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Et une autre semaine de fait! Ouf! Je croyais que j’allais mourir tellement j’ai du bosser. Quatres exams, deux d’architectures, deux d’histoire de l’art,une présentation orale pour architecture et une recherche pour l’autre. Évidemment, je n’ai vu que rarement ma fiancée. Entre deux pauses, au déjeuner,avant son entraînement de volley,après rien. J’ai pas plus eu le temps de faire la teuf, sauf hier. Alors ,ce vendredi, j’étais plutôt énervé.J’avais fini par énerver tout le monde avec mon humeur massacrante toute la semaine, alors je me retrouvais tout seul ce soir. Fine! Puis comme si c’était pas assez, ma soeur est venu m’emmerder au téléphone avec des conneries. Apparament , elle avait des problèmes avec son copain, puis abuela, et voulait venir se réfugier à Boston. J’étais ravie qu’elle songe à venir, mais en même temps, Estèla pouvait être épuisante. Ces temps-ci ,elle l’était particulièrement,à me rappeler mes erreurs. Je terminai notre longue conversation en l’envoyant promener lorsqu’elle toucha un point sensible: Lior. Je fulminai tellement que je fracassais mon iphoe contre le mur. Et merde, fis-je en me rendant compte de ce que je venais de faire.J’allais ramasser les morceaux . Je songeai au fait que personne n’allait pouvoir me rejoindre,maintenant que mon portable était caput, surtout Lior. Je jetai avec rage ce qui restait de mon téléphone et me mettais à faire les cent pas dans la pièce. Il faut que je me calme, faut que je me calme…* me disait-je. Puis j’enlevais mon sweatpants gris , le seul vêtement que je portais et allais chercher ma serviette et mes affaires. *Bon ! À la douche , puis ensuite je sors!* décidai-je résolu. Je me rendis à la salle de bain commune, m’attirant quelques commentaires alors que je me promenais dans mes boxers dans le couloir. Sans même me soucier de qui ça venait , je leur fit un doigt d’honneur et continuai mon chemin. Sympa!
Je pris une douche froide pour me calmer. Je claquai un peu des dents,lorsque je sentis les premiers jets d’eau glacés sur ma peau brûlante,mais ça fit son effet après un moment.Je ressortais de la salle de bain un peu plus calme et allais m’habiller. Je restai simple: mon jean noir moulant favori, un t-shirt blanc,ma veste de cuir et mes military boots. Un petit coup de peigne, ma morne mes bagues,les clés de ma Audi noir et ma cartouche de cigarette sur moi et j’étais prêt à partir. Je roulais jusqu’à mon club préféré le People’s Republik et me stationnait. Mon humeur changea lorsque je me retrouvais à l’intérieur , sous les lumières flou , la musique à fond et une foule d’enfer. Je me rendis au bar et commandai. Deux shooters.
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