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BENJAMIN ADRIEL CHAYTON ► Samuel Larsen.

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C'est le huit février mille-neuf-cent-nonante-deux à Gulf Shores, Alabama, que les membres de la famille Chayton m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Benjamin, Adriel.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale assez riche pour aller à Harvard, mais pas assez pour y aller en Lamborghini. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Littérature et musique depuis deux ans ans et travaille en parallèle de mes études en tant que caissier dans un magasin lambda. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Mathers.
Benjamin Adriel Chayton

Looks alot like Samuel Larsen

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Syowa et j'ai dix-huit ans. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à partenariat avec un autre forum.  J'ai été grandement perturbée avec cette femme qui cligne des yeux sur la bannière, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Samuel Larsen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. Je fais environ 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ?:loukas: 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)
APRÈS LA BOMBE
Est-ce que vous avez déjà eu l’impression que le ciel se fracassait, se fendait, d’une façon si inexorable que pas un seul instant vous vous êtes dit que vous aviez ne serait-ce qu’une chance de survivre ? Vous êtes juste là, les bras ballants, laissant glisser votre regard sur un dédale d’horreur, écoutant comme tel un témoin silencieux les cris de gens que vous ne pourrez pas aider. De même, qui vous aidera, vous, qui êtes autant blesser que ceux que vous êtes incapable d’aider ? Vous sentez le sang, chaud, brûlant, écœurant, suinter d’une blessure que vous n’osez même pas regarder, car même au bord du gouffre, vous refusez d’admettre que cette vision sera la dernière, que vous allez mourir comme ça, en ayant rien fait. C'est une attente interminable, froide et sourde à toutes vos plaintes.
C’est ce que j’ai ressenti quand la bombe a explosé. Tout mon monde a volé en une myriade d’éclats, plus rien n’avait de sens tandis que j’étais pathétiquement coincé sous une étagère soufflée par l’explosion. Une jambe brisée et une femme, la bibliothécaire, gémissant à quelques centimètres de moi, son regard éteint tandis qu’elle contemplait le mien comme celui d'un archange venu la délivrer.
C’est définitivement un événement que je voudrais effacer de ma mémoire mais qui, inéluctablement, y restera gravé jusqu’à la fin de mes jours.

LOWELL HOUSE.
Simplement parce qu’avant d’être un drogué prétentieux et blasé, il est profondément amoureux de son art, malgré tous les sacrifices qu’il a été forcé de faire et le côté corrompu qu’il a pu apercevoir. Il n’a pas beaucoup d’autres intérêts que la musique dans la vie et tout ce qu’il fait y est généralement directement lié. Néanmoins, si la musique est lui offre une certaine liberté, il doit parfois s’en désenchevêtré et c’est dans ces moments-là qu’il retombe dans la drogue.

