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I don’t need anything else today, because I got you - liangelo

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La semaine venait de s’achever. J’étais épuisé. Depuis un certain temps, j’avais décidé de bosser dur pour une fois. Je  ne sais pas, je suis motivé en ce moment, alors voilà! Aussi, mercredi j’avais pris une de ces cuites dont je me remettais à peine. Je sais! Pas très futé… Mais bon, c’était mon anniversaire. So je peux faire ce qui me plaît. Donc mercredi, j’ai fait la fête avec des copains jusqu’à l’épuisement. Les photos sur facebook sont là pour me rappeler combien j’ai fais le con. Lior n’avait pas pu être là. Ça m’a un peu refroidi, déjà que cette année, j’étais plutôt nostalgique. Pour une fois depuis longtemps, j’ai songé à mon enfance, mes nombreux anniversaires à cette époque, mais surtout mes parents. Je n’arrive toujours pas à expliquer ce coup de blues , qui persiste encore aujourd’hui. En tout cas, je me suis consolé avec ma copine Tequila cette soirée-là!
Après mon dernier cours,  en fin d’après-midi, je suis rentré illico à la résidence. Sur le pilote automatique, je n’ai pas pris le temps saluer personne en chemin dans le couloir qui menait à ma chambre. Voir je n’ai même pas pris le temps de fumer une cigarette après mon cours, une habitude pour moi, et une façon de marquer la fin de la semaine. Il n’y avait pas grand monde de toute façon. Nous étions vendredi, ce qui voulait dire fiesta chez les Mathers. En arrivant dans ma chambre, je laissais tomber mon sac sur le plancher et poussai un long soupir. Je fermai les yeux, pour savourer le silence  qui régnait dans ma chambre. Je souris et retint un rire en songeant à combien j’avais du négocier pour avoir cette chambre à moi tout seul. Je n’avais pas voulu partager de chambres pour deux raisons : la drogue et Lior. D’abord, j’avais mon stock de cocaïne que je devais cacher de tous, même de celle qui comptait le plus pour moi. Personne savait que je dealais pour payer mes études, sauf mes clients. Ensuite, je tenais à mon intimité avec ma fiancée. Dios moi! Chaque fois que je dis ce mot, faut que j’aie ce sourire débile scotché au visage. songeai-je. Bon…
Après un bon moment, j’enlevai mes baskets et me jetai sur mon lit, presque les yeux fermés. J’étais sur le point de m’endormir. Le calme de la pièce n’avait fait qu’accentuer ma fatigue. Je laissai  le sommeil venir.  *Il ne manque qu’elle…* songeai-je avant de tomber dans les bras de Morphée.
Je me réveillais quelques heures plus tard, un peu plus énergique. La chambre était dans un noir total. Cependant, j’étais encore fatigué et cela n’avait rien avoir avec un manque de sommeil. Je sentais ce poids sur mon cœur, qui me pesait au point où respirer m’était presque douloureux. Je quittais mon lit contrarié, puis j’allais  chercher à tâtons mon paquet de cigarette et mon briquet dans mon sac.
Reprends-toi mon vieux! Tu perds la tête…me sermonnai-je à voix haute. Je savais ce que j’avais. J’étais en manque. Elle me manquait et l’admettre me frustrai encore un petit peu, même aujourd’hui. J’allais bientôt me mettre la corde autour du cou, corde que je m’étais mis moi-même, toutefois je voulais rester ou plutôt prétendre que j’étais toujours indépendant. !  
De...Toute …Façon…j’ai déjà perdu  la boule depuis longtemps déjà! ,me résignai-je, la clope au bec. Je l’allumai, puis tirais dessus, inhalant ma dose de nicotine. J’allai m’allonger sur mon lit et songeait que j’étais bien comme ça. Ce soir , je ne ferais rien du tout pour une fois…Mais si j’entends  la moindre animation ou agitation dans la salle commune, je ne promets rien!
