Eden Lance Ring ► Chord Overstreet

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Ptit-Bouh et j'ai 19 ans. Je suis Français et j'ai connu le forum grâce à Obsession.  J'étais inscrit autrefois, et j'ai vécu de beaux moments ici alors j'ai décidé de m'inscrire de nouveau. J'utilise Chord Overstreet comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Ptit-Bouh & Tumblr. Je fais environ 15 lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Hâte de pouvoir compter parmi vos membres  
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

Je m’appel Eden-Lance Ring, et j’ai 18 ans. Je suis né à Sydney, en Australie où j’ai vécu presque toute ma vie. Je suis fils unique. J’ai un prénom composé que j’apprécie assez. En effet, mes deux prénoms me viennent de mes grands-parents du côté de ma mère. Désormais, je n’utilise que le premier, Eden. Le deuxième, bien que je l’aime toujours autant, est laissé un peu de côté pour le moment.

Comme je l’ai dis, je suis né à Sydney. À l’époque, nous vivions dans un petit appartement qui ressemblait plus à un squat qu’à toute autre chose. Nous n’avions pas énormément d’argent à l’époque. Mon père ne travaillait pas, et ma mère s’épuisait à faire le ménage chez des gens fortunés qui, malgré leur facilité à dépenser des millions pour des futilités, ne la payaient que peu. On faisait avec, mais je serais assez hypocrite de dire que c’était une belle époque. Il n’était pas rare de faire le tour des œuvres de charité, et ce plusieurs fois par semaine. Ce n’était pas une partie de plaisir, bien évidemment. Mais je ne rejette pas cette partie de ma vie. Souvent, c’était avec ma mère. De toute façon, mon père n’a jamais vraiment fait partie de ma vie. Durant mon enfance, c'est-à-dire jusqu’à mes 10 ans, il ne fut que peu présent. Sans arrêt à courir les cafés et bars en tout genre, il dépensait par ailleurs le peu d’argent que ma mère ramenait à la maison. De quoi le détestait, me diriez-vous ? Et bien non. J’avais cette envie de lui convenir, cette envie qu’il me dise une fois dans ma vie qu’il était fier de moi. Cela n’arriva pas. Dans ma onzième année, mon père choisit de quitter le foyer. En nous laissant seuls, ma mère et moi.

Mon adolescence ne fut pas meilleure, concernant le plan financier. Je bénéficiais toujours de l’amour inconditionnel de ma mère. Cela remplissait mon cœur mais ça ne remplissait malheureusement pas nos assiettes. C’est à cette période que je commençai à dessiner. Une façon de m’évader, de ne plus penser à cette vie pauvre et faite de soupe populaire. Je fréquentais les écoles publiques, car il n’était même pas question de penser à une école privée. Et mes profs du publique à l’école étaient formels… J’étais doué pour le dessin. Pour ma mère aussi, j’étais doué. Pas assez pour vivre de ça d’après elle, mais assez pour en faire une passion importante.

J’arrivais vite à mes 18 ans. Je les ai obtenu, il y a maintenant 10 mois. Ma mère a obtenu un nouveau boulot, en tant que serveuse dans un restaurant assez hype. Le salaire est plutôt important, de quoi vivre dans de bonnes conditions pour elle. J’ai obtenu mon billet d’entrée à l’université grâce à une bourse de dessin, dégotté par ma prof du lycée. Car je suis un petit prodige selon elle, qui mérite le meilleur. Il était clair que je ne pouvais pas m’offrir Harvard, ce n’était même pas une possibilité. Un meilleur destin s’offre donc à moi. Avant de partir pour Harvard, j’avais fais une promesse à ma mère. Je lui enverrais de l’argent chaque mois, en tant que reconnaissance pour ce qu’elle avait fait pour moi toutes ces années. Une bêtise selon elle, mais pas pour moi. Et donc, j’ai dut trouver un petit boulot. Et celui qui payait le mieux… C’était celui de strip-teaseur. Au diable les préjugés. Maintenant, je suis donc un étudiant en journalisme avec option dessin, qui travaille dans un club de strip-tease. Et je n’en ai pas honte. Maintenant, j’aspire à une vie plus belle. Toujours aussi simple, mais simplement plus facile.