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calvin ∞ ariane

Les mains sur les cuisses, la silhouette à demi pliée, je reprends mon souffle. Cela fait bien une heure maintenant que j’ai fuis la maison des Eliot pour prendre l’air, courir pour oublier. Le sport se révèle parfois être un atout de taille pour supporter les pires situations, comme accepter que son meilleur ami ait des sentiments pour une autre fille. Certaines filles joueraient les confidentes, aimeraient tout savoir, seraient heureuses pour le don juan qui leur sert d’ami et qui pour une fois décide de se poser. Moi, j’aime mon Don Juan, je ne veux pas qu’il se stabilise, et encore moins avec une Cabot idiote. L’air s’engouffre dans mes poumons et je refuse d’être une nouvelle fois la proie de toutes ces pensées néfastes, c’est pour les fuir que j’ai décidé de me lever aux aurores pour m’époumoner autour du campus, pas pour les affronter de plus belle. Je me redresse finalement, et monte quatre à quatre les marches de la résidence pour m’engouffrer finalement dedans. L’endroit est calme, presque désert, il est encore tôt et beaucoup profitent de ce jour de week-end pour dormir paisiblement. Moi, je n’y arrive plus, encore et toujours à cause de… Stop. Je dois au moins être capable de contrôler mes pensées à défaut de pouvoir contrôler la vie de ceux que j’aime. Je fonce presque machinalement dans la cuisine, à la recherche d’un petit déjeuner copieux. En temps normal, j’aurai sans doute fait griller des toasts, mis au four quelques croissants, préparer deux cafés et me seraient rendue dans la chambre de Walter pour partager ce repas avec lui, mais aujourd’hui, je n’en n’ai nullement l’envie. Il faut que je trouve une solution. Walter, Faith. Je m’énerve toute seule à penser sans cesse à ce problème. Je pose mon Ipod sur le comptoir de la cuisine, tandis que j’ouvre l’énorme frigidaire pour en sortir des oranges, et du lait. Je m’empare sans réfléchir du presse orange, que j’utilise pratiquement jamais en temps normal. La cuisine me calme, même si je préfère habituellement laisser cela à ceux qui savent le faire. Je coupe d’un coup franc l’orange en deux et la presse de toute mes forces, comme si je pouvais évacuer en même temps que son jus tous mes problèmes. Je réitère l’action avec quelques oranges pour pouvoir avoir une quantité suffisante dans l’immense carafe. Je prépare du café dans un autre coin de la cuisine tandis que j’ai mis des croissants au four. Je les préfère chaud, depuis ma plus tendre enfance. Mis à part mon capharnaüm, aucun bruit ne se fait entendre dans la villa, je suis la seule levée semblerait-il. Je pose pourtant sur l’immense table de la cuisine, une grande panière où j’ai entreposés les croissants chauds et je fais de même pour le jus de fruit frais et le café tout juste prêt. Si qui que ce soit se rend compte que le petit déjeuner a été préparée par moi, ce sera sans doute une inquiétude générale pour celle qui habituellement ne met jamais les pieds dans la cuisine mais j’ai espoir d’avoir fini ma part avant que quiconque ne rentre. Je me laisse tomber sur une chaise et porte à mes lèvres un verre de ce nectar orangé tandis que des pas se font entendre dans la cuisine et qu’une silhouette arrive bientôt dans mon champ de vision. Mes grands yeux clairs dévisagent l’intrus. Il ne s’agit pas d’un élève, je le reconnais presque instantanément. Si nous n’avons jamais eu la chance de nous parler, je sais qu’il est le responsable des Eliot et je m’apprête à l’ignorer. Pourtant, mes yeux ne se détachent pas de son corps dont la musculature se dessine à travers ses vêtements. Pour un professeur je dois avouer que celui-ci est réellement agréable à regarder, et ce malgré que je ne sois pas vraiment le genre de fille à m’attarder sur le professeur juste pour le fantasme que cela représente. « Bonjour. » Dis-je finalement. Je me lève d’un bond, comme si cette rencontre me redonnait un soupçon d’intérêt pour cette journée. Je m’empare d’un verre que je rempli avant de me rapprocher gracieusement de lui et de le lui tendre. « Vous avez énormément de chance ce matin, votre jus de fruit est pressé par une Kennedy. » Lançais-je comme pour me présenter.