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D'accord  en ce moment j'assurais pas beaucoup, j'étais pas la meilleure fiancée de la terre puisque cette semaine je n'avais pas pu être très présente pour Deangelo. J'avais pourtant une folle envie de le voire, d'être tout le temps avec lui mais mon emploi du temps avait été charger cette semaines. Pourtant j'avais pu constater sur facebook que mon fiancé, wouah la chance que j'ai, c'était bien amusé avec ces potes pour son anniversaire. D'ailleurs je m'en voulais beaucoup de ne pas avoir pu être là pour l’événement , un match important pour le championnat de volley, je devais donc jouer obligatoirement et j'avais ensuite dû rentrer pour étudier, le lendemain j'avais un devoir sur table. J'avais par tous les moyens possible tenter de trouver une solution, un moyen de me racheter parce que je n'aimais pas le délaisser, surtout en ce moment que je le sentais pas bien, il avait l'air soucieux, parfois triste et je ne supportais pas de ne pas le savoir entièrement heureux. J'avais donc décidé ce soir de lui préparer une surprise quelques chose que j'avais organisé avec ses potes de la Mather. J'avais demander à avoir le jardin pour nous ce soir, un dîner aux chandelles sous les étoiles. J'avais donc passer ma soirée à tout préparer alors que mon complice c'était assurer qu'il ne sorte pas pour ne rien découvrir. J'étais réellement excité de lui faire ça et je lui devais tellement. Depuis cinq ans, il avait été patient, présent, à l'écoute et tellement amoureux de moi que je me demandais parfois si je méritais autant d'amour. J'avais eus cette chance de le croiser un jour et j'avais eus l'honneur de découvrir qu'il était l'homme de ma vie. Il avait même choisie de m'avoir comme épouse et j'en étais tellement fière. J'avais alors été me changer dans la salle de bain commune, enfilant une robe en dessous de ma veste et je m'étais dirigé dans le couloir pour atteindre la chambre de mon fiancé. Je ne prenais pas la peine de frapper, j'ouvris la porte et je le vie  allongé sur son lit. Mon sourire s'agrandis, immédiatement j'allais vers lui et j'allais poser mes lèvres sur les siennes dans un tendre baiser, remplie d'amour. J'avais du temps à rattraper et je comptais faire de cette soirée la plus belle qui soit. Je posais ma main sur sa joue ouvrant de nouveau les yeux. Bonsoir, mon amour ! Je le regardes dans les yeux, caressant son visage, je sourie doucement. Habille toi, j'ai quelques choses d'important à te montrer. J'étais pleine de mystère, évidemment c'était fait exprêt et j'attendais qu'il se lève pour pouvoir me suivre par la suite j'étais presser de pouvoir voir son visage en voyant ce que j'avais préparer par amour pour lui.
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Je ne sais pas pourquoi, je suis soudainement si nostalgie. L’absence de mes parents depuis maintenant 15 ans ne m’avait jamais dérangé. Au contraire, jamais je n’ai demandé à Estèla de leurs nouvelles, j’y pensais à peine. Ça doit être l’âge alors…Et ben oui , je commence à me faire vieux! Bon,puis ce sera quoi après,hein?
En tout cas, je comptais garder les choses comme elles étaient,bien que ça me démange un peu. Il n’était pas question,cependant que je m’informe de leur état ,encore moins que je les revois et surtout que je leur présente ma fiancée. Oh puis qu’il aille au diable ces deux-là! décidai-je un peu énervé, manquant de m’étouffer avec la fumée de ma cigarette. Je toussai, ce qui ne fit que m’agacer d’avantage. Plus ça allait, plus j’étais de mauvaise humeur. Alors, je me relevai sur mes coudes ,attrapai mon cendrier sur ma table de chevet encombrée d’objets de toute sorte et écrasais ma cigarette à moitié entamée. Je me ralongeai ensuite et fermai les yeux. Je respirai profondément afin de retrouver mon calme. Je m’imaginais sur la plage d’Acapulco sous un soleil plombant en train de me faire dorer. Bien sûr ,ma princesita serait à mes côtés.Dans un joli bikini qui ne laisserait pas grande place à l’imagination. Cette pensée m’arrachait un sourire.
