SWAN-ERIN KEYNES ► Lily Aldridge

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Reliques et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site.  Le forum déchire sa race alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Lily Aldridge comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Crispin. Je fais environ 500-700 mots par RP et mon personnage est un scénario proposé par Read mais il ne l'avait pas encore créé.

Mot de la fin ? ▲ IHL FOREVER !!!!!
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

Je crois que j'ai eu une enfance assez joyeuse, pleine de rebondissements comme tous les enfants de ce monde. Je me suis cassée la figure, ai fait tomber des verres car j'étais maladroite et me suis fait des petits bobos aux doigts en me coupant. Mais je m'en suis toujours relevée car j'étais une petite fille forte. J'avais un papa et une maman formidables mais malheureusement mon papa n'est pas resté longtemps parmi nous car il est décédé suite à un accident de voiture alors que je n'étais âgée que de sept ans. Je ne me souviens plus trop, j'étais à l'école quand je l'ai apprit on est venu me chercher alors que j'étais en cours de mathématiques puis plus rien. On m'a raconté que je n'ai plus parlé pendant quelques mois suite au choc, à cette nouvelle horrible. C'est dur pour un enfant de perdre son papa, c'est affreux mais je m'en suis remise comme de mes petits bobos car j'étais une fille forte. Quelques années plus tard ma mère a retrouvé quelqu'un, un jeune homme trop jeune, bien trop jeune. Je trouvais ça bizarre je le prenait plus pour un frère qu'autre chose. Dylan, il est devenu une sorte de beau-père/frère/je ne sais quoi. J'ai toujours été très proche de lui et ce depuis le premier jour. Je devais avoir à peu près dix quand ils se sont mis ensemble et treize quand ils se sont dit "oui" devant" le prêtre. Tout allait plutôt bien, ma mère à même donné naissance à Peter mon petit frère. Il était trop choupinou, j'avais l'impression qu'il ne me souriait qu'à moi. Dylan était toujours entrain de s'occuper de nous deux et de ma mère aussi car je voyais bien qu'elle commençait à perdre complètement les pédales. Alors deux ans après la naissance de mon petit frère Dylan a décidé pour mon bien de m'envoyer dans un pensionnat loin d'eux. Ils disaient que je pourrais les voir les week end, ma mère ne voulait pas trop que je m'en aille mais j'ai entendu mon beau père lui dire que "je n'avais pas besoin de voir ça." Je ne savais pas de quoi ils parlaient. Je me suis donc retrouvée dans ce putain de pensionnat, où j'ai fait ce qu'on me disait avec quelques conneries quand même. C'est là-bas que j'ai connu les premières soirées en cachette des surveillants, les garçons allaient acheter de l'alcool en douce et nous les filles on se ramenait tout doucement dans leurs dortoirs. C'est grâce à ces petits moments que j'ai tenu et surtout grâce à la danse car sinon j'aurai fait une syncope. J'avais de bons résultats mais j'en avais assez, assez de jouer au petit soldat alors que ma famille était réunie sans moi. Quand je rentrais les week end je voyais bien que ma mère était dans des états pas très rassurants, elle ne me parlait presque pas et était virulente dans ses propos envers moi et même envers Dylan. Du coup ma dernière année de pensionnat c'est faite sans vraiment de mal je rentrais à reculons chez moi. A vrai dire je ne rentrais que pour voir Dylan et Peter car ma mère, ce n'était plus possible. Je me sentais en sécurité avec son mari, il n'avait pas beaucoup d'écart avec moi alors on était très proche d'ailleurs nous le sommes encore et de plus en plus... Ma dernière année de pensionnat c'est terminé à l'âge de mes dix huit ans, j'ai donc pu intégrer Harvard où j'ai choisit d'étudier la danse qui est sans doute ma raison de vivre et puis en mineure j'ai choisit l'italien car mon rêve est de partir vivre en Italie par la suite. Ce n'est pas pour maintenant, ok, mais je préfère avoir un train d'avance comme sur tout. On m'a toujours dit que je suis une jeune femme mure et surtout forte. J’acquiesce, c'est vrai je suis forte il faut toujours se soigner de ses bobos. En quittant l'internat j'ai découvert les joies de faire la fête, de m'amuser et de ne plus compter quand il s'agit des verres contenant de l'alcool. Ma vie c'est la danse, la fête, faire l'amour (on ne dit pas baiser ce n'est pas poli), la culture et surtout pardessus tout Dylan, mon beau père.