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(May "Chan" Lee) Manque de pot

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L’entrainement était intense. Les jeux auraient lieux dans quelques mois et la pression commençait à réellement se faire ressentir pour tous les athlètes : Elsy Esterhazy n’échappe pas à la règle et toute la Hongrie rive ses yeux sur elle depuis quelques semaines déjà, lui envoyant cadeaux et petites attention pour s’assurer que son moral soit au beau fixe au moment de son passage sur la glace, histoire de s’assurer une médaille d’or. Tout le monde en rêve toujours et parfois, ce ne sont pas les sportifs qui les désirent le plus. Du coup, pour ne pas décevoir son pays, la jeune femme redouble l’attention qu’elle apporte à sa santé et surtout, surtout, à ses membres inférieurs comme supérieurs : elle ne sort même plus sans bonnet, écharpes, genouillères et coudières. Alors que l’hiver n’est pas encore violent. Même pas encore aux portes de la ville : les couleurs automnales arrivent à peine. Et l’entraineur de la demoiselle ne la lâche presque plus, redoublant de conseils pour se maintenir en condition. Notamment de restrictions alimentaires. La jeune femme n’a même plus le droit de manger une glace, de la sauce salade trop riche…

Emmitouflée dans des vêtements chauds, ses patins aux pieds, Elsy achève sa danse et rejoint les gradins pour boire un peu d’eau et souffler cinq minutes. La nuit sera bientôt là et la jeune femme n’a pas quitté la salle privatisée de la patinoire depuis le matin même. A sept heures. Juste un sandwich diététique pour son repas de midi. Sandwich préparé par l’entraineur, évidemment. Sans gras, avec juste un peu de poulet pour tenir le coup. Le patinage est l’un des pires sports qui soient. Tout ça pour gagner la ligne et rentrer dans le costume magnifique qui dort déjà au placard.

La musique reprend et la demoiselle rejoint le centre de la piste pour reprendre son entrainement. La musique ne l’émeut même plus, tant elle l’a entendu, tant elle a patiné et réalisé ses figures dessus. Programme court, programme long, figures libres, figures imposés, la jeune femme n’en peut absolument plus. Heureusement qu’après les jeux olympiques – dont la flamme est déjà partie il y a quelques jours pour rejoindre la ville d’accueil – elle aura le droit à un peu de repos bien mérité.

Enfin, son entraineur frappe dans ses mains et la jeune femme se laisse glisser sur la glace, les yeux rivés sur le plafond. Bon sang ! Enfin, ses jambes se reposent pour de bon. Ce qui est certain c’est que même s’il n’est que dix-huit heure elle ne mettra pas bien longtemps à s’endormir se soir. Un repas et puis au lit, après une bonne douche évidemment. Voilà de quoi rêve la demoiselle en espérant que Nikolaï ne lui fasse pas de mauvais coup ce soir. Quoique avec l’approche des jeux olympiques, le russe s’est calmé et laisse la demoiselle un peu plus tranquille même si cette dernière représentera un pays adversaire au sien.

Prenant ses affaires, la jeune femme quitte la patinoire et s’enfonce dans les rues de la ville avec l’idée de gagner le métro le plus proche pour pouvoir rentrer. Alors qu’elle arrive, le métro part. Et elle a beau lancé le bras, elle n’est pas dans un film et l’appareil ne s’arrête pas. Et merde. D’autant plus merde qu’une étrange sensation la saisit, comme si on furetait dans son sac. Alors qu’elle se retourne, elle remarque un jeune garçon qui s’enfuit, son portefeuille à la main. Alors elle court pour le rattraper en criant pour essayer d’obtenir de l’aide.

«- Arrêtez-le, mais arrêtez-le il a prit mon portefeuille !»
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J'ai passé la matinée à regarder des films anciens, ouais parce que dernièrement j'avais commencé à les apprécier, tout ce qui était en noir et blanc, j'adorais ça depuis quelques jours... Fallait bien que je me bouge du lit, je sais pas aller faire un tour, je ne sais où, là où mes pas m'emmèneront en fait. Aujourd'hui j'avais reçu un sms me disant que j'allais devoir m'occuper d'une nouvelle bizut, ce qui était plutôt cool et j'avais vraiment hâte de faire sa connaissance, peut-être même tenter de l'emmener boire un café. Enfin bon, on verra bien, pour le moment fallait que je me lève, que je me douche, que je m'habille, etc etc...

La journée était passée rapidement, j'étais allée faire un tour au Athletics Complex Street, dans l'idée d'aller faire un peu de patin à glace, mais au moment où je voulais entrer dans le Bright Hockey Center, et bien figurez-vous que la patinoire avait été réservée pour des entraînements... Manque de bol, du coup j'avais décidé d'aller boire un bon chocolat chaud pas loin, un bouquin dans une main, profitant d'un moment calme. Tant pis, le patinage ça sera pour une prochaine fois que je m'étais dit...

Je jetais un coup d'oeil à ma montre, il était temps pour moi de rentrer à l'université si je voulais bosser un peu mes cours, j'attendais le métro, puisque j'avais loupé celui d'avant, manque de bol, une fois de plus... Puis les passants & moi même, on entend une jeune femme crier et demander de l'aide, comme quoi un jeune con lui a piqué son portefeuille. Jeune con qui d'ailleurs venait vers moi, il était temps de mettre en pratique mes années de taekwondo et de lui botter le cul royalement. Je décalais ma jambe droite, prenait appui sur celle-ci et alors que le con était pile en face de moi, je lui bloquais le passage avec mon bras gauche, lui mettant un coup dans l'estomac.

