[HOT] Toi et moi c'est comme une alchimie mal calculé ~ Pv Ricardo

Dix-neuf heures, c'était mon dernier cours de la journée qui prenait fin. J'en avais plein la tête et j'avais une énorme envie de me changer les idées. J'ai fait le choix de prendre des études de droit. J'ai toujours été ambitieuse et j'ai toujours voulue devenir quelqu'un de reconnue. Contrairement à ma mère j'ai choisie des études plus strictes avec énormément d'engagement. Je l'ai toujours admirée pour ce qu'elle est devenue dans le monde du travail en ne partant de rien. Je voulais donc suivre cet exemple, le seul qu'elle m'a apportée. Contrairement à elle je n'ai pas pris dans la mode et la couture, non je préfère quelque chose qui me permet d'évoluer et d'avoir un boulot où je ne m'ennuie pas facilement. Les choses répétitives très peu pour moi. La sonnerie se faisait entendre, je range mes affaires et par réflexe sors mon portable. Quelques messages auxquels je répond avant d'en envoyer un. Quand j'ai besoin de m'amuser et que ce n'est pas avec une Cabot pour des sorties shopping, Ricardo est là. Cela fait maintenant un moment que l'on se fréquente. Au début c'était vraiment occasionnelle puis petit à petit c'est devenu plus fréquent. Ricardo c'est ce que l'on peut appeler plus communément un plan cul, mais ses derniers temps il y a quelque chose qui a changé. Je ne sais pas vraiment quoi, mais je sais qu'il se passe quelque chose. Entre nous c'est vraiment officieux, personne n'est vraiment au courent. De plus aucun de nous deux veut se caser, alors pourquoi se compliquer la vie ?
Je me dirigeais donc chez lui après avoir eu sa réponse positive. Arrivée devant sa porte je sonne avant de l'entendre bouger et m'ouvrir. Je lui affichais mon plus beau sourire, un sourire ravageur qui en disait long...

"Tu sais, j'ai toujours détesté ses filles qui couchent avec le capitaine d'équipe" Je disais ça, un peu comme une moquerie envers nous deux. Ce qui est bien avec lui c'est qu'il n'y a pas de prise de tête, du moins pour l'instant. Un rire clair et fluide se faisait entendre avant qu'il me laisse entrer en me prenant par la taille.

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Ricardo n'avait pas été en cours aujourd'hui. Pour cause ? Il n'y avait pas entrainement de football. Et en général lorsqu'il n'y avait pas entrainement, Ric ne prenait pas la peine de se lever. Et c'était encore pire depuis qu'il vivait seul dans son appartement. Son sport était la seule véritable motivation pour se lever et se rendre sur le campus. Ca et le fait de voir ses amis, mais le problème c'est qu'il les voyait beaucoup moins qu'il ne passait de temps en cours. Du coup, autant se donner rendez-vous plus tard dans la journée. Le brésilien était en train de regarder un reality show lorsque son portable se mit à vibrer. Un sourire s'afficha sur ses lèvres lorsqu'il vit l'expéditrice du message, et son sourire s'intensifia lorsqu'il en lu le contenu. Bien sûr il accepta puis il se replongea dans sa télévision. Habillé d'un jogging, il n'était pas vraiment en tenus de la recevoir, même si généralement ils ne restaient pas très longtemps habillés lorsqu'ils se voyaient. Il décida tout de même d'enfiler un jean et un débardeur histoire de mettre un peu ses muscles en avant. Jasmine frappa finalement à la porte et le jeune homme s'empressa de lui ouvrir. Il la regarda dans les yeux, stoppant son regard un instant sur ses lèvres dont il avait déjà envie de prendre possession. "Tu sais, j'ai toujours détesté ses filles qui couchent avec le capitaine d'équipe". Ric ria légèrement avant de la laisser entrer tout en posant ses lèvres sur les siennes au passage. Leur relation était devenu très spéciale depuis un certain temps. Avant ils se voyaient et couchaient. Maintenant ils avaient l'air de tous deux vraiment apprécier le temps qu'ils passaient ensemble