Nous avions eu chacun une semaine de fou. J’avais manqué l’occasion de la voir bouger dans son joli petit short moulant à son important match de volley mercredi. Mais j’attends le prochain match avec impatience! Je mourrai d’envie de la voir ce soir, mais j’étais trop orgueilleux pour l’appeler. Mais en même temps, je n’étais pas au meilleur de ma forme. Je ne voulais pas qu’elle me voit comme ça. Ma chérie allait s’inquiéter ,ça c’est sûr. Puis je ne voulais pas lui parler de mes tracas. Cela m’obligerait à lui dévoiler plein de trucs désagréables sur ma vie passée et présente . No way!
Même après cinq ans,presque six, ensemble , je ne la croyais toujours pas prête à entendre tous ces trucs. Je lui faisais confiance ,oui. Plus que la plupart des gens que je connais dans ma vie. Seulement, je ne voulais pas lui infliger cela. C’est un ange. Je ne sais pas comment elle a pu tomber amoureuse de moi. Sûrement qu’elle a du renoncé à ses ailes pour moi dans sa chute, qui sait…
Je lui ai menti aussi beaucoup sur mon passée. Elle croit que j’ai eu une adolescence normale,que j’ai été au collège,au lycée… Je lui ai même dit que mes parents vivaient à Miami et que je les télephonai à chaque semaine.Puis pour tout cet argent que j’ai, je lui ai dit que j’ai gagné à la loto… *Mierda. je ne suis qu’une ordure…* songeai-je en grimaçant. Je ne la méritai pas ,pourtant elle m’a dit oui en janvier dernier. C’est que Dieu devait avoir un peu de pitié pour moi ou peu pour elle… Peut-être c’est parce que je l’aime tellement que le Seigneur a fermé les yeux sur mes fautes et m’a permis de la garder assez longtemps à mes côtés pour que son regard puisse finalement se tourner vers moi… La tête pleine de pensées positive, je souriais.

Mmmm… fut le seul son que je pu articuler lorsque mes lèvres se firent kidnapper. *Bon ça y est , on m’agresse!* pensai-je. Figé sur place,je songeai à me débattre, mais je ne me sentais pas en danger. Sinon mes yeux étaient encore fermés. Je connaissait cette bouche,ses lèvres. SES lèvres. Un frisson de bonheur me parcouru le corps. ELLE.
Je répondis alors à son baiser avec la même tendresse qu’elle employait. Par contre ,on sentait une pointe d’avarice dans le mien. Je la gardai fermement contre moi,mes mains parcourant  sans la moindre hésitation ce corps que je connaissais si bien. Je restais toutefois un gentleman et gardai mes mains aux bons endroits. Pour l’instant. Lorsqu’elle rompit le baiser, j’ouvris finalement les paupières.

Bonsoir mon coeur.
Je posai ma main sur la sienne,l’autre caressant ses cheveux. J’étais captivé, comme toujours par sa beauté.En total admiration,presque ému. Le coeur battant à la chamade,elle caressait mon visage. J’arquai un sourcil, lorsqu’elle me dit de me préparer.
Important?M’habiller? Tu m’emènes où ma tigresse? ,lui demandai-je intrigué en caressant sa lèvre inférieure de mon pouce. Je m’asseyai sur le lit rapidement et l’attrapai par la taille soudainement l’obligeant à s’asseoir sur mes genoux.
J’exige des indices !, fis-je en posant un rapide baiser quoique appuyé sur son cou. J’étais tout d’un coup excité et avait retrouvé un peu de mon entrain. J’adorais les surprises et elle le savait bien.