MATHERS HOUSE
Au-delà du fait d’être un musicien chevronné, on ne peut pas oublier le passé de toxicomane de Benji’. Et tout le monde sait qu’on ne peut pas abandonner la cocaïne juste avec un petit peu de volonté ; quoiqu’il advienne, on gardera toujours sa saveur douce-amère sur le fond du palais et jamais, on oubliera le sentiment de plénitude que cela nous a apporté. Alors, même s’il fait des efforts de sevrage, il ne peut pas nié que, de temps en temps, quand les temps deviennent dur, il se laisse noyer dans les effluves de la drogue.
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États-Unis, Alabama, Comté de Baldwin, Gulf Shores.
Il y avait une plage, dont les grains de sable clairs et l’eau turquoise attiraient une masse impressionnante de touristes chaque été. La plupart du temps, ils s’allongeaient paresseusement sur leur serviette et regardaient avec un sourire satisfait l’eau avancer vers eux, avec la même paresse. Puis enfin, le soir rafraîchissant désagréablement l’air, ils se relevaient, encore muré dans une langueur qui leur semblait exquise, et se dirigeaient vers les petits quartiers qui s’enroulaient autour des digues, loin de l’animation de la ville, la vraie, qu’était Gulf Shores, avec son lot de gratte-ciels et de taxis qui n’arriveront définitivement jamais à l’heure.
Sur la digue, ils diraient avec le snobisme qui leur était typique, que cette partie de la ville était réellement pittoresque. Ils prendraient sans aucun doute des photos des façades usées des quelques boutiques à souvenirs, riant sans aucunes gênes des efforts déployés pour égaillé les rayonnages. Finalement, ils arriveraient au bout et se retrouveraient face à une bicoque en bois défraîchi, mais dont la porte ouverte laissait voir un joyeux et chaleureux bordel de livres et d’objets en tout genre. S’ils daignaient entrer, ils verraient, engoncés derrière une table qui leur servait de caisse, un homme et une femme dont les origines amérindiennes étaient trahies par leur longue et épaisse chevelure noire et leur peau tannée. Amarok et Kishi leur souriraient amicalement et les observeraient se pencher sur les attrapes-cauchemars qu’ils avaient confectionnés eux-mêmes, et Kishi se lèveraient lorsque l’un d’entre eux fera mine de s’approcher des bouquins. Elle lui expliquera alors, avec sa voix maternelle, qu’ils classaient leurs livres par genres et qu’il y avait autant sur les rites Cherokee et sur leur histoire que de roman moderne parlant de leurs légendes.  
Enfin, avec un peu, voire beaucoup, de chance, ils me verraient descendre les escaliers deux à deux, leur grogner un « bonjour, au revoir » puis m’éclipser. Car, effectivement, c’était là que je vivais et ce depuis ma naissance. J’aimais ma famille bien que je ne me sois jamais senti proche de la culture Cherokee qu’ils tentaient de m’inculquer. À dire vrai, je n’avais jamais lu aucun des livres qui pesaient sur les rayonnages du petit magasin, n’avais jamais accroché le moindre attrape-cauchemars dans ma chambre – et je n’en dormais pas plus mal. Bon, j’attachais effectivement des lanières de cuirs autour de mes poignets et de mon cou, mais ça, c’était juste une question de style. De même, j’ai rapidement commencé à détester Gulf Shores et son flot de touristes blasés. La ville avait beau être une jolie station balnéaire, pour moi, c’était une prison de laquelle je pourrais difficilement m’échapper.
C’est sans doute pour cela que j’ai été attiré par Isabelle Marchent, petite femme dont l’élégance détonnait avec la décrépitude de la petite école de musique qu’elle entretenait vaillamment. De vingt ans mon aînée, je n’en étais pas moins follement amoureux. Non pas de son visage que ses cheveux auburn encadraient avec tant de nonchalance ni de ses yeux d’un vert pâle et songeur, mais de ce qu’elle était capable de m’apprendre, de la liberté qu’elle avait décidé de m’offrir sur un plateau d’argent. J’étais amoureux de ses doigts glissant sur le piano droit qui trônait dans un coin de son unique salle de cours, de sa voix tandis qu’elle me faisait répéter mes gammes. Amie de mes parents, elle avait accepté de me prendre pour élève en échange de quelques services – comme nettoyer la salle le soir, décorer la façade de l’école lors des fêtes, et quelques années plus tard, donner des cours aux plus jeunes – auxquels je me pliais sans rechigner.
