malgré la récente reprise. C'était, voyez-vous, typiquement le genre de journée qui donnait envie à Capucine de sortir, mais également l'envie de se rendre en cours, principalement d'anthropologie. Je ne vous apprendrai certainement rien en vous disant que ces cours n'étaient pas de tout repos, et qu'il fallait souvent s'accrocher. Alors autant profiter d'un petit élément extérieur pour vous redonner du courage. Quoi que la source du courage soudain de notre blondinette ne provenait pas directement de la météo. Elle avait en effet son propre soleil, qu'elle devait retrouver dans à peine deux petites heures. Lorsque vous la voyiez courir dans les couloirs, se précipiter pour rejoindre sa chambre, ce n'était plus la peine de chercher : elle allait rejoindre Raphaël, aka son CapCap. Oui, longue histoire, mais elle était déjà accro à lui. Elle l'avait rencontré à son arrivée, et pour tout vous dire, elle n'avait eu d'yeux que pour lui. Un peu comme dans ces scènes dans les films, où tout va au ralentit, et il est le seul à apparaître à travers la foule. Oui, il lui avait fait cet effet, déjà. Alors une fois dans sa chambre, elle laissa tomber ses affaires sur son lit, filant prendre une douche pour ensuite s'habiller. Elle enfila une jolie petite robe noire cintrée, ainsi que ses ballerines, et elle eut le temps d'essayer différentes coiffures avant l'arrivée de Cappie. Il faut dire qu'en plus d'être en avance, monsieur était lui en retard. Capucine avait opté pour un chignon lorsqu'elle entendit cogner à la porte. Naturellement, un sourire vint se dessiner sur son visage. Reprenant son sérieux, elle ouvrit la fameuse porte, la mine boudeuse, bien trop accentuée pour être vraie. Il savait qu'elle n'aimait pas qu'il la fasse attendre. « Tu es en retard ... » Et c'était reparti ... « Mais je suis tellement contente de te voir que je te pardonne. » ... ou pas finalement. Et elle vint déposer un doux baiser sur sa joue, avant de le prendre par la main, et de l'entraîner déjà avec elle. « Je crois qu'un film nous attend très cher, allez hop, bouge-moi ces jolies fesses, fais-moi rêver ! » Oui, elle aimait le taquiner, oui elle aimait ses fesses, oui elle aimait qu'il fasse partie de sa vie, et non, elle ne pouvait l'imaginer autrement.

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J'ai envie d'un baiser de cinéma ici, tout de suite

Je sais que ce n’est pas très original... L’amour est passion, obsession... Sa présence est vitale. Je veux dire tombe à la renverse, trouve quelqu’un que tu aimeras à la folie et qu’il t’aimera de la même manière. Trouver cet homme ? Et bien, laisse de côté ta tête et sois à l’écoute de ton cœur. S’il bat en tout cas je n’entends rien. La vérité ma chérie c’est que sans amour, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Être passé sur cette Terre sans connaître l’amour, le vrai, et bien, c’est être passé à côté de la vie. Il faut essayer de le trouver, parce que si tu n’as pas essayé, tu n’as pas vécu.

Le pied toujours nerveux, son regard se redressa vers cette porte qui était l'unique obstacle entre lui et sa blonde. Lorsque celle-ci s'ouvrit enfin sur sa belle, il sourit bêtement, heureux de pouvoir la voir avec ses jolies cheveux blonds, ses yeux bleus, sa silhouette élancée et parfaitement taillée. Mais très vite, les sourcils de Raphaël froncèrent lorsqu'il aperçut la mine boudeuse de la jeune femme. Elle pris la parole en indiquant qu'il était en retard, ne lui laissant aucunement le temps de parole nécessaire pour pouvoir s'excuser. Il tenta un début de phrase qui fit vite écourtée par Capucine et son énergie débordante, le pardonnant déjà pour son in-ponctualité. Raphaël appréciait le contact de ses lèvres sur la peau de sa joue, doux baiser qui venait l'ensorceler encore une fois. Puis Cappie sentit sa main s'emparer de la sienne, l'entraînant déjà vers la sortie de la Dunster House pour aller au cinéma. D'une humeur et d'une énergie débordante, Capucine lui fit une petite remarque qui fit enfin réagir l'allemand. Complètement à l'ouest depuis qu'il l'avait vu, Raphaël s'arrêta nettement et brusquement dans le couloir, provoquant également l'arrêt de la jeune femme qui se tenait à ses côtés. Pour répondre à ses interrogations, il s'approcha doucement d'elle en la taquinant un peu. « Arrête d'aller si vite, une vraie pile électrique. Je n'ai même pas eu le temps de te dire bonjour, moi » Puis il toucha du bout des doigts sa main avant de remonter lentement jusqu'à son épaule tout en effleurant son bras. Cappie vint finalement déposer ses lèvres furtivement sur le front de Capucine, puis il s'éloigna doucement d'elle en la complimentant. « J'aime bien ce genre de robe, ça te rend encore plus sexy » Puis Raphi lui sourit sincèrement, parce que oui, il ne pourrait jamais cesser de lui dire qu'elle était belle à en crever et que bordel, elle lui donnait terriblement envie de lui faire l'amour à chaque instant. Mais c'était différent, Cappie ne voulait pas faire n'importe quoi avec Capucine, cela impliquerait trop de choses, comme la perdre par exemple. Alors il finit par se saisir de sa main et d'avancer à nouveau pour rejoindre le parking où était garé sa voiture. Observant sa blonde du coin de l'oeil lors de la marche, il ne pouvait s'empêcher de la regarder, de la trouver belle à en crever. Beauté naturel, beauté fatale, elle a ce visage qu'on oublie pas.