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Ces derniers temps, je pense pas mal à mes parents moi aussi, je ne sais pas si c'est le fait que je vais me marié que j'aurais souhaiter les avoirs auprès de moi mais je me sens  tellement  loin  de chez moi, le Mexique me manque souvent. Je me demande parfois si ma vie aurait été là même si je n'étais jamais partie à Mexico chez mon oncle. Mes parents auraient ils pu s'en sortir avec nous trois auprès d'eux, est ce qu'il fallait vraiment que je quitte la maison ? Je ne sais même pas si mes frère et sœur son marié, heureux cette séparation à laissé un vide entre nous. Aujourd'hui proche de la trentaine je me rends compte qu'ils ont du vivre des événements important auquel je n'es pas participé. Il y a plus de liens entre mes cousins et moi qu'entre mon frère, ma sœur et moi. Je sais que cette partie de moi sera toujours vide, je tente comme je le peux de la combler en aidant ceux qui m'entoure en me nourrissant d'un amour autre que celle de ma famille mais ce n'es pas toujours évident.
A ce moment précis j'étais dans le jardin des Mather entrain de préparer la table, les chandelles, les décorations, tout ce qui pouvait faire que cette soirée serait magique pour lui et moi, une manière de me faire pardonner pour avoir manqué son anniversaire. Ce match de volley était réellement important, j'avais donné le meilleur de moi même ce soir là, nous avions même remporter le match mais mon cœur était rester avec mon amoureux de fiancé pour  la fête d'anniversaire organiser avec ces amis. Je devais bien avouer que j'aurais vraiment souhaiter être la pour lui parce que c'était un peu mon rôle en tant que futur femme mais j'avais pas pu manquer ce match. Alors comme il adorait les surprises j'étais entrain de lui en préparer une belle. Des bougies partout dans le jardin, des lumières, un dîner avec tout ses plats préféré, la complicité de ses amis qui avaient accepté que j'empreinte leur jardin. De plus j'avais remarqué que ces derniers jours Deangelo était pas du tout le même , il était soucieux et ça m'inquiétais un peu, j'aimais qu'il soit joyeux, qu'il est envie d'amuser la galerie, mais celui d'en ce moment semblait morose. Je pensais qu'il m'en parlerait le moment venu je n'étais pas du genre à forcer, j'aimais qu'on se confie  à moi parce qu'il le voulait non parce que je les avais soûler pendant une heure. J'espérais tout de même qu'il finirait par me parler parce que je redoutais qu'il regrette sa demande, qu'on soit allé trop vite et qu'il veuille faire marche arrière. Peut être même qu'au boit de ses presque six années il se lassait de moi.
J'étais enfin entré dans sa chambre alors qu'il avait les yeux clos mes lèvres s'étaient déposé sur les siennes, mes mains pouvant enfin retrouvé son contact, se posèrent sur ses joues pour l'intensifier un peu plus, alors qu'il me rendait se baise. Ses mains trouvèrent mon corps et je frissonnais comme à chaque fois, ce que ça pouvait être jouissif de le sentir comme ça contre moi. Même si j'aurais pu l'embrasser pendant des heures, je rompais le baiser parce que j'avais hâte qu'il découvre ce que je lui avais préparer. J'ouvris les yeux et mon sourire s'intensifia devant sa beauté, je caressais sa joue avec tendresse, réalisant pour la énième fois combien j'étais chanceuse d'être aimée de lui.Sa main caressa mes cheveux, j'aimais sentir son contact nous étions toujours très tactile l'un envers l'autre sans doute parce qu'on était très amoureux. Avec lui je ne savais jamais si mon cœur battait plus vite ou plus lentement il arrivait à créé ça chez moi et ça prouvait combien je pouvais en être éprise. C'est une surprise, je peux rien te dire mais sache que je suis encore désolé de ne pas avoir pu assister à ton anniversaire, mi amor Je sentais son pouce caresser ma lèvre et alors que je passais sur ses genoux je ne pouvais pas résister d'avantage à me jeter de nouveau sur ses lèvres avec amour, tandis que mes bras entourèrent son cou. Il quitta mes lèvre pour mon cou se qui me fit frémir, je relevais un peu la nuque pour qu'il y es totalement accès alors que je sourie en sachant qu'il voudrait déjà savoir.  Un indice très bien, humm je t'aime. Je le regardais dans les yeux, alors que mes doigts caressaient sa nuque tendrement, j'aurais pu passer le reste de ma vie à lui répété que je l'aimais, j'étais tellement bien avec lui, j'avais hâte de devenir sa femme.