La musique était ma liberté, mon ailleurs, ma façon de m’évader de la triste ville qu’était Gulf Shores les mois non-saisonniers. C’est ainsi que je m’y suis adonné, corps et âmes, cherchant la perfection dans chaque étape de mon apprentissage. Dévoré par cette même passion, je passais rapidement du piano au chant, puis à la guitare que j’apprenais via Internet car aussi bonne musicienne que fut Isabelle, ses connaissances se limitaient au piano, violon et chant. Je m’y suis écorché les doigts, les ornant de mille et une ampoules qui n’avaient jamais le temps de guérir et qui finirent par durcir mes mains de callosités. Je n’en avais cure cependant, mon désir brûlant d’atteindre telle note, mon enivrement lorsque mes pensées se perdaient dans les accords rendaient toute douleur muette.
Je partageais cette passion avec Angus et Evan, deux amis du Lycée – que je fréquentais à contrecœur pour éviter d’inquiété mes parents plus qu’ils ne l’étaient déjà à cause de mon acharnement musical – et c’est tout naturellement que nous avons formé un groupe que nous avions nommé BrainXplosion. Nous avions quinze ans à l’époque et nous étions unis par notre passion pour la musique mais aussi par notre désir de partir loin de Gulf Shores. Quand j’y réfléchis maintenant, je ne saurais plus dire ce qui nous angoissait tant. Gulf Shores était peut-être une petite ville, mais il était facile de s’y faire une place et les touristes offraient un bon rendement. Cela venait peut-être simplement du rêve de grandeur qui s’accrochait à toute artiste ? Cette peur d’être oublié ?
Quoiqu’il en soit, du haut de notre jeune âge, nous vécûmes ce qui nous sembla une vraie vie de star. Une star d’un petit quartier de Gulf Shores, mais bref. On allait jouer dans les petits restaurants, les bars et parfois mêmes les boîtes de nuits qui longeait la plage et nous nous laissions convaincre par cette fausse idée de popularité qui nous englobait. On nous reconnaissait au Lycée, les filles pépiaient sur notre passage et nous avions même un forum sur Internet qui comptait vingt membres actifs. Notre petit cocon ne nous semblait plus si détestable d’un seul coup.
Portée par ces illusions, nous sentions tout simplement invincible. Notamment Angus, qui tomba dans les travers de la popularité, en s’entichant de la mauvaise fille. Elle s’appelait Irina, ses cheveux d’un faux blond désoxygéné étaient parcourus de mèche vertes-turquoises et ses yeux bleus étaient constamment encerclés d’épais traits noirs. Gulf Shores, sous ses airs de petite ville touristique, cachait un réseau de drogue bien fourni, dont faisait partit le grand-frère d’Irina. Un frère, comme vous vous en doutez surement, un peu trop protecteur et constamment sous l’effet doucereux de l’Héroïne. Evan et moi, on l’a compris trop tard. On n’a pas fait attention quand Angus disait qu’il rentrerait plus tard, ni quand il nous demandait de prétendre qu’il était resté dormir chez l’un de nous. Comme nous le découvrirons plus tard, il allait simplement voir sa sirène, celle qu’il nommera sa muse dans cet espèce de journal intime qu’il tenait.
Ce qu’on comprit cet automne mille-neuf-cent-nonante-huit, lorsque son corps fut retrouvé dans une ruelle, en travers de sac poubelle renversé.  
Evan et moi, on n’en a jamais reparlé après. En fait, on s’est plus reparlé du tout. Je suppose qu’on se sentait tous les deux responsables de ce qui était arrivé à notre batteur.
Pour moi, Gulf Shores retrouva son aspect étouffant. Je me sentis à nouveau enserré par ces mâchoires d’insignifiance. Je suffoquais. Je n’avais plus qu’un seul désir : terminer mes études secondaires et partir pour New-York, Los Angeles, Chicago, San Francisco... peu m’importait du moment qu’il s’agissait d’une de ces grosses villes qu’on voyait dans les séries, le plus loin possible de l’Alabama.
On dit que les meilleurs œuvres naissent de la souffrance. Et ce fut effectivement le cas pour moi, pendant les deux ans qui suivirent la mort d’Angus. J’ai composé un nombre incroyable de morceaux, écrit des paroles dans la foulée et jeté mon dévolu sur le violon, dont les plaintes lancinantes s’accordaient à merveille avec ma détresse mentale. Je pense que pendant deux ans, on peut dire que je n’ai plus eu aucune vie. Du moins, rien qui ne soit en dehors de la musique. Je ne voyais plus personne, plongée dans mon isolement, ma détermination à devenir celui qui aurait le talent nécessaire pour se faire connaitre.
Mon certificat du secondaire en poche, je déguerpissais aussitôt à Los Angeles, sans égard pour le regard de mes parents qui voyaient déjà mes ailes se briser, mais qui n’ont rien osé dire. C’est peut-être pour ça que, lorsque je reviendrais deux ans plus tard, ils avaient déjà préparé de quoi rafistoler mon avenir.