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CAPCAP
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Et voilà, il lui suffisait juste de le voir pour qu'elle se sente mieux. Durant toute la journée, Capucine n'avait fait que l'attendre, comptant les minutes qui la séparaient encore de lui. Et maintenant qu'elle l'avait entendu cogner à la porte de sa chambre, elle avait tout simplement oublié de lui faire une scène parce qu'il était en retard. En sa présence, la blondinette perdait tous ses moyens, et elle ne pensait plus qu'à le voir, à le prendre dans ses bras, à ne plus jamais le laisser partir. Alors vous comprendrez pourquoi elle n'avait pas réussi à lui faire la morale comme elle l'aurait d'habitude fait. Toute jolie dans sa robe, avec ses longs cheveux blonds coiffés soigneusement, on aurait dit une véritable poupée. Mais attention, pas de ces filles qui ne pensaient qu'à leur physique et qui, par conséquent en faisaient trop. Non non, rien de tout ça. Capucine était naturelle, le plus possible, tout en ayant ce petit côté chic qui lui allait si bien. Faisant tout de même remarquer à Cappie son retard, elle fondit bien vite, en lui tombant dans les bras pour lui faire la bise. Si elle s'était écoutée, elle aurait probablement franchi une nouvelle barrière, en l'embrassant d'une toute autre manière, mais elle n'avait encore jamais osé. Comme si quelque chose qu'elle n'avait pas souvent ressenti l'en empêchait : les sentiments. Elle ne voulait pas jouer avec le feu, de peur de se brûler et de le perdre à jamais. Elle s'empressa ensuite de l'amener avec elle pour qu'ils évitent de perdre encore plus de temps, mais la réaction de Cappie changea ses plans. Sentant qu'elle se rapprochait de lui dangereusement, elle frissonna au contact de sa peau contre la sienne, fermant même les yeux à son baiser sur son front. Oui, elle l'aimait ce garçon, même si beaucoup vous diraient que ce n'était pas possible en un mois. Quatre semaines pour aimer un individu, c'était bien trop peu qu'ils disaient. Alors que pas du tout, Capucine en était certaine. Sinon, pourquoi rougirait-elle autant à un compliment de la part du jeune homme ? Relevant le regard, elle s'amusa à jouer avec les cheveux de Cappie, le regardant droit dans les yeux. « Je vois que monsieur est charmeur aujourd'hui ... » Et elle poursuivit. « Personne ne peut être aussi sexy que toi au naturel, crois-moi ... » Oui, elle se dévoilait, mais pourquoi mentir ? Elle l'avait toujours trouvé attirant, peu importait la situation. Elle le suivit ensuite jusqu'à sa voiture, apercevant son regard posé sur elle, ce qui la faisait sourire. Elle avait toujours aimé attirer l'attention, mais encore plus celle de Raphaël, qui comptait plus que toutes les autres. Ils démarrèrent ensuite, arrivant au cinéma une quinzaine de minutes plus tard. Le parking était bondé, tout comme l'entrée du cinéma : c'était ça que de choisir un film à succès. « Je pense que c'est un peu grillé pour cette séance ... » Ils venaient à peine de se garer, et Capucine avait encore sa main posée sur celle de Cappie, puisqu'elle s'était amusée à passer les vitesses avec lui sur le trajet, sa tête posée sur son épaule. Adorables que je vous dis qu'ils étaient. La blondinette se tourna ensuite vers le beau brun, dans un élan de courage soudain. Elle entoura son visage de ses mains, se rapprochant de lui autant que l'espace de la voiture le lui permettait. « Et puis, entre nous, je dois t'avouer que ce n'est pas tellement ce film qui m'intéresse, là, maintenant, tout de suite ... » Son visage était si proche de celui de Cappie qu'elle ne résista pas, et qu'elle l'embrassa. Tendrement tout d'abord, sentant ensuite la passion s'en mêler, et l'envie de le quitter s'en aller à son tour.

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Je sais que ce n’est pas très original... L’amour est passion, obsession... Sa présence est vitale. Je veux dire tombe à la renverse, trouve quelqu’un que tu aimeras à la folie et qu’il t’aimera de la même manière. Trouver cet homme ? Et bien, laisse de côté ta tête et sois à l’écoute de ton cœur. S’il bat en tout cas je n’entends rien. La vérité ma chérie c’est que sans amour, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue. Être passé sur cette Terre sans connaître l’amour, le vrai, et bien, c’est être passé à côté de la vie. Il faut essayer de le trouver, parce que si tu n’as pas essayé, tu n’as pas vécu.