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J’étais quand même chanceux. J’avais plus ou moins accepté le rejet de mes parents. Puis j’avais ma grand-mère et ma petite sœur qui m’adorait pour compenser. Ce n’était pas aussi simple pour Lior. Elle s’était exclu elle-même de sa famille pour qu’il ne découvre pas qu’elle était lesbienne. Je dis bien lesbienne, car selon moi, je n’ai pas changé grand-chose à son orientation. Je suis simplement l’exception à la règle. Si ce n’étais pas moi, elle serait  sans doute en couple avec une fille. Le fait d’y penser, je l’avoue, flatte mon égo. Cependant, je n’ai jamais compris son attirance pour moi. Je suis beau, c’est vrai, mais qu’ai-je de si particulier qui a su capter son attention depuis tout ce temps? Je l’ignore encore.
Sinon, je me demande souvent comment elle fait pour ne pas broyer dans le noir comme moi. Au fond, je savais qu’elle s’ennuyait  d’eux. Terriblement. Un jour, peut-être bientôt elle leur donnerait un signe. Je le souhaitais en tout cas. En fait, j’aurais voulu intervenir, mais je ne voulais pas la brusquer. Il fallait que l’envie vienne d’elle.
Je soupçonnai que c’était pour cette raison en particulier que Lili’ s’impliquait autant auprès des autres. Généreuse, elle donne et donne encore. Elle veut aider, elle veut faire plaisir, mais à quand son tour ? Je me doutais et elle me l’avoua elle-même : elle avait préparé cette surprise pour se faire pardonner. Cela me fit sourire. Pardonner quoi? D’avoir manqué mon anniversaire? Bien sûr. Je comprenais, malgré le fait qu’il m’arrive souvent de ne penser qu’à moi et de faire l’ado qu’il fallait que je la partage avec ses horaires souvent chargés et ses nombreuses activités. Ça allait de ce côté-là. Je n’étais pas du genre possessif et encore moins jaloux, contrairement à Lior.
Elle avait joué un important match le jour de mon anniversaire, mais je sais qu’elle aurait préféré être à mes côtés à ce moment. Et moi aussi. Mais maintenant que je songe à combien j’étais outrageusement saoul, je me dis que ce n’était pas si grave. Je lui ai épargné la catastrophe de fin de soirée.
Seul moi sais pourquoi j’ai bu comme un trou cette soirée-là. Pour noyer mes soucis, c’était une de mes méthodes favorites. Évidemment, je ne me suis pas senti mieux après. Mais je n’ai rien montré à personne. J’ai tenté de jouer le jeu, même devant  la femme de ma vie, et prétendu que tout allait bien. Je crois qu’elle m’a cru, en tout cas je l’espère.

Ne te bile pas pour ça querida.C’est du passé. On est dans le présent alors profitons-en, la rassurai-je. Elle refusait de m’en dire plus sur cette surprise sinon, sauf que c’était une surprise…No shit Sherlock! J’insistai encore et employai les grands moyens pour obtenir des réponses. Je la senti frémir lorsque je l’embrassai dans le cou, ce qui me fit sourire. Je souris davantage lorsqu’elle releva la nuque pour  me donner un accès total.
Toutefois, je m’éloignai un peu, surpris  par sa soudaine déclaration d’amour, pour trouver ses yeux. Je restai abasourdi pendant un instant. Ces mots-là  avaient toujours le don de me clouer sur place.
C’est ton indice, ça? Je pris un faux ton indigné. Je devrais être déçu, mais non. fis-je ironiquement. J’adorais la sensation de ses doigts sur ma nuque. Prenant  son visage entre mes mains, j’embrasai son front.