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« Tu es tonton ! » criait ma mère au téléphone. Ma sœur venait d’accoucher de sa petite fille. Peu après son départ d’Harvard, elle c’était réconciliée avec ma mère. Même si c’était encore un peu tendu avec ce que lui avait fait mon grand-père. Il n’avait pas supporté qu’elle annule ses fiançailles, mais ce qu’il ne savait pas, c’est que son prétendu fiancé l’avait violé et mise enceinte. Tout ça me filait le bourdon. Le plus dur était que je ne l’avais pas épaulé correctement. Aujourd’hui, elle avait mis au monde la vie et je n’avais pas pu me déplacer pour être près d’elle. Assis à mon bureau, je faisais tournoyer mon fauteuil tout en écoutant ma mère complimenté sa petite fille. Finalement, je réussissais à mettre fin à l’appel. Il était huit heures du matin et j’étais debout depuis plusieurs heures. J’avais très mal dormit, car l’entreprise familiale dont j’étais associé, avait eu un très gros contrat. Je m’étais donc levé pour vérifier les clauses du contrat. Maintenant, je devrais me détendre. Quoi de mieux que d’aller voir les Eliot. J’étais leur professeur responsable et ça faisait longtemps que je n’étais pas passé les voir. Ça ne me ferait pas de mal. Ni une ni deux, j’attrapais ma veste en cuir et filait à la résidence. J’étais vêtue d’un simple jean noir et un t-shirt. Sans doute que j’avais fier allure la dedans, du moins, je savais que ça plaisait à Milena. A son évocation, je souriais tout en conduisant. Quelques minutes plus tard, je ne me garais pas loin de la Eliot House. Je franchissais la porte d’entrée. Tout en regardant autours de moi, je constatais que la maison était vide. A croire que tout le monde, était sortie ou ils dormaient. Bon sang ! Le jour où je décidais de passé, il n’y avait personne. Je commençais par regarder dans le salon, lorsqu’une délicieuse odeur de croissant chaud venait titiller mes sens. C’est à ce moment-là, que je me souvenais que je n’avais rien mangé ce matin. Dieu comme j’avais faim. D’un pas souple, je franchissais la porte de la cuisine. Les croissants étaient posés dans une corbeille avec une carafe de jus d’orange. Une voix féminine venait me saluer. Surpris, je détournais la tête de la nourriture et posais mes yeux sur une ravissante jeune femme. Elle me disait que j’avais le privilège de me faire servir par une Kennedy. Ah oui, c’était elle que l’on avait accueilli récemment. Un sourire se dessinait sur mon visage. « Bonjour. Je ferais mieux d’honorer se privilège. » Je prenais un croissant et je mordais dedans tout en m’asseyant sur une chaise en face d’elle. J’étais content de trouver quelqu’un de vivant ici. « Où sont-ils tous passé ? La maison est vide. »



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« Bonjour. Je ferais mieux d’honorer se privilège. » J’acquiesce tout en l’observant de la tête au pied. J’ai plus souvent été confrontée dans ma vie à des hommes en costard et cravate et j’ai toujours eut un petit faible pour eux mais la veste en cuir de Calvin ne me laisse pas vraiment de marbre. Je regrette de ne jamais avoir eu l’occasion de discuter avec lui avant. Et je décide de remédier à cela dès maintenant. Je ne sais que très peu de choses sur lui, à peine assez pour savoir qu’il est professeur responsable de notre confrérie, qu’il enseigne le russe et qu’il sort avec une élève de l’université. Mais j’ai envie d’en savoir d’avantage et je me laisse tomber sur la chaise qui lui fait face. Il prend place lui aussi et sa voix rauque résonne de nouveau, me sortant de ma contemplation silencieuse.    « Où sont-ils tous passé ? La maison est vide. » Je mordille ma lèvre inférieure tout en dévorant du regard ses grands yeux perçants. « Beaucoup dorment encore à cette heure-ci. Ce qui fait que vous êtes coincés avec moi et moi seule. » Dis-je sur un ton à la fois amusé et espiègle. Je m’empare d’un croissant et mord dedans sans le quitter des yeux. Il y a un petit quelque chose qui se dégage de lui et de sa façon d’être. Sa posture, sa démarche en arrivant, sa façon de me regarder. Mes yeux roulent sur les courbes de son visage. « Rassurez-vous, je suis de très bonne compagnie. » Ajoutais-je. Si j’ai eu vent de son histoire sérieuse avec un Lowell, je ne peux m’empêcher d’avoir cette envie folle de le séduire. Non pas pour briser un couple, je déteste faire ce genre de choses en réalité, bien que je fasse croire le contraire parfois, mais par pur défi. Savoir qu’il ne me succombera pas me rend prête à tout pour tenter tout de même. Certains expliqueront cela par le simple fait que je sois une peureuse lorsqu’il s’agit de sentiments, que c’est plus simple de se lancer à la poursuite d’une proie déjà attrapée. Je leur dirai d’aller se faire foutre avec leur psychologie à deux francs. J’ai juste envie de m’amuser, et je ne me prive d’ailleurs pas de croquer dans mon croissant de manière assez subjective. « Si tous les professeurs étaient aussi sexy que vous, il est clair que le taux de réussite serait plus élevé encore, vous en êtes conscient ? » Dis-je en jouant la carte de la franchise. Je n’y vais pas par quatre chemin, c’est ma façon d’être et je ne la changerai pour rien au monde et même devant un homme si attirant. Parce que clairement, si Calvin n’est pas le genre d’homme pour lequel je serai capable de fondre, il m’attire ce matin. Comme un aimant. Mon corps le réclame. Peut-être que finalement la journée n'est pas si mal partie...

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« Beaucoup dorment encore à cette heure-ci. Ce qui fait que vous êtes coincés avec moi et moi seule. » Alors, comme ça ils avaient décidés de jouir de leur privilège et de jouer aux gosses de riches. Amusant. Pourtant, l’avenir appartenait à ceux qui se levaient tôt. Elle c’était mordillé la lèvre et cela ne m’avait pas échappé. Est-ce que je lui faisais de l’effet ? On peut dire que ce n’était pas la première fois que je lisais ce genre d’expression sur le visage des étudiants. Ce qui était plutôt flatteur. Sa phrase en disait long et je pouvais y déceler le sous-entendu. Serait-ce de l’espièglerie ? Mademoiselle Kennedy voulait-elle jouée de si bon heure ? Amusé, je la regardais mordre dans son croissant tandis que je continuais de manger le mien sans mettre des miettes partout. Je m’amusais de ce genre de situation, mais je n’allais rien faire. A une époque, je l’aurais mise au pied du mur et lui aurait montré les conséquences de ses actes. Peut-être même que j’aurais inversé les rôles, mais aujourd’hui c’était différent. Il y avait Milena. « Rassurez-vous, je suis de très bonne compagnie. » Je me levais avec toute la souplesse dont j’étais capable et je me servais un verre de jus d’orange. Je me rasseyais tout en buvant une gorgée. Ce ne fut qu’à ce moment-là que je lui répondais. Mes yeux pétillaient de malice. « Je n’en doute pas Mademoiselle Kennedy » J’appuyais bien sur les derniers mots de ma phrase tout en savourant sa réaction. « Si tous les professeurs étaient aussi sexy que vous, il est clair que le taux de réussite serait plus élevé encore, vous en êtes conscient ? » Ses mots provoquaient un doux rire. On peut dire qu’elle était directe et c’était tout à son honneur, mais elle avait choisis la mauvaise personne pour ça. « Je n’étais pas sûr d’en être conscient, mais vous venez d’éclaircir une de mes nombreuses interrogations. » Je plantais franchement mes yeux dans les siens. Un sourire malicieux apparaissait sur mon visage. « Et vous, êtes vous consciente que c’est interdit de faire des avances à un professeur ? »