Raphaël se sentait bien à ses côtés, peut-être un peu trop bien. Mais oui, ça ne le changeait pas, il restait charmeur, dragueur, envieux, il restait lui-même. Et si elle trouvait ça sexy, ce n'était qu'un avantage pour lui. « Bien sûr que je suis le plus sexy de nous deux, voyons.. » Et il sentait ses doigts jouer avec ses cheveux, il sentait ses yeux dans les siens. Bordel, quel effet qu'elle lui procurait, c'était démesuré. Et puis Cappie se surpris encore à penser à son corps brûlant contre le sien, se consumant de désir, pour lui. Mais encore une fois, il chassa bien vite cette idée de sa tête, non pas que l'idée lui était déplaisante, mais plutôt l'envie qui se ferait de plus en plus présente. Capucine restait une enfant, une poupée.. Sa poupée, sa deuxième poupée. Puis avec un sourire, ils avaient fini par rejoindre la voiture de Cap. Elle n'était pas extravagante, elle était banale, mais ça lui plaisait à Raphi. Lors du trajet, il avait mis un cd des Strokes, appréciant le son en même temps que le contact de la peau de Capucine. Elle s'amusait comme une enfant, elle avait sa main sur la sienne, passant les vitesses en même temps que lui. Et lui Cappie, ça le faisait sourire, ça le faisait rire. Son côté enfantin, elle lui rappelait Lula, c'était peut-être pour ça qu'elle lui plaisait tant.. Une deuxième Lula, différente pourtant, mais elle le touchait tout autant. Puis c'était une enfant, une poupée, malgré tout, elle lui plaisait. Et lorsqu'ils furent arrivé devant le cinéma, une queue affolante était formé. L'attente qu'elle provoquait, c'était déjà l'horreur pour Raphaël. Impatient comme jamais, il ne pourrait aucunement attendre pour ne voir finalement qu'une moitié de film. Et puis la jolie blonde prononça les mots de la libération, ils n'iraient pas voir le film, il était un peu trop tard. Finalement, ça arrangeait bien Raphaël. Les gros films à succès, surtout les films d'horreurs, c'était pas son truc. Il n'avait vu que très peu de films dans sa vie, ils étaient encore en noir et blanc, des vieilles cassettes qu'il regardait quand il était dans des foyers. Ce n'était pas des dessins animés, non, c'était des films, des vrais. Et quand il était encore qu'un enfant, ça l'émerveillait. Puis un vent frais venait s'installer sur son épaule, Capu ayant décidé de relever sa tête. Raphaël en profitant pour répondre, acquiesçant ce qu'elle venait de dire un peu plus tôt. « T'as raison, ça me rendrait fou d'attendre autant de temps.. » Puis la jeune femme se rapprochant, Cappie tourna la tête vers elle, observant ses faits et gestes. Il l'observait, elle et sa peau laiteuse, elle et son regard d'ange. Elle était maline, elle déposait ses mains sur le visage du brun. Il souriait, mais son sourire venait s'éteindre au fur et à mesure. Il oubliait le film, ce n'était pas vraiment ce qui lui importait non plus après tout. Et de cette phrase, il sentait son souffle s'écraser contre sa peau. Il ajouta quelques mots à son tour, d'une voix basse, attentionné et captivé par tout se rapprochement. « Et c'est quoi alors ? » Toujours joueur qu'il était, toujours taquin, il aimait la chercher. Et il la trouva. D'un geste automatique, une main vint se poser sur la hanche de la jeune femme alors que l'autre se logeait dans le creux de son cou. Pendant ce temps, ses lèvres gouttèrent enfin aux siennes dans un tourbillon de saveur et d'envie. La timidité, la tendresse, la passion. C'était ce qu'il avait ressenti chez elle, et cela ne faisait qu’accroître son plaisir. La langue de Cappie était venu s'immiscer à l'intérieur de la bouche de la blonde, caressant avec douceur et légèreté celle de son amie. Il la rapprochait un peu plus d'elle, la collant un peu plus contre son corps, toujours plus. Jamais assez proche, il en voulait plus, bien plus. Mais il devait se calmer, il devait se maîtriser au risque de faire quelque chose de regrettable. Alors il détacha son visage du sien, mais il garda ses yeux fermés, soufflant à un rythme saccadé, essoufflé par cet échange. Front contre front, il ouvra enfin les yeux sur ceux de sa belle blonde, Capucine. Il ne savait pas quoi dire, ne sachant pas comment décrire ce qu'il ressentait, ce qu'il avait ressenti, ni même ce qu'il voulait d'elle. Mais il la regardait dans les yeux, ses beaux yeux, ceux qu'il aimait temps. Bordel, il ne la connaissait que depuis un mois et elle le rendait fou, complètement fou.

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