Te amo mucho más. , lui chuchotai-je. Puis je l’embrassai, longuement. Quand je mis fin au baiser, je l’écartai de moi et me levai. Mon regard se promena un peu partout dans la chambre. Je me retournai pour la regarder. Je ne savais pas quoi mettre et je n’avais aucune idée de ce qu’elle portait sous cette veste. J’étais tenté de la lui enlever, mais j’aurai été tenté lui arracher le reste de ses vêtements. Un sourire coquin traversa mon visage pendant un instant. Bon, j’allais devoir improviser. Je scrutai la pièce pour trouver quelque chose dans ce fouilli. J’attrapai une paire de jeans bleu moyen que j’échangeai rapidement contre la paire noire que je portais. J’envoyai promener mon autre jean à travers la pièce, me doutant que Lili devait être en train de se régaler devant ce spectacle. Elle n’avait pas fini de me voir celle-là… J’allai  chercher des chaussettes propres dans ma commode et enlevai le t-shirt blanc que je portai. Je retournai à ma commode et trouvai par miracle un chandail noir impeccable et plié! Je le mis. En revenant vers mon lit, je trouvai un foulard gris et mes souliers en cuir qui trainait. Quand je fus finalement habillé, je mis un peu d’eau de cologne  venant de la bouteille qui trainait sur ma table de chevet.
Enfin prêt, je revins vers elle. Je l’embrassai rapidement.
Je suis prêt ! On peut y aller bébé? Je lui tendis ma main, l’air imperturbable. Toutefois, j’étais impatient de découvrir sa surprise. Elle se donnait toujours tant de  mal pour me faire plaisir et c’est une des raisons pourquoi je l’aime tant, que je l’aimerai. Para siempre.
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Je ne suis pas une fille qui s'accroche corps et âme à sa famille, j'ai très bien appris à m'en passer mais c'est vrai savoir que javais me marié et qu'ils ne seront pas à mes côtés, que je ne verrais pas le regard fière de ma mère, lorsqu'elle m'aurait vu en robe de marié ou bien être au bras de mon père en me lançant dans l'allée me fait réalisé qu'il me manque vraiment beaucoup. Je ne connais rien de mon frère et ma sœur, je ne sais même pas si mes parents ont des soucies de santé, si mon père n'a pas prit une balle peut être même qu'il est décédé et je ne le sais même pas. Mon cœur se serre doucement en y pensant je ne suis pas la fille qu'il attendait de moi quoi que je les fais pour ne pas les décevoir. Apprendre que j'étais lesbienne aurait pu leur faire plus de mal encore.
Pourtant aujourd'hui j'étais tres heureuse avec Deangelo, je n'étais pourtant pas du tout voué à tomber amoureuse d'un homme bien au contraire, je pensais que je me serais trouvé une femme avec qui ça aurait tout de suite collé. Mais sur ce bateau j'ai tout de suite qu'il y avait quelques chose de différent chez lui, sans doute pour ça que j’avais insisté pour que l'on reste en contact tout les deux. Je me rappelle qu'après ça, l'année ou nous avons été séparé fut très dure je n'avais jamais exprimer un tel manque d'une personne avant lui, en deux semaines ils avaient pris une grande place dans ma vie mais je n'étais pas encore apte à comprendre que c'était l'homme de ma vie qui venait de s'inviter dans ma vie. Mais lorsque nous nous sommes trouvé, très vite je me rendais compte que lui était différent qu'il faisait battre mon cœur plus vite, je ressentais une grande jalousie en le voyant ramener ces autres femmes avec qui ils couchaient et j'étais devenu incroyablement possessive je n'étais clairement plus moi même. En tout cas je n'avais pas besoin de ma famille, enfin je tentais de m'en convaincre après tout j'avais l'amour de Deangelo, ça me semblait fou qu'il puisse m'aimer autant et qu'il est été près à faire de moi sa femme. J'avais aussi tout fais pour nourrir l'amour dont je manquais dans