États-Unis, Californie, Los Angeles.


« Pourquoi Los Angeles ? » Il n’y a pas de raison particulière, il se trouvait juste que L.A était une des villes dont je rêvais – par sa grandeur et sa renommée – et que j’avais une tante qui y vivait et qui accepta de me loger pour un temps.
Dans un premier temps, Los Angeles fut telle que je l’avais imaginée : une ville qui ne dort jamais, dont les lumières criardes et colorées faisaient pâlir autant la lumière des étoiles que celle du Soleil. Ce que je n’avais pas compris, c’est que je me ferais inévitablement avalé par son immensité. Là-bas, je n’étais pas le seul gars à savoir faire quelque chose d’écoutable avec une guitare, à pouvoir chanter juste et à connaître quelques partitions de Wagner par cœur, ou même à savoir faire chanter une violon. Ni même à pouvoir mixer le tout avec justesse. Ni à avoir une belle gueule. Là-bas, il y avait un nombre impressionnant de gens de talent, devant lesquels on se serait incliné à Gulf Shores, mais qu’on méprisait à Los Angeles, car on était tout simplement rien si on n’était pas reconnu par une maison de disques.
Je n’ai pas baissé les bras, cependant, du moins, pas tout de suite. J’eu le courage de m’inscrire à une de ces émissions télévisées qui regroupait un tas de talents et pour lesquels les téléspectateurs devaient voter pour qu’ils continuent « l’aventure ».
Les auditions se faisaient en deux étapes. La première était facile ; il suffisait d’envoyer un enregistrement de notre savoir-faire, pour qu’ils jugent dans un premier temps si on n’était pas des merdes intergalactiques bercer par les doux mensonges de notre famille. La seconde était déjà plus corsée. Il fallait se rendre à leur studio d’enregistrement, faire une représentation en live et finir sur une courte interview. C’est là qu’ils ont eu l’amabilité de me dire que je manquais de mordant et que ce n’était pas des gens comme moi qu’on voulait voir dans une émission de téléréalité, et ce même si c’était musical, à la base.
La musique perdit son goût de liberté ce jour-là, pour prendre celui, écœurant, de la luxure et de la corruption. J’avais compris, finalement, qu’il ne suffisait pas d’avoir un peu de talent et de la volonté pour percer. Il fallait avoir la tête de l’emploie et faire parler de soi. Devenir quelqu'un qu'on regarde avec vénération ou crainte. J’avais décidé de devenir celui qu’on craint, car mon dégoût pour cette forme de gloire ne me donnait plus la force de faire mieux.
J’ai naturellement commencé à écumer les boîtes de nuits, goûter la saveur doucereuse du LSD, puis celle plus piquante du Cannabis avant de plonger dans celle autodestructrice de la Cocaïne. C’était comme un moyen de me libérer de la prison qu’était soudainement devenue la musique. Lors de mes quelques moments de sobriété, j’envoyais des enregistrements à quelques maisons de disques lambda, qui me remballaient tous avec cette même phrase et ce même sourire condescendant : « Vous n’êtes pas le genre de talent que nous recherchons pour l’instant, nous vous gardons dans nos éventuels projets. »
Mais c’est quoi, votre genre de talent, bordel ?
En fait, ils ne voulaient juste pas d’un jeune paumé qui n’avait jamais vu une vraie école de musique de sa vie et qui, à présent, était complétement instable.
Fort heureusement, et par je ne sais quel miracle, cette déchéance ne dura qu’un an avant que le peu de plomb que j’avais dans la cervelle ne se remette en marche. Il me fallut six mois pour atténuer mon addiction à diverses drogues, puis rentrer chez moi, l’échine courbée.
Les choses furent rapidement mises au point : il n’était pas question que je reste à broyer du noir et il était temps que je ne me prenne véritablement en main. Mes parents, avec une dureté et une inflexibilité que je ne leur connaissais pas, me promîmes qu’ils me ficheraient à la porte si je ne trouvais pas rapidement des projets d’avenir. Ils étaient cependant prêts – et préparés – à débourser l’argent qu’ils avaient mis de côté pour moi, pour m’inscrire à une Université, pour laquelle je devais promettre de travailler durement.
J’ai accepté et j’ai prétentieusement choisi Harvard car je n’avais pas oublié mes rêves de grandeur.
The End
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Bienvenue parmis nous BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 3850463188
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. QIkbezwN_o
BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 1506444243-1504988286-ligne1
Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
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Jasper O. Ellington
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I WANT IT, I GOT IT › push until you can't
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Samuel BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 3850463188
Bienvenue sur le forum !
(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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Bienvenue parmi nous BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 185272391
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Rhys Ackerman

Âge : 23
Lieu de naissance : brighton, uk
Quartier d'habitation / Colocation : matthew hall, sur le campus d'harvard
Situation sentimentale : célibataire
Études / Métier : étudiant en quatrième année d'undergraduate, prépare ses LSATs pour entrer à la Harvard Law School l'année prochaine + bosse à l'administration d'Harvard et revend les réponses des exams
Date d'inscription : 15/03/2013
Pseudo & Pronom(s) IRL : dark dreams. (she/her)
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Multicomptes : kaiden, kaze, donovan, kyro
Description (1) : rhys ackerman ————
BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 24f7fb497dd8f5aa0463212f94e9002a2d811c86
single · bisexual · brighton, uk · future law school student · basketball player · rich guy · korean
education · photographic memory · selling exams answers

Description (2) : BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. O4O8rlbd_o
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04 RPs › 20/10 → 27/10
01 RPs › 27/10 → 03/11
02 RPs › 03/11 → 10/11

OCTOBRE : 12
NOVEMBRE : 02
Warnings : sexe, alcool, drogues (amphétamines), langage vulgaire, possible parentalité (grossesse)
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modération & codage | PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
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Bienvenuuuuuue sur le forum BENJAMIN ADRIEL CHAYTON  ► Samuel Larsen. 3850463188
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