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KOACE ✱ i'm very alive.

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Neuf mois. Neuf mois, que tu n'avais pas mis un pied sur le sol Cambridgien. Respirant un grand coup l'air frais qui te frappait les joues. Tu refermais ensuite la fenêtre de ta chambre de la mather house. Tu allais par la suite, te douchais pour ensuite enfiler des sous-vêtements puis un jean slim et un haut tout simple blanc avec des dessins aztèques dessus. Enfilant tes louboutins noires, tu passais devant ton miroir afin de maquiller légèrement ton visage. Tu passais simplement une main dans tes longs cheveux bruns. Prenant ton sac, ta veste et ton écharpe, te voilà partie dans Harvard. Cela faisait un moment que tu n'avais pas descendu ses escaliers. Traversant le grand hall, tu marchais à vive allure vers le parking de l'université afin de fumer une dernière clope avant que les cours ne commence. Les nouvelles têtes te faisaient plaisir à voir mais, à vrai dire, tu ne voulais pas trop te faire repérer par les gens que tu connaissais déjà. D'ailleurs, tu n'avais pas encore rendu ou même envoyer un sms à Konrad. Peut-être même qu'il te pensait morte. Enfin bref, tu fumais ta petite cigarette tranquille, vu que pour toi la drogue c'était terminé. Ta tumeur t'avais vacciné à vie de cette connerie. Depuis, que tu avais tout stoppé tu avais retrouvé un corps appétissant et sexy pour les garçons. Tes yeux étaient toujours profonds et pleins d'émotions à chacune de tes paroles. Enfin bref. Tu écrasais ta cigarette et rentrait dans le grand hall afin de te réchauffer un peu. Marchant presque jusqu'au casier, tu attendais la voix d'un homme que tu connaissais bien. Konrad. Tu te retournais doucement, vers lui et le regardais avec un petit sourire. Un de ses potes venait de te remarquait et de lui faire remarquer que Grace St-James était derrière lui. Konrad allait très certainement prendre ça pour une mauvaise blague mais, tout ses potes se retournaient vers toi pour partir par la suite. Baissant doucement le regard, tu attendais que Konrad vienne à ta rencontre enfin s'il en avait envie.






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† i'm very alive. †

Koace, pendant deux longues années ils se sont cherchés, pendant deux longues années il y avait ce mélange de tristesse, de douleur, de bonheur, de complicité, d’ambiguïté et j'en passe, pendant ces deux années elle a été ce que j'ai le plus détesté ici et ce que j'aimais le plus là, elle a réussit finalement à conquérir mon cœur et à me rendre de nouveau amoureux. L'élément déclencheur ? L'attentat à Harvard, la perte de son frère, de ma sœur, ça nous as rapprochés vraiment beaucoup et boum deux semaines après on es ensemble, enfin amoureux l'un de l'autre après deux ans de haine et d'amour, de peine et de bonheur, de complication et d'ambiguïté. Et pendant ces deux semaines j'avais une raison de vivre, je me sentais vivant, elle était cette ligne à laquelle je m'accrochais mais elle a eue sa tumeur et je savais plus comment penser et du jour au lendemain elle m'a abandonnée, j'ai attendu pourtant, attendu deux putains de mois, deux mois à me poser des tas de questions sur ce que j'avais pu faire, sur ce que j'avais dis, j'attendais qu'elle appelle, qu'elle m'écrive mais rien de tout ça. J'ai cesser de me bercer d'illusion, deux fois que je deviens faible et aveugle car je suis tombé amoureux, après ces deux mois, j'en avais finis, ce cœur s'était refermé et je redevenais ce connard sans limites, qui profite de tout, des filles, du sexe, des fêtes, de sa vie, je voulais l'oublier et m'éclater aidait et aussi Aphrodite qui je en sais comment à réussit à profiter de cet état de peine et de faiblesse en moi pour qu'on se rapprochent et après quatre mois à se tourner autour, nous sommes ensemble, je ne suis pas amoureux mais attaché comme un dingue à cette fille, ma drogue. Enfin bref, un des potes avec qui j'étais me fit sortir de toutes ces pensées en me disant que Grace St-James était derrière moi, je souriais Comique. et apparemment ça ne semblait pas être une blague, ils regardaient tous derrière moi, je me retournais à mon tour et en effet, Grace St-James était là. Ils partaient tous ayant bien compris qu'elle et moi devions parler, elle baissait le regard et le mien restait fixer sur elle J'ai du trop abuser de cette beuh pour voir un fantôme devant moi. ma voix s'était faite agressive et blessante, je passais mon chemin en la bousculant presque, elle m'avait fait si mal que cette cicatrice qui s'était refermée au cœur venait de se ré-ouvrir.