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« Je n’étais pas sûr d’en être conscient, mais vous venez d’éclaircir une de mes nombreuses interrogations. » Je suis ravie de voir qu’il entre petit à petit et peut-être malgré lui dans le petit jeu qui rend ma matinée beaucoup moins ennuyante. « Vous voyez, heureusement que vous avez croisé mon chemin ce matin. » Dis-je tout en lui souriant, d’un sourire charmeur et satisfait. J’ai toujours beaucoup aimé séduire, je suis joueuse et chaque homme est une nouvelle énigme à comprendre. Certaines disent qu’ils sont tous pareil, mais c’est faux en réalité. Chaque homme a ses goûts, ses habitudes, et surtout son genre de fille. Je ne parle pas de physique. Plutôt de caractère. Certains préfèreront les femmes timides, d’autres celles dont la franchise est clairement trop présente. C’est un art de savoir se mettre dans la peau de toutes ces femmes pour varier son tableau de chasse. Un art auquel je m’adonne depuis de nombreuses années, avec toujours l’entrain des débuts. « Et vous, êtes-vous consciente que c’est interdit de faire des avances à un professeur ? » Intérieurement, sa question me fait rire. Il est possible que ce soit interdit en effet, pourtant si je suis bien renseignée sur le sujet, les étudiantes ne le dérangent pas. Une en particulier, mais je préfère ne pas évoquer la blonde auprès de laquelle il semble oublier cette règle. Je préfère qu’il pense que je ne sais pas, c’est plus marrant. J’aime voir la gêne sur un visage, ou bien l’envie de s’amuser. Sans conséquences. Il n’y en aura de toute façon jamais car ce qui me plaît chez lui mis à part son physique avantageux et son charisme fou, c’est le fait qu’il ne soit pas libre. Etonnant, étrange même. Mais je ne suis pas le genre de fille que l’on comprend facilement, c’est une évidence. « Avez-vous consciente que vous avez à faire à une femme qui aime particulièrement braver les interdits ? » Dis-je en me redressant sur ma chaise, plongeant mes grands yeux bleus dans les siens.

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« Vous voyez, heureusement que vous avez croisé mon chemin ce matin. » Très vite, j’arrivais à cerner le genre de femme. Elle était franche et disait ce qu’elle pensait. C’était le type de femme dont il fallait se méfier. Elles avaient plusieurs facettes et jouaient à plusieurs jeux en même temps. « Je suis chanceux alors » Je lui faisais croire que je rentrais dans son jeu, mais ce n’était pas vraiment le cas. Au contraire, je m’amusais de cette situation insolite. Cela faisait longtemps que je n’avais pas rencontré ce type de femme. Harvard n’était pas aussi varié qu’on le pensait. « Avez-vous conscience que vous avez à faire à une femme qui aime particulièrement braver les interdits ? » Oh oui, j’en avais terriblement conscience. « Le contraire m’aurait étonné de vous. » Je finissais de boire mon verre tout en observant la jeune femme. Quelque chose au fond de moi, me disait de me méfier. Imprévisible ? Sans doute, mais ce qu’elle ne savait pas, c’est que je l’étais encore plus. « Nous parlons depuis une bonne dizaines de minutes, mais je ne sais pas vraiment à qui j’ai à faire. » J’esquissais un sourire. « Parlez-moi de vous. Après tout, ça serait terriblement mal poli de mal connaitre les étudiants qui sont sous ma responsabilité. » Mes yeux exprimaient la malice. Je ne savais pas grand-chose d’elle et j’avais hâte de savoir comment elle se définissait. C’était très souvent révélateur.



