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DEANCE ✱ i'm not a bitch!

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Depuis que tu étais revenue sur le campus. Depuis que tu avais vu Konrad et qu'il avait l'air d'avoir tiré un trait sur toi. Ça te faisait mal mais, tu ne pouvais pas vivre autrement. Le seul moyen que tu avais trouvé c'était de te foutre dans un bar comme ce soir au Lord Hobo et de boire jusqu'à ce que ton cerveau occulte complètement cette douleur qui t'arrachait les entrailles. Ce soir, le Lord Hobo était plein à craquer et tu étais quasiment sûre de rencontrer des anciennes connaissances ou des nouvelles connaissances enfin bref. Tu étais assise-là au comptoir vêtue d'une petite robe de soirée de couleur noire avec des escarpins de la même couleur. Tu ne pouvais que faire chavirer les hommes dans une tenue comme celle-là mais l'odeur de l'alcool et ta mine complètement dépité, abattus faisait fuir tout le monde ou alors faisait pitié aux gens. Enfin bref, tu avais l'impression d'être seule au monde jusqu'à ce qu'un jeune homme s'assied près de toi. Tu tournais doucement ta tête vers lui et reconnut très bien Deangelo un ami de Konrad. Lui aussi devait très certainement t'en vouloir, il devait protéger son pote quoi. « Cela ne te dérange pas d'être assis à côté d'une salope ? » Tu croisais son regard qui semblait horriblement surpris de te voir ici. Konrad n'a pas dû lui dire que tu étais de retour.
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Un lundi ombrageux. Ce matin tu n’avais pas eu envie de te lever lorsque ton réveil a sonné onze heures pour  ton cours. Tu l’as d’ailleurs envoyé balader à l’autre bout de la pièce avant de te rendormir. Finalement, c’est vers seize heures que tu as ouvert les yeux, l’estomac encore à l’envers de ta soirée de samedi. Avec les sensations causées par l’alcool venait ce sentiment de culpabilité que tu ressentais par rapport à ta future femme, comme à chaque fois que revoyais Swan. Tu te levais et titubai, encore un peu étourdi jusqu’aux aux toilettes pour sauver ce qui te restais de vessie. Cela de fait, tu allais enfiler un peu n’importe quoi pour sortir. Non en fait, juste un chandail gris, un jean et des Converses. Tu faisais vite. Un miracle devait s’être produit dans ton estomac, car tu avais étonnement faim. Tu sortis manger et revins à la résidence vers  dix-huit heures avec les frites que tu n’avais pas pu terminer, car en voulant vérifier l’heure sur ton téléphone que tu avais réduit en miettes, tes pensées s’était arrêtées sur Lior. Depuis que tu avais vu Swan, tu n’avais plus donné signe de vie à ta fiancée, pas même sur Facebook. Tes erreurs te rongeaient de l’intérieur et tu ne voyais pas comment faire pour te sortir du problème dans lequel tu t’étais mis sans le lui dire. Plutôt mourir que de lui dire! Ça détruirait tout. T’as eu le temps de ruminer là-dessus amplement en  t’enfermant dans ta chambre. Tu finis par en avoir marre et décide d’aller prendre un verre au Lord Hobo pour te détendre. Une fois rendu,  tu allais t’asseoir direct au bar et commandai un verre de rhum. Tu étais encore un peu perdu dans tes pensées lorsque tu entendis une voix féminine familière à tes côtés. Tu devais sûrement halluciner. Ça ne pouvait pas être elle. Grace?!?Ton regard croisa le sien. D’abord surpris, ton visage se durcit. Au même moment tu recevais ta boisson. T’inquiète j’ai l’habitude. Tu ne la regardais plus, le  ton froid. Tu buvais ta bière aussi tranquillement que tu le pus tout en te demandant comment ça pouvait être possible.Apparemment t’es toujours en vie… Tu te levais trop écœuré pour rester au bar, mais revins finalement sur tes pas. Hey mais explique-moi une chose : comment as-tu fais pour revenir à Harvard après tout ce temps sans te perdre? Tu as semé des miettes de pain derrière toi Gretel? T’as pris la map et tout? On t’a tenu par la main? Éclaire-moi, parce que je ne comprends pas ce que tu fous ici! Habituellement les gens reviennent lorsqu’ils tiennent à préserver quelque chose. Pas toi bien sûr… Tu ris ironiquement et pris une autre gorgée de mon verre.