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Tu étais là. Au milieu de se hall qui t'avait vu décatir depuis la mort de ton frère. Et devant toi, se trouvait le connard que t'avait aimé et que tu aimais du plus profond de tes tripes. Si tu devais te battre contre la terre entière pour ne serait-ce avoir un regard affectueux de cet homme tu le ferais mais, apparemment il n'y croyait pas à ton retour. Il pensait ne voir que ton spectre, que cette salope qui l'a abandonné du jour au lendemain sans un mot, sans rien. Alors, qu'il passait à côté de toi, te bousculant, tu attrapais son bras avec vivacité. Le faisant se retourner face à toi, tu t'approchais de lui. Ton visage à seulement quelques centimètres du sien. « Konrad. Tu pourrais m'accorder ne serait-ce que quelques minutes. » Tu le regardais, lâchant doucement son bras. « Je sais que je n'ai pas été à la hauteur de tes attentes. J'ai été lâche. Je ne souhaitais pas maigrir et mourir sous tes yeux alors je suis partie. » C'était con mais c'était comme ça. Konrad n'avait pas le droit de te voir faible, de te voir complètement abattus. Il avait le droit de te voir malheureuse mais, pas de te voir minable. « Je suis partie en Argentine, je me suis soignée. Et puis, un matin je me suis dit qu'il fallait que je revienne à Harvard au moins pour t'expliquer ce que j'ai fait. Maintenant ignore-moi, détruit-moi, piétine-moi si tu le veux. » Tu l'avais tellement désiré, tu l'aimais tellement, tu ne pouvais pas imaginer une seule seconde ne plus l'avoir à tes côtés. C'était le seul qui était capable de te faire devenir une biche. Il savait calmer le mauvais en toi.
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Je n'en revenais pas, je croyais qu'il me taquinait mais non mon pote avait vu juste, elle était plantée derrière moi à me regarder, ils s'étaient tous barrés, ils avaient tous compris qu'elle n'était pas un fantôme comme je le prétendais en lui adressant quelques mots, comment avait-elle pu. Me voilà à tracer mon chemin en la bousculant légèrement, je ne voulais pas parler avec elle, elle appartenait à ce passé qu'elle venait de me faire revivre, cette cicatrice qui avait réussit à se fermée venait de se ré-ouvrir et ça faisait mal. Elle retenait mon bras, de façon à ce que je me retourne vers elle, son corps du mien à quelques centimètres, elle voulait que je lui accorde juste que quelques minutes. Sa main lâchait mon bras doucement et la voilà à déballer ce qu'elle avait à dire, elle disait qu'elle n'était pas à la hauteur de mes attentes, elle se fou de moi là ? Elle était tout ce que je pouvais imaginer, bien sur qu'elle était au-dessus de mes attentes, bordel j'étais tombé amoureux de cette putain de garce, ça signifiait pas rien, surtout pas pour moi. Elle m'en apprenait plus, elle était parti en Argentine pour se soigner, elle aurait pu me le dire dans un putain d'appel ou une putain de lettre mais rien du tout, pourquoi ? Elle veut que je la détruise ? Que je la piétine ? Que je l'ignore ? Je venais à ouvrir les lèvres en restant à cette proximité si gênante après ce qui s'est passé T'as finis ? J'attendais sa réponse avant de m'éloigner d'elle au maximum, plus j'étais proche d'elle, plus cette cicatrice redevenait cette blessure qu'elle m'a fait subir.