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« Le contraire m’aurait étonné de vous. » Cette réponse m’amuse, j’aime les gens qui pensent pouvoir prédire mes comportements.  Les gens pensent vous connaître, vous cerner et dans mon cas il est cependant rare que les premières impressions qu’on a sur moi soient bonnes. Je repose mon verre de jus de fruit sur la table, et repousse mes longs cheveux bruns en arrière. « Nous parlons depuis une bonne dizaines de minutes, mais je ne sais pas vraiment à qui j’ai à faire. Parlez-moi de vous. Après tout, ça serait terriblement mal poli de mal connaitre les étudiants qui sont sous ma responsabilité. » Dit-il en souriant. C’est un sourire charmeur et j’ai immédiatement l’impression d’être face à adversaire de taille dans ce petit jeu-là. Je pourrai facilement me laisser séduire par sa voix aux tonalités grave, par ses fossettes qui se creusent à chaque sourire. Oui, je pourrai peut-être même céder à l’attraction physique entre nous si je n’étais pas totalement obsédée par mon meilleur ami ces derniers temps. Et il est évident que je dois me sortir Walter de la tête, définitivement, sinon, dans quelques mois, lorsqu’on me demandera de me présenter je ne serai plus que ‘La fille amoureuse de son meilleur ami’. Hors de question, il est nécessaire de se ressaisir et j’en vois l’opportunité avec cette rencontre plaisante. « Il y a tant à dire… » Commençais-je sur un air mystérieux. « Je suis étudiante en politiques, je suis la voie tracée par mon grand-père, l’ancien président Kennedy, peut-être en avez-vous déjà entendu parler ? » Quelle question ! Qui n’en a pas entendu parler ? Mais j’aime parler de mes origines, d’où je viens. C’est en quelque sorte une bonne représentation de moi-même. Je suis sa petite fille, et je suis façonnée à la manière d’une Kennedy. Je suis ce que mes parents ont fait de moi, ce que les américains ont attendus de moi. Irréprochable, calculatrice et bonne oratrice, comme tout bon membre d’une famille de politiciens. « Ariane Kennedy pour être exacte. » Précisais-je en dévoilant enfin mon prénom. « Je pourrais vous raconter bien d’autres choses sur ma vie et ma personne, mais je vous laisse le loisir de poser les questions dont les réponses pourraient vraiment vous intéresser… » Lui proposais-je en me resservant un verre de nectar orangé. « Avant que vous-même vous m’en disiez plus sur vous… Charmant professeur… »
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« Je suis étudiante en politiques, je suis la voie tracée par mon grand-père, l’ancien président Kennedy, peut-être en avez-vous déjà entendu parler ? » Qui n’en avait pas entendu parler ? Je l’avais même étudié en cours, alors, que j’avais choisis une option sur les plus grands dirigeants à travers le temps. Sa mort avait été tragique. Encore aujourd’hui, on se demandait qui l’avait réellement tué. Certains disaient que le dit meurtrier avait menti. « Qui n’a pas entendu parler de cet homme ? » Je faisais doucement tournoyer le verre vide entre mes mains. « Ariane Kennedy pour être exacte. » Je savais déjà son identité pour avoir regardé le dossier de chaque nouveau arrivant à la Eliot House. « Calvin Mikaïlovitch. » C’était la moindre des politesses. Lorsque quelqu’un se présentait, il en fallait faire de même. Sinon cela pouvait être perçu comme un rejet voir une insulte. « Je pourrais vous raconter bien d’autres choses sur ma vie et ma personne, mais je vous laisse le loisir de poser les questions dont les réponses pourraient vraiment vous intéresser… » Mademoiselle voulait continué à jouer. Où cherchait-elle autre chose ? Bien, j’étais toujours partant pour ce genre d’exercice. « Avant que vous-même vous m’en disiez plus sur vous… Charmant professeur… » Parler de moi ? Je me demandais si c’était vraiment nécessaire. Sans doute n’en aurait-elle pas le temps. « Vous dite étudier la politique. Est-ce pur ambition ou est-ce que cela cache un profond désir de reconnaissance? » Je n’aimais pas tourné autour du pot, je le faisais si cela était nécessaire. Cette question pouvait paraitre déplacée, mais je voulais voir jusqu’où elle pourrait aller. Continuerait-elle à jouer après ça ? Je l’espérais. Le contraire serait décevant.