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Je n'avais pas attendue longtemps avant de le voir ouvrir la porte de chez lui. Déjà, rien qu'à ce moment, en un instant tout venait de changer. Une tension s'installait, forte évidemment et une envie irrésistible d'être contre lui m'envahissait. Tout était devenu bizarre avec Ricardo depuis quelques temps. Nous ne faisions plus que coucher ensemble. Non, il y avait quelque chose qui s'était ajouté, je ne sais pas trop quoi, mais je sais que maintenant je prends plaisir à le voir et plus seulement au lit comme avant. Il faut dire qu'après avoir apprit que l'on s'entendait bien sous les draps, on a également apprit que l'on s'entendait bien tout court. Les choses ont un peu été faites à l'envers avec Ric' mais pour le moment aucun des deux n'est lassé de la situation. Alors, nous continuons notre petit jeu de séduction, qui n'a plus lieu d'être étant donné que nous connaissons déjà ce que l'autre aime, du moins sur ce plan. Déjà je le voyais s'attarder sur mes lèvres joliment dessinées, je les mordis légèrement sous cet effet. Il me fit rentrer tout en m'embrassant. Ce premier contacte que pourtant je connais, me faisait déjà frissonner. Poussant la porte avec mes mains pour finalement venir m'appuyer contre celle-ci avant d'intensifier son baiser et de passer ma main sur son torse. Je n'avais pas besoin de m'attarder sur son appartement je le connaissais déjà, ce n'est pas la première fois que je viens. D'ailleurs je préfère venir chez lui, plutôt que l'inverse. Cela évite les commérages du lendemain des Cabots. Ici, on est plus tranquille et on n'a pas à se soucier si ma colocataire va rentrer ou pas. Il m'arrivait de temps en temps de m'attarder chez lui, de rester un peu, cela me change de la Cabot House. Jouant avec les boutons de sa chemise.
"Dite moi, vous êtes toujours beau ou vous venez de vous faire une beauté pour ma venue Monsieur Rafaelo ?" Disant cela avec une voix ironique. Il faut dire que ce mec est relativement agréable sur tous points et que je ne suis certainement pas la seule à approuver cela. Cependant, je sais que Ric', n'a pas connu beaucoup d'histoires amoureuses, mais cela ne l'empêche surement pas de voir des filles. L'amour et le sexe c'est bien différent, quand ils ne vont pas ensemble.

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Jasmine pénétra dans son appartement, qu'elle connaissait déjà probablement par coeur. Et bien sûr cela n'avait rien à voir avec le fait qu'ils avaient couché ensemble dans tous es endroits imaginables de l'appartement, mais bien au fait qu'elle y venait très souvent. Si Ricardo entretenait plusieurs amitiés améliorées, celle de Jasmine était vraiment particulière. Au début, ils passaient leur temps à se grimper dessus, sans même s'adresser un seul mot. Aujourd'hui, ils pouvaient passer des heures à se raconter leur vie, tout en s'embrassant et en faisant des petits gestes de tendresse. Ric appréciait particulièrement sa compagnie. Il l'appréciait d'ailleurs de plus en plus, au point qu'il lui arrivait parfois qu'elle lui manque. D'ailleurs, ça lui faisait un peu peur, car c'était rare qu'il ressente le besoin d'être auprès de quelqu'un. La belle Cabot entra dans son appartement, et après un baiser échangé, elle vint de mettre tout contre lui. "Dite moi, vous êtes toujours beau ou vous venez de vous faire une beauté pour ma venue Monsieur Rafaelo ?" Ricardo sourit en se mordillant légèrement la lèvre. "Il est possible que j'ai fais un petit effort en apprenant ta venue.." Pourquoi s'en cacher ? Après tout elle ne pouvait qu'en être honorée. Le jeune brésilien posa alors ses mains sur les hanches de la jeune femme, sans détacher son regard du sien. "Ma compagnie te manquais, n'est-ce-pas ?" Il mit doucement sa main dans la sienne et joua avec ses doigts

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Contente d'être ici et de pouvoir me changer un peu les idées. Bien qu'en ce moment avec Ric' tout devient un peu compliqué. A la base nous ne voulions qu'une relation purement physique et plus le temps passait, plus nous avions une routine dite de couple. C'était tellement bizarre comme situation que parfois je me demandais si c'était bien bon de continuer cela. C'est vrai que je n'aimerais pas que notre relation prenne une autre tournure et surtout je n'aimerais pas le perdre, car au fond je tiens beaucoup à lui. Je sais qu'il a eu une relation compliquée déjà avant cela et que ça c'est mal terminé et franchement je n'aimerais pas lui faire de mal. "Il est possible que j'ai fait un petit effort en apprenant ta venue.." Une sourire s'affichait sur mon visage, contente de sa réponse. Évidemment si je l'avais trouvé en survêtements cela n'aurait rien changé à la suite, mais cela prouve que nous voulons toujours plaire à l'autre.
"Ma compagnie te manquais, n'est-ce-pas ?" Ça c'était vraiment étrange comme question. Franchement des personnes qui pratiquent seulement du sexe se pose des questions comme ça ? En même temps il faut dire aussi que je traine pendant des heures dans son appartement, jouant au couple parfait pendant quelques jours. Rigolant un peu, car cela m'amusait quand même.
" En même temps comment cela ne pourrait-il pas me manquer ?" Je disais cela en même temps que j'enlevais son haut découvrant pour l'énième fois son torse. On peut dire maintenant que je connais plutôt bien son corps et malgré cela je suis toujours contente quand je le vois découvert. Il me prit alors par les hanches, me rapprochant un peu plus de lui. Maintenant je pouvais sentir sa chaleur et ça je ne m'en lassais pas. Mettant sa main dans la sienne et jouant un peu pour faire durer ce moment. Me fixant, je lui sourie. Il faut dire que de plus en plus Ric' devient romantique et a des gestes d'affections prononcés. Cela me fait un peu peur, mais ne voulant pas arrêter cela je continuais de faire comme si de rien n'était. Passant ma main de libre sur son visage et finalement dans sa nuque. Mes gestes étaient doux, quand mes lèvres viennent se poser une nouvelle fois sur les siennes. Me reculant un peu plus contre la porte, je l'attire à moi sans me défaire de lui. Le laissant alors s'amuser un peu avant de se rapprocher de son oreille et de lui susurrer.
"Viens" Elle le dirigea alors vers le lit, ce n'était pas ce qu'il y avait de plus proche, mais n'ayant pas envie de faire ça n'importe où pour cette fois.