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Wow. Revoir son visage, son corps, le retouché tout cela te faisait quelque chose que tu ne pouvais pas nier. Lorsqu'il te bousculait, lorsque ta main attrapait son bras, lorsque son regard se croisait tu avais l'impression d'être repartie quelques mois en arrière dans votre bataille du « je t'aime mais, je te fais souffrir. » Enfin bref. Il avait enfin daigné te faire face et te voilà a parlé, a t'expliqué, a argumenter comme tu le pouvais mais, lui ne semblait pas t'écouter. Il te demandait simplement si tu avais fini avant de pouvoir partir. Alors, qu'il s'apprêtait à faire demi-tour tu te postais devant lui. « Je t'en supplie dis-moi quelque chose. Que tu me hais je ne sais pas dis-moi quelque chose. Insulte-moi, gifle-moi! Mais je t'en supplie ne m'ignore. » Tu le regardais et à cet instant tu savais qu'il avait eu mal à cause de toi. Tu savais que cet homme était celui dont tu avais besoin mais, tu savais que plus jamais tu ne l'aurais. Tu le regardais, il te regardait enfin vous échangiez ce regard plein de remords pour ta part et pleins de haine pour la sienne. Ne baissant pas la tête, tu continuerais à lui faire face jusqu'à ce qu'il t'ai dit ou fait quelque chose.
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C'est vrai que de la revoir ça ne me faisait pas rien. J'ai toujours eu un quelque chose pour elle, pendant ces deux ans je savais qu'elle et moi, quelque chose nous liaient, c'était cet amour si puissant et destructeur qui nous consumait mais c'est du passé. Mais que sa main se pose sur mon bras pour que je puisse me retourner, oui je fus parcourus de frissons mais je ne fus pas déstabilisé pour autant, je l'écoutais monologuer, entendre ses plénitudes, les détails de son départ et j'en passe. Franchement j'en avais plus rien à faire, elle a réussit à conquérir ce cœur qui fut bien trop longtemps fermé, je lui ai donné tout l'amour que j'avais, je suis tombé amoureux, et la voilà à se casser, à me laisser, l'amour que je lui portais c'est transformée en blessure, maintenant ce n'est plus qu'une cicatrice qui à plus ou moins réussit à se refermer mais là elle vient de la casser, encore. Je lui demande si elle a finit de baver avant de faire demi-tour pour partir le plus loin possible d'elle mais là voilà à revenir se planter devant moi, me demander de dire quelque chose, je la regardais, je ne quittais pas son regard, je voyais toute cette peine qu'elle avait, qu'elle la garde, j'en avais plus rien à faire maintenant T'es revenu pour quoi au juste ? pour moi ? Pour tes études ? J'attends ta réponse, tu seras pas du tout déçue de la mienne, enfin si énormément je pense.

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Son visage était tellement fermé. Toutes les fois où il avait été fâché, en colère contre toi n'était rien comparé à cet instant présent. Tu pouvais lire dans ses yeux que tu ne faisais partie de son passé qui l'avait brisé. Ça te faisait mal de savoir, qu'il t'avait rayé de sa vie, comme on raye un nom sur une liste électorale. Tu avais voulu qu'il te dise quelque chose et sa question fût des plus compliqué à répondre. Tu le regardais, son regard était dur mais, le tien n'était pas plus doux. Tu ne voulais plus, tu ne voulais plus te laisser abattre. « Pour toi. Pour mon diplôme peut-être aussi mais, en majeur partie pour toi. Pour Harvard, Cambridge parce que ma vie est ici. » Il t'avait bien entendu mais, il n'en avait rien à foutre je crois. Si c'était à ton tour de lui poser une question tu savais de suite laquelle tu allais lui poser. « Tu as quelqu'un d'autre ? » La réponse risquait d'être dure à digérer, elle risquait de rester coincée pendant des mois et des mois mais, tu voulais savoir. Il fallait que tu sois fixé. Contrairement à ce qu'il pourrait penser, tu ne l'a pas tromper une seule fois en neuf mois. Tu as passé ton temps entre les séances de chimio, ton lit et tes toilettes à cause des rayons qui te faisaient vomir. Tes cheveux étaient tombés et ils avaient repoussé aussi long et aussi beau que d'habitude. En fait, tu t'es juste éloigner d'Harvard, de Konrad pour revenir aussi fraîche voir encore plus qu'au départ.
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Elle ré-ouvrait cette cicatrice qui avait mit neuf mois à se fermer. Elle a réussit à me faire me sentir aussi mal que quand elle est partit, bordel pourquoi ? Elle aurait pu au moins me prévenir et là tout aurait été différent, tout. Je n'aurais pas été voir ailleurs, je n'aurais pas été redevenu ce connard libre et rebelle qui profite de tout et qui s'en fou de tout, juste une putain de lettre ou un putain de coup de fil et tout aurait été différent, je l'aurais attendu non pas deux mois mais jusqu'à aujourd'hui. Je lui demande alors pourquoi elle est revenu et évidemment elle me répond que c'est pour moi en majorité, je souris comme un con, non pas heureux qu'elle réponde ça, c'est totalement ironique Conneries. je le pensais sincèrement, elle aurait pu rester et on aurait trouver une solution ensemble mais non elle a préférée se barrer sans donner de nouvelles neuf putains de foutus mois alors oui je vais répondre à sa question, en la regardant bien dans les yeux Tu crois vraiment qu je t'aurais attendu neuf putains de mois ? Tu m'as même pas adresser une seule petite lettre ou un foutu coup de fil, je t'es attendus deux mois, deux mois où je culpabilisais sur ce que j'avais pu faire ou dire, deux putains de mois où j'ai attendu que tu reviennes mais non rien que dal, nada ! alors j'ai lâché l'affaire et je suis redevenu ce que tu as empêcher que je sois lorsque je t'aimais, ce putain de connard. J'ai retouché à la coke, aux vagins et oui j'ai quelqu'un d'autres, depuis deux mois tu vois, et j'espère que tu m'as bien entendu, Je... suis... aux... anges. qu'elle m'en foute une, qu'elle fasse ce qu'elle voulait, j'en avais plus rien à faire, Grace St-James c'était du passé.

