Y a des endroits qu'il faut pas toucher.... ♥ Swan

Le baiser prodigué par Dylan en appela un autre car directement, dans les secondes qui suivirent, Swan l'embrassa à son tour. Mais pas aussi timidement qu'il l'avait fait, non, d'une façon acharnée et langoureuse. C'était comme si elle était en train de s'emparer absolument de lui. D'ailleurs c'était si intense qu'ils se retrouvèrent bientôt tous les deux sur le canapé. Et Dylan pouvait bien dire que cela lui faisait du bien. Terriblement de bien. Ils avaient encore des échanges sexuels et amoureux avec Gloria, mais son épouse ne l'embrassait plus comme cela, plus du tout, elle avait tendance à mettre de la violence dans leurs échanges. Même au lit, elle était... étonnante. Elle le griffait... C'est pour dire. Lorsqu'ils s'écartèrent, Dydy était aussi tremblant que serein. Il sentait ses mains trembler tandis que Swan l'aider à se relever pour le guider vers sa chambre. « Oui... » souffla-t-il avec la voix tremblante. Il n'avait jamais trompé sa femme, et là... Il en avait terriblement envie. Une envie qui le dévorait. Mais il ne parvenait pas à se calmer. Dylan avait l'impression de tuer quelqu'un dans le dos et en même temps, il entra dans la pièce. Son cœur battait très vite et ses membres tremblaient encore plus. « Mais ta mère ? » demanda-t-il ensuite. Il avait une chance de s'en sortir : c'était que Swan elle-même décide de mettre un terme à cet acte avant qu'il n'ait eu lieu. Lui, il ne le pourrait plus à présent. Tremblant, les larmes lui montant aux yeux, mais il le désirait trop pour se rétracter, combien même sa raison lui criait de le faire.

C'était tellement étrane cette sensation qui rongeait les entrailles de notre cher Dylan... Il avait terriblement envie de mordre dans le fruit défendu, Swan attisant toute l'envie sexuelle présente en lui... Et elle n'avait jamais baissé d'efforts pour que cela arrive. Mais en même temps, le pauvre ne pouvait s'empêcher de penser à son épouse. Il avait la sensation de l'aimer et de la rendre déjà bien assez malheureuse... Alors pourquoi provoquer encore plus de misères ? Il regardait Swan se détacher tandis qu'ils étaient déjà assis sur le lit, dans sa chambre. Elle l'observa avant de lui indiquer que c'était à lui de décider. Lui qui aurait voulu qu'elle tranche pour eux... C'était raté ! Muet pendant quelques instants, Dydy se perdit dans le regard de sa belle-fille. Devait-il défendre Glrai, vu comme sa fille en parlait mal ? Devait-il lutte r et rester fidèle à tout prix à la mère de son enfant ? Il se mordit la lèvre, avant de pousser un soupir. « Faut vraiment pas qu'elle apprenne ça... » dit-il avant de s'emparer de nouveau des lèvres de Swan. Il aurait tout le loisir de regretter plus tard... Et de toute façon, il ne savait même pas s'il le regretterait. C'était juste du sexe... Un peu d'amour aussi peut-être. Rien de si ignoble.

Dylan brûlait d'envie pour sa belle-fille. Elle l'avait toujours chauffé depuis qu'elle était revenue vivre avec eux et Dylan n'avait pu que céder. Swan se leva pour aller allumer des bougies, question d'être discrets et de rendre l'atmosphère plus intime. Ils en avaient besoin... Vu le risque, valait mieux que le moment soir parfait, mais il n'en douta plus lorsqu'elle vint s'asseoir sur lui, leurs parties intimes se frôlant à travers les vêtements. Elle l'embrassa de nouveau et il se laissa complètement aller. Les caresses entamèrent. « Tu es délicieuse, Swan... » souffla-t-il. Si Gloria, son épouse avait appris un truc, c'est que Dydy avait tendance à parler lorsqu'il faisait l'amour et à souffler des choses aussi bien romantiques et venant du cœur que des choses complètement à part, sans lien direct avec l'acte présent. A voir ce que cela donnerait avec cette chère Swan, qui portait bien son nom puisqu'elle avait la grâce de cet animal. Dylan passa les mains sous la robe de la jeune femme, venant caresser ses cuisses...
Il tremblait encore un peu d'émotion, mais ce tremblement d'émotion se transformait peu à peu en tremblement de désir intense.

La température montait sans cesse dans la pièce et Dylan n'avait aucune envie de faire un pas en arrière. Au contraire, il laissait ses mains se baladaient sur le corps de la belle Swan et laissait son propre corps s'exciter à force de sentir la chaleur de sa partenaire et son sexe à travers le pantalon. Il sentait les mains douces de la demoiselle venir lui caresser le torse, très tendrement, ne titillant point ses hématomes, au contraire, cela lui faisait énormément de bien. Il se laissa toucher, la touchant aussi, attisant le désir comme elle le faisait augmenter rapidement chez lui. Puis, elle lui ôta son t-shirt. Il ferma les yeux un instant profitant de ses baisers, avant qu'elle ne s'écarte pour ôter sa robe. Ce serait plus simple et plus rapide.
« Je suis très gourmand, tu verras... » répondit-il de façon suave à la remarque précédente. Mais lorsqu'elle s'approcha, elle n'avait pas enlevé sa robe, elle était encore vêtue et elle vînt regarder ses bras de façon perplexe. Elle n'avait pas remarqué toutes ses marques, sous l'excitation et à présent qu'elle les voyait, elle écarquillait les yeux. Dylan n'y avait pas songé, mais il avait des traces partout, des traces faites par Gloria et d'autres, nombreuses également, qu'il s'était fait lui-même. Et encore, elle n'avait pas vu l'état de ses jambes... Il poussa un soupir, son sexe s'était déjà pas mal tendu et si la conversation allait dans ce sens, il pourrait s'asseoir dessus. Si c'était pour ça qu'elle le chauffait depuis son retour chez eux... Cela n'en valait pas la peine. Il la saisit par les bras, passant une main dans ses cheveux afin de l'embrasser de nouveau sur les lèvres, langoureusement. « On en parlera plus tard... Pas maintenant s'il te plaît.... »dit-il entre deux baisers, tendis qu'il avait passé ses mains de nouveau sur les cuisses de la demoiselle pour venir ensuite la titiller au niveau de l'entrejambe pour la décourager de papoter et l'encourager de passer aux choses sérieuses. « Aller gâche pas ce moment, s'il te plait... j'ai envie de toi... C'est pas ce que tu voulais ? » demanda-t-il ensuite, le regard plein de sous-entendus.