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Depuis ton retour, c'était que des merdes en pagailles. Tu ne tombais que sur des gens absolument pas ravis de ton retour, cela te prouve à quel point tu as pu faire du mal au monde qui t'entoure, à quel point Grace St-James est une garce et que ça personne ne pourra le changer. Enfin bref, tu étais posé au bar avec tes shooters à côté d'un pote de Konrad, Deangelo qui ne semblait mais alors pas du tout ravis de te voir ici. Tu esquissais un petit sourire en coin lorsqu'il te parlait. Il était calme mais, ses yeux te prouvaient à quel point il était haineux en vers ta personne. « Qu'est-ce que tu veux. Je suis comme la misère, indestructible. » Tu riais doucement, car oui cela te faisait rire. Et puis merde à la fin tu étais Grace St-James. Les gens n'aimaient pas ton comportement mais, au fond il avait tous eu une sorte de pitié lorsqu'ils ont appris ta maladie. Lorsque tu étais malade, ils étaient tous gentils, compatissants c'est maintenant que tu te rends compte que c'était des beaux faux culs. Deangelo, ne s'arrêtait pas là. Il continuait à te lançait des piques comme si tu étais son sac de frappe vivant. Tu les essuyais tous, cela ne te faisait plus rien. Tu étais armés et répondait avec le coeur simplement. « Si, j'avais mon couple. » Tu bus un shooter aussi sec avant d'en reprendre cinq. « Je ne dis pas que je voulais que Konrad reste fidèle, m'attende comme un chien bien au contraire. Il a bien fait de s'amuser mais, tu sais voir la haine dans ses yeux ça me fait mal. Il le sait qu'il me fait mal et il aime ça. C'est étrange mais j'ai l'impression de n'avoir jamais vu de l'amour ou de n'avoir jamais eu le temps d'en voir dans ses yeux. Avant il me détruisait, puis une tumeur la fait à sa place du coup il m'aidait, il avait pitié de moi et maintenant il me détruit à nouveau enfin il se venge. C'est un cercle vicieux cette relation mais, ce qui me fait le plus mal c'est qu'il m'est remplacé par une cabot qui empeste le dissolvant et le démaquillant. Me dire que je ne vaux plus rien à ses yeux ça me débecte. Mais bon que veux-tu. » Tu buvais les cinq shooters d'affilé et reprenait rapidement la parole sans laisser à Deangelo de pouvoir en placer une. « Une chose et sûr c'est que cet homme c'est mon homme et tant qu'il ne m'aura pas regardé dans les yeux en me disant tu ne m'attires plus, tu me dégoutes, j'ai juste envie que tu crèves. Je me battrais à sang pour lui. » Tu ne daignais même pas regarder Deangelo, tout ce que tu faisais c'était reprendre cinq shooters avant de te lever pour aller fumer une cigarette dehors.
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Tu n’avais pas pu t’empêcher de lui envoyer du venin en la revoyant. Tu pouvais deviner aussi les motifs de son départ et son absence prolongé. Tu étais toi-même dans un lit d’hôpital, suite aux explosions à Harvard en janvier, lorsqu’elle t’avait annoncé la nouvelle concernant sa tumeur. Tu avais été compatissant et tu avais tenté de lui donner un peu d’espoir alors que tu étais dans un état pitoyable. Mais bon sang! Elle s’était barrée, comme ça, un jour, sans rien dire. Puis voilà, maintenant, après presque un an, elle revenait comme si de rien était et s’attendait à ce qu’on l’accueille comme une reine. C’est qu’il lui manquait une variable dans son équation à cette petite, dis donc!
Ta colère monta d’une coche, lorsqu’elle te répondit le ton rieur. D’ailleurs elle riait bien. Tu pris une autre gorgée de ton verre pour ne pas exploser, cette fois-ci, inspirais à fond et te retournais vers elle.
 