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« Vous dite étudier la politique. Est-ce pur ambition ou est-ce que cela cache un profond désir de reconnaissance ? » Je ne m’attendais très certainement pas à une question de ce genre et pourtant, j’apprécie. Il semble que je sois face à un homme fort intéressant, et non pas aux genre de garçon que l’on trouve un petit peu partout sur le campus, sans aucune conversation et dont la seule information qu’ils jugent intéressantes seraient ma taille de soutien-gorge. Je me redresse sur ma chaise et repousse d’un geste délicat mes cheveux en arrière. « Je suis la plus ambitieuse des étudiants de cette maison. Et ce n’est pas une exagération croyez moi. » C’est la stricte vérité, depuis mon enfance, j’ai toujours eu énormément d’ambition, et je ne conçois pas de ne pas arriver à obtenir ce que j’ai envie. « A quoi sert la reconnaissance si l’on a pas le pouvoir ? » Lui rétorquais-je en scrutin les lignes de son visage. Des traits virils, des yeux perçants, des lèvres attrayantes. Cet homme me plaît. Je mordille ma lèvre inférieure, avant de l’assener d’une question à mon tour. « Et vous, pourquoi avoir choisi d’être professeur ? Est-ce pour avoir cette espèce de pouvoir sur vos élèves ? Lire de l’admiration et parfois du désir dans leurs yeux pour regonfler votre estime ? »
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« Je suis la plus ambitieuse des étudiants de cette maison. Et ce n’est pas une exagération croyez-moi . » Je n’en doutais pas. C’était rare de voir des étudiants aussi impliqué. La plupart savait que même en ne bossant pas, ils allaient succéder à leur père ou mère. Ils quittaient Harvard avec un laissé passer pour le grand business. C’était la même chose pour Ariane. Après tout, elle faisait partie de la famille Kennedy. Pourtant, elle me donnait l’impression de voir s’affranchir un tout petit peu de ce statut et montrer qu’elle pouvait y arriver toute seule. « C’est ce que vous me laissez penser, mais de simple mot ne suffise pas à vous élire la plus ambitieuse de cette maison. Certes, l’ambition est quelque chose d’innée chez vous. » Je ne voulais pas me faire passer pour un devin, mais ça se sentait chez elle. Ne cherchez pas à comprendre, je le sentais ! « A quoi sert la reconnaissance si l’on a pas le pouvoir ? » Elle marquais un point, mais elle oubliait certaine chose. « Vous marquer un point, mais il n’y pas besoin de pouvoir pour avoir de la récompense. Si je suis votre raisonnement, le pouvoir est important pour avoir de la reconnaissance, mais il ne faut pas confondre reconnaissance et intérêt. » Pourquoi de personne vous montrait beaucoup de reconnaissance, mais au final, ils en avaient après votre pouvoir. Encore aujourd’hui, je connaissais ce genre de situation. Voilà pourquoi, je choisissais mes clients avec intention même si avec mon grand-père dans les parages, c’était difficile. Il disait qu’il ne fallait jamais louper un gros contrat même lorsque ses personnes ne s’alliaient avec vous que par intérêt. J’étais peut-être trop méfiant. Ariane se mordillait la lèvre et cela ne m’échappais pas. Déjà ? C’était presque trop facile. « Et vous, pourquoi avoir choisi d’être professeur ? Est-ce pour avoir cette espèce de pouvoir sur vos élèves ? Lire de l’admiration et parfois du désir dans leurs yeux pour regonfler votre estime ? » Je ricanais légèrement. Je posais mes bras sur la table et me rapprochait un peu plus. « On pourrait penser ça, mais ce n’est pas le cas. Aussi sentimental que cela puisse paraître, j’aime mon travail. J’apprécie enseigner des choses et aider les autres. Leur donner envie de travailler et de ne pas baisser les bras. Il y a tellement de professeur qui font ce métier par dépit. » Soudain, mon téléphone c’était mis à vibrer. Je le sortais de la poche de mon jean et répondait. C’était un coup de fil de ma secrétaire au bureau de l’entreprise familial. « Dite à Collin’s que je le rappelle toute à l’heure […] Bien, merci. » Je raccrochais et rangeais mon téléphone dans ma poche. Je détestais être dérangé de si bonne heure. «Excusez-moi. Où en étions-nous ? »



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