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Du sexe, rien que du sexe. Ricardo c'était toujours promis de suivre cette phrase, avec n'importe quelle fille. Bon, pas avec toutes les filles évidemment, ce n'était pas une machine. Mais dès que des rapports charnels commençaient, Ric se mettait toujours dans l'optique que c'était juste pour coucher, ou bien pour passer un peu le temps ensemble. Coucher ensemble n'empêche pas d'être amis. Au contraire, Ric était ami avec la quasi-totalité de ses partenaires sexuelles, et c'est ce qui faisait que ça marchait si bien. Au début avec Jasmine, il n'y avait même pas d'amitié. Son corps, son visage le rendaient dingue, et apparemment c'était réciproque. Mais les jours ont passé et ils se sont de plus en plus vus, ils se sont mis à parler, puis ont commencé à s'apprécier. probablement un peu trop au goût de Ric. Il lui arrivait parfois de penser à elle, même si ces pensées divergeaient en général vers quelque chose de beaucoup moins conventionnel. Elle répondit à son baiser et Ric ferma les yeux pour l'apprécier d'autant plus. "En même temps comment cela ne pourrait-il pas me manquer ?" Ric eut un léger rire avant de hausser les épaules. "Tu as raison, c'est une question idiote !" Il se mordilla légèrement la lèvre, la laissant retirer son haut délicatement. Elle s'approcha alors de son oreille pour lui demander de venir avec elle. Un petit frisson parcouru son corps, tandis qu'il la suivit sans hésiter. Il regarda ses lèvres, qui en feraient fantasmer plus d'un. Arrivés vers le lit, le jeune homme retira le haut de la belle, et enchaina rapidement avec son bas

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Plaqué contre son torse il me posait une question étrange à laquelle je répondis sans réellement y répondre comme à chaque fois. Je ne savais pas si Ric' s'en rendait vraiment compte que notre relation était en train de prendre une autre tournure. S'il se rendait compte de ses gestes beaucoup plus doux, plus attentionnés et de nos journées à discuter de tout et de rien. Faut dire que je n'aide pas beaucoup, car je ne me fais pas prier quand il me propose de rester et parfois je m'impose moi-même.
"Tu as raison, c'est une question idiote !" Elle n'était pas si idiote que cela sa question, car un jour il faudrait bien que je lui réponds sincèrement. Sauf que pour le moment, je ne savais même pas où j'en étais. Il m'en demandait trop alors je laissais toujours une porte de sortie. Je lui demandais alors de me suivre, prenant sa main pour le guider. Il suivait mes pas sans problème comprenant sans doute que je n'avais pas envie de faire ça sur la porte. Bien sûr, parfois nous, nous conduisions comme des bêtes affamées, mais là, je voulais profiter. Il me fixait et il faut dire que j'adore ça quand il me regarde avec ce désir. Je souris avant qu'il entreprenne d'enlever mon haut et également mon bas. J'étais donc en sous-vêtements. Un nouveau que je venais d'acheter, j'espérais bien qu'il le remarquerait. C'est vrai que nous n'en sommes plus à nous séduire et que cela n'était pas particulièrement utile. Pourtant, lui aussi avait fait un effort sur sa tenue et je pense que ses gestes là font que tout est différent. Car nous arrivons encore à nous surprendre. Il fit un geste d'approbation et mon sourire s'élargit de plus belle. Venant coller mon corps à moitié nue contre le sien, je pouvais sentir sa chaleur, sa peau sur la mienne. Passant mes bras autour de sa nuque pour lui donner un dernier baiser avant de me laisser tomber sur le lit derrière nous. Je l'entraînais avec moi dans ce mouvement sans décrocher mes doigts de sa nuque. Je me redressais un peu, pour reprendre le baiser brièvement interrompu. Tandis que les mains chaudes et frémissantes de Ric' remontait lentement sur mes flancs pour découvrir ma peau parfaite, goûtent avec tendresse, encore et encore, à ses lèvres dont je sentais chaque souffle. Engouffrant mes doigts lascifs dans ses cheveux, amorcent une caresse vaporeuse et régulière alors qu'il faisait glisser les bretelles de mon soutien-gorge, déposant en même temps des baiser tendre dans le creux de mes épaules en suivant le mouvement de ce bout de tissu qui était de trop.
Pendant qu'il redécouvrait mes seins, je laissais trainer mon regard sur lui, avide et déjà impatiente de la suite. Le scrutent dans ses gestes. C'est lorsqu'il se redressait que je remarquais la chaleur délicieuse qui palpite sur sa propre chair, son souffle qui s'était accéléré tout comme le mien. Profitant de ce mouvent pour glisser mes mains en direction de son pantalon, l'aidant à l'enlever.

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