Ouais, une misère, indestructible, quoique sans trop de contenu, assez vide, inconsciente bien sûr, puisque une misère ne peut avoir de conscience et sans cervelle, mais encore une cervelle  tu ne peux pas en avoir, voilà… On ne peut rien y faire …,ajoutas-tu toujours aussi amer.
 
Tu continuas de l’attaquer autant que tu pouvais. Ça te faisais du bien, il fallait l’avouer, de jeter ton dévolu sur elle. Tu ne t’étais pas inquiété comme un fou pendant tout ce temps ? Eh bien voilà, qu’elle se taise et qu’elle encaisse, comme toi tu as du encaisser son départ et son absence. Cependant, non, elle ne pu se taire, il fallait qu’elle se défende. Tu roulais des yeux au début, mais plus elle parlait, plus elle te surprenait. Et pire encore, elle calait shooter après shooter. Pour se donner du courage. Tu le réalisas assez vite : Grace souffrait. Évidemment! Elle te parlait de Konrad. Quoi? Ils s’étaient revus? Ça n’avait pas l’air d’avoir été la rencontre du siècle, en tout cas… Comment avais-tu fais pour ne pas être au courant? Bon une conversation s’imposait. Tu ne fus pas surpris qu’elle te parle de la nouvelle « flamme » de Koko, cette Cabot. Comment, elle s’appelait déjà? En tout cas, elle  avait un nom de déesse. …et le corps qui allait avec. Tu pouvais comprendre Grace de vouloir se battre pour le récupérer, tu aurais fais pareil si ça avait été Lior. Finalement, tu restais là un moment, un peu confus, ne sachant pas si tu devais l’en vouloir à mort et te foutre de sa souffrance ou avoir pitié d’elle. Tu ne remarquas pas tout de suite son départ, mais lorsque tu t’en rendis compte, tu te mis à la chercher du regard dans la foule. En vain. Inquiet, tu fis cul sec de ton reste de rhum, payas ta consommation et la sienne et  filais dehors presque en courant.
Une fois dehors, par contre,  tu la trouvais assez rapidement. Elle fumait. Tu allas la rejoindre et t’en allumai une toi aussi. Tu rompis après un moment le silence qui durait entre vous deux.
 
Tu sais, il ne fallait pas s’attendre à ce que Konrad te déverse une pluie de belles paroles et d’amour à ton retour. Tu t’attendais à quoi? Tu es partie sans prévenir alors que tu étais gravement malade. Tout comme moi, il n’est pas hyper doué pour dire ce genre de choses, et je le comprends, mais il était fou amoureux de toi. Je n’ai pas eu à l’entendre le dire pour le réaliser, je l’ai simplement regardé. …Seulement tu l’as détruit, il t’aime toujours, mais te hais à la fois pour  tous ces mois, où il n’a pas eu de tes nouvelles. Il a du penser au pire au début, puis après, il s’est dit que tu t’en foutais sûrement.
 
Tu fumais pendant un instant, le temps de formuler clairement tes idées, puis enchaînais.
 
Et …Tu parlais de la haine dans son regard et tout,…Je ne crois pas non…Enfin si, mais le truc, je dirais que la haine, c’est comme un automatisme chez lui, puis ça commencé comme ça entre vous. Que veux-tu aussi tout le monde n’a pas été bordée d’amour…Là il te fait souffrir, il y tire une grande satisfaction, mais en même temps il s’enfonce. Je t’assure, je sais ce que ça fait…Oh puis entre nous, peut-être qu’avec la petite Cabot, il pense, il croit et veut croire que c’est un nouveau départ, mais rien ni personne ne pourra te rivaliser à ses yeux, haine pas haine, qu’il le veuille ou non. Sinon, je sais que tu l’aimes, mais je te conseillerai de calmer ta fougue un moment en tout cas. Le mieux serait de lui donner un peu d’espace et du temps, mais pas trop, sinon tu donnes le champ libre à la petite peste de Cabot. Puis ensuite, tu lui montres par  a+b que tu es la femme qu’il lui faut…Le mieux serait de le surprendre. Si tu viens direct, il va se cabrer….Mais franchement si tu tiens à le ravoir, va falloir que tu travailles sur toi. Tu ne peux pas fuir dès qu’un obstacle se présente, merde!
 
Tu continuais ensuite à fumer ta clope tranquille.
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