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Tes paroles étaient plutôt douces. Tu voulais juste savoir s'il avait trouvé quelqu'un d'autre et voilà qu'il te balançait dans la gueule une multitude de reproches plus ignoble les uns que les autres. Enfin non, ils n'étaient pas ignoble, ils étaient justifiés. Tous justifiés. Tu ne disais rien. A vrai dire, tu n'avais rien à dire. Tu baissais doucement la tête avant de la relever brusquement. « Mais t'appeler pour te dire quoi ? Pour te dire que je t'aime. Pour te dire que tu me manques. Pour te dire que j'ai envie de te revoir mais, que je n'ai plus de cheveux, que je baisse trente-cinq kilos, que je suis livide, que je n'arrive quasiment plus à marcher et que je vomis toutes les dix minutes. C'est ça ? C'est ça que tu voulais savoir ? » Tu le regardais avec tellement de hargne, qu'il serait bien obligé de te répondre avec autant de haine peut-être mais, il te répondrait. Et peut-être qu'il comprendrait que tu n'avais pas envie qu'il te voit dans cet état minable. Tu n'avais peu eu envie que ton copain te voit limite anorexique, chauve, à vomir. Tu n'avais pas voulu qu'il te voit à l'article de la mort. C'était peut-être dur à comprendre, c'était peut-être impossible à comprendre pour lui, car quand on aime on n'essaye pas de se cacher mais, à ses yeux tu voulais rester belle, sexy, foudroyante au premier regard. Au final, en partant tu n'avais fait que le perdre.
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Elle avait demandée, je venais de lui répondre et pas de la plus jolie manière qu'il soit, je lui envoyais dans la gueule tous pleins de reproches, de merdes, elles étaient autant justes qu'horribles mais c'est ce que je ressentais et là voilà à essayer de se justifier, j'en ai ma claque, je soupire même tellement j'en ai marre Oui c'est ça que je voulais savoir, tu sais j'étais amoureux de toi, je t'aurais même aimé dans un fauteuil roulant avec deux jambes en moins. Mais pour toi ça semblait pas clair, j'ai du me tromper au final, t'étais pas à la hauteur de mes attentes. je soufflais une fois de plus, j'en pouvais plus là. Trouve toi un autre larbin à aimer et à faire souffrir, moi j'ai eu ma dose. je m'éloignais d'elle pour venir frapper dans un casier avec toute la force de mon poing, j'avais cette rage en moi, fallait qu'elle sorte, et c'était elle qui l'avait fait ressurgir, elle m'avait fait tant de bien à enfermer le plus mauvais de moi et là elle vient de le faire ressortir, merci Grace, merci beaucoup.

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