Victoire, enfin plus ou moins, il avait le souffle coupé et un autre type vint m'aider le plaquant au sol pour ensuite l'emmener au poste de police. Quant à moi je récupérais le portefeuille de la jeune femme et soufflais un coup.

" Et voilà le travail ." lui fis-je un grand sourire aux lèvres .
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Alors que la Hongroise commence à désespérer que quelqu’un lui vienne en aide, une jeune femme surgit de nulle part pour bloquer la route au fugitif, lui envoyer son poing dans le ventre et lui récupérer le bien de la demoiselle avant de revenir vers la princesse avec un air victorieux, annonçant un fier «et voilà le travail» en adressant un grand sourire à Elsy qui répond par un sourire elle aussi avant de récupérer son bien tout en remerciant la jeune asiatique, apparemment, qui vient carrément de lui sauver la vie, ou presque. Parce qu’évidemment, l’européenne a un tas de petites choses importantes dans ce portefeuille. Et au cas où, craignant que l'homme ait put se servir avant que la demoiselle, qui est une étudiante d'Harvard que Elsy connait pour être une Eliot, ne l'ait interpellé, la princesse préfère ouvrir et vérifier le contenu de l'objet. Sa carte d'identité, une liasse de billets, ses cartes de fidélité, sa carte de donneuse d'organe et quelques autres cartes sont rangées soigneusement, aucun vol à déplorer. À vrai dire cela soulage considérablement la demoiselle qui referme alors l'objet en se félicitant de ne pas avoir à courir au poste de police le plus proche pour faire une déposition. Rangeant son portefeuille dans son sac, la jeune femme sourit de nouveau à la fille qui lui fait face.

"- Encore merci. Merci beaucoup. Vous êtes étudiante à Harvard non ? Je crois que nous sommes dans la même confrérie. Eliot non ? J'étudie à Harvard depuis huit ans alors... Il me semble bien que votre visage m'est familier."

D'autant plus que les Asiatiques ne courent pas vraiment les couloirs de la prestigieuse académie. Elsy ne saurait dire combien ils sont au juste mais assez peu nombreux en tout cas. Dans ses amis proches, il n'y en a pas un. Et dans ses amis moins proches... Il n'y en a guère plus. Même si la princesse aimé à se dire qu'elle est l'amie de tout le monde. Sauf des mathers. Parce qu'ellene peut comprendre leur fonctionnement, leur état d'esprit. Mais elle est loin d'être la seule de l'établissement à avoir ce genre de pensées vis à vis de cette maison quelque peu décriée et critiquée. D'abord, presque tout les Eliots - si ce n'est pas tous - détestent profondément les Mathers et leurs manières de mener leur barque, qui jure tant avec celle des Eliots.
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Elle vérifiait le contenu de son sac, et d'après son expression, rien n'avait eu le temps d'être volé, tant mieux pour elle, puis j'étais rassurée également. Puis elle me rendait mon sourire, le sien était parfait, sans défaut, un air de princesse, je ne saurais dire. Elle me remerciait, après tout c'était normal, je venais de lui sauver le reste de sa journée en empêchant le voleur de partir avec son sac. Un très beau sac d'ailleurs, mais moi je ne me voyais pas me trimbaler dans la rue avec un sac qui attirait l'oeil, comme si il y avait un panneau clignotant indiquant " Vole moi, vole moi !" . Cette pensée me fit sourire, mais je reprenais mon sérieux lorsque la jeune femme me demandait si j'étais une étudiante d'Harvard et qu'il lui semblait que nous étions dans la même confrérie. J'étais plus ou moins nouvelle à l'université, et je devais avouer que son visage ne m'était pas vraiment familier.
Je lui répondais avec politesse, à vrai rien que la présence de cette femme m'impressionnait et je ne savais pas comment agir avec elle.

" Je suis May "Chan" Lee, et je suis bien à Harvard, Eliot House également, ravie d'avoir pu t'aider à récupérer ton sac. " fis-je un sourire aux lèvres, avant de jeter un autre coup d'oeil à ma montre. Le prochain métro n'allait pas tarder.

" Tu rentres à l'université ? " rajoutais-je en m'adressant à la jeune femme, interrogative.
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La prochaine fois c’est sûr, la princesse évitera de se trimballer avec ce genre de sac. Et dire que ce n’est ni son plus beau ni son plus cher. Un sac signé d’un petit créateur français commençant tout juste à se faire connaître. Rien qui ne porte un écusson comme celui de Dior ou de Prada. Le voleur a sûrement prit une cible au hasard. Ou bien il a essayé d’estimer le prix des vêtements portés par la jeune femme, pour savoir si elle était une bonne victime ou non pour son larcin. Quoi qu’il en soit l’accident n’ayant pas viré au drame il est presque déjà oublié par la hongroise qui parle tranquillement, l’air de rien, avec cette fille qui est parvenue à rattraper le criminel et, du coup, à lui reprendre le sac dérobé.

«- Enchanté May Chan Lee. Je suis Elsy Esterhazy. La patineuse, je ne sais pas si tu vois.»

Ouai, ça fait plus modeste de se présenter comme étant une patineuse que comme étant une princesse, quand même. Et la demoiselle n’a guère envie de passer pour une personne vaniteuse – comme le sont tout les Eliot ou presque – au cours d’une toute première rencontre. Même si il s’agit d’une autre Eliot qui prendrait peut-être ce comportement comme étant tout à fait normal.

«- Oui je rentre à l’université. Toi aussi ? Éventuellement nous pouvons rentrer ensemble, si cela te dit évidemment.» propose la demoiselle avec un sourire.
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