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Sharlyne était en première année de médecine vétérinaire et elle avait certain cour en commun avec les étudiants en médecine général, ceux destiné à être des médecins, des vrais, si on en croyait leur dire. Les cours que les deux filières avaient en commun étaient souvent animés, l’une rivalisant avec l’autre. Ce n’était pas assez que certaine fraternité se voue déjà une guerre sans merci, il fallait bien sûr que ces étudiants là en rajoute une couche. Sharlyne ne se considéré pas comme un médecin de bat étage, elle trouvait que les animaux avaient autant le droit que les hommes d’être soigné, certain plus que certain hommes d’ailleurs. « Hey Bradshaw j’ai ma chatte qui miaule tout les soirs, tu crois pouvoir deviner pourquoi ? » raillât un idiot dans l’amphithéâtre, assis derrière la brunette, moqueur, faisant ainsi rire ses crétins d’amis assit à côté de lui. Shay se retourna vers eux, des étudiants en médecine générale bien sûr. « Je suis une future vétérinaire. Pas un devin. Mais j’imagine que ça un rapport avec le fait de voir ta sale tête de… » L’étudiante n’eut pas le temps de finir parce que « Mademoiselle Bradshaw ! » L’étudiante se tourna face au tableau et regarda son professeur. « Oui ? » demanda-t-elle hésitante. « J’étais en train demander un volontaire pour une incision sur notre mannequin. J’ai vu vos lèvres remuer, j’en conclue que vous être volontaire et non en train de discuter dans mon cour sans quoi je serais obligé de vous exclure. N’est-ce pas ? Vous êtes volontaire ? » Comme si elle avait réellement le choix ! « Bien sûr » répondit-elle avec un faux sourire avant de descendre les escaliers et de rejoindre l’estrade. Son professeur lui tendit le scalpel et comme elle n’avait pas écouté, elle coupa une veine… Par contre là où elle aurait dût recevoir une simple petite giclé de faux sang, elle se retrouva trempé, ses vêtements taché comme si elle venait de commettre un meurtre. Certain élèves avaient criées de surprise. Bouche ouverte, Sharlyne resta figeait sur place jusqu’à ce que son professeur prenne la parole. « SILENCE ! On se calme, tout le monde se calme. Mademoiselle Bradshaw je vous autorise à quitter le cour pour aller vous changer. » Cette dernière ne se fit pas prié ! Elle rejoignit le couloir sans trop regarder où elle marchait et percuta un élève…
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