mes voyages, dans mes rencontres essayant d'aider ceux qui en avait le plus besoin. En tout cas ce soir, je veux montrer à l'homme de ma vie combien il compte pour moi, combien je l'aime en lui offrant ce dîner en tête à tête. Je n'avais pas encore compris ce qui troublait autant mon fiancé ces jours ci, c'est vrai j'avais la sensation qu'il n'avait plus vraiment le goût à l'amusement, préférant le calme de sa chambre, je voulais lui redonner le sourire bien qu'il ne soit pas près à me dire ce qui le troublait autant ces derniers jours. Il m'informa que je devais pas m'inquiété au sujet de son anniversaire mais il me connaissait assez pour savoir que j'allais me rattraper que je ne pouvais pas rester sans rien faire. Passé ou non, dis toi que c'est une manière pour moi de te montrer combien, je suis fière de partager ta vie. Il tentait à présent de me soudoyer des réponses par le point sensible embrassant sensuellement mon cou, je frémissais et tentais de tenir bon car il savait vraiment s'y prendre avec moi. Puis lorsque je lui disais je t'aime, son regard trouva le mien et je lui sourie tendrement. Je rie amusé en sachant qu'il attendait un autre indice mais je fus agréablement surprise de sentir son baisé sur mon front et ça déclaration à son tour me réchauffa le cœur. Nos lèvres se trouvèrent à nouveau et je prolongeais son baiser avec envie, nos langues se joignèrent et le baiser dura quelques minutes, mon corps s’enflammait sous ses caresses mais il fallait pas que je craque je devais m'en tenir à ma surprise, il s'écarta de moi et je le regardais faire un streaptease, enfin s'habiller enfaîte mais c'était agréable à voir il était véritablement sexy cet homme. Je le regardais enfilé une tenue qui serrait son corps j'avais très envie de lui en le voyant mais je tentais de rester concentrer en le voyant. Je le regarde en souriant alors qu'il était prêt un baiser sur mes lèvres il me tendit sa main pour que nous puissions y aller. Je prenais l'écharpe qu'il avait laissé et je lui entourais autours des yeux pour qu'il ne voit plus rien. Allons y mon cœur. Je prenais sa main doucement et l'aidais à marcher dans le couloir, puis nous atteignons les escaliers descendant pour arriver à la porte conduisant au jardin. Je continu de le guider puis je me mets devant lui. Voilà mon amour, ouvre les yeux. Je lui retirais l'écharpe des yeux puis il pus enfin voir la table décorer de pétales de roses, les lumières ainsi que les bougies partout, j'espérais sincèrement qu'il serait ravie de cette surprise.

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De mon côté comme du sien, les choses étaient compliqué. Trop peut-être. Parfois, il m’arrive de penser qu’il serait mieux pour nous deux que nous formions notre propre famille. Je m’imagine pendant un instant père, pas longtemps toutefois…Ça me fous la frousse. Je préfère amplement le moment présent. Je vis d’ailleurs la meilleure période de ma vie avec elle.  Il faut que j’en profite.  En effet, mon rêve, mon souhait ou plutôt mon fantasme-parce que vu les circonstances d’autrefois cela relevait de l’impossible- s’était réalisé. Qui l’aurait cru ? Si quelqu’un m’avait dit qu’un jour Lior deviendrait ma femme, je lui aurais rit au nez direct. Et pourtant, c’était bien vrai. J’ignore comment ni pourquoi, pero ella se enamore de mi. Je devais sans doute avoir ce « je ne sais quoi », que j’ignore, qui l’attirait. Moi, ce qui m’avait attiré et encore m’attire chez elle: su luz. Cette lumière en elle, qui savait m’éclairer dans les moments sombres de ma vie. Aussi, parmi toute la foule qu’il y avait sur ce bateau, c’est sur elle que mes yeux se sont posés automatiquement. Brillante et magnétique comme une étoile, j’ai tout de suite été attiré. Et je n’ai plus jamais voulu la perdre. Notre correspondance durant les mois qui ont suivi ne m’ont bien sûr pas suffi. Je m’étais rapidement lassé de mon aventure en Europe et m’était trouvé une nouvelle passion, la cuisine. Je suis donc revenu à Boston. La meilleure décision de ma vie. Après, notre relation a évolué graduellement. Entre nous, il n’y avait eu que de l’amitié, bien que je rêvais secrètement de plus. Notre relation a pris soudainement une tournure étrange lorsque soudainement Lili commençait à se montrait très possessive et jalouse. D’ailleurs, elle ne supportait pas que je puisse coucher avec des filles. Je ne lui cachais rien non plus. Je ris en pensant au fait que ça n’a pas changé depuis. Je trouve ça encore mignon, .même plutôt sexy quand elle est jalouse. J’adorais le fait qu’elle tienne autant à moi. Je la comprenais même : elle est le centre de ma vie et moi le sien. C’est ce qu’elle voulait me montrer ce soir, avec sa surprise. Je me concentrais sur ça et déjà j’allais un peu mieux. Elle avait cet effet sur moi. Encore, je ne pouvais rester de glace au contact de son corps. Comme lorsque je  la tenais tout à l’heure dans mes bras. Cette dernière non plus n’était pas insensible à mon charme. J’avais bien senti son corps frémir sous mes caresses expertes. Je devrais l’acclamer cependant : cette diablesse savait s’y prendre comment me faire perdre le contrôle, plus que quiconque. J’ai bien cru que j’allais le perdre,d’ailleurs, alors que nous échangions ces derniers baisers enflammés. Pendant une seconde, j’avais laissé ma fougue prendre le dessus, mes mains s’égarer sur son corps de déesse. J’ai bien du y mettre fin et aller me changer. Pour mon bien et pour le sien. Je ne voulais pas aller plus loin pour l’instant. Je voulais voir ma surprise maintenant. Les câlins ce seraient pour plus tard.
Enfin prêt , je vins poser mes lèvres sur les siennes et nous étions parti. Elle me surpris une fois encore en prenant mon écharpe pour me bander les yeux.Je ris d’ailleurs. Elle prit finalement ma main et me guidai à travers le couloir,puis l’escalier. Je sentis une brise sur mon visage et avant j’entendis le grincement d’une porte. Je devinais que nous emprétâmes le chemin menant vers le jardin. Je ne pensai à rien, en tout cas j’essayais, au risque de ruiner sa surprise en la devinant.Lorsque nous nous arrêtames enfin, je ne pouvais tenir en place. Heureusement, elle me dit d’ouvrir les yeux et m’enlevais mon écharpe des yeux. Je figeai sur place en voyant  toutes les bougies , qui éclairaient le jardin. Il y en avait partout. Puis mon regard s’arrêta sur la table. Elle était décorée de pétales de roses. On aurait dit une scène comme dans les films romantiques. C’était magnifique , presque féerique. Parfait. Durant mon observation j’étais resté bouche bée, planté là comme une statue de glace. Lorsque je repris enfin mes esprits et retrouvais l’usage de la parole, je me jettai sur elle. Je la serrai dans mes bras  et la soulevai. Ses pieds ne touchaient plus terre et à peine si je lui permettait de respirer. Lorsque je la reposai au sol et la relâchai , je pris son visage entre mes mains. Tu as fais tout ça pour moi, mi amor? fis-je en riant. Je me retournai pour regarder son oeuvre,puis vers elle. Je couvris son visage de baisers puis l’embrassai tendrement. Je ne sais pas quoi te dire…Je…C’est parfait. lui avouai-je soudainement ému. Je n’avais pas remarqué que ma voix s’était un peu enroué. Mais je me repris rapidement. Merci…,parvins-je à articuler en caressant sa joue.


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REPONSE DEMAIN dsl pour mon absence. I don’t need anything else today, because I got you - liangelo